La fessée déculottée, de la découverte à la pratique habituelle

Il est surprenant de constater comment les fessées que je donne à Josip ont changé ma vie. ou plutôt comment ma relation avec Josip a changé ma vie et comment lui donner la fessée fait parie maintenant de nos pratiques punitives habituelles. Je me sens maintenant investie d’une mission d’éducation, comme une Maman pourrait en avoir sur son rejeton… lui, bien sûr, et bien au-delà, rôle qu’ont joué les Mamans depuis des temps immémoriaux. J’ai donc l’impression de reprendre un flambeau et d’assurer une transition vers les générations futures, en espérant que la pratique de la fessée déculottée, pour punir un adulte, ne se perdra pas.

Je n’avais jamais vraiment éprouvé de sentiments maternels envers personne. Cela est venu avec l’âge, mais aussi en fréquentant Josip et en prenant en charge la discipline qu’il ne savait pas assumer lui-même. L'instinct maternel revient vite et entre autres l'art et la manière de donner la fessée.

Bien que j’aie toujours eu une vision traditionnelle de l’éducation, je n'avais jamais administré de fessée ou si peu que cela ne comptait pas. Que ce soit avec des enfants ou des adultes, hommes ou femmes, j’ai, à chaque fois, trouvé regrettable que face aux manquements de leur éducation, il ne leur soit pas administré une bonne fessée déculottée pour les remettre dans le droit chemin. Le nombre des personnes adultes, donc censées assumer leurs devoirs et respecter les règles sociales qui s’imposent à eux, mais qui se trouvent en difficulté pour se comporter comme une personne majeure, me semble en constante augmentation.

C’est certainement que, dès leur enfance, ils n’ont pas trouvé en face d’eux, une personne représentant l’autorité qui a résisté face aux manifestations de toute puissance. Le fonctionnement social veut que, devenu majeur, ce repère n’a plus court, sauf à en venir à des méthodes définitives qui ne laissent pas place à l’erreur : licenciement, divorce, amendes, prison… et d’autres sanctions qui s’appliquent aux adultes.

Ces personnes, qui n’assument pas leur statut d’adulte, auraient besoin que l’environnement éducatif qui a disparu à leur majorité, redevienne une réalité sur laquelle elles puissent compter. Ils ont besoin de reconstruire un autre rapport à l’autorité et aux autres. Mais, comme ils sont adultes, faire ce chemin de remise en cause et accepter les contraintes inhérents à leur âge pour bénéficier pleinement de ses avantages, est très difficile. Les mauvaises habitudes sont souvent profondément ancrées dans leur comportement. Les éradiquer représente une difficulté majeure qui nécessite une attention de tous les instants et une fermeté sans faille.

C’est là où la fessée déculottée pourrait jouer son rôle avec pertinence avec toutes les personnes qui en ont besoin, au-delà de ceux qui bénéficient déjà de cette attention. Il peut cependant paraître, à certains, déplacé de baisser la culotte d’un adulte pour lui rougir les fesses. Il n’en est rien. La fessée n’a plus les faveurs de l’opinion publique. Pourtant, malgré l’interdiction qui l’a frappée dans l’exercice de l’autorité parentale auprès des enfants, il faudrait vérifier combien de parents recourent encore, dans l’espace familial à l’abri des regards, à la fessée pour marquer leur autorité. Sans doute n'est-elle plus très souvent déculottée, encore faudrait-il le vérifier.

La fessée déculottée n'est pas plus pratiquée pour un adulte. Elle est censée ne plus être nécessaire, ce qui ne résiste pas à une observation attentive. Quand elle est donnée, c'est souvent au sein du cercle familial restreint et nombre de ceux qui en auraient grand besoin ne s'imaginent pas soumis à une telle punition. Et pourtant ! Ceux qui la pratiquent comme le mode de punition habituelle, savent combien elle est bénéfique et combien elle est efficace. Elle a, en effet, de gros avantages par rapport aux autres types de sanction.

