dimanche 19 novembre 2023

Journal d’un grand garçon fessé – Samedi 18 novembre 2023 – 15h45

La sévérité de ma compagne ne se dément pas. Sa période de laxisme est vraiment terminée. Je ne sais pas si je dois m’en réjouir ou pas. D’un côté, elle fait bien plus attention à moi que ces dernières semaines et cela me convient bien, d’un autre côté, cela me vaut quelques sérieuses fessées dont j’avais un peu perdu l’habitude.

Si j’avais l’impression que mes dernières fessées étaient loin, enfin il ne faut rien exagérer, la donner, apparemment, ne s’oublie pas. Ma compagne sait parfaitement comment il fallait faire. Les fessées de ma compagne sont toujours aussi cuisantes et en plus, aujourd’hui, elle m’a mis au coin pour un long moment. A la réflexion, finalement, je crois que je n’avais rien oublié, ni ce que cela fait de recevoir la fessée, ni de passer de longues minutes au coin.

Quand elle est arrivée, j’étais dans mon lit. J’avais fait une petite sieste et j’avais lu un peu le roman que j’ai en cours en ce moment. Je l’avais entendu rentrer et j’avais rabattu le drap sur moi, anticipant un moment de câlin.
C’est bien ce qui s’est passé, enfin ce qui s’est passé dans les toutes premières minutes. Un bisou, une caresse et ma compagne s’est relevée. Elle venait de soulever le drap.
« Qu’est-ce que c’est que cela ? »
Elle désignait mon torse. Je ne voyais pas du tout de quoi elle voulait parler. Je restais interdit.
« Nous sommes samedi, aujourd’hui, non ?
– Oui, en effet !
– De quelle couleur doivent être tes sous-vêtements le week-end ? »
J’y étais. Ce matin, sans y réfléchir plus que ça, le poids de l’habitude, j’avais mis un tee-shirt, une culotte et des chaussettes de couleur habituelle.
« De quelle couleur devraient-ils être ? »
Maman exige, en effet, que ceux-ci soient blancs le samedi et le dimanche.
« Est-ce que je ne te l’avais pas dit ? »
Elle souligna sa remarque par une bonne claque sur mes fesses. Je ne répondis pas. Bien sûr qu’elle me l’avait dit et je savais quelle sanction cela méritait. Une deuxième claque sur mes fesses m’encouragea à cesser ce mutisme.
« Je te l’avais dit oui ou non ?
– Oui Maman, tu me l’avais dit.
– Je dois sortir quelques minutes, mais dès mon retour tu auras une fessée ! »

J’avais une boule qui grossissait au creux de mon ventre. Je savais que rien ne m’épargnerait la fessée que ma compagne m’avait promise. J’essayais de me persuader qu’elle ne baisserait peut-être pas ma culotte, mais je n’y croyais pas moi-même. J’étais certain que mes fesses me cuiraient avant qu’elle ait fini de s’en occuper. C’était dans l’ordre des choses.
Je ne savais pas si je devais l’attendre au lit ou si je devais m’habiller et l’attendre dans le séjour. Aucune des deux ne me semblaient satisfaisante puisqu’elles ne permettraient pas d’adoucir ma correction. J’optais pour la deuxième solution.
Je m’assis sur le canapé et je répondis à un des mes courriels. Je n’eus pas à attendre bien longtemps. Ma compagne refit son apparition. Elle déposa quelques affaires dans notre chambre non sans m’avoir prévenu.
« Tu peux écrire si tu veux, mais cela ne t’évitera pas une punition ! »
Dès qu’elle revint, elle me prit par la main et je dus me lever pour la suivre. Elle marqua alors un temps d’arrêt, faisant, du regard, le tour de la pièce. Elle cherchait où elle pourrait me donner la fessée.
« Les chaises sont trop hautes. »
Elle réfléchit un court instant.
« Sauf si je prends le petit marchepied. Où est-il ?
– Dans le placard, dis-je en désignant la direction. »
Elle alla le chercher elle-même et après avoir fait faire un quart de tour à la chaise, elle le déposa entre les deux pieds de devant, puis elle s’assit sur la chaise.
« Viens-ici ! »
Je n’avais pas le choix. Je me rendis à ses pieds.
« Est-ce que je t’avais dit que je voulais des sous-vêtements blancs le week-end ?
– Tu ne me l’as pas redit ce matin.
– Bientôt cela va être de ma faute !
– Non, mais j’ai oublié.
– Je te l’ai dit, oui ou non ?
– Oui mais…
– Suffit, plus un mot. Je vais t’apprendre à ne pas faire attention à ce que je te dis ! »
Elle me plaça debout devant elle, puis elle baissa mon pantalon et le laissa autour de mes mollets. Alors, elle se leva et passant son bras gauche autour de mes reins, elle m’obligea à me courber. Elle me serra alors contre son flanc.
La fessée commença. Elle me claquait sur la culotte, mais malgré la protection du tissu, je sentais sa main qui cinglait mes fesses. Puis, elle visa le haut de mes cuisses, là où ma culotte ne protégeait plus rien, et mes cris lui confirmèrent l’efficacité de la punition. Je me tortillait sous son bras, mais sans chercher à me libérer de son emprise. Je savais que je n’en avais pas le droit. Elle dut cependant peser sur mon dos à plusieurs reprises pour que je reste bien penché et que mes fesses soient bien placées à disposition de sa main. Je dansais d’un pied sur l’autre, mais la main de ma compagne trouvait toujours sa cible.

