dimanche 9 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 8 avril 2023

Afin de faire contrôler et changer mes comportements immatures, ma compagne possède toutes les prérogatives d’une Maman. Je lui reconnais le droit et le devoir de me maintenir fermement dans le droit chemin, comme j’ai pu déjà l’expliquer dans l’article que vous pourrez lire ci-dessus. Cela l’amène à me donner la fessée déculottée à chaque fois que je la mérite. Il s’agit de réelles fessée pour de réels comportements immatures.

Avec Bernard, mon coach qui participe à mon éducation, elle a décidé que je devrai faire sincèrement, de façon détaillée et circonstanciée, le récit de chacune des punitions que je reçois. Je vous en expliquerai la genèse dans un prochain article. Il s’agit de me faire prendre conscience que mes comportements irresponsables et immatures me font déchoir de mon statut d’adulte. C'est une punition, qui, en plus de me laisser les fesses cuisantes, touche également mon ego d’adulte en mettant publiquement en ligne, comment il est nécessaire de me punir. Bernard et ma compagne espèrent, qu'en rendant publiques les fessées que je reçois, cela augmentera ma honte et m'incitera à améliorer mes comportements.

Ce qui suit est donc le récit d’une réelle fessée que j’ai reçue samedi 8 avril 2023 en début de soirée.

La journée s’était pourtant bien passée. Peu de remarques sur mon comportement et celles que ma compagne avait dû émettre, avaient été immédiatement suivies d’effet. J’avais rectifié sur le champ mon attitude. Elle n’avait donc pas jugé bon de me punir, tout juste m’en avait-elle menacé une fois ou deux.
C’était l’heure du coucher. Je suis monté dans la chambre avant ma compagne qui, en bas, vaquait encore à ses occupations. Je me suis allongé sur le lit et j’ai commencé à rêvasser.

Peut-être dix ou quinze minutes plus tard, ma compagne est entrée dans notre chambre.
« Dis-moi, Josip, as-tu pris ta douche aujourd’hui ? »
Il est normal de prendre une douche chaque jour et je n’ai rien contre. C’est, sans doute, le lot de tout adulte pour lesquels des conditions d’hygiène de base sont requises. En général, je m’y plie sans difficulté, sauf que là je savais que j’allais devoir la prendre dans une salle de bains qui est souvent mal chauffée et puis… j’étais bien comme j’étais et j’avais envie que ma compagne me prenne dans ses bras pour un câlin. Bref, pas le moment d’une douche qui me ramenait à des aspects plus triviaux.
Ma compagne a dû insister.
« Josip, tu vas à la douche ! »
Le ton était explicite. Elle ne me laissait pas le choix et attendait que j’obtempère sur le champ. Je sais décrypter les signaux qu’elle donne. Si je n’obéissais pas tout de suite, une fessée était au programme. Cela n’aurait pas été la première que j’aurais reçue pour l’avoir obligé à répéter plusieurs fois une consigne.
Je me suis donc levé tout en maugréant.
« Josip, si tu râles, tu vas prendre une fessée ! »
Avertissement tout à fait clair et je ne doutais pas qu’elle n’hésiterait pas à tenir sa promesse.
« Allons, prépare-toi ! »
Se préparer, cela veut dire se déshabiller et ne garder que le tee-shirt pour me rendre dans la salle de bains qui est au rez-de-chaussée. J’ai commencé à me préparer, mais en y mettant suffisamment de lenteur pour que cela exaspère ma compagne. Je ne voulais pas accéder à ses souhaits sans lui monter que je ne le faisais qu’à contrecœur, mais sans le verbaliser… puisqu’une fessée m’avait été promise si je persévérais dans cette voie.
Ma compagne a alors pris le relais.
« Debout, fit-elle ! »
En un rien de temps, elle me baissa le pantalon, m’ôta la culotte et les chaussettes et je me retrouvais debout devant elle. Une claque sur mes fesses nues et...
« A la douche ! »
« Oui, oui, c’est bon, j’y vais, dis-je d’un air nonchalant ! »

