mercredi 17 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 14 septembre 2025 – 18 h 55


Toute la journée durant, je me suis demandé si ma compagne allait se rendre compte que je ne portais pas des sous-vêtements de la bonne couleur. Ils n’étaient pas blancs, comme ma compagne l’exigeait pour le week-end. Elle prétendait, avec raison, qu’il y était plus facile de contrôler si je respectais bien les règles de propreté auxquelles elle tenait.

Dès qu’elle avait formulé des exigences à mon égard, elle avait exigé que mes dessous soient blancs en permanence. J’avais argué de l’habitude de les porter de couleur et qu’il ne fallait pas les changer si on ne voulait pas que mes collègues et mes amis se posent des questions. Je n’étais d’ailleurs pas certain qu’ils s’en seraient posé. Mais ma compagne s’était rendue à mes arguments et avait transigé. Je ne devais être en blanc que les week-ends.

En fait ce n’était pas tout à fait aussi simple. Je pouvais porter ce que je voulais quand ma compagne ne voyait pas mes sous-vêtements même si nous étions le samedi ou le dimanche. Si elle me posait la question, il me suffisait de lui mentir et d’affirmer que j’étais en blanc. Elle ne pouvait pas vérifier et comme je ne suis jamais puni quand je lui mens, j’en profitais.

Par contre, elle comme moi avons pris l’habitude que je porte des culottes, des chaussettes et, quand c’est le cas, un tee-shirt blanc quand elle est présente. La moindre tâche dessus se voit et ma compagne sait qu’elle doit alors sévir. J’ai déjà reçu une fessée déculottée pour cette raison et pas qu’une fois.

Ce samedi, elle avait été explicite. Si je n’étais pas en blanc ce week-end, j’aurais une fessée. Cela faisait partie des trois choses pour lesquelles elle m’avait mis en garde le samedi matin. Pourtant, je n’y avais pas prêté très attention et je n’étais habillé comme habituellement. J’avais désobéi, cela avait duré toute la journée. Je n’avais pas eu de fessée pour cette raison. C’est certainement que cela n’était pas très important, d’autant plus que quand elle m’avait rappelé ses propos elle n’avait cité que deux raisons qui l’amèneraient à me fesser. Porter des sous-vêtements blancs n’en faisait pas partie.



J’avais donc échappé à une fessée pour désobéissance, mais ce n’était pas la seule correction qui m’avait été épargnée. Le dimanche matin, au petit déjeuner, nous évoquions le temps passé, le samedi après-midi, avec le monsieur. Elle me faisait part de sa déception et moi je n’osais pas dire que le laxisme du monsieur m’allait très bien.

« Mais tu aurais mérité d’être puni bien plus sévèrement ! »

Je ne la confortais pas dans son impression, mais je fis attention à ne pas infirmer ce qu’elle disait. Une neutralité par absence d’opinion me semblait bien plus préférable et bien moins risquée.

« Finalement, tu as évité une fessée que tu aurais dû recevoir. »

Il me fallait dire quelque chose sous peine de paraître suspect.

« Oh, ce n’est pas qu’une fessée que je n’ai pas reçue hier, mais six ! »

J’en profitais pour écorcher l’impression de sévérité et de rigueur qu’elle voulait donner.

« Comment ça, six fessées ?

– Eh bien, en d’autres temps tu m’aurais mis une fessée dès l’arrivée du monsieur quand j’ai tourné la tête pour voir qui arrivait.

– C’est vrai que tu en aurais mérité une à ce moment-là. »

Elle resta songeuse. Elle ne semblait pas décidée à revenir sur les lacunes de la veille. Je poussais mon avantage.

« C’est pareil quand il est parti. J’étais au coin et j’en suis sorti sans autorisation.

– Tu as raison.

– Et puis il y a eu le lit qui n’était pas fait et le pantalon de survêtement que j’ai laissé traîner. Et quand j’ai mal refait mon lit, cela aurait dû faire trois fessées de plus.

– Oui, mais tu as eu une fessée pour cette raison.

– Oh, une seule toute petite et non pas trois.

– Je devrais faire plus attention. Être laxiste ne mène à rien avec toi. »

Elle marqua une petite pause.

« Trois, quatre, cinq, il en manque une. C’est quoi ?

– En fait il n’y avait pas deux, mais trois raisons pour lesquelles tu m’avais promis une fessée. La troisième, c’était si je… »

Je me suis alors rendu compte que je ne portais toujours pas de sous-vêtements blancs et que si ma compagne ne semblait pas décidée à me punir pour ce qui s’était passé la veille, elle n’hésiterait certainement pas à le faire pour une désobéissance qu’elle pouvait constater de visu.

