Comme convenu, ci-joint la 3ème partie de mon récit que je n’ai pas pu finir avant mon départ.
J’espère que je n’ai pas fait beaucoup de fautes. 😊
Je vous embrasse fort.
Bisous,
Le voici donc
Afin d'éradiquer leurs désobéissances, négligences et comportements irresponsables, certains garçons et filles, surtout quand ils sont devenus grands, ont besoin de recevoir une sérieuse fessée déculottée. On n'est jamais trop âgé pour recevoir une bonne fessée et en tirer bénéfice. JLG
Comme convenu, ci-joint la 3ème partie de mon récit que je n’ai pas pu finir avant mon départ.
J’espère que je n’ai pas fait beaucoup de fautes. 😊
Je vous embrasse fort.
Bisous,
Le voici donc
Ci-joint, tu trouveras la deuxième partie de mes récits. Je n’ai pas fini, si je ne peux pas finir aujourd’hui, est-ce que c’est possible que je t’envoie la dernière partie après mon retour ? Aujourd'hui, j’ai pas mal de choses à préparer.Je te souhaite une très bonne journée !Gros bisous.Juliette
Nous attendrons donc un peu avant d'avoir la troisième et dernière partie.
La fessée déculottée, une nécessité avec certains adultes
Le précédent récit
L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?
Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ?
N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !
Et voici la première partie du récit du troisième séjour de Juliette à la maison. Il était accompagné de ces quelques mots :
Ci-joint tu trouveras première partie de mes récits. J’espère que je n’ai pas fait beaucoup de fautes.
Je te remercie pour le temps que tu passes à me corriger, je sais que c’est pour mon bien.
Bonne journée Papa !
Et voici le récit du troisième et dernier jour que Juliette a passé ici. Il est court, mais il s'est achevé après le déjeuner... et Juliette a oublié une fessée (voir le commentaire) !
Deuxième séjour de Juliette à la maison. Il y a eu, hélas, quelques fessées !
Suite à la première visite chez papa Josip et maman Huguette, comme je suis d’origine chinoise, j’ai proposé de venir le week-end du 16 février, car c’était la période du Nouvel An chinois et je souhaitais leur faire découvrir les plats chinois et ainsi leur souhaiter une bonne année du dragon.
Ce n’est pas que j’avais décidé de défier ma compagne. Je n’oserais pas le faire ouvertement, je sais comment cela se termine à chaque fois. Parfois, je m’y risque, mais j’essaye d’être discret. Ça ne marche pas toujours et quand je suis pris, je sais que j’aurai le droit à une bonne fessée déculottée. Je n’avais pourtant pas décidé de la défier. A la réflexion, il y avait tout de même un peu de ça. De toute façon, je ne peux pas prétendre que mon obéissance ait été parfaite.
J’ai, encore une fois, reçu la fessée. Évidemment, si j’en écris le récit, c'est parce que ma compagne l’exige. Elle veut que tout le monde sache que je ne lui ai pas obéi et comment elle m’en a puni. Ce n’est pas pour me plaindre. Je sais que ce n’est pas sur ce blog que je vais trouver une oreille compatissante qui jugera que la punition que j’ai reçue a été exagérée.
C'est encore Marc qui reçoit la fessée d'Emilie... mais si vous avez lu les commentaires, elle le récit en était annoncé.
« Bon, tu fais le récit de ta fessée, Marc ».
Bonjour, je suis Marc, 46 ans, marié à Émilie, 48 ans. Nous vivons dans la région lyonnaise entre Lyon et Valence. Nous avons 3 enfants âgés de 10 à 16 ans. Sur l’insistance de ma femme et protégé par l’anonymat d’internet, je vous raconte la dernière fessée reçue d’Émilie.