Ce fut la phrase de trop. Sans dire un mot de plus, ma compagne s’assit sur le lit, elle m’attrapa par le bras, elle me ramena entre ses deux jambes et elle me fit basculer à plat ventre sur son genou gauche, tandis que son bras enserrait mon torse.
Je savais ce que cette position signifiait : la fessée. Elle débuta aussitôt par une dizaine de claques réparties sur mes deux fesses. L’échauffement qui en découla était encore modéré, mais je savais qu’elle ne s’en tiendrait pas là.
« Je vais t’apprendre, moi, à rouspéter quand je te dis de faire quelque chose ! »
Il est vrai que cela fait partie des comportements immatures que ma compagne n’apprécie pas. Je savais que d’avoir dû me rappeler d’aller à la douche l’avait déjà irritée. Elle considère, à juste titre, qu’à mon âge, je devrai pourvoir me charger en autonomie de mon hygiène corporelle. Que je montre ouvertement de la mauvaise volonté à obéir alors qu’elle pensait qu’elle n’avait pas à me le rappeler, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
La fessée a repris et bien vite, la cuisson de mes fesses se faisant plus pressante, j’ai commencé à extérioriser la douleur que sa main provoquait sur mes fesses. A chaque fois que sa main claquait mes fesses je ne pouvais retenir un cri. Elle me maintenait en place sans devoir faire trop d’efforts, juste ce qu’il fallait pour me montrer les limites à ne pas dépasser. Il va de soi qui si je l’avais osé, j’aurais pu me libérer, me lever de son genou et mettre fin à la correction. Mais l’autorité qu’elle a sur moi et que je lui reconnais m’en empêche. Quand elle me donne la fessée, je sais que c’est justifié et absolument nécessaire pour me faire comprendre que j'ai commis un écart. Je ne cherche donc pas à utiliser notre différence de poids et de taille pour y mettre fin. Je sais qu’elle a le droit et le devoir de me donner la fessée quand elle le juge bon, aussi cuisante soit-elle, et elle l'est souvent.
A ma grande surprise, la fessée n’a pas duré bien longtemps. Elle m’a aidé à ma relever et j’ai cru que c’était la douche qui suivait, ce que j’aurais fait sans dire un mot de plus. L'heure était à l'obéissance sans montrer de réserve. Hélas, ce n’était pas l’intention de ma compagne.
« Va me chercher la règle ! »
Il s’agit d’une règle plate en bois, d’une quarantaine de centimètres de long.
Ma compagne dispose de plusieurs instruments punitifs qu’elle utilise quand elle estime que sa main ne suffit pas pour qu’elle soit certaine que j’ai bien compris la leçon dont j’ai besoin. Je sais qu’ils augmentent notablement la cuisson de mes fesses et certains d’entre eux y laissent des marques dont je ressens les effets parfois plusieurs heures après qu’elle les a appliqués sur mes fesses. Avec les orties, c’est encore plus long. Je crains beaucoup les fessées qui me sont données avec un instrument punitif. Si le règle ne laisse pas de traces, elle provoque une cuisson insupportable quand ma compagne me donne la fessée avec elle.
« Mais je ne sais pas où elle est ! »
« Ça suffit, maintenant ! »
D’un doigt, elle me désignait le chemin vers l’escalier et comme je ne démarrais pas assez vite, une bonne claque sur les fesses m’encouragea à plus de célérité. Je pris la direction qu’elle m’indiquait et elle me suivit, non sans accompagner notre marche par quelques fessées, m’indiquant par là qu’elle ne supporterait plus aucune résistance de ma part.