« Oui, quelle était la troisième ? »

Évidemment, j’avais piqué sa curiosité. Je ne pouvais plus reculer au risque de souligner mon oubli actuel. J’espérais qu’elle ne ferait pas le lien avec ma tenue du jour, mais je ne me faisais pas trop d’illusion.

« La troisième, c’était les sous-vêtements blancs.

– Ah oui, maintenant je m’en souviens. »

Elle était méditative.

« Cela aurait dû faire six fessées et tu n’en as eu que deux. Je ne compte pas la première. Ce n’était pas une fessée. »

Et après un court silence.

« Pour une seule après-midi, cela fait beaucoup. Je pense que la sixième aurait laissé des marques sur tes fesses et tu en aurais sans doute eu une autre, pour l’ensemble de ton œuvre, mais cela aurait été avec des orties et tu aurais été attendre le dîner au coin. »

Puis, elle passa à autre chose. Je l’avais échappé belle, mais ce n’était peut-être que partie remise. Il y avait encore tout le reste de la journée et elle pouvait se rendre compte de mon oubli à n’importe quel moment.



Il y eut une deuxième alerte quand, en fin de matinée, elle s’habilla après avoir pris une douche.

« Je prends une petite culotte blanche dans le tiroir, me dit-elle ! »

Je serrai les dents.

« Pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas, espérais-je ! »

Mais je n’y croyais pas trop. La connexion était évidente. Elle s’habilla sans faire de remarque sur ma tenue. Je soufflais de soulagement aussi discrètement que possible.




En fin d’après-midi, avant le dîner, ma compagne avait décidé que je devais prendre une douche sur l’heure. Maintenant ou plus tard, cela n’avait pas beaucoup d’importance. Cela m’était donc indifférent, sauf que si elle me donnait elle-même la douche, elle me déshabillerait, mettant en évidence la couleur de mes sous-vêtements.

Mais comme elle ne s’attendait pas à ce que je proteste, je m’en gardais bien. Cela aurait fait naître ses soupçons. Je la laissais m’ôter le haut de survêtement, puis le pantalon. Elle baissa aussitôt ma culotte et me l’ôta en enlevant mes chaussettes en passant. Puis ce fut le tour de mon tee-shirt.

« Allez, à la douche ! »

Elle accompagna sa phrase par une petite tape sur mes fesses nues, comme elle l’aurait fait avec un petit garçon. Ce n’était pas une claque sur les fesses, juste une chiquenaude d’encouragement. Je ne fais aucun commentaire. J’étais habitué à ce qu’elle me marque son attention de cette façon maternelle. C’est un peu infantilisant, mais bien moins que de se faire déculotter pour prendre une fessée ou de devoir rester au coin le pantalon et la culotte baissés.

Nu comme un ver, je me hâtais vers la salle de bains, n’en croyant pas mes oreilles. Encore une fois, j’avais échappé à la fessée.

La douche se déroula normalement. Je passais sous la pomme de douche pour me mouiller. Ma compagne mit du savon sur le gant de toilette et elle frotta partout, sans oublier de me décalotter le sexe et de me nettoyer le gland. Elle fut aussi attentive à la raie de mes fesses qui fut l’objet de son attention scrupuleuse. Elle passa alors aux jambes puis aux pieds. Je me rinçais sous son œil vigilant. Puis, elle me présenta la sortie de bain que j’enfilai avant qu’elle ne me sèche. Ainsi, elle était certaine de ma propreté, même dans les endroits qui sont souvent oubliés.

Quand je fus bien sec, elle me passa de la pommade sur le torse, puis sur le dos. Il restait mes fesses et le haut de mes jambes. Ma compagne me courba sous son bras dans la même position que quand elle me donnait la fessée. Cela n’avait rien d’inhabituel. Elle me mettait souvent dans cette position même quand elle n’envisageait pas de me fesser. Mes fesses étaient bien dégagées et elle y avait accès facilement avec sa main. Je sentis qu’elle étalait la pommade sur mon postérieur et sur le haut de mes cuisses. Puis elle laissa sa main posée sur mes fesses.

« Dis-moi, as-tu été sage aujourd’hui ? »

Elle doubla sa question par une bonne claque sur mes fesses.

« Alors ?

