jeudi 8 février 2024

Jeudi 1er février

Arno a franchi le pas. Il est venu rendre visite à Huguette et a été accueilli comme le fils de la maison. Il a désobéi ? Qu'à cela ne tienne, rien qu'une bonne fessée déculottée ne saurait remettre en place.
En voici la première partie du récit, ce qui s'est passé le 1er février...

Jeudi 1er février, c’est l’anniversaire de Tata Huguette, que j’avais anticipé, avec une boite de chocolat.
La météo est assez sombre, plafond bas et du brouillard sur la route.
Conformément à mes prévisions j’arrive chez Josip et Tata Huguette aux alentours de 15h00.
C’est Tata Huguette qui vient m’accueillir, avec un grand sourire.
Elle me demande si j’ai fait un bon voyage et nous rentrons rapidement à l’intérieur de la maison ou je fais la connaissance de Josip.
C’est un moment important pour moi, je fais enfin la connaissance de celui qui anime ce site depuis des années ; j’ai en face de moi celui à qui je dois tant d’heures et de bons moments passés à la lecture de ces histoires fictives ou réelles, traitant de la Fessée !
Rapidement, Tata Huguette me conduit à l’étage et me montre la chambre dans laquelle je vais passer deux nuits, la salle de bains, les toilettes.
Ce qui ne va pas manquer d’attirer mon attention, c’est le nombre de livres et notamment de bandes dessinées qui ornent les nombreuses bibliothèques de la maison.
Après avoir déposé mes affaires dans la chambre, nous passons au salon pour un moment de convivialité ou les conversations, sur les sujets les plus variés, vont bon train. Economie, politique, littérature, c’est un inventaire à la Prévert ou nous parlons de tout et de rien, comme le ferait des amis de longue date.
C’est à la fois plaisant et reposant.
Josip propose alors de faire une promenade vers la cité proche une petite bourgade amusante !

Nous passons un moment à nous promener et Josip me fait découvrir cette sympathique région.
Nous rentrons rapidement, il faut dire que la météo reste peu clémente et nous n’avons pas envie de finir sous la pluie.
De retour à la maison, Tata Huguette propose de préparer le dîner du soir ; elle me demande de participer, ce que j’accepte avec plaisir.
Ce qui est à la fois surprenant, voir déroutant, c’est que durant ces quelques heures, il n’est que très rarement fait allusion à la fessée...
Nous sommes des amis, heureux de se retrouver et sur le point de passer une bonne soirée.
Durant le diner, les conversations vont bon train, fidèle à mes défauts ancestraux, il va m’arriver, à quelques occasions, d’avoir un langage, disons peu approprié, en somme de recourir spontanément à l’usage d’un vocabulaire grossier.
Si Josip ne laisse rien paraître, je remarque en revanche que Tata Huguette, assise à ma droite, me lance des regards désapprobateurs et appuyés à chacune de mes réflexions impolies.
Mais bon, nous ne sommes plus des enfants et nous avons bien le droit, de temps en temps à une grossièreté pour exprimer une idée ou un sentiment.
Fin du repas, après avoir débarrassé et rangé la table, je m’empare d’une des nombreuses bande dessinées et m’installe au salon.