Je fis une piètre tentative pour aller dans la salle de bains.
« Non, dit-elle, tu viens ici ! »
Ici, c’est la chaise sur laquelle elle s’assoit pour me donner la fessée quand elle me punit alors que nous sommes en bas. Lentement, je fis les deux pas qui me rapprochaient du lieu où se déroulerait la fessée qui m'était promise. Je savais bien que c’était ce qui m’attendait. Estimant, sans doute, que je n’allais pas assez vite, elle me prit par le haut du bras et elle m’allongea à plat ventre en travers de ses genoux.
« La fessée est loin d’être finie ! »
Mon torse reposait sur ses genoux. Seules ma tête et mes épaules dépassaient d’un côté, mais sans que j’aie à les soutenir en posant ma main au sol. De l’autre côté, mes pieds reposaient sur le sol et mes fesses étaient idéalement disposées pour que la main de ma compagne puisse y officier librement. Elle ne s’en priva pas.
Pour peu qu’il s’agisse d’une réelle fessée, la main convient tout à fait pour augmenter la température superficielle des fesses jusqu’à en ressentir une brûlure. Si l’échauffement de la paume de la main de ma compagne était au même niveau que celle de mes fesses, ma compagne n’en montrait nul signe. Mes cris et les battements dans l’air de mes jambes indiquaient à ma compagne que la correction qu’elle me donnait, faisait son effet. A ce moment-là, j’aurai promis n’importe quoi pour que ma compagne cesse la punition. C’est ce qui finit par arriver. Ma compagne m’aida à me relever.

« Va chercher la règle ! »
« Oh, non ! »
« Quoi ? Que dis-tu ? Qu'est-ce que j'ai entendu ? »
« Oui, oui, j’y vais ! »
« Elle est dans le sac bleu, dans la pièce à côté ! »
Je la trouvais sans peine. Quand je revins, ma compagne tendit la main. Je lui remis la règle. Elle me replaça alors à plat ventre en travers de ses genoux et sa main vint raviver la cuisson de mes fesses, qui était pourtant loin d’avoir disparue. Mes cris et mes battements de pieds reprirent.
A bout de résistance, je mis ma main droite sur mes fesses pour les protéger. C’est un geste bien inutile. Il n’interrompt la correction que de quelques secondes. Ma compagne saisit mon poignet et remonta mon bras dans mon dos. J’étais maintenant impuissant, mes fesses offertes à la punition, sans que j’y puisse quoique ce soit.
Il y eut une courte pause et c’est la règle qui claqua mes fesses. Je poussais un long cri et je me raidis sur les genoux. La règle claqua une deuxième fois sur l’autre côté. Je n’essayais même pas de compter combien de fois ma compagne abattit la règle sur mon postérieur. Parfois elle frappait régulièrement, puis, sans que rien n’ait pu me le laisser deviner, elle insistait cinq, dix fois au même endroit, puis elle changeait de cible. Ma compagne ne semblait ne faire aucun effort pour m’administrer cette fessée, autant que je pouvais en juger compte tenu de la position dans laquelle ma compagne m'avait mis. De là où j’étais, je ne voyais que ses jambes et les pieds de la chaise. Je ne cherchais pas à me relever, elle tenait mon poignet dans mon dos sans forcer, elle aurait sans doute pu sévir pendant un très long moment sans que je n’y puisse rien. La fessée fit cependant par cesser.
« Vas-tu obéir du premier coup, maintenant ? »
« Oui, Maman, oui, je vais obéir ! »
« Maintenant que tu es à plat ventre sur mes genoux, tu promettrais n’importe quoi ! »
Elle avait raison. Tout et n’importe quoi pourvu que cesse la punition.
« Eh bien, malheureusement, ce n’est pas déjà terminé ! »

Ma compagne recommença la fessée en utilisant de nouveau sa main. Là où était tombée la règle précédemment, c’était insupportable. Mes litanies et mes gesticulations reprirent. Je ne pouvais les maîtriser. Elles ne s’interrompirent que quand ma compagne reprit la parole.
« Es-tu certain d’avoir bien compris ? »
« Oui, Maman, oui, j’ai compris ! »
« Tu vas aller prendre ta douche sans rouspéter, maintenant ? »
« Oui, Maman, tout de suite ! »
Je n’étais pas du tout rassuré. En général, quand ma compagne me maintient en position disciplinaire, c’est qu’elle ne s’estime pas encore satisfaite par la fessée qu’elle m’a donnée. Cette fois-ci ne fit pas exception à la règle.
« Eh bien moi, je veux en être certaine ! »
La fessée avec la règle recommença. Je n’en pouvais plus, mais qu’y faire ? Il n’était pas question de quitter la position dans laquelle ma compagne m’avait placé et je ne pouvais rien faire d’autre que d’attendre qu’elle soit certaine que la fessée avait porté ses fruits et que je ne serai pas tenté de recommencer de sitôt.

