lundi 17 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 16 avril 2023

 J’ai encore donné une raison, au demeurant parfaitement valable, à ma compagne qui l’a obligée à me donner la fessée. Je devrai plutôt mettre le mot au pluriel, car ce sont plusieurs fessées que j’ai reçues hier soir.

Cela faisait trois jours, presque quatre que je n’avais pas reçu de fessée. Ma compagne n’avait rien eu à me reprocher ou plus exactement quand elle m’avait réprimandé, cela ne c’était pas traduit par une fessée. Je voyais la fin de la journée arriver et je me disais que quatre jours de suite sans fessée, c’était plutôt rare. Effectivement, c’est tellement rare que ce n’est pas encore cette fois-ci que je pourrai m’en enorgueillir.


Nous étions à table pour le dîner. Ma compagne avait utilisé le couteau à pain qu’elle avait ensuite posé à côté de son assiette, de telle sorte que je ne pouvais plus l’attraper. Quand j’en ai eu besoin, je l’ai regardé et j’ai attendu qu’elle s’aperçoive qu’il me manquait quelque chose.

« C’est le couteau à pain que tu veux ? »

Je restais silencieux pour bien marquer qu’elle ne l’avait pas remis à sa place. Juste un petit reproche silencieux.

« Tiens, dit-elle en me le tendant ! »

Elle ne le lâcha pas quand je voulus le prendre. Je marquais un temps d’arrêt et je lui jetais un regard interrogateur.

« Je n’ai rien entendu, dit-elle ! »

Je savais ce que cela voulait dire. Ma Compagne trouve que, souvent, ma politesse laisse à désirer. Elle a donc résolu de m’obliger à dire « merci » ou « s’il te plaît » ou un autre petit mot que les adultes utilisent pour marquer leurs bonne manières et leur courtoisie vis à vis des autres.

« Je n’aurai pas eu à le dire si le couteau avait été à sa place, répliquais-je ! »

« Petit insolent ! »

J’avais sans doute été trop loin, mais il n’y avait plus moyen de faire marche arrière.

« Lève-toi ! »


Pas de doute, c’était le signe annonciateur d’une fessée. Plus le moment de discuter. Il fallait obéir.

Ma compagne m’a amené près d’une chaise qui était justement disposée là afin de pouvoir me donner facilement la fessée. Elle s’y assit et sans plus attendre elle me baissa le pantalon de survêtement, puis la culotte de pyjama. Comme nous mangions assez tard, ma compagne m’avait dit de prendre ma douche avant le repas du soir et de mettre mon pyjama. Par dessus, j’avais enfilé mon survêtement afin d’avoir chaud, bien qu’il faisait encore très chaud.

« Tu sais bien que toute insolence veut dire une fessée ! »

Je me tenais debout à droite de la chaise. Ma culotte baissée indiquait clairement ce qui allait se passer. Ma compagne m’allongea à plat ventre en travers de ses genoux. J’étais dans la position qu’elle souhaitait et sa main n’avait plus qu’à rougir mes fesses. C’est ce qu’elle fit, sans oublier le haut de mes cuisses qui eurent leur part de la correction.

« Est-ce que tu seras encore insolent ? »

« Non, Maman ! »

« Tu es sûr d’avoir bien compris ? »

« Oui, Maman ! »

Pour faire bonne mesure, elle rajouta quelques claques sonores sur mes fesses, avant de me relever. Ça n’avait pas été une très grosse fessée. Elle n’avait utilisé que sa main de sorte que dans quelques minutes je n’en ressentirai plus rien sur les fesses. Resterait pourtant le souvenir d’avoir très justement reçu une fessée déculottée.


Debout à côté d’elle, il ne me restait plus qu’à lui demander pardon.

« J’attends, dit-elle ! »

« Je te demande pardon, Maman. »

« Pardon pourquoi ? »

Je ne sais pas pourquoi j’ai hésité. Sans doute encore un peu de provocation face à son autorité qui m’avait obligé à capituler. A cette pensée, j’eus un petit sourire.