Comme vous, elle pratique la discipline domestique depuis que nous sommes mariés. C’est l’un des fondements de notre couple plein d’amour et je l’accepte bien volontiers, car j’en ai besoin pour corriger mes écarts. Dans la vie, je suis un homme respectable, bien élevé, avec un emploi stable, mais pas mal de défauts à corriger et ma femme, très à cheval sur la bonne éducation et les bonnes manières, ne me loupe pas quand je me comporte mal ou que mon ton lui déplaît. C’est à chaque fois la promesse d’avoir les fesses bien rouges après une bonne fessée. Émilie n’est pas grande, mais elle a de la poigne et sait très bien se faire respecter. Ses petites mains fines sont redoutables sur mes fesses.
Je vous ai expliqué, dans les deux articles précédents, pourquoi et comment ma compagne en est venue à me donner la fessée déculottée, en extérieur quand elle le juge nécessaire. Vous avez sans doute compris qu’elle ne l’avait pas prémédité, mais que c’était mon comportement qui l’avait amenée à utiliser cette punition.
Ensuite, elle a pu en constater l’efficacité et c’est à partir de ce moment où elle a pris conscience de la nécessité d’avoir cette corde à son arc avec toutes les personnes dont elle a l’éducation en charge.
Cet article est la suite de celui où j’ai entamé d’expliquer comment et pourquoi Huguette a commencé à me donner la fessée déculottée en extérieur, ce que j’en ai ressenti et ce que j’en pense. J’ai essayé d’être honnête et de relater les faits tels qu’ils se sont produits. Par contre, il est évident que les explications fournies et les sensations décrites le sont après que soit passé un long moment, plusieurs années pour certains événements. C’est donc le résultat d’une réflexion et d’une prise de distance, et non d’une impression prise sur le vif.
Ma compagne m’a demandé d’écrire sur les fessées déculottées en extérieur qu’elle m’a données, de raconter comment je les vis, leur utilité et de donner mon point de vue. Vous qui lisez le blog, vous savez que j’ai été puni plusieurs fois alors que nous n’étions pas à la maison. Je n’en ai pas fait, à chaque fois, le récit, puisque je ne dois mettre mes fessées par écrit que depuis le mois d’avril dernier. Toutes celles qui se sont déroulées avant n’ont pas été relatées, mais depuis cette date, cela m’est arrivé à plusieurs reprises. Vous pourrez en trouver le récit dans des articles précédents.
Un nouvel article d'Estelle... qui attend vos commentaires
Ne soyons pas hypocrites, ceux qui acceptent de se mettre sous l’autorité d’une éducatrice à figure maternelle aiment la fessée et la pratiquent. Un adulte qui n’a jamais été fessé ou qui n’aime pas la fessée dans toutes ses composantes ne peut pas et n’osera jamais du coup franchir le pas d’aller se faire éduquer et corriger chez Huguette par exemple ; il ne sera pas la bonne personne pour être éduqué.
Quand je parle « d’aimer la fessée » je ne parle pas d’aimer se faire fesser car la fessée est une punition qui fait mal aux fesses, elle procure une cuisson durable. Quand je parle « d’aimer la fessée » je devrais préciser qui « aime se prendre la fessée quand elle est méritée ».
Bonjour, je suis Marc, 46 ans, marié à Émilie, 48 ans. Nous vivons dans la région lyonnaise entre Lyon et Valence. Nous avons 3 enfants âgés de 10 à 16 ans. Sur l’insistance de ma femme et protégé par l’anonymat d’internet, je vous raconte la dernière fessée reçue d’Émilie.
La prochaine fois… c’était cet après-midi. Oh, le sujet en était anodin, mais j’ai quand même fini au coin, la culotte baissée, avec les fesses cuisantes. Je ne l’ai pas venue venir et jusqu’au dernier moment, je n’y ai pas cru.
L’article que j’ai publié sur ce blog le 28 janvier dernier, explicitait ma pratique de l'administration de fessées déculottées à des adultes, en extérieur. Il a soulevé des réactions critiques parlant d’humiliation, d’angoisse, de refus… et j'en passe. La plupart des commentaires qui ont été postés rejetaient cette possibilité comme inadaptée à des adultes et pouvant amener certains d’entre eux à reculer devant cette perspective si elle était d’actualité lors d’un séjour ici.
