vendredi 2 février 2024

Aime t’on se prendre la fessée ou aime t’on la mériter ?

Un nouvel article d'Estelle... qui attend vos commentaires

Ne soyons pas hypocrites, ceux qui acceptent de se mettre sous l’autorité d’une éducatrice à figure maternelle aiment la fessée et la pratiquent. Un adulte qui n’a jamais été fessé ou qui n’aime pas la fessée dans toutes ses composantes ne peut pas et n’osera jamais du coup franchir le pas d’aller se faire éduquer et corriger chez Huguette par exemple ; il ne sera pas la bonne personne pour être éduqué.

Quand je parle « d’aimer la fessée » je ne parle pas d’aimer se faire fesser car la fessée est une punition qui fait mal aux fesses, elle procure une cuisson durable. Quand je parle « d’aimer la fessée » je devrais préciser qui « aime se prendre la fessée quand elle est méritée ».


Un adulte qui ne connait pas la fessée, n’a jamais été déculotté, grondé comme un enfant, n’osera pas et ne sera jamais la bonne personne pour recevoir une bonne correction maternelle. C’est une des raisons pour lesquelles ceux qui viennent chez Huguette et Josip sont sélectionnés parce qu’ils acceptent d’être sous l’autorité de maman Huguette, de lui faire confiance pour être juste et appliquer la juste punition, la fessée déculottée en cas de bêtise enfantine, de mauvais comportement, d’être régressé le temps de la punition à un enfant pas sage fessé par maman.
Mais la raison principale est qu’ils aiment recevoir la fessée (gène spankophile ?) pour corriger leurs écarts et qu’ils considèrent qu’ils en ont besoin pour grandir s’améliorer, corriger certains vilains défauts ancrés (politesse, refus d’aller se coucher, hygiène approximative…) Lucas, Juliette, Josip et bien d’autres ont tous une bonne expérience de la fessée, ils l’ont reçu à de nombreuses reprises, ce ne sont pas des novices sinon ils ne supporteraient jamais la cuisson des claques répétées pendant plusieurs minutes sur des fesses nues.
C’est pour cela que si on leur pose la question ils diront comme tout le monde : « non je n’aime pas la fessée » (personne n’est maso) mais ils sont prêts à la recevoir et savent ce que cela fait comme effet. De même coté fesseuse, Huguette avec ses prérogatives de maman corrige régulièrement Josip et depuis peu aussi Lucas, Juliette donc elle sait très bien donner la fessée maternelle adaptée à la faute ni trop sévère, ni pas assez et donc ses punis/enfants lui font totalement confiance pour être punis comme ils le méritent sans avoir leur mot à dire. Est-ce qu’un enfant à son mot à dire quand maman lui donne une fessée. La réponse est non (cf mon article la bonne fessée de maman)

L’adulte (homme ou femme) n’est pas une mauvaise personne mais a parfois un mauvais comportement

Il n’a pas de mauvaises personnes (sinon ils ne sont pas concernés par ce sujet) seulement des adultes qui peuvent avoir un mauvais comportement à un moment donné et l’autorité de tutelle, l’éducatrice, la maman est là pour opposer la plus grande fermeté et punir le mauvais comportement, la faute, la bêtise enfantine. Dans ce cas l’adulte puni perd son statut d’adulte le temps de la correction, il est fessé sévèrement réduit à un stade d’enfant pas sage corrigé par des mains maternelles. Maman a le droit, le devoir, l’obligation de corriger l’adulte sous sa tutelle, c’est un acte d’amour dans le sens ou elle donne la fessée non pas par plaisir mais pour corriger (à la fois physiquement et moralement).
Corriger aussi dans le sens de s’améliorer, ne pas reproduire la même faute ou bêtise qui a conduit à la punition. Les anglais ont un bon mot pour décrire la fessée maternelle « loving care » oui la fessée de maman est aussi un acte d’amour car elle prend le temps de corriger pour le bien de l’adulte et toute l’énergie qu’elle met de gronder, déculotter, fesser et consoler est un acte d’amour. Ainsi si maman est furieuse quand elle gronde elle est aussi calme que déterminée et souvent quand elle donne la fessée elle est réfléchie, calme, sous contrôle total. Si ce n’étais pas le cas elle risquerait de donner une fessée trop forte, sans contrôle, battre son puni, le blesser et cela sort de son rôle maternel. Oui maman donne la fessée mais ne bat pas, ne blesse pas mais elle corrige à hauteur de la faute avec son seul arbitre et l’adulte réduit au statut d’enfant lui fait confiance pour appliquer la punition la plus juste.


