mardi 16 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 13 septembre 2025 – 14 h 55


Être mis au coin quand on a mon âge, c’est vexant. C’est la preuve que les personnes qui étaient dans mon dos ne me considéraient pas comme une grande personne responsable. Je ne pouvais pas leur donner tout à fait tort. Je ne savais pas si ma compagne laisserait passer si je prenais des libertés avec la position que je devais habituellement y adopter : le nez dans l’angle du mur et les bras croisés dans le dos. Je devais y rester parfaitement immobile et silencieux.

Je n’avais pourtant pas envie de tester la résolution de ma compagne. Je ne croyais pas que le monsieur qui était présent prendrait l’initiative de me punir si je ne respectais pas les règles qui m’étaient imposées en pénitence. Mais ma compagne… ce ne serait pas la première fois qu’elle me ferait sortir du coin rien que pour me fesser et m’y remettre aussitôt. Je la croyais capable de me baisser la culotte pour me corriger afin de me faire comprendre comment je devais me comporter quand elle me punissait en pénitence. À ce moment, j’avais encore, par chance et cela m’étonnait, mon pantalon et ma culotte à leur place. Au moins je ne montrais mes fesses nues à personne comme c’était usuellement l’habitude.

Dans mon dos, sans, bien sûr, que je puisse voir les deux personnes qui discutaient, la conversation allait bon train. Mes désobéissances en étaient le sujet principal. Ma compagne expliquait à son interlocuteur comment elle était obligée de me punir pour que j’obéisse. Il l’écoutait et approuvait avec des phrases courtes.

« Tenez, quand je suis rentrée vers midi, le lit n’était pas fait et la chambre était dans un état ! Venez voir ! »

Il la suivit et j’entendis, venant de la chambre, quelques exclamations d’indignation.

« Vous voyez, il n’a même pas rangé ses affaires. Son pantalon est sur le lit au lieu d’être dans la corbeille à linge sale ! »

Ma compagne avait raison. Je l’avais oublié là, pensant y revenir quand je serais venu faire le lit… ce qui ne s’était jamais produit. Ma compagne était arrivée avant.

« Josip, va faire le lit ! »

Je m’empressai de me rendre dans la chambre, de mettre le pantalon de survêtement avec le linge qu’il fallait laver et je couvris le drap du dessous avec la couette. Puis je revins là où ma compagne et son acolyte m’attendaient.

« Allons vérifier ! »

Ma compagne rabattit la couette, laissant voir un drap-housse qui n’avait pas été tiré. Il y restait plein de plis. J’avais fait au plus vite, mais cela ne semblait pas convenir à ma compagne.

« Rectifie-moi ça tout de suite ! »

Je m’attelai à la tâche. J’eus vite fini et c’est d’une claque sur le fond de mon pantalon que ma compagne me renvoya dans le séjour.

« Je pense que ça mérite une fessée. »

C’était le monsieur qui avait fait cette proposition. Ma compagne approuva aussitôt.

« Oui, bien sûr ! Vous la lui donnez ? »

Il approuva d’un signe de tête.

« Vous pouvez le punir sur la chaise comme tout à l’heure, mais vous pouvez aussi utiliser le fauteuil ou le prendre sous votre coude.

– Le fauteuil, c’est une bonne idée. »

Il s’y assit, mais il se rendit vite compte qu’il ne savait pas comment m’installer pour me punir. Il se ravisa.

« Non, la chaise, c’est mieux ! »

Il changea de siège et me fit signe de me placer à sa droite. Puis il m’indiqua de m’allonger sur ses genoux. C’était assez déroutant pour moi. Il ne s’y prenait pas du tout comme ma compagne et, à mon avis, mais à celui de ma compagne aussi, semblait-il, c’était beaucoup moins pratique pour me punir correctement.

Il me baissa le pantalon, mais il ne put aller plus loin que la jonction de mes fesses et de mes cuisses. Ma culotte rejoignit le même endroit.

« Je pense que vous devriez prendre la règle ! »

Il suivit la recommandation de ma compagne. La règle était à portée de main, suspendue à un clou avec les autres instruments punitifs. À sa place. Il s’en empara. La règle aidant, je m’attendais à une mémorable correction. Il n’en fut rien. Les premières fois qu’il abattit la règle sur mes fesses, je ne réagis même pas. Certes, je la sentais tomber, mais il n’y avait pas la brûlure qu’elle provoquait habituellement. Avec sa main, ma compagne fessait bien plus fort.

« Mais pourquoi avec moi il ne dit rien ? »

Il trouva tout seul une partie de la solution en appuyant un peu plus les coups qu’il me donnait avec la règle. Elle provoquait une légère brûlure, ce qui me fit pousser quelques grognements. Il sembla s’en satisfaire puisque la fessée cessa assez vite. J’étais bien loin de regretter mon inconséquence et je ne pensais pas du tout à la façon dont j’allais procéder dorénavant. La fessée n’avait pas été dissuasive. Loin de là.

« Relève toi ! »

Je ne savais pas s’il envisageait de poursuivre la fessée d’une autre façon ou pas. J’étais assez incrédule. Je ne croyais pas qu’il allait s’en tenir là. C’est pourtant ce qui s’est passé, à mon grand soulagement, mais aussi à ma grande perplexité.

« Va voir ta compagne, elle va te reculotter ! »

Avait-il peur de le faire lui-même avec les contacts intimes que cela supposait ? Je ne savais plus quoi penser. C’était la première fois que cela m’arrivait. Je marchais jusqu’au fauteuil où ma compagne avait pris place. Elle remonta ma culotte et mon pantalon. Puis, je dus aller au coin, mais c’était toujours avec une culotte et un pantalon qui recouvraient mes fesses.

Je ne m’en tirais pas si mal. C’était moins bien que de ne pas aller au coin, mais bien mieux que si j’y avais eu la culotte baissée.



 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.