dimanche 14 septembre 2025

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 13 septembre 2025 – 08 h 55


Cela faisait longtemps que ma compagne ne m’avait pas donné de vraies fessées et qu’elle avait exigé que j’en fasse le récit pour le publier sur ce blog. Évidemment, j’avais pris quelques claques sur les fesses, parfois alors qu’elles étaient nues, mais pas vraiment de sérieuse punition. C’était plutôt pour m’avertir que j’étais sur la ligne de crête et que la fessée n’était plus très loin. Comme je n’avais pas persévéré dans mes désobéissances, ma compagne en était restée là.

Et puis, je sais que lorsqu’il y a du monde je ne reçois pas de fessées et durant cet été nous n’avons pas souvent été seuls. Il y avait toujours, à portée d’oreilles, une personne non avertie de la façon dont ma compagne maintenait la discipline dans notre couple. Je n’ai donc pas reçu de fessées, même si ma compagne m’a dit, à plusieurs reprises, que j’en aurais bien mérité une.

Pour tout vous dire, j’en ai quand même reçu une, au début de ce mois. Une vraie fessée, la culotte baissée, courbé sous le bras de ma compagne. Une de celles qui, comme d’habitude, me laisse les fesses cuisantes et certainement toutes rouges. Mais je n’avais pas eu le temps d’en faire le récit. Elle ne figure donc pas sur ce blog, même si elle y aurait eu sa place.

Ce samedi matin, nous avions un peu paressé dans notre lit. Il se faisait tard et il était temps de nous lever. C’est ce que fit ma compagne. Avant d’aller dans la salle de bains, elle m’ordonna :

« Tu vas te lever, il est l’heure. »

J’étais bien dans le lit. Il y faisait chaud sous la couette. Les récentes caresses de ma compagne m’avaient complètement détendu. Je n’avais pas envie de me lever. Et puis, j’avais un peu de temps, celui que ma compagne mettait habituellement dans la salle de bains. Je crois que j’ai recommencé à somnoler un peu, sans prendre garde au temps qui passait.

« Je t’ai dit de te lever ! »

Ma compagne se tenait debout près du lit. Elle souleva la couette et, pour faire bonne mesure, elle me donna une claque sur mes fesses nues qui étaient maintenant à sa portée. Ce n’était pas une très grosse claque, mais elle était tout de même à prendre en considération. Comme je ne porte pas de pantalon de pyjama pour dormir, elle n’avait même pas eu besoin de me déculotter.

Au lieu de me lever comme j’aurais dû le faire, je ne bougeais pas et, d’un grognement, je protestais contre le traitement qu’elle venait de m’infliger. Évidemment, je n’aurais pas dû. C’était une désobéissance flagrante. Ma compagne me prit par le bras et elle m’obligea à sortir du lit. Elle s’y assit.

« Encore une désobéissance ! Cela fait sans doute trop longtemps que tu n’as pas pris de fessée ! »

Je me tenais debout devant elle, ne portant que ma veste de pyjama. Je me rendais bien compte, maintenant, de l’urgence de ma situation et de sa précarité.

« Je crois qu’une bonne fessée va remettre tout cela en place !

– Non, Maman, pas la fessée !

– Eh bien moi, je pense que tu en as mérité une !

– S’il te plaît... »

Bien évidemment, elle ne tint pas compte de mes supplications et, en me tenant par le bras, elle m’obligea à me coucher à plat ventre sur sa cuisse gauche. La position dans laquelle elle m’avait mis ne laissait aucun doute sur la suite.

Sa main s’abattit sur mes fesses. Le claquement qui en résulta retentit dans la chambre, aussitôt suivi par un cri de douleur de ma part. Sa main était ferme. À chaque fois qu’elle tombait sur mes fesses nues, je poussais un cri. Je ne pouvais pas le retenir, la cuisson qu’elle provoquait était bien trop forte pour que je puisse rester impassible sous la fessée. Cela ne l’arrêta pas. Bien au contraire. La douleur que j’exprimais par mes cris lui prouvait que la correction faisait son effet.

Quand l’accumulation de claques sur mes fesses devint insupportable, je pliai les jambes en une vaine tentative pour faire cesser la punition. Je savais que je n’avais pas le droit de quitter la position dans laquelle j’étais, même si, physiquement, j’aurais pu le faire. Mais elle avait tout à fait le droit de me donner cette fessée. Je l’avais mérité. Il ne me restait plus qu’à la subir en en attendant la fin.

Ma jambe pliée dut la gêner un peu bien qu’elle ne soit pas sur le trajet de sa main. Elle passa la sienne sur les miennes, m’immobilisant un peu mieux. Sans doute voulait-elle me faire comprendre que je n’avais pas le choix et qu’elle ne faisait qu’exercer son légitime droit de correction à mon encontre.

Ainsi immobilisé, je dus attendre qu’elle estimât que j’avais reçu la punition que j’avais méritée. Elle dura encore un bon petit moment et je n’en pouvais réellement plus quand elle s’arrêta.

« Vas-tu obéir, maintenant ?

– Oui, Maman, je vais obéir ! »

La fessée reprit et avec elle mes cris de désespoir. Elle fit une nouvelle pause.

« Tu es sûr d’avoir compris ?

– Oui, Maman, j’ai compris, j’ai compris. »

Elle me donna encore une bonne dizaine de claques sur mes fesses.

« Si tu désobéis encore une fois, ce sera une autre fessée, mais bien plus grosse. C’est compris ?

– Oui, Maman, oui, j’ai compris. »

Enfin elle finit la fessée par une longue série qu’elle répartit à peu près équitablement des deux côtés.



Enfin, elle ôta sa jambe qui retenait les miennes et elle ôta son bras qui maintenait mon torse en place. Elle m’aida à me relever. Je pris bien garde à montrer que je lui obéissais scrupuleusement.

« La culotte de pyjama ! »

Je l’attrapai et je la lui tendis. Elle la présenta devant moi, ouverte, afin que j’y glisse mes pieds. Alors elle la remonta, recouvrant mes fesses.

« Ouste, au petit déjeuner ! »

Elle me donna une bonne claque sur le fond du pyjama. Je ne protestais pas contre ce traitement. Certes, la fessée était terminée, mais je savais qu’au moindre prétexte elle pouvait recommencer et je n’y tenais pas.




 Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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