Confiance et expertise maternelle

La confiance et l’expertise sont donc au cœur de la fessée maternelle. Cette confiance fait qu’en préambule maman gronde toujours le puni pour expliquer pourquoi la fessée va être donnée. La fessée est une punition et doit toujours être justifiée et méritée. Quand je dis que maman gronde je parle d’expliquer mais sans négocier en anglais on dit « Not debate, declare » on ne négocie pas une fessée mais maman peut toujours écouter les arguments pour alléger la punition ou l’aggraver si le puni nie ou se montre insolent. Pour gronder, Il y a la bonne méthode et la mauvaise.
La mauvaise : « Je ne peux pas croire que tu n’aies pas fait ta corvée, tu es une mauvaise fille »
La bonne : « Je suis déçue que tu m’ai désobéi, je t’avais prévenu tu ne m’a pas écouté donc tu vas prendre la fessée »
Gronder oui mais ne jamais humilier et considérer que le puni est une mauvaise personne seulement lui expliquer que n’ayant pas respecté la consigne, maman doit le punir mais cela ne fait pas de lui quelqu’un de mauvais ou de méchant. Et c’est réciproque maman n’est pas mauvaise ou méchante elle est sévère juste et stricte avec une poigne de fer pour appliquer sa discipline domestique.
Dans tous les cas maman quand elle gronde et qu’elle annonce la fessée : « Maintenant tu vas prendre la fessée » elle ne reculera jamais car sinon on ne respectera plus son autorité. Aussi la séquence je gronde, je déculotte et je fesse doit être la plus courte, la fessée doit être donnée dès la faute constatée pour qu’elle soit effective. Comme on l’a dit dans de nombreux articles sur le blog il faut déculotter tout de suite en grondant le puni (ou la punie) afin de stopper tout de suite la désobéissance, corriger l’adulte comme un enfant pas sage et donner la juste punition.
Dans la fessée entre adultes il ne faut pas tenir compte de l’âge mais de l’âge mental qui correspond à la bêtise. Bien évidemment plus la bêtise est enfantine plus c’est une évidence que maman doit donner la fessée. Le déculottage est un message clair à l’adulte puisque tu te comportes comme un enfant, tu perds ton statut d’adulte responsable (le temps de la punition uniquement) et donc je dois te punir comme un enfant par une bonne fessée déculottée sur mes genoux.

Quand on donne une fessée à un adulte il faut toujours déculotter pour plusieurs raisons :
1° pour que l’adulte perde son statut d’adulte, ressente la honte et la régression
2° Pour surveiller la cuisson des fesses et ne pas blesser. La fessée sur le jeans ou sur la culotte peut être très cuisante mais aussi risquée car on ne pas surveiller l’état de rougeur des fesses donc c’est fortement déconseillé.
3° Pour rougir et bien faire mal aux fesses. La fessée qui ne fait pas mal aux fesses n’est pas efficace donc elle doit être sévère, cuisante, appuyée, variée, méthodique, appliquée et ne pas tenir compte des supplications, gesticulations, cris et pleurs. Seuls compte l’état des fesses rouges vives mais sans marques (sauf pour la grosse correction aux instruments). La confiance que l’adulte puni a en sa figure d’autorité maternelle est essentielle car c’est elle qui décide quand la fessée commence et quand elle doit s’arrêter.

Estelle


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Sur le blog vous pourrez d'ailleurs trouver les nombreux commentaires qu'y a laissés Estelle

33 commentaires:

  1. Estelle,
    Merci pour cette démonstration bien argumentée.
    Nous sommes décidément d'accord sur tout... ou presque tout. Il n'y a vraiment que le recours à la fessée quand nous sommes en extérieur sur lequel nous avons un différent.
    J'espère qu'il y aura, dans quelques semaines, d'autres articles de vote main. Si d'autres personnes souhaitent faire part, sur ce blog, de leur conception de la fessée donnée à des adultes, il ne faut pas qu'elles hésitent.
    Huguette

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    1. Bonsoir Estelle, Monsieur Josip, Madame Huguette.