Tout d’abord, elle marque une réaction claire et immédiate de la personnes qui détient l’autorité face aux écarts de son pupille. Quoi de plus évident, pour sanctionner une désobéissance, une imprudence, une insolence ou une impolitesse, que de baisser la culotte et d’administrer une fessée. C’est un message sans ambiguïté. La personne qui sévit exerce alors sa responsabilité d’autorité sans que le ou la puni ne puisse douter qu’il vient de commettre quelque chose de répréhensible. Le chemin vers la prise de conscience de l’incongruité de son comportement commence là. C'est ce dont beaucoup d'adultes immatures ont besoin.

Ensuite, la nature de la punition, quand le ou la punie se retrouve culotte baissée devant la personne qui a en charge son éducation, en sachant qu’il ou elle va recevoir incessamment la fessée qu’il a méritée, le ou la ramène au niveau de responsabilité qui est le sien… et ce n’est pas celui d’un adulte. Le message qui passe est alors limpide : tu n’as pas su assumer tes responsabilités d’adulte, tu en as donc perdu tous les privilèges, et le premier d’entre eux, c’est de voir ta pudeur d’adulte prise en compte par les autres personnes de ton entourage.

Enfin, la cuisson ressentie sur les fesses pendant au minimum plusieurs minutes, voire les marques plus ou moins durables dans le temps que la fessée peut y laisser, le temps passé ensuite en pénitence montrant à toutes les personnes présentes des fesses rougies par la correction, représentent un désagrément suffisamment fort pour faire regretter de n’avoir pas exercé sa responsabilité d'adulte comme la personne qui a en charge son éducation, le souhaitait.

Et pour conclure, si recevoir une fessée déculottée, pour un adulte, est un moment difficile et douloureux, il ne dure que quelques minutes, quelques dizaines si on compte le temps passé au coin. La fessée a le gros avantages, tout en soulignant la bévue, de solder tous les comptes. Il est alors possible de repartir sur de nouvelles bases sans subir durablement les conséquences de l’écart qu’on s’est permis. L'adulte peut alors redevenir un adulte.

Bien sûr, déculotter une personne majeure et lui administrer une réelle fessée, se fait plus aisément dans un cadre privé ou en présence de personnes averties. Il est bien plus compliqué, sans tomber sous le coup de la loi qui réprime l’exhibitionnisme, de sévir en extérieur ou dans un lieu public quand la correction implique de baisser la culotte.

Ce n’est pas que c’est impossible, mon expérience racontée par Josip sur ce blog le montre, mais il faut prendre des précautions. C’est fort dommage car cela amène, trop souvent, à différer jusqu’au retour à la maison, la punition qui aurait pourtant eu son efficacité maximale si elle avait été administrée sur le champ. De plus, face à un écart commis en présence d’autres personnes, il serait logique que la punition soit administrée devant ces mêmes personnes. Cela aiderait encore plus celui ou celle à qui il a fallu baisser la culotte pour le fesser, à comprendre combien ses comportements sont jugés inappropriés par tous les adultes et pas seulement par celle qui a en charge son éducation.

Je n’ai jamais osé proposer, à une personne qui passait au moment où Josip commettait un écart, son accord pour déculotter mon compagnon et le fesser sans plus attendre, devant elle. Ce serait pourtant indispensable et diablement efficace pour l'éducation de Josip. Je ne sais donc pas qu’elle serait la proportion d’entre elles qui refuseraient que cet acte de justice domestique se déroule en leur présence. Je suppose que bien peu d’entre eux désapprouveraient l’administration de la fessée déculottée devant eux, pour peu qu’elle soit méritée. Il faudrait, toutefois, que ces personnes soient persuadées qu’il ne s’agit pas d’un jeu érotique dont on leur demanderait d’être le témoin. L’équivoque de la situation ne peut être levé que grâce à l’absence d’accord de celui ou celle qui recevra la punition et par la sévérité de celle-ci. J’ai promis à Josip, que si cela s’avérait nécessaire, je passerai à l’acte, mais les conditions ne s’en sont jamais complètement trouvées.