Tata Huguette m’indique qu’il est temps d’aller prendre une douche et de me mettre en pyjama.
Je ne conteste pas sa requête, néanmoins, n’ayant pas terminé la lecture passionnante que je suis en train d’effectuer, je lui réponds vaguement décontracté et un peu agacé que cela peut attendre.
Il est près de 20 heures, cela fait maintenant cinq heures que je suis arrivé.
Tata Huguette s’approche alors de moi, et je comprends à son air que je viens sans doute de commettre ma première bévue.
Elle m’arrache la bande dessinées, me force à me lever et à la suivre vers le canapé sur lequel elle prend place.
Je suis rapidement sermonné sur ma désobéissance flagrante et mon langage inconvenant durant le repas.
Debout et à sa droite, je tente de m’excuser, je bafouille, et les choses vont alors aller très vite, Tata Huguette attrape la ceinture de mon jean qu’elle déboucle rapidement, les boutons vont suivre et je me retrouve en quelques secondes le jean sur les chevilles. Je suis incapable d’opposer toute résistance, mon boxer rouge va immédiatement suivre le même itinéraire et Tata Huguette me bascule en travers de ses genoux, je reçois ma première fessée méritée pour ma désobéissance flagrante.
Les claques sont vigoureuses et s’abattent sur toute la surface de mes fesses nues.
Ca fait mal, ça pique et j’ai honte de me retrouver ainsi cul-nu en travers des genoux de Tata.
La fessée n’aura duré que quelques minutes, Tata me redresse et remonte mon boxer et mon jean et m’enjoint de filer à la douche.
Là, elle ne va pas avoir besoin de se répéter, je file vers la salle de bain et sous la douche. Les fesses me cuisent encore un peu, mais c’est supportable.
En sortant de la douche, je me retrouve nez à nez avec Tata Huguette venu s’assurer que je me suis bien lavé. Elle me reproche de ne pas avoir utiliser le gant de toilette. J’ai une grande serviette de bain bleu nouée autour de la taille. Tata Huguette s’empare de celle-ci, me laissant tout nu devant elle, considérant que je ne m’étais pas séché correctement.
C’est ainsi, tout nu, que j’ai dû quitter la salle de bain pour rejoindre la chambre et passer mon pyjama sous le regard attentif de Tata.
Il n’y a pas eu de fessée, cette situation n’en demeure pas moins particulièrement humiliante que d’avoir à se déplacer les fesses et le zizi à l’air devant sa tutrice.
J’ai donc mis mon pyjama, les pantoufles et je suis redescendu au salon ou j’ai eu le droit de reprendre la lecture de la bande dessinées que j’avais commencé plus tôt dans la soirée.
Tata Huguette m’a dit : « Tu as un quart d’heure, le temps que je m’occupe de Josip et après au lit ».


Il est finalement instructif de constater, dans le domaine de la désobéissance, que les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Tata Huguette revient au salon vingt minutes plus tard et m’ordonne de monter me coucher.
Je lui réponds alors que je n’ai plus que deux pages pour finir mon album.
La réponse est alors immédiate, le livre est arraché d’entre mes mains, Tata me conduit au milieu de la pièce et me force à me pencher en avant contre son flanc.
Le pyjama est baissé d’un coup sec et sa main va s’abattre sur mes fesses nues, à peine remises de la fessée reçue quelques minutes auparavant.
Je suis submergé par la honte et j’ai les fesses qui me cuisent.
Je ne fais pas prier pour monter dans ma chambre et filer au lit.
Quelques minutes plus tard, Tata fait irruption dans la chambre.
Elle baisse la couette sous laquelle je me suis réfugié et m’ordonne de me coucher sur le ventre.
Là il ne s’agit pas de recevoir une nouvelle fessée, mais d’une crème apaisante pour passer la nuit.
Je suis néanmoins troublé et honteux quand cette dernière baisse à nouveau mon pyjama pour me passer la crème.
Dans ce processus éducatif, la mise à nu est une composante indispensable qui me ramène au statut de l’adulte désobéissant qui se comporte comme un enfant.
Il est donc normal d’être ainsi déculotté sans autre forme de procès.
Tata Huguette me rassure et me fait promettre de ne plus dire de grossièretés et d’être plus obéissant à l’avenir.
Un bisou et une bonne nuit.

Fin du premier jour.


Arno


Il y a eu d'autres visiteurs, chez Huguette et Josip, qui ont eux aussi reçu la fessée

et celui de Lucas 


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2 commentaires:

  1. Tatie Huguette est fidèle à l’idée que je me ferais d’elle. Sévère mais juste et ne laissant rien passer. Moi aussi je me comporte souvent comme un gamin immature. J’

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  2. Désolé je n’ai pas signé mon précédent commentaire. Oui en effet je me comporte souvent comme un gamin. La fessée déculottée je la reçois souvent et je sais que je la mérite. Le martinet est aussi parfois au rendez-vous en tout cas je sais qu’il n’est jamais loin…
    Pascal

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