      Je suis un garçon de 38 ans.

      Je me prénomme Pierre. J'aimerais vous remercier de vos réflexions qui me font beaucoup réfléchir.

      Je me considère pas comme un adulte car je manque de discipline.

      Si j'avais pu être puni dés qu'une faute est commise, si seulement...

      L'idée de devoir toujours, en tout lieu et à toute heure, faire attention à son comportement au risque d'être fessé sur le champs devant quiconque donne toute sa dimension à cette méthode et renforce la discipline.

      Je ressens depuis longtemps la nécessité d'être repris en main. En effet, mes parents ne m'ont pas éduqué rigoureusement et j'ai toujours réussi à tromper leur vigilance et faire ce que j'ai souhaité sans devoir en subir les conséquences.

      D'une certain façon, ils avaient une grande confiance en moi et j'ai pu, je crois en abuser.

      Je n'ai jamais su exprimer ce besoin de discipline, et de limite que je n'ai pas rencontré plus jeune.

      Quand je lis vos récits, je comprends vite pourquoi je ne fais pas mon lit, que je laisse trainer mes affaires, que je repousse tout à plus tard. Aucune mains maternelles m'a permis de me forger et devenir un adulte discipliné.

      L'enfant qui est en moi est plus fort que l'adulte que je suis maintenant.

      C'est pourquoi je viens vers vous aujourd'hui pour savoir si Madame Huguette pourrait me prendre en main et s'occuper de mon éducation.

      Sincères salutations

      Pierre.


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    2. Pierre,
      Avant de prendre la décision de prendre en mains ton éducation, j'ai besoin de quelques informations supplémentaires.
      Tu as écrit que tu avais trente-huit ans, mais tu n'as pas précisé ta taille et ton poids. Peux-tu le faire ? Peux-tu me dire également dans quelle région tu habites.
      As-tu déjà reçu une fessée ? Si oui, racontes-en les circonstances : quel âge avais-tu ? Qui te l'a donnée ? Cette personne a-t-elle baissé ta culotte ? T'a-t-elle mis au coin ?
      Peux-tu me dire ce que tu avais fait, ou pas fait, la dernière fois où tu t'es dit qu'une bonne fessée déculottée aurait rectifié cette bévue.
      J'attends ta réponse.
      Huguette

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    3. Bonjour madame Huguette, je me 1m73 pour 74kg. J habite dans le centre de la France a Bourges. Je peux me déplacer sans problème. La seul fessée que j ai reçu a été brève. Je devais avoir huit ans. J avais fais une grosse bêtise en prenant un feutre et dessinant un bonhomme sur le mur du salon. D habitude très patient, moi père m a demandé de descendre dans le salon. Je suis descendu sans crainte, ma mère était assise également. Mon père me monte me dessin, me mis Ur ses genoux et baissa brusquement mon pantalon de pyjama. Je ne pourrais pas de culotte, de sorte que mes fesses fut découvertes. Je reçus plusieurs claques fortes mais la fessée fut brève. Légèrement rougies, je du remettre mon pantalon et remonter dans ma chambre. C est la seule fessée que j ai recue. Je n ai jamais redessiné sur des murs après. Je pense que que j aurais du être puni beaucoup plus souvent.j ai tendance par exemple a faire l intéressant quand une femme doit s occuper de moi ( babysitter, cours particulier) mon comportement de souvenir était irresponsable, difficile et j ai manqué de respect. J aurais du être fessé a chaque fois par la personne dont j etais sous la garde ou par ma mère qui en avait cOnnaissance. Cela m aurait fait du bien. C est un exemple parmi d autres. L humiliation subie aurait améliorer mon Comportement et mes resultats, c est pourquoi vos récits de fessées chez la dentiste ou le coiffeur ou le médecin m intéressent car j ai eu l'impression de gêner parfois la personne chargée d un travail. J espère avoir répondu à vos questions. Pierre

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    4. Pierre,
      Ce que tu as répondu répond à presque toutes mes questions. Sauf une. Les situations que tu évoques (baby-sitter, cours particuliers) font référence à des temps où tu étais beaucoup plus jeune. Raconte-moi la dernière fois, ces dernières mois ou semaine, où tu t'es dit que vous tu aurais mérité une bonne fessée et qu'elle t aurait fait le plus grand bien. Dans quelles circonstances ?
      J'attends ta réponse,
      Huguette