Quand elle mit fin à cette première fessée, ce fut pour aller chercher une spatule en bois dans le tiroir de la cuisine. Elle se rassit sur la chaise.
« Je t’attends là ! »
Elle désignait le sol, à sa droite, entre la chaise et la table. Je m’y rendis, sachant qu’en montrant ma coopération, je lui indiquais que je reconnaissais le bien fondé de la fessée, ce qui était le cas. Elle me prit le haut du bras et elle me coucha, à plat ventre en travers de ses genoux.
Elle recommença la fessée, sa main frappant toujours sur ma culotte. Bien vite, elle prit la spatule et je ne pus que constater la différence. Je criais bien plus fort et je me trémoussais plus fortement sur ces genoux.
« Et encore, commenta-t-elle, je ne t’ai pas baissé la culotte !
– Non, Maman pardon !
– Es-tu sûr d’avoir compris ta leçon ?
– Oui, Maman, oui ! Je ne le ferai plus !
– Qu’est-ce que tu ne feras plus, me demanda-t-elle tout en continuant la fessée ?
– Aïe ! Je mettrai des sous-vêtements blancs le week-end ! Aïe ! Je n’oublierai plus ! Aïe !
– Je veux en être certaine ! »
Elle baissa ma culotte et la fessée avec la spatule reprit, cette fois-ci, elle appliquait l’instrument sur mes fesses nues. Est-il utile de vous décrire la différence que cela faisait sur mes fesses qui devaient être maintenant bien rouges ?
Mes gigotements sur ses genoux étaient maintenant incontrôlés. Mais cela ne semblait pas gêner ma compagne qui abattait tout aussi régulièrement la spatule sur mes fesses nues. Mon pantalon entourait mes chevilles, limitant les mouvements de mes jambes. Mes pieds étaient sous la table et je ne pouvais pas les ramener près de mes fesses. Ma main droite qui était encore la seule partie de mon corps que ma compagne n’avait pas du tout immobilisée, se glissa sur mes fesses. Un coup de spatule sur mes doigts et je l’enlevais bien vite.
Cette esquisse de protection eut le don de raffermir la résolution de ma compagne. Elle mit plus d’énergie à abattre la spatule sur mes fesses, sans oublier, de temps en temps, le haut de mes cuisses. Je n’en pouvais plus. La cuisson de mon postérieur était maintenant intolérable, mais je n’y pouvais rien.

La spatule cassa, ce qui suspendit la fessée un court instant. Ma compagne la posa et reprit ma punition avec sa main nue. Comme le spatule avait déjà fait son œuvre, la main de ma compagne n’eut plus qu’à entretenir la fournaise que je ressentais sur mes fesses. Elle y arrivait très bien, trop bien à mon goût.
Enfin, arriva le moment que j’attendais tant. La fessée cessa. Je me gardais bien de bouger avant d’en avoir reçu l’autorisation, craignant, si je prenais une initiative, que ce soit une raison suffisante, aux yeux de ma compagne, pour que la fessée ne reprenne.
« Tu peux te lever ! »
Je me remis péniblement sur mes pieds. Ma compagne me fit contourner ses pieds et elle me conduisit devant elle. Ma culotte était toujours à la hauteur de mes genoux et il n’était pas question que je prenne la fantaisie de recouvrir mes fesses.
« J’attends ! »
Je savais ce que cela voulait dire. C’était le rituel de fin de fessée qu’elle m’avait imposé.
« Je te demande pardon Maman !
– De quoi ?
– D’avoir oublié qu’il fallait mettre du blanc aujourd’hui.
– Oui et…
– Je ne le referai plus !
– Fort bien ! Sinon ?
– Sinon, j’aurai une autre fessée !
– Exactement, tu auras une autre fessée, mais la prochaine fois, elle sera bien plus sévère. C’est compris ?
– Oui Maman. »

Elle se satisfit de mon acceptation d’une prochaine fessée, comme si elle avait besoin de mon autorisation pour me déculotter et me fesser.
« Tu vas aller au coin ! »
Elle me désignait l’angle de la pièce où j’avais mes habitudes. Je m’y dirigeais sans plus attendre, marchant en essayant de ne pas me prendre les pieds dans mon pantalon qui était, comme ma culotte, toujours baissé. C’était normal. Je savais que j’allais passer de longues minutes le nez dans le coin, exposant mes fesses nues.
« Les bras croisés dans le dos et je ne veux plus te voir bouger ! »
Je pris la position qu’elle souhaitait. Ce n’était pas la première fois qu’elle me mettait au coin. J’en connaissais les règles. Sans plus s’occuper de moi, mais en me gardant sous ses yeux, ma compagne retourna à ses occupations. Je l’entendais bouger dans la pièce, ouvrir des placards puis les refermer, y prendre des objets… Bien que je sois un adulte, c’était banal pour elle que je sois au coin, la culotte baissée, lui montrant mes fesses fraîchement fessées.
La longue attente commença. Je ne pouvais pas prendre le risque de me retourner ni de bouger en aucune façon. L’angle que faisaient les deux murs n’offrait que peu de distraction. Je sentais l’air frais sur mes fesses qui refroidissaient lentement. Ma compagne ne m’autorisait toujours pas à sortir de là.

Je ne sais exactement combien de temps elle me laissa en pénitence. 20 minutes ? Bien plus je crois. Suivre les bruits qu’elle faisait en se déplaçant ne me distrayaient plus de l’ennui qui s’était emparé de moi. Je me promis de faire attention afin de ne plus me retrouver dans cette situation, que ce soit la fessée ou le temps au coin. Heureusement, il n’y avait que ma compagne qui pouvait m’apercevoir dans cette position infantilisante.
« Viens me voir ! »
Je quittais le coin. Enfin ma compagne avait décidé que mon temps de pénitence avait été suffisamment long.
« Tu peux décroiser tes bras ! »
Elle remonta ma culotte et mon pantalon.
« N’oublie pas, la prochaine fois... »
Oui, je savais ce qu’elle voulait dire.


 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

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