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vendredi 26 février 2021

Une bonne ferme... à bon escient

Je crois que Monsieur a du mal à comprendre des choses qui sont pourtant simples et que j'ai déjà précisées à Monsieur bien des fois. A mon grand regret, je dois constater que redire à Monsieur les mêmes consignes plusieurs fois par jour n'a aucun effet. C'est comme si je passais mon temps à peigner la girafe !

 Troisième fois cette semaine, et nous ne sommes que mercredi, que je dis à Monsieur que, quand il rentre à la maison, il doit enlever ses chaussures de sport et mettre des chaussons. Particulièrement quand il a marché dans de la terre, là où Monsieur va courir. Rien n'y fait !

mercredi 18 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 24

 « Eh bien, mon garçon, qu’attends-tu ? C’est ton tour ! »

C’est par cette invite, accompagnée d’un geste explicite que Philippe fut prié de venir prendre place. Il vint se mettre à la portée de sa future correctrice. Il se retrouva aussitôt dans la position qu’Aurélie avait dû adopter quelques minutes auparavant. Elle n’avait rien de confortable. La cuisse de sa belle-mère, bien qu’un peu rembourrée, lui scia le ventre dès que ses pieds ne touchèrent plus le sol. Maman Marianne l’avait hissé à l’horizontal en passant son bras entre les jambes de son gendre, écartant au passage la verge et les testicules.

mercredi 21 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 20

 Maman Marianne s’activait pendant que Philippe était au coin. Il ne comprenait pas bien ce qu’elle faisait, mais il ne cessait de songer à la dernière déclaration de sa belle-mère. Ici, ce n’était pas sa chambre. Il voulait rester dans celle qu’il partageait avec Aurélie. Même s’ils n’étaient pas mariés, ils vivaient en couple depuis assez longtemps pour avoir le droit de dormir dans le même lit.

« Veux-tu te tenir tranquille, Philippe ! A moins que tu ne veuilles une autre fessée ? »

mercredi 14 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 19

 La vie s’organisait en fonction du confinement. Il était maintenant officiellement en place. Maman Marianne avait prévenu Aurélie et Philippe.

« Je ne veux pas que vous mettiez un pied en dehors de ma propriété sans mon autorisation. Si je vous y prends… »

Oui, ils savaient. Il n’y avait aucune raison que leur mère et belle-mère soit laxiste sur ce sujet, elle ne l’était pas sur les autres.

vendredi 25 septembre 2020

Une deuxième et sévère Maman

C'est à cette heure-ci que vous rentrez, Alexandre ? Je croyais pourtant ne vous avoir donné la permission de sortie que jusqu'à vingt-deux heures. N'ai-je pas été claire ? Me suis-je mal fait comprendre ? A moins que vous m'auriez délibérément désobéi ?

Depuis deux mois que je me suis mariée avec votre père, c'est la première fois où il s'absente pour plusieurs jours. Il m'a explicitement confié l'autorité sur vous, bien que vous ayez vingt-et-un ans. Je sais que cela vous déplaît : être placé sous l'autorité de votre belle-mère qui n'a pas dix ans de plus que vous.

mercredi 23 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 16

 Maman Marianne pénétra dans la chambre d’Aurélie et de Philippe, à sept heures vingt-cinq comme d’habitude et sans s’annoncer. Elle alla directement ouvrir les volets et laissa la fenêtre ouverte. En ce début du mois de mars il faisait encore un peu frisquet, surtout aussi tôt le matin, le soleil n’étant pas encore complètement levé. Je me glissais un peu plus loin sous la couette.

« Debout tous les deux ! Nous avons pas mal de chose à voir ce matin ! »

Elle attrapa la couette qu’elle rabattit au pied du lit. Philippe tenta, en vain de retenir cette protection qui le maintenait au chaud et Aurélie protesta et grommelant.

« J’ai dit debout ! »

Une claque atterrit sur les fesses de Philippe.

mardi 25 août 2020

Une semaine de vacances chez belle-maman

 Alors, comme ça, mon garçon, on a décidé de désobéir et de me faire un caprice pour aller au lit quand je l'ordonne ? Je crois que tu n'as pas bien compris les règles qui régissent la vie chez moi. Je t'ai pourtant expliqué comment cela fonctionnerait si tu venais vivre sous mon toit !