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    5. Madame Huguette, je peux prendre l exemple de mon attitude au quotidien. Sans cesse je repousse ce que je dois faire au dernier moment, je me retrouve toujours a la dernière minute a devoir agir. Je ne fais par exemple jamais mon lit. Je ne range pas mes affaires comme il faudrait. Je manque cruellement d autorité et de discipline. j agis que quand je suis forcé, ce qui fait que quand rien ne m oblige, je suis encore totalement immature. Au delà de mon attirance de la fessée, c est avant tout un besoin je pense dans mon cas.Pierre

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    6. Pierre,
      Je vois ! Effectivement, une bonne fessée devrait te remettre dans le droit chemin !
      Sais-tu que si tu viens ici, tout ce que tu décris sera un motif de punition ? A chaque fois que tu ne rangeras pas tes affaires, que tu ne feras pas ton lit, que tu reculeras pour faire ce que je te demande... tu prendras une fessée ? Sais-tu qu'en plus de la fessée, tu iras au coin et je t'y laisserai de longues minutes, la culotte baissée pour montrer à tout le monde que tu as été puni ?
      Si tu viens ici, tu seras considéré comme le fils de la maison, mais cela a des obligations. Quand je ne serai pas satisfaite de ton comportement, tu auras une fessée et je baisse toujours la culotte pour la donner quels que soient le lieu et le moment et quelles que soient les personnes présentes.
      Es-tu prêt à accepter ces conditions ?
      J'attends ta réponse.
      Huguette

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    7. Madame Huguette,

      Je n'ai pas été un bon garçon et il est plus qu'urgent de me remettre dans le droit chemin. J'ai besoin de discipline et je le ressens au plus profond de moi.

      Par conséquent, j'accepte toutes vos conditions.
      Je les mérite.

      J'appréhende bien évidemment aussi. Je suis à votre disposition.

      Pierre

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    8. Pierre,
      Je note que tu acceptes toutes mes conditions. Est-ce que cela va jusqu'à accepter de recevoir la fessée, si je le juge nécessaire, en extérieur ? Est-ce cela va jusqu'à la délégation l'autorité sur toi à Josip, mon compagnon ? J'ai l'impression qu'une bonne fessée paternelle, comme celle que tu as reçues quand tu avais huit ans, te fera du bien. Elle sera, bien sûr bien plus sévère.
      Huguette.

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    9. Madame Huguette,

      J'ai une grande confiance en vous. Et je suis prêt à accepter ces conditions ( fessée en extérieur et donné par Monsieur Josip) si vous gardez le contrôle et que ma reprise en main est progressive.

      C'est important pour moi de pouvoir lire dans vos yeux la bienveillance maternelle même que la douleur sera plus élevée.

      Pierre

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    10. Pierre,
      Si tu viens ici, tu seras considéré comme le fils de la maison. Cela veut dire que Josip et moi nous considérerons comme tes parents. Cela veut dire de la bienveillance, mais aussi de sévères fessées quand elles seront motivées. Je ne donne jamais la fessée quand il n'y a pas de raison de punir.
      Mais quand je la donne, c'est une réelle punition qui dépend à la fois de la bêtise que tu auras commise et du contexte (récidive, résistance, insolence...). Je ne sais donc pas ce qu'est une "reprise en mains progressive". Tu auras les fessées que tu as méritées et je peux te garantir que tu regretteras de l'avoir méritée.
      Huguette

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    11. Madame Huguette,

      J'accepter totalement. Je comprends que les fessées seront très sévères et répondront à chacun de mes écarts.

      J'accepte cela totalement et je comprends que comme un fils pour vous je n'ai plus mon mot à dire sur la discipline que vous m'infligerez.

      Je vous confie toute l'autorité que vous jugerez nécessaire.

      Je suis à votre disposition pour recevoir vos premières instructions.

