mercredi 7 février 2024

La fessée déculottée en extérieur, une punition très efficace

Je vous ai expliqué, dans les deux articles précédents, pourquoi et comment ma compagne en est venue à me donner la fessée déculottée, en extérieur quand elle le juge nécessaire. Vous avez sans doute compris qu’elle ne l’avait pas prémédité, mais que c’était mon comportement qui l’avait amenée à utiliser cette punition.

Ensuite, elle a pu en constater l’efficacité et c’est à partir de ce moment où elle a pris conscience de la nécessité d’avoir cette corde à son arc avec toutes les personnes dont elle a l’éducation en charge.



Les fessées déculottées que ma compagne m’a données, alors que nous étions en extérieur, ne font pas partie des plus sévères que j’ai reçues. Certes, la vigueur d’une fessée en augmente la sévérité, mais c'est surtout la durée qui compte. Mais je n’ai pas constaté qu'il y avait une différence de force entre celles que je reçois à la maison et celles qui me sont données en dehors. Par contre, elles sont bien moins longues et il me semble, si j'en crois mon expérience, que la durée d’une fessée est le facteur principal qui échauffe les fesses en faisant de réelles punitions. En effet, à vigueur égale, c’est l’accumulation de claques sur le postérieur qui devient vite insupportable, en particulier quand la main s’abat plusieurs fois de suite au même endroit.

Quand nous sommes en extérieur, ma compagne ne me donne pas de longues fessées. C’est sans doute parce que faire durer une fessée multiplie les risques qu’une personne surgisse alors qu’elle ne l’avait pas prévu. Ce n’est pas que cela gênerait beaucoup ma compagne, c'est ce qu'elle dit et je n'ai pas de raison de ne pas la suivre sur cette question, mais elle ne pourrait anticiper la réaction de la personne qui surviendrait à ce moment-là. Souvent ma compagne me dit qu’elle s’attendrait alors à une approbation sans réserve de la méthode qu'elle emploie et j'ai bien peur de la croire, mais si ce n’est pas le cas, nous pourrions nous trouver dans une situation délicate.

Autant que je puisse m'en rendre compte, elle s’attache plutôt à l’intensité de la correction. Je ne suis, en effet, pas toujours en capacité de prendre du recul avec les fessées que je me donne ma compagne. Parfois, elles sont trop vigoureuses pour que j'y arrive et je ne pense qu'à la fin espérée de la correction sans me préoccuper de savoir si la dernière a été plus ou moins forte que la précédente.

A l'extérieur, je reçois une bonne avalanche de claques sur mes fesses, aussi fortes que celles que je reçois en intérieur, mais plus rapprochées les unes des autres, ce qui les rend plus redoutables. Cela dit, quand nous sommes en dehors de la maison, cela ne dure pas longtemps. Avec cette façon de faire, ce ne sont donc pas de grosses fessées, mais elles cuisent suffisamment pour que je sache que je reçois une réelle punition. Mes cris et mes gesticulations en sont la preuve mais l'apprentissage de ma leçon est à ce prix.



Je me suis fréquemment demandé pourquoi j’avais cette crainte d’être vu, recevant une fessée déculottée. À plusieurs reprises, je l'ai déjà reçue en présence de Juliette et de Tonton et je sais que cela pourra m’arriver alors que d’autres personnes séjournent à la maison. Je ne trouve pas cela anormal. À chaque fois que j'ai été ainsi puni, je l’avais mérité. Il est donc normal que ma compagne me baisse la culotte et me rougisse les fesses quand elle le juge nécessaire, y compris quand d’autres personnes sont présentes. A mon âge, c’est, cependant, une situation très difficile à admettre. Cela augmente la sévérité de la punition de savoir qu’elle a des témoins. Il est compliqué, pour moi, de retrouver ensuite un statut d’adulte. Je vois dans leur regard l’image du garçon puni, montrant ses fesses nues à tout le monde et non la grande personne que je suis censé être.

Ce serait encore plus difficile quand ce sont des personnes que je ne connais pas, ai-je l’impression. Savoir que des quidams que je ne connais pas pourraient comprendre que ma compagne est encore obligée, à mon âge, de me déculotter et de me fesser quand je ne me comporte pas comme un adulte représente le summum de la honte. Comment pourrais-je encore prétendre être considéré comme un adulte après une telle punition ? Heureusement, cela n’est pas encore arrivé.