« En plus, dit-elle, ça te fait rire ! »

« Non, Maman ! »

Mais il était trop tard. Elle me remis à plat ventre en travers de ses genoux. Sa main trouva mes fesses sans problème et elle s’attacha à les rougir un peu plus et à y augmenter la cuisson. Elle y arriva sans problème et je le lui confirmais avec mes cris à chaque fois que sa main claquait mes fesses. Cette deuxième fessée fut au moins aussi longue que la première. Bien que mes fesses commençassent à chauffer très sérieusement, je pris bien garde à ne pas interposer ma main.

Fort heureusement, ma compagne décidé d’en rester là. Pas d’utilisation du martinet, de la règle ou de la brosse ? J’en serai quitte pour quelques minutes avec des fesses endolories.

Ma compagne me remit sur mes pieds. Debout à son côté avec ma culotte toujours baissée, je savais qu’il suffisait d’un rien pour que la correction reprenne. Il fallait faire profil bas.

« Est-ce que c’est suffisant, maintenant ? »

« Oui, Maman ! »

« Tu es certain qu’il ne faut pas que j’insiste un peu »

« Oh non, Maman, »

« Si c’est nécessaire, je n’hésiterai pas, tu le sais ? »

« Oui, Maman ; »

« Bien, j’attends ! »

Il n’étais pas question de recommencer la même erreur.

« Je te demande ardon Maman, »

« Pour quoi ? »

« Pour avoir été insolent »

« Et ? »

« Je ne le referai plus »

« Sinon ? »

« Sinon j’aurai une autre fessée. »

« Une autre fessée, c’est exactement cela ! »

Elle me remonta la culotte de pyjama et le pantalon de survêtement.

« Va finir de manger ! »

Je me réinstallais à table, sans demander mon reste.


Je croyais en avoir fini avec les fessée pour ce dîner. Ce n’était qu’une illusion. Moins de cinq minutes plus tard…

« Josip ! Tu manges encore la bouche ouverte ! »

C’est une habitude que je ne maîtrise pas qui horripile ma compagne et je dois avouer que je n’en suis pas fier. J’aimerai bien réussir à ne plus le faire.

« Combien de fois faut-il que je te le dise ? Je crois que ça ne suffit pas ! »

Il est vrai que ma compagne m’en a fait souvent la remarque. La dernière fois, c’était la veille, elle m’avait promis une fessée si je recommençais.

« Lève-toi ! »

La fessée était décidée et je n’avais rien à redire. Ma compagne avait parfaitement raison de passer à des arguments plus solides. Les remontrances orales n’avaient visiblement pas fait leur effet.

Elle me prit par la main et je la suivis. Il n’y avait pas plus de trois pas pour arriver à la chaise que nous venions de quitter il n’y avait pas plus de cinq minutes. Y prendre place et me baisser la culotte, ne lui prit que quelques secondes. Je patientais, debout à sa droite, les fesses nues.

« Je t’assure que tu vas perdre cette détestable habitude. Je vais m’en occuper. ! »

Je savais comment elle comptait s’y prendre. Mes fesses allaient être mises à contribution. En me tenant par le bras, elle m’allongea en travers de ses genoux. Nous y étions. La fessée pouvait commencer, plus rien ne l’empêchait. La première claque, forte, très forte, me prit cependant au dépourvu. On ne s’habitue jamais à recevoir la fessée.

La température des mes fesses grimpa rapidement. Non seulement la main de ma compagne s’y employait, mais je n’étais pas encore totalement remis des deux premières que j’avais prises juste quelques minutes auparavant. Il était inutile de tenter de rester stoïque. Je laissais mes cris remplir l’espace de la pièce où ma compagne m’administrait une fessée amplement méritée. Je ne pouvais qu’en convenir.

« As-tu bien compris ? »

« Oui, Maman ! »

Quelques nouvelles claques vinrent entretenir la fournaise qui avait pris place sur mes fesses.

« Tu en es sûr ? »

« Oui Maman ! »

« Bon, alors relève-toi ! »

Il restait la demande de pardon.

« Alors ? »

« Je te demande pardon, Maman ! »

« Oui et... »

« Je ne le referai plus. »

« J’espère bien. Et alors ? »

« Sinon j’aurai une autre fessée. »

« Oui et je peux te promettre que celle-là ne sera pas aussi clémente que celle que je viens de te donner. »

en moi-même, je me disais qu’elle n’avait pas été si clémente que cela, mais je gardais cette appréciation pour moi.