      Pierre

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    12. Pierre,
      Tout ceci est parfait. Je pense que tu as bien compris.
      Pour aller plus loin, il faudrait maintenant que nous échangions par courriel, ce qui sera plus confidentiel.
      Peux-tu envoyer un courriel à Josip en cliquant dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page, juste sous le dessin ?
      Huguette

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    13. Madame Huguette,

      J''ai envoyé un mail à Monsieur Josip mais j'ai eu un retour comme quoi celui ci n'a pu être délivré hier.

      Pierre

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    14. Pierre, je ne comprends pas pourquoi. Essaye encore une fois. Nous recevons sans problème les courriels venant d'autres personnes.
      Huguette

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    15. Madame Huguette,

      Je viens de le renvoyer à josip.legall@laposte.net

      Si vous ne le recevez à votre première demande, je vous communiquerai mon mail.

      Pierre

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    16. Pierre,
      L'adresse est : legall.josip35@laposte.net . Tu n'écris pas au bon endroit.
      Huguette

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    17. Pierre,
      J'attends ton adresse courriel à la bonne adresse : legall.josip35@laposte.net
      Huguette

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    18. Madame Huguette,

      J'ai transmis un mail à la dernière adresse à 15 h 46.

      Pierre

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    19. Pierre,
      Je n'ai pas reçu ce courriel. Donnez-moi une adresse que je puisse vous en envoyer un. Visiblement, ils n'arrivent pas à destination.
      Huguette

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    20. Pierre,
      Si vous ne le souhaitez pas, je ne la publierai pas.
      Huguette

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    21. Pierre,
      J'ai bien reçu le message que je ne publierai pas. Je t'en ai adressé un à ton adresse courriel. Fais-moi savoir si tu l'as reçu.
      Huguette

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    22. Madame Huguette, j'ai bien reçu votre message mail.
      Pierre

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  2. Avec plaisir chère Huguette

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    1. Bonjour du coup moi qui n a pas été fesse depuis mes 15 ans , vous pensez que je ne serai pas capable de subir la fessee comme un grand garçon ? Votre texte me fait penser que je risque de lâcher prise bien trop vite… pas enchantant tout ça pour moi !

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    2. Sébastien,
      Recevoir la fessée comme un grand garçon n'a aucun sens, pour moi. Quand je te baisserai la culotte et que je donnerai la fessée, c'est parce que tu te seras ne te seras pas comporté comme un adulte. Tu recevras exactement la fessée dont tu as besoin et que tu as méritée. Ce n'est pas une question d'âge et que tu pleures ou pas, ce n'est pas cela qui changera la sévérité de la fessée.
      Huguette

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    3. Pourtant pleurer indique clairement que la personne punie est vaincue. A quoi bon aller plus loin que des pleurs et excuses sincères ? J ai du mal à comprendre l intérêt de continuer une punition dans ce cas precis

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    4. Bonjour j ai écris un mail à l adresse que vous avez donné à pierre, l avez vous reçu ? Merci

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  3. Bonjour, merci pour ce texte. Je suis d’accord sur l ensemble de ce texte qui de plus est agréable à lire. Pour parler de moi j ai juste un doute suite à cette lecture. Je n ai pas été puni de la sorte depuis de très nombreuses années. Vous dites que seul un adulte aimant la fessee entre guillemets est susceptible d en redemander. Moi j étais ado la dernière fois mais j ai décidé de franchir le pas. Et jeudi matin je le verrai déculotté et punit par maman Huguette. Suis je le seul dans ce cas de figure ?

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  4. Estelle, votre article est brillant il nous éclaire sur les raisons qui poussent un adulte à venir se faire éduquer et corriger chez une éducatrice qui a toutes les prérogatives d'une maman. Il y a toujours au départ un adulte motivé qui reçoit des fessées, qui aiment non pas la fessée mais se la prendre quand elle est méritée, de revivre un peu les corrections parentales pour corriger des travers. Il se sent encadré, surveillé, éduqué et chatié cela le rassure même s'il en connait le prix sur des fesses qui vont rougir et qui vont lui cuire. Je crois en effet que quelqu'un qui n'a pas ses dispositions ne pourra pas oser venir se faire recadrer.