– C’est toujours pareil avec toi. Tu veux me donner la fessée quand il n’y a pas de raison, mais quand il y en a une, tu ne me punis pas.

– Ah bon ! Et aujourd’hui, est-ce qu’il y aurait une raison que j’aurais oubliée, comme hier ? »

Trois ou quatre fois sa main claqua sur mes fesses. Je sentais bien qu’elle n’y mettait pas toute son énergie, mais cela faisait tout de même mal aux fesses.

« Je veux la vérité ! »

Trois autres claques.

« Aïe, Maman ! »

Deux autres fessées atterrirent sur ma peau nue.

« J’attends. Es-tu certain que je n’ai pas oublié un motif qui aurait mérité une fessée ?

– Si… Euh non… »

Elle avait noté mon hésitation et cela l’avait fait réfléchir. Elle me tenait toujours sous son coude, mes fesses idéalement disposées pour une correction. Quand elle reprit la parole, j’ai su que je n’y couperais pas.

« Dis-moi, quel jour sommes-nous ?

– Dimanche.

– Et de quelle couleur doivent être tes sous-vêtements le dimanche ?

– Blancs. »

Il était inutile de tergiverser. Elle avait mis le doigt sur mon oubli.

« Et l’étaient-ils ?

– Non Maman, mais j’ai oublié.

– Et bien je vais t’apprendre à ne pas oublier et à faire plus attention. »

Elle claqua mes fesses en appuyant bien les coups qu’elle y assénait. Dès le début, je sentis une cuisson insupportable s’emparer de mon postérieur. Pas de doute, c’était une vraie fessée qu’elle m’administrait, l’une de celles qui sont insoutenables et pourtant. Dans l’impossibilité de fuir cet endroit où la douleur sur mes fesses devenait de plus en plus intenable, je devais attendre que ma compagne estimât que j’avais été assez puni. Nous n’en étions qu’au début. Je ne me faisais pas d’illusion, elle durerait encore. La fin n’en était pas encore proche.

« Deux jours de suite, ça vaut bien une grosse fessée ! »

Elle n’attendit pas ma réponse pour continuer à me corriger. Je luttais pour rester en place. Si je m’avais écouté, je me serais relevé. Mes fesses étaient en feu et je n’en pouvais plus. Je m’accrochais au pantalon de ma compagne pour être certain de rester en place. La fessée continuait, longue, forte. Ma compagne marqua une nouvelle pause.

« De quelle couleur doivent être tes sous-vêtements le week-end ?

– Blancs, Maman, ils doivent être blancs !

– C’est exact, mais les tiens n’étaient pas de cette couleur ! »

La fessée reprit, tout aussi forte. La cuisson de mes fesses était arrivée au point où je me disais que ma compagne allait s’apercevoir de mon désespoir. Je hurlais aussi fort que je le pouvais. C’est tout ce que je pouvais faire. La fessée se poursuivait.

« J’espère que tu as bien compris.

– Oui, Maman, oui. Je n’oublierai plus.

– Si seulement c’était vrai ! Encore une bonne dizaine de claques et cela suffira !

– Non, Maman, non ! »

Elle ne tint bien évidemment pas du tout compte de ma supplique. La fessée recommença et ce fut une bonne dizaine de claques que je reçus de chaque côté. Ma compagne les administra tous à la suite, au même endroit. Je ne croyais pas que c’était encore possible et pourtant elle réussit à augmenter la cuisson de mes fesses. C’est un cri continu que je poussais. Je n’en pouvais réellement plus.

Heureusement, ce fut la fin de la correction. Ma compagne me laissa me relever. Je fis attention à ne pas protester. En aurais-je eu une raison légitime ? Je ne crois pas. Cette fessée était méritée et ma compagne n’avait fait que son devoir. J’aurais été bien mal reçu à m’en plaindre.



« Dans la chambre pour mettre le pyjama. »

La claque qu’elle me donna sur les fesses était, cette fois-ci, une vraie fessée. Je ne poussais qu’un petit cri, mais j’obéis aussi vite que je le pus. Une fois dans la chambre, avant de recouvrir mes fesses de mon pantalon, elle passa ses doigts sur ma peau qui était encore très sensible.

« Bon, c’était une bonne fessée. Exactement ce qu’il te fallait ! »

Elle remonta le bas de mon pyjama. Elle avait raison. Maintenant que la correction était derrière moi, je pouvais apprécier le soulagement que je ressentais après une journée à craindre, à chaque instant, de recevoir la fessée que je méritais.



 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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