Que tu sois mon gendre et non mon fils n'y change rien. Que tu vives avec ma fille fais de toi l'un de mes enfants et j'ai toujours eu l'habitude d'être obéie par mes enfants. Tu as sans doute cru que d'avoir trente-huit ans te donnait des privilèges qui te permettaient de défier mon autorité ? Tu vas vite te rendre compte de ton erreur, tu peux compter sur moi !

vendredi 17 juillet 2020

Un coup de fil à Belle-Maman

Allo ? Ma chère Belle-Maman, comment allez-vous ?
...
Fort bien en ce qui me concerne, pour votre fils, c'est plus délicat. Nous avons une petite explication actuellement. Je pense qu'il préférerait être dans une autre situation. Mais il faut bien que je m'occupe de ses bêtises.
...
Oui, depuis le déconfinement, c'est plus facile. Pour vous aussi, je suppose ?
...

mercredi 8 juillet 2020

Chroniques de confinement - chapitre 5

Aurélie et moi étions maintenant habillés. C’est Maman Marianne qui avait choisi les vêtements que nous portions et elle s’était chargée de nous les passer. Les sous-vêtements un peu frivoles de ma compagne avaient été écartés, mais ma belle-mère avait trouvé ce qui lui convenait.
Aurélie portait maintenant une jupe large sur des jambes nues, si on ne comptait pas les socquettes. Moi, elle m’avait mis un survêtement, tenu par une taille élastique.
« Avec ça, je n’aurai pas de mal à vous déculotter quand il faudra vous corriger. »

vendredi 3 juillet 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 20

Le lendemain matin Hervé se présenta chez sa belle-mère, il était habillé normalement mais il avait dans son sac son costume de travail. Une petite robe noir, un tablier blanc, des bas autofixants et une paire d'escarpins. Christine tenant compte des remarques de sa mère ne lui avait pas fait mettre une culotte à fessée mais une ravissante petite culotte blanche ornée de dentelle.

lundi 29 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 4

Se tenir au coin, selon les normes exigées par Maman Marianne, c’était difficile. Au début, on ne s’en rendait pas compte. Durant les premières minutes que j’y avais passé, mon esprit avait été occupé par refaire le film de ce qui venait de m’arriver et finalement, se trouver seul à quelques centimètres de l’angle que faisait le placard et le mur était plutôt facilitant. Je pus gérer les pics de douleurs qui émanaient de mes fesses, puis la honte d’avoir été déculotté et fessé, sans avoir à rencontrer le regard d’une autre personne.

vendredi 26 juin 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 19

Hervé était arrivé un peu penaud à la maison, il tenait à la main le paquet cadeau contenant les culottes à fessée, Aurélie y avait mis également la culotte qu'il portait en arrivant et cadeau de la maison elle avait ajouté une Mademoiselle Tapecul. Christine l'accueillit avec un grand sourire et une mine gourmande, elle se délectait à l'avance de la future fessée qu'elle allait administrer à son petit chéri.

jeudi 25 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 3

La main de Maman Marianne claqua une troisième fois sur mes fesses. Comment faisait-elle pour installer une telle fournaise sur mon postérieur en aussi peu de temps ? Cette pensée fugace disparut aussi vite qu’elle était venue. Je n’avais plus de place dans ma tête que pour la cuisson qui ne cessait de monter sur mon épiderme.

jeudi 18 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 2

En entrant dans la cuisine, je compris tout de suite qu’Aurélie savait ce qui venait de m’arriver. Comment aurait-il pu en être autrement ? Ma belle-mère me tenait par la main sans que je montre de réticence et mes yeux devaient encore être gonflés des larmes, que j’avais laissées abondamment couler, bien que le plus gros en ait été essuyé. Je rougis jusqu’à la racine de mes cheveux.

jeudi 11 juin 2020

Chroniques de confinement - chapitre 1

Au début, je me suis dit : je le publierai quand il y aura de la place. Et puis : c'est dommage, elle ne sera plus d'actualité. Alors j'y vais. A un horaire inhabituel. Huit articles par semaine, un de plus ! Tiendrons-nous sur la durée ?