Enfin ce moment arriva. Ma compagne m’aida à me relever.
« Va ranger la règle. »
Sans hésiter j’obéis.
« Viens-ici ! »
Je m’approchais d’elle, debout à côté de la chaise sur laquelle elle était encore assise. Mes fesses nues étaient à porté de sa main et je savais qu’elle pouvait encore les claquer à la moindre raison que je lui donnerai. Mon sexe nu était à hauteur de son visage, Mais ce n’était pas du tout une situation où l’érotisme avait sa place. Ni elle ni moi n'avions de doute sur ce sujet. J’espérais simplement en avoir fini avec cette fessée dont je ne pouvais que reconnaître le bien-fondé.
« J’attends, dit-elle ! »
« Je te demande pardon Maman. »
« Pardon pour quoi ? »
« Pour avoir rouspété et t’avoir obligé à répéter ton ordre. »
« Oui, et si tu recommences ? »
« J’aurai une autre fessée ! »
« C’est exactement cela ! A la douche, maintenant ! »
J’y filais sans demander mon reste.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Il y a eu d'autres punitions : voici la suivante


Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

27 commentaires:

  1. Bonjour JLG. C’est vrai que recevoir une bonne fessée déculottée quand on le mérite c’est la meilleure façon de nous faire filer droit et de nous ramener dans le droit chemin. Moi aussi je reçois la fessée et je n’ose pas en parler et pourtant je sais que je le mérite vraiment. Je me retrouve souvent en travers des genoux cul nu et je peux te dire que ça chauffe. Je vois que tu as désormais un coach, tu peux nous en dire plus. Pascal.

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    1. Bonjour Pascal,
      Je ne dis pas le contraire. J'aurais mauvaise grâce à prétendre que je ne méritais pas ces fessées. Quand ma compagne me punit, c'est toujours parce que j'ai eu un comportement immature et je lui suis très reconnaissant de ne pas se fatiguer de me fesser ainsi à chaque fois que j'en ai besoin.
      En ce qui concerne le coach, je vais lui demander ce que je peux rendre public sur lui et ses pratiques.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Moi c’est une dame qui me corrige lorsque j’en ai besoin, je l’appelle Marraine et je suis souvent chez elle, au moins tous les week-ends. Elle a en charge mon éducation et réprime comme il se doit mes bêtises. Elle est sévère mais je sais que cette sévérité est méritée et que j’en ai besoin, C’est souvent la fessée déculottée pour prix de mon immaturité. Pascal.

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    3. Bonjour,
      Votre situation ressemble beaucoup à la mienne, sauf que moi, je vis cette situation tous les jours. Ce n'est pas drôle de recevoir la fessée, mais je sais que quand ma compagne me la donne, c'est pour mon bien.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Bonjour JLG.
      Je suis Pascal, je crois qu’on se connaît déjà. Lorsque je vais chez Marraine, je dois lui rendre des comptes de tout ce que j’ai fait durant la semaine, y compris les bêtises. J’ai intérêt à ne rien oublier, sinon elle double la punition. Elle me gronde me prend par l’oreille et je me retrouve sur ses genoux déculotté prêt pour la fessée. Je n’ai pas intérêt à protester ni à protéger mes fesses avec les mains. Chaque fessé est vigoureusement claquée et les cuisses ne sont pas en reste. Marraine décroche aussi assez souvent le martinet pour cingler les fesses et les cuisses. Elle me demande parfois d’aller le chercher dans l’entrée et de le lui donner. La suite je la connais, culotte baissée et une bonne fouettée. Je peux dire que Marraine sait manier le martinet. Mes gérémiades et mes pleurs n’y changent rien, la correction doit à aller jusqu’au bout, c’est à dire jusqu’à ce que j’ai bien compris la leçon. Le pire c’est lorsqu’elle me donne la correction aux orties...ça brûle et pendant longtemps. Je n’ai pas encore été corrigé avec une règle plate, ça doit faire très mal. Elle n’hésite pas à parler à la voisine des fessées qu’elle m’administre et ça me fait bien honte. Mais je sais que j’ai besoin d’être puni. Marraine a la charge totale de mon éducation parce que je me comporte comme un gamin. Elle décide seule des punitions que je mérite. Je pourrai te raconter certaines de mes corrections si tu veux. Moi je n’ai pas de coach. Tu en as depuis longtemps... Pascal.