Beaucoup de commentateurs sur le blog me demandent des précisions quant à la fessée déculottée que je donne quand nous sommes en dehors de la maison et particulièrement dans un lieu public, en extérieur.
Enfin, je suis sur la route pour rencontrer Maman Huguette. Depuis mi-décembre 2023, j’ai pris le contact avec elle, nous avons fait deux visios et tout de suite, je me sens très à l’aise avec Josip et Maman Huguette. Pendant la visio, on s’est échangé nos souhaits respectifs et la conversation m’a donné très envie de passer un séjour d’éducation chez eux. Et voilà, le jour J est enfin arrivé.
Je me croyais à l’abri d’une fessée pour tout le week-end. En effet, à la demande de ma compagne, j'avais donné une fessée à Juliette qui en fera le récit dans les prochains jours. En effet, elle passait le week-end à la maison. J’étais installé dans ce rôle punitif et j’avais oublié que cela n’empêcherait en rien ma compagne de me punir. C’est ce qui s’est passé ce matin-là.
11H
Tonton, le retour ! Eh oui, il fallait bien que je m’y attende, le retour de Tonton à la maison serait ponctué d’une belle fessée déculottée. Je le savais, mais c’est normal. Il est de son devoir de me punir quand je l’ai mérité et, comme le dit ma compagne : « rien de mieux qu’une bonne fessée ! » Elle a raison. Une bonne fessée est un remède très efficace pour me faire comprendre quelle bévue j’ai pu commettre.
Il n’y avait pas un quart d’heure que Tonton était arrivé à la maison, quand, prenant à témoin ma compagne, il me reprocha mon indolence lors de mes derniers courriels. Cela valait bien une bonne fessée. Je l’ai eue.
En novembre et en décembre dernier, il y avait eu, sur le blog, un afflux de commentatrices alors qu’habituellement, ce sont plutôt des commentateurs qui répondent aux articles qui sont publiés. Ce nombre inhabituel avait attiré mon attention ainsi que celle de pas mal d'habitués du blog.
J’ai été interpelée par Laurent qui envisage de venir passer un séjour ici et se mettre sous mon autorité. Il s’interroge sur l’adéquation entre les bêtises qu’il pourrait faire et les fessées que cela lui vaudrait : « j'imagine que la sévérité de vos fessées doit dépendre de la gravité des bêtises ? Pourriez-vous me donner des exemples ? Pour le moment, j'ai encore un peu de mal à savoir ce que vous appelez "fessée normale", "bonne fessée", voire "grosse fessée sévère". Et également, à quel genre de bêtises correspondent ces différentes sévérités ? » a-t-il écrit.
Je ne sais s’il s’agit de quiproquo, de malentendus ou si les personnes qui s’y livrent, en raison d’une pénurie dont beaucoup se plaignent, tentent leur chance bien qu’ils soient persuadés que leur démarche avait peu de chance d’aboutir. Beaucoup des contacts, pris sur ce blog ou par courriel, proposant de recevoir la fessée, beaucoup plus rarement de la donner, n’aboutissent pas ou s’achèvent prématurément.
Il y a, à cela, plusieurs raisons de différents ordres et je voulais, si cela est possible, clarifier dans cet article ce à quoi je porte attention. Ce n’est pas que les autres commentaires ou messages n’y ont pas leur place. Mais j’ai pris l’habitude de ne pas y répondre, laissant à d’autres, intéressés par la situation décrite, le soin d’y répondre.
Il peut être surprenant, pour certains adultes et peut-être pour vous, de prendre conscience que certaines personnes postulent que le recours à la fessée déculottée est une excellente méthode pour aider des adultes à grandir afin d’assumer leurs responsabilités et leurs devoirs de personnes majeures afin de bénéficier pleinement des droits qui vont avec.