« Je te dis qu’ils vont nous confiner, tous ! Avec interdiction de sortir ! »
Aurélie, ma compagne, insistait. Moi, je n’y croyais pas trop. Pourtant, dans la journée, la rumeur a enflé. Tout le monde, voisins, amis et même la boulangère semblait d’accord.
« C’est sûr, ça va être annoncé la semaine prochaine ! »
Il m’avait fallu me rendre à l’évidence. C’est le courriel que j’ai reçu de mon employeur qui m’a définitivement convaincu. Notre directrice nous informait de la mise en place d’un télétravail obligatoire, jusqu’à plus ample informé. Il nous était interdit de nous rendre à notre bureau le lundi suivant et les détails de la nouvelle organisation de travail seraient annoncés au cours d’une réunion le lundi après-midi, réunion par visioconférence, bien évidemment.

lundi 23 mars 2020

Repas de famille mouvementé - scène 2

Mais qu'est-ce donc, mon gendre ? Où vous croyez-vous ? Pour qui vous prenez-vous ? Depuis quand osez-vous contester les méthodes que j'emploie pour discipliner mes enfants ? C'est de l'outrecuidance, de l'insolence !
Je n'admets pas que l'un de mes enfants, le fut-il devenu après avoir épousé ma fille, conteste mes décisions. De vous, comme de mes autres enfants, j'attends une obéissance scrupuleuse qui ne laisse pas de place au questionnement de la tutelle que j’exerce.
L'âge n'a rien à voir là-dedans ! Ce n'est pas, parce que, comme ma fille, vous avez plus de trente ans, que je n'aurais plus à surveiller votre éducation. Cette responsabilité que j'exerce depuis la naissance de ma progéniture, n'a pas subitement disparu.

jeudi 3 octobre 2019

Mes premières fessées chapitre 9

Le lendemain soir, après dîner, Amélie a déboulé dans notre chambre.
– Qu’est-ce vous faites, les garçons ?
– Rien. Rien de spécial.
Philibert était sur Internet et moi, je me prenais la tête sur un Sudoku.
– Qu’est-ce tu veux ?
– Causer un peu.
Et elle s’est laissée tomber sur mon lit. J’ai dû replier les jambes pour lui faire une petite place. Sans lever les yeux de ma revue.
– Pourquoi tu me fais la gueule ?

samedi 29 juin 2019

Reprise en mains maternelle - chapitre 4

Clotilde et Chantal sirotaient leur jus de fruit autour de la table basse. Laure et Denis se tenaient silencieux dans leur coin. Les marques de la dernière fessée étaient encore largement visibles. L’heure était à l’organisation.
« Dites-moi Chantal, il serait nécessaire que nous nous organisions afin de garder un œil le plus souvent possible sur ces deux garnements.

lundi 24 juin 2019

Des traditions à maintenir

Quand tu t'es mariée à mon fils, je t'avais dit que tu embrassais en même temps toutes nos traditions familiales. En devenant ma belle-fille, tu es maintenant l'une de mes filles ou peu s'en faut. Ce n'est pas parce que tu as eu trente ans cette année et que tu es mère de deux de mes petites filles que cela change quoi que ce soit. J'ai maintenant les mêmes devoirs envers toi que ceux que j'ai envers mes propres filles et cela ne changera pas tant que je serai vivante.
Je sais que dans ta famille, les enfants quand ils deviennent majeurs considèrent qu'ils sont les égaux de leurs aînés. C'est un aberration. Chez nous, ils doivent le respect et l'obéissance à leurs aînés quel que soit le lieu ou le moment où on se trouve.

samedi 22 juin 2019

Reprise en mains maternelle - chapitre 3

Poussée par sa belle-mère, Laure fit son entrée dans le séjour. Elle rougit en croisant le regard de sa mère devant laquelle sa belle-mère la conduisit.
« J’ai cru comprendre qu’une grande fille n’avait pas été sage. Qu’en dis-tu ? »
Laure aurait volontiers disparu dans un trou de souris, mais il n’y en avait pas de disponible à proximité. Qu’en dire ? Elle ne savait pas.
« Il me semble qu’il y a eu une grande fille qui a reçu une fessée ! »
Laure baissa la tête. Elle avait honte d’avoir été punie et honte que cela se discute ouvertement.