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    5. Pascal,
      Je ne sais pas si les fessées auxquelles tu fais allusion sont réelles. Il n'y a que celles-là qui entrent dans le champ de ce journal. Les autres, sont du fantasme. Comment pourrais-tu apporter la preuve de leur véracité ? Moi, je l'ai fait à mon coach.
      Par ailleurs, je n'ai un coach que depuis environ un mois. Il ne m'a pas encore donné la fessée, mais je crois qu'il l'envisage. Par contre, il m'a déjà puni et c'est ma compagne qui a administré la fessée.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Parce que ton coach envisage aussi de te fesser...? Je t’assure que mes fessées sont bien réelles et qu’elles sanctionnent mes mauvais comportements.

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    7. Pascal,
      Cela fait partie des choses qu'il a envisagée, effectivement, mais pour l'instant, rien n'est programmé.
      Puisque tes fessées sont réelles, ce serait bien que tu en publies le récit détaillé sur ce blog.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    8. Ce serait la première fois que je raconterais comment je suis corrigé étant adulte. J’ai déjà raconté des fessées d’ado. Ce récit je peux le faire en commentaire... Pascal

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    9. Pascal,
      Soit en commentaire, soit par courriel à mon adresse s'il est long. Je pourrai alors le publier sous forme d'article.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    10. Bonjour JLG.
      Je crois pour commencer que je vais faire un récit détaillé de l’une de mes dernières fessées sous forme de commentaire si ça te convient. Moi aussi je suis un grand garçon fessé. Bien sûr ce serait mieux que je t’adresse un mail mais il me faudrait alors une adresse dédiée. Pascal.

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    11. Pascal,
      Pour m'adresser un courriel, c'est simple. Il suffit de cliquer sur le champ "cliquez ici pour envoyer un courriel" que tu trouveras juste sous le dessin en haut à droite de cette page.
      Autrement, ça peut aussi se faire sous forme de commentaire, mais, dans ce cas, le contenu est lié à l'article qu'il commente.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    12. Merci mon cher JLG. Merci pour ta réponse rapide. Oui je sais comment on peut t’adresser un mail, c’est assez simple. Mais moi je n’ai pas de mail dédié et je sais que c’est ton cas. Alors je peux relater mon expérience sous forme de commentaire, pour commercer. Le contenu sera lié bien entendu à ton propre article. Mon comportement de gamin immature, l’éducation par Marraine qui en a la charge, les punitions et leur sévérité selon les écarts commis, le besoin d’être remis dans le droit chemin au moyen de fessées magistrales. L’efficacité de ces corrections méritées. J’espère que ce ne sera pas trop long.
      Au plaisir de te lire. Pascal.

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    13. Pascal,
      Il est très facile de se faire une adresse courriel dédiée sur un site gratuit (Gmail, la poste...), tout en respectant l'anonymat. Cependant, si tu m'envoies un courriel avec une adresse non anonymée, je m'engage à ne pas la diffuser.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    14. Merci. Je prépare un récit détaillé d’une de mes récentes fessées sous forme de commentaire. Moi aussi je suis un grand garçon fessé...
      Au plaisir de te lire. Pascal.

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    15. Au fait comment t’est venue l’idée de prendre un coach. Comment l’as-tu trouvé. Quel est son rôle réel. J’ai beaucoup d’interrogations a ce sujet mais tu n’est pas obligé de me répondre si je suis trop indiscret.
      Pascal.