Donner la fessée et je suppose la recevoir, est devenu naturel dans notre relation. Elle s'impose bien souvent. Ce n’est que la conséquence du rôle que je dois tenir et de la place qu’occupe Josip : porter une attention de tous les instants à Josip et le punir quand il dépasse les limites que je lui autorise. Quand je dois sévir, du moment où je lui baisse la culotte, jusqu’au moment où je le mets au coin, en passant, évidemment, par celui où je lui donne la fessée, j’éprouve un sentiment maternel à son encontre qui ne laisse aucune place à un doute quelconque. J’ai découvert ce sentiment et il me contente au-delà de ce que j’avais pu imaginer.

Ne croyez pas que c’est une chose facile, mais elle n’est pas difficile non plus. Cela demande de la concentration, mais assez vite, c’est devenu une habitude de surveiller Josip et de le punir aussitôt qu’il en a besoin. Avoir un adulte sous sa surveillance demande une attention constante. Les petites mauvaises habitudes de Josip sont nombreuses, mais je suis très vite agacée quand il se permet un comportement interdit. J’en suis réellement fâchée, il m’est donc aisé de le déculotter et le fesser. Après une bonne punition et un séjour au coin, quand il m’a demandé pardon pour ce qu’il vient de faire, nous pouvons reprendre le cours de notre vie d’adulte… jusqu’à la prochaine punition.

Je me sens donc maintenant en mesure d’assumer pleinement mon rôle parental et de personne endossant l’autorité que lui confère son rôle social, comme l’ont fait de nombreuses Maman avant moi. Cela veut dire de punir Josip quand il en a besoin, mais également, si nécessaire, d’autres adultes qui se seraient rendu compte qu’ils ont besoin d’une tierce personne pour les aider à se comporter en adulte responsable. En effet, dans un environnement éducatif traditionnel, il revient à l’adulte détenant l’autorité de corriger tous ceux qui ont été placés sous sa responsabilité, pour peu qu’ils en aient besoin. Il va de soi que cette autorité donnera le droit et le devoir de déculotter et de fesser celui qui commet un écart, comme il était habituel de le faire il n’y a pas si longtemps avec des enfants, et pas seulement les siens.

A la lecture des commentaires déposés sur ce blog, cela semble assez facile pour des personnes de sexe masculin, et plus difficile pour des personnes de l’autre sexe. Il y a peu de femmes qui se revendiquent comme fesseuses et qui acceptent de venir mettre leur expérience au service de l’éducation de mon garçon. Il n’y a pas plus de femmes qui ont pris conscience de la nécessité de faire appel à une tierce personne pour les maintenir dans le droit chemin.

Je serai donc très attentive aux propositions et aux demandes qui émaneraient de personnes du genre féminin.

Je veux être claire afin qu’il n’y ait pas d’équivoque. Je ne parle que de fessées punitives qui auront cours tout le temps de la rencontre. Je veux, en effet, disposer du droit à baisser la culotte et à donner la fessée en tout lieu et à n’importe quel moment, quelles que soient les personnes présentes. C’est à cette condition que la fessée portera pleinement ses fruits. De toute façon, lors d’un échange téléphonique ou par visio, nous aurons l’occasion de préciser tout cela.

Huguette.

Quelques articles qui illustrent le contexte punitif décrit ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La fessée déculottée : honte ? humiliation ? 

Recherche personne, homme ou femme, pour donner la fessée 

Donner la fessée, une évidente marque d'attention

 Vous voulez aller plus loin ?

Je serai ravie d'échanger avec des personnes partageant une vision proche de la mienne en matière d'éducation des adultes en recourant à la fessée déculottée. Si la rencontre avec une personne de sexe masculin semble en bonne voie, il n'en est pas de même avec des personnes de genre féminin. Appel donc à des candidates.

Si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à me contacter, dans les commentaires ci-dessous dans un premier temps. Après quelques échanges, nous pourrons décider si nous voulons aller plus loin.