Je sais donc que craindre de recevoir la fessée déculottée devant des personnes que je ne connais pas est mon problème et si je ne veux pas que d’autres personnes soient mises au courant, c’est à moi de faire ce qu’il faut. C'est ce facteur qui place les fessées que j'ai reçues en extérieur, parmi les plus difficiles à recevoir. Par chance, ma compagne fait attention qu’elle ne veut pas imposer à d’autres qui ne l’auraient pas souhaité la vue d’un adulte recevant une fessée déculottée. C’est pour cela qu’elle choisit, avec une grande attention, les endroits où elle me déculotte et où elle me punit.



Je suis conscient que cela demande une grande confiance en son jugement. Je sais que les fessées déculottées qu’elle me donne sont nécessaires et que je les ai méritées. Je n'ai rien à dire de ce côté-là. Je sais qu’elle est attentive, quand elle me punit, à m’administrer la correction qui correspond exactement à l’écart que je viens de commettre, une punition suffisamment sévère pour me faire regretter ce que j’ai fait. Je sais qu’elle cherche à me punir au plus près possible du moment où j’ai commis la faute. Je sais que si nous sommes en extérieur, c’est là que j’aurai la fessée si elle juge que les conditions le permettent. Je sais que si, un jour, elle estime qu’elle peut me baisser la culotte en présence de personnes que je ne connais pas, mais qui approuvent son geste, elle le fera.

C’est son rôle, en tant qu’éducatrice, et elle le tient admirablement bien. J’ai accepté cette situation et toutes les conséquences qui pourraient en découler. Je ne peux m’y opposer, malgré le désagrément que provoquent ces punitions. Recevoir la fessée en fait partie, la recevoir en extérieur entre dans ses prérogatives. Elle prend soin de moi sous tous les aspects et ceci compense largement, à mon avis, les corrections qu'elle me donne. Je crois en la sureté de son jugement, c’est normal, puisque c’est elle qui a la responsabilité de parfaire mon éducation et que je m’en remets à elle pour tout ce qui est discipline. Mais ce n'est pas toujours simple à intégrer.



En effet, prendre une fessée quand je me suis mal comporté fait partie de la méthode qu'elle emploie pour m'aider à grandir et à devenir plus responsable. Depuis que ma compagne m’a pris en mains, elle a réussi à me faire perdre quelques habitudes que je ne pourrais pas qualifier d’heureuses, mais qui étaient fortement ancrées dans mes comportements habituels. Si j’avais pu en venir à bout par moi-même, je n’aurais pas eu besoin de son attention pointilleuse. Mais je sais que ma compagne m’aime suffisamment pour prendre soin de moi et qu’elle m’aide à éradiquer mes défauts, bien que ce soit une véritable charge pour elle.

Elle exige que je me comporte comme un adulte bien élevé et responsable. Ce n’est, hélas, pas toujours le cas, loin de là. Une bonne fessée déculottée administrée au bon moment est un message très clair. Il me permet de prendre conscience de ce que me reproche ma compagne. Si c’est un moment difficile à vivre, compte tenu du déculottage, de la douleur de la fessée et du long temps passé au coin, il m’aide à comprendre en quoi j’ai mérité cette correction. Après une bonne fessée, je ne peux plus ergoter sur ma responsabilité dans l'écart que j'ai commis. C’est un mauvais moment à passer, mais c’est, de loin, préférable à une longue fâcherie.

Je n’aime pas quand ma compagne est fâchée avec moi. Quand je commets un enfantillage, je sais que je la déçois. Il n’y a qu’une seule façon d’en sortir, c’est de recevoir une bonne fessée déculottée. Après avoir été puni, la faute que j’ai commise est pardonnée. Je retrouve alors ma compagne comme je l’aime. C'est préférable.

Elle tient à ce que la correction soit le plus proche possible du moment où j’ai fait la bêtise. Tout d’abord, pour que, dans ma tête, je fasse, sans doute possible, le lien entre ce qu’elle me reproche et la punition qui en découle. Elle est, en effet, partisane du principe : la meilleure fessée, celle qui porte le mieux ses fruits, c’est celle qui est administrée immédiatement après que la faute a été commise.


Je dois avouer que je n’ai rien contre ce principe, au contraire. Il réduit d’autant le temps où ma compagne est mécontente de moi. De toute façon, je sais que je vais recevoir une fessée déculottée. Autant la recevoir au plus vite et retrouver rapidement l’harmonie qui règne habituellement dans notre couple. Plutôt que de différer la punition, je trouve qu’il est préférable de la subir au plus tôt, qu’on soit en intérieur ou en extérieur. En dehors de la maison, quand elle est méritée, elle est bien plus efficace pour me faire prendre conscience de la gravité de l’écart que je viens de commettre et elle solde bien plus vite le désenchantement que j’ai provoqué chez ma compagne.