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    16. Pascal,
      Ce n'est pas une idée qui m'est venue. C'est un concours de circonstances... qui devraient être publiées sur le blog la semaine prochaine si tout se déroule comme prévu. Autrement, ce sera un peu plus tard.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    17. Merci pour ta sincérité. J’attends ton récit avec impatience.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    18. L’idée d’avoir un coach m’interpelle. Surtout s’il doit lui aussi baisser la culotte du puni et le fesser... doit-il seulement donner des conseils sur l’éducation...?
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    19. Pascal,
      Je ne sais pas ce que font les coach en général. Le mien a une méthode propre à lui qui inclut la fessée déculottée qu'il administre lui-même aux personnes qu'il suit quand il estime qu'ils en ont besoin. Il ne se contente donc pas que de conseils.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    20. Tu sais j’aimerais bien moi aussi avoir un coach. Un coach qui prend vraiment les choses au sérieux et qui pourrait aussi au besoin déculotter et fesser le grand garçon que je suis. Comment as tu trouver le tien. Il faudrait que j’en parle avec Marraine mais je ne crois pas qu’elle voudrait partager son autorité.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    21. Pascal,
      Comme je l'ai déjà dit, Bernard est devenu mon coach à la faveur de discussions sur la fessée qui ont abordé la question de mon éducation et des punitions que me donne ma compagne. L'une de mes réponses, très désinvolte, lui a déplu et il a demandé à ma compagne de me donner la fessée pour cette insolence et désobéissance.
      Il détient une autorité permanente sur moi qui lui a été déléguée par ma compagne. Le coaching suppose effectivement, quand il y en a une, la collaboration de la personne qui donne habituellement la fessée. Ma compagne considère que cela fait partie du processus de mon éducation, de recevoir la fessée de la main des personnes, homme ou femme, envers lesquelles j'ai commis un écart.
      Il va de soi que si ta marraine ne veut pas partager son autorité, je ne vois pas comment faire.
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    22. C’est vrai et pourtant elle a autorisé sa voisine à me corriger si elle considère que c’est nécessaire. Bien sûr cela m’a fait honte. Mais ça prouve qu’elle pourrait aussi déléguer son autorité sur moi. A voir avec un coach peut-être... Comment as-tu trouvé ce coach... à l’occasion d’une discution sur ton éducation et sur la fessée. Mais comment est-ce possible. Ce monsieur Bernard savait déjà. Il était convoqué pour parler de ton éducation ? Le résultat ce fut quand même une fessée..
      Àu plaisir de te lire.
      Pascal

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    23. Pascal,
      J'attends (et je ne dois pas être le seul) toujours la suite des premiers échanges avec ta marraine qui t'ont conduit à plat ventre sur ses genoux, la culotte baissée et le récit de la fessée devant la voisine.
      Cela dit, mon coach a écrit une réponse à un article dont le titre était "qui a des témoignages des bienfaits de la fessée à l'âge adulte ?" sur le site Quora. Je lui ai répondu et il m'a proposé d'échanger par courriel, ce que j'ai accepté. La question de la fessée punitive que je reçois et qu'il donne était donc bien présente dès le début de nos échanges. Il avait lu mon texte sur Quora et les articles sur le blog "une bonne fessée".
      Peu à peu, nos sujets de conversation ont glissé sur mon comportement immature et il a adopté une attitude de coach tout en ayant directement pris contact, par courriel, avec ma compagne. La suite est déjà racontée dans une de mes précédentes réponses (voir ci-dessus).
      Au plaisir de te lire,
      JLG.

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    24. Tu as déjà fait paraître deux commentaires concernant mes premiers échanges avec Marraine et dont l’issue a été de me retrouver sur ses genoux à recevoir la fessée culotte baissée. La suite va arriver ne t’inquiète pas. Je veux être aussi précis que possible et ne rien oublier.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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    25. Pascal,
      Eh oui, j'attends la suite.
      Au plaisir de te lire,
      JLG

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    26. Je m’en occupe très vite sinon je risque d’être puni...
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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