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  5. Chère Estelle, merci pour votre réflexion très réfléchie. A la différence d'un enfant qui n'a pas le choix d'être puni l'adulte lui a le choix au départ c'est une sorte de pacte d'éducation, de bonne conduite. Il sait qu'il a la possibilité de prendre une fessée si son comportement n'est pas conforme à ce que son éducatrice maternelle exige de lui. Tout l'intérêt réside justement dans la possibilité ou non de transiger les règles, de dépasser les limites autorisées, de défier l'autorité sans connaître à l'avance la réaction maternelle. c'est une sorte de retour à l'enfance de petit garçon ou petite fille à partir du moment ou maman se fâche il n' y a plus d'adulte devant elle mais un enfant pas sage qui mérite la fessée. Evidemment plus on est habitué à se la prendre plus c'est facile pour maman de la donner sans hésitation. Je rajouterai que maman doit aussi doser la sévérité de la fessée en fonction de l'expérience et de la résistance de l'adulte qu'elle corrige. Plus l'adulte est résistant et habitué plus la fessée peut être sévère et cuisante. ainsi la première fessée est sans doute moins sévère que les suivantes.

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  6. Bonjour Madame Huguette ( et monsieur Josip, bien sûr !)

    Personnellement, ma conception de la fessée donnée à un adulte par un autre adulte, et en particulier, une épouse à son mari/compagnon, découle d'un sentiment d'amour, au départ. Si on aime pas la personne qui partage votre vie au quotidien, on éprouvera aucune bienveillance à son égard et ce sera une existence commune mais juxtaposée.
    Quant j'étais gamin, puis ado, Maman nous disait quant il lui arrivait de nous punir, ces quelques mots : "qui aime bien, châtie bien !". Et encore 50 ans après, ces mots me restent toujours en mémoire. Pour certains hommes (dont je fais partie, je l'avoue), une fois devenus adultes, ils vont rechercher cette compagne qui ait cet ascendant, cette autorité naturelle qui leur semble nécessaire pour corriger leurs imperfections morales mais sans vouloir se l'avouer. Ce besoin de fessée avoué ou non peut être le reflet d'un "manque d'amour " de la part de la maman de cet adulte, d'où l'importance, je pense, de la relation de protection et de soin donnée par la mère à son garçon dans les premiers temps de son existence, au cours de sa première année. C'est cela que j'ai vécu, et cette séparation qui fut absolument nécessaire pour mon existence, a fait naitre cette première "coupure affective" dans ma vie. Privé des soins de ma mère au quotidien, pendant plusieurs mois, ma vie a repris son cours normal au retour à la maison. J'ai vécu les joies et peines d'un garçon ordinaire mais à la santé très fragile. Ce qui a fait naitre dés lors un climat hyper-protecteur entre ma maman et moi. Certes, mais quel rapport avec la fessée me direz-vous ? Les médecins, à l'époque, avaient fortement conseillés à ma mère d'éviter les bisous car les microbes se propagent par la peau, lui ont-ils dit et, en raison de mon immunité fragilisée, ma maman, à contre-coeur, s'y est résolu avec une profonde amertume, craignant pour ma santé. Plus tard, à l'adolescence, ce désir de bisous s'est transformé en "besoin de fessée", car la fessée est le "pendant cuisant de la caresse", non ? Et au fur et à mesure de l'âge, j'ai éprouvé le besoin de recevoir la fessée de la part d'un femme. Je me voyais mal réclamer à ma mère une fessée déculottée sur ses genoux (la position idéale selon moi) d'autant que j'étais un garçon calme, rêveur et très timide. Maman n'avait donc aucun motif pour me punir. Elle faisait partie de cette génération de mère au foyer, à l'éducation stricte, parfois sévère, donnée à ses enfants mais toujours pour leur bien. Je n'ai pas manqué d'amour à proprement parler mais je ressens le fait que l'absence de fessée dans ma jeunesse a crée une sorte de manque nécessaire à ma vie. L'âme humaine est complexe et l'amour maternel prend des chemins singuliers. Je concluerais mon commentaire par cette équation: "Amour= bienveillance= punition".
    Merci d'avoir pris le temps de lire mon récit. Bien respectueusement. "Peter Pan". (NB: mes dessins publiés ici par Mr Josip, reflètent un mélange de vécu et d'imaginaire)

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    1. Bonjour Peter Pan,
      Il me semblait reconnaître, derrière cette prose, votre patte et votre histoire. Votre signature à la fin me l'a confirmé.
      J'espère que j'aurai le plaisir de lire vos écrits plus souvent.
      JKG.

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