On pourrait dire que je fais contre mauvaise fortune, bon cœur. C’est un peu vrai. Recevoir une sérieuse fessée déculottée n’a rien d’une partie de plaisir, qu’on soit à la maison ou dehors, et si je pouvais m’en dispenser, je le ferais. De toute façon, je n’ai pas le choix. C’est ma compagne qui décide, mais je sais que quelle que soit la solution qu’elle préfère, elle a toujours en tête de faire ce qui sera le mieux pour moi. Maintenant que je sais qu’elle n’hésitera pas à me baisser la culotte et à me corriger même si nous sommes en extérieur, je fais bien plus attention à ce que je fais.

S’il est normal de donner la fessée déculottée à un adulte qui ne sait pas s’autodiscipliner comme une grande personne doit le faire, et donc s’il est normal, pour moi, de la recevoir ; si on pense qu’une fessée, pour être efficace doit être donnée au moment où la faute est commise donc que c’est à cette condition qu’elle a le plus d’effets salutaires ; si l’on recherche pour l’adulte dont l’éducation est prise en charge par une autre personne, à ce qu’il comprenne que ses enfantillages ne sont pas admissibles, quels que soient le lieu et le moment où il se trouve et peu importe qui sont les personnes présentes, alors lui baisser la culotte et le fesser, y compris en extérieur, est nécessaire pour qu’il apprenne à bien se comporter. Bien que ma compagne ne me l’épargne pas, je ne lui en veux pas, même si quand elle est donnée en extérieur, cela rend la punition exemplaire et c'est ce qu'elle cherche.



Puisque je n’aime pas recevoir la fessée en extérieur, je fais tout mon possible pour l’éviter. Ma compagne me le fait souvent remarquer. Auparavant, mes provocations intentionnelles me donnaient un sentiment de pouvoir me défaire, au moins pour quelques instants, de la tutelle de ma compagne, de pouvoir décider par moi-même. J'avais l'impression d'être un adulte. Cela ne durait, généralement, que jusqu’à notre retour à la maison. Je savais que j’avais mérité une fessée et que j’allais la recevoir, mais le petit frisson que je ressentais me faisait croire que le jeu en valait la chandelle. J’avais toujours l’espoir qu’elle oublie qu’elle devait me punir, ce qui arrivait pourtant très peu fréquemment.

Elle a désormais rarement besoin de répéter deux fois ce qu’elle m’ordonne de faire et il suffit qu’elle fronce les sourcils pour que j’obéisse. Presque à chaque fois. Savoir que je risque de recevoir une fessée déculottée sur place, quels qu’en soient le lieu et le moment et quelles que soient les personnes présentes, a un effet préventif indéniable.

La menace suffit la plupart du temps. Avec des oreilles étrangères qui écoutent, s'entendre dire, à voix haute "tu veux une fessée ?", souvent accompagné d'une tape sur le fond du pantalon, me fait obéir sur le champ ou céder devant ses exigences. Je ne peux pas faire comme si c'était une plaisanterie ou le prendre de haut, cela pourrait être un motif suffisant pour me déculotter et me donner la fessée immédiatement, sur place, pour peu qu'elle juge que les circonstances le permettent. Et je ne sais jamais d'avance ce qu'elle va décider. Il est certain que mon attitude doit alors faire comprendre, aux personnes qui nous entourent, que je prends la réprimande au sérieux et que le risque de recevoir une fessée est réel. Je dois avouer que cela ne me donne pas envie de continuer à faire ce qu'elle me reproche. Je suis plus fluctuant quand je ne risque qu'une fessée à la maison. Mon attitude s'en ressent.

Il reste cependant quelques circonstances où la fessée en extérieur se révèle nécessaire. Même si la plupart des désobéissances ont disparu, il y en a bien moins qu’avant qu’elle ne décide de recourir régulièrement à la fessée déculottée même quand nous ne sommes pas à la maison. De temps en temps, j'ignore ses avertissements. Mais ce qui me vaut encore le plus grand nombre de fessées, dans quelque endroit où nous nous trouvons et y compris en extérieur, ce sont les insolences et quand je lui réponds. Je cherche à faire disparaître cette habitude, à me canaliser, mais je n’y arrive pas toujours. Avec la fessée, c'est devenu moins fréquent, mais il y en a encore souvent. Une bonne fessée vient corriger tout cela. Ma compagne a bien raison d’être sévère, y compris en extérieur, cela m’aide à devenir plus adulte.


JLG



Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.  

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