« Gare à toi si je te reprend à manger la bouche ouverte. Tu te souviendras alors de la fessée que je t’admiistrerai ! »

« Oui, Maman. »


Bien que ces fessées données très proches l’une de l’autre, avaient un effet cumulatif, je ne mis pas plus de quelques minutes à ne plus en ressenti le feu. C’est toujours le cas quand ma compagne utilise sa main pour me corriger. La brûlure est intense sur le moment, mais elle s’estompe rapidement, par contre, je me remémorai bien plus longtemps d’avoir eu la culotte baissée et d’avoir été puni à plat ventre en travers des genoux de ma compagne, comme un grand garçon immature que j’étais.

J’ai bien peur que Maman doive recommencer souvent à me fesser parce que je mange la bouche ouverte, mais j’ai aussi bon espoir qu’elle me guérira de cette vilaine façon de faire.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

13 commentaires:

  1. Et bien vilain garçon tu n’écoutes donc rien. Alors évidemment c’est la fessée déculottée. Reconnais que tu la mérites. Et encore tu n’as pas eu droit au martinet, une chance...
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. Moi, j’ai une question : même si je sais comment on peut vivre une fessed, je voudrais savoir comment on vit l’épée de Damoclès.
    Est il facile de se réveiller tous les matins en pensant que l’on va être battu ? Midevil (pseudo crée à la demande de Pascal en commentaire de l’article précédent)&

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    1. Bonjour Midvil,
      Je ne crois pas que je me réveille chaque matin en pensant que je vais être battu. Par contre, je sais que si je la mérite, je vais avoir la fessée. Il me semble que c'est très différent.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Tu as déjà reçu la fessée déculottée Midevil...?
      Pascal

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    3. Je partage totalement ton approche. Marraine ne m’a jamais battu, elle le donne la fessée lorsque je la mérite et c’est dans mon intérêt, pour mon éducation.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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  3. Trois fessées dans la même soirée. Et bien on peut dire qu’elle ne te rate pas compagne. Quand elle te baisse la culotte on peut dire que ce n’est pas pour rien. Elle t’as mis au coin en plus..,? Moi ça m’arrive souvent d’être mis au coin après la fessée cil nu et bien rouge et je n’ai pas intérêt à faire l’imbécile ou de faire la moindre réflexion,
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  4. Perso je trouve ces récits absolument passionnant.
    J'ai récemment échangé avec Josip pour avoir des conseils, je pense que ma compagne pourrait tôt ou tard me donner une vraie fessée.
    Pour le moment nous sommes au stade du jeu mais j'ai bon espoir, après les conseils de Josip d'arriver à une vraie correction.
    L'idée de recevoir de bonnes fessées déculottées plusieurs fois par semaine, voir par jour me fait très envie.
    A vous lire, A

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  5. Bonjour À.
    Tu es certainement sur la bonne voie. Moi aussi je le suis inspiré de l’expérience de Josip. Tu nous diras. On est impatients.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  6. Bonsoir JLG
    Je vois que tu es vraiment fidèle à l’engagement pris à l’égard de ton coach de nous relater en détail les causes et les circonstances dans lesquelles tu es déculotté et fessé par ta compagne. Encore ce matin j’ai pris connaissance avec beaucoup d’attention et le plus grand intérêt de ta punition d’hier soir. Sa sévérité ne m’étonne pas et tu dis toi même en toute objectivité l’avoir amplement méritée.
    Je vois que ton blog commence à rencontrer un certain écho qui, je n’en doute pas, va encore s’amplifier.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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  7. Pascal m’a demandé si j’avais déjà reçu une fessee decolottee. La réponse est oui bien qu’elle n’ait pas été punitive. Entre amis nous faisons des strip pokers qui se terminent de la sorte. La femme d’un ami à la main relativement lourde et rougit allègrement toutes les fesses qui passent à sa portée et j’y suis passé

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  8. Je viendrais volontiers participer à un strip poker, A.

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    1. Seul c’est impossible. En couple ça peut être étudié si amitié reciproque Midevil

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