mercredi 19 avril 2023

Courriels avec le coach - échanges de pratiques

En plusieurs articles, vous trouverez les échanges de courriel que nous avons faits avec Bernard, auxquels peu à peu ma compagne a pris part. Ils expliquent comment nous en sommes arrivés à un coaching intégrant la fessée déculottée. En effet, au début nous n'étions pas partis sur cet objectif qui s'est imposé peu à peu

Ce premier épisode est centré sur l'échange de pratiques entre Bernard, le coach et moi. L'idée d'un coaching à mon intention, comme les pratique Bernard n'était pas encore présente.

De : c*********@*******.fr

A : legall.josip35@laposte.net

Envoyé: jeudi 9 Mars 2023 16:36

Objet : Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

Bonjour Josip,

Je vous ai contacté sur Quora sous le pseudo Bernard Savarit, mais nous avions déjà échangé dans le cadre de votre site "une bonne fessée" sous mon pseudo "Doumik". Vous aviez publié à l’époque mon post et aviez transmis un message à Elena.

Comme coach, depuis quelques années et dans le cadre de ce que j'appelle un "coaching privé directif", j’ai pu aider un certain nombre de personnes, en général très responsables dans la plupart de leurs comportements en général, mais qui faisaient un blocage sur tel ou tel autre comportement (comme si toute leur capacité à se comporter pleinement en adulte était épuisée et qu’elles n’y arrivaient plus seules, au-delà d’une certaine limite). Dans ce cas, faire appel à moi pour être cadrées, avoir des conseils, des consignes, des échéances et recevoir d’authentiques fessées punitives en cas d’insuffisance les a aidées. J’ai notamment aidé une institutrice à passer le concours de professeur des écoles, une assistante sociale qui faisait en parallèle une thèse à la terminer, d’autres à maîtriser leurs dépenses ou gérer les questions administratives... 

Dans le cadre d’un échange d’expériences et de méthodes entre mes coachings et votre discipline conjugale, j'aimerais commencer par évoquer les à-côtés pédagogiques à la fessée elle-même. Je pense qu'une punition doit sanctionner à la fois la faute et la personne fautive, donc tenir compte du fait mais aussi de la personnalité de l’adulte puni(e). Par exemple, infliger un pensum par lequel on fera écrire 100 fois une phrase peut être très efficace si la phrase est ciselée en fonction de la faiblesse psychologique qui a conduit la personne au comportement fautif qu'elle aurait pu éviter. A la personne qui se laisse aller à jurer assez souvent, y compris en société, on peut lui faire écrire : « à  l'âge de xx ans, je dois maîtriser mon langage et ne pas jurer, a fortiori en présence d'enfants à qui on interdit de le faire ». Cette phrase souligne l'immaturité du comportement et renvoi l'adulte au fait qu'il ne devrait pas se comporter comme un enfant qui déjà n'a pas le droit de le faire. Ligne après ligne, cela va conduire le/la puni(e) vers l'humilité, l'évidence de la faute et la nécessité de la fessée annoncée qui va suivre. Après la fessée, lui faire déchirer lui-même le pensum et le mettre à la poubelle soulignera le fait que ça a été très long, très pénible, très vexant... pour finit à la poubelle, ce qui aurait pu être évité. Ce n'ai pas le moment douloureux de la punition, mais pédagogiquement cela peut se révéler très efficace.

 Avant de poursuivre, j'aimerais savoir si votre compagne pratique également des à-côtés à la fessée à vocation pédagogique et si oui lesquelles ? 

Bien cordialement,

Bernard  (Doumik)


De: "legall josip35" <legall.josip35@laposte.net>

À: c*********@*******.fr

Envoyé: Jeudi 9 Mars 2023 17:31:48

Objet: Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

B‌onjour Doumik ou Bernard, comme vous préférez.

Je ne vous avais pas reconnu sous votre nouveau pseudo quand vous avez laissé les messages sur Quora, mais c'était (l'incognito) sans doute le but recherché. Commençons par répondre à votre invite.

Ma compagne n'a pas théorisé, comme vous, les à côtés "pédagogiques" qu'elle pratique. Elle est plutôt dans une méthode instinctive qui, en plus de la fessée, repose sur des punitions écrites en lien avec la faute commise (une phrase à recopier, en général pour remplir un recto verso), ainsi que sur de longues mises au coin, souvent après une fessée. J'y ai donc, la plupart du temps, la culotte baissée. Je dois ensuite aller lui demander pardon et seulement à ce moment-là , elle me reculotte. Je peux vous assurer que cela conduit l'adulte que je suis, vers l'humilité. Il va de soi que ces fessées me sont d'une grande utilité... à moyen terme. A court terme, avec des fesses bien rouges et bien cuisantes, c'est autre chose. Et à long terme, je dois avouer que quand le souvenir de la fessée s'estompe, la punition reçue perd de son efficacité, ce qui oblige souvent ma compagne à renouveler la punition.

J'aimerais plus de précision sur votre activité de "coach privé directif". Les deux exemples que vous citez concernent des femmes. Ne vous occupez-vous que de personnes du genre féminin ? Vos coatching ne comprennent-ils qu'une séance ou reposent-ils sur plusieurs RdV ? Comment en êtes-vous arrivé à l'utilisation de punitions dans le cadre de votre activité ? Les personnes coatchées cherchent-elles prioritairement un coatch ou d'abord un fesseur ? Bref, comme vous voyez, je suis curieux d'en savoir un peu plus sur vos méthodes.

Je précise que ma compagne a lu votre courriel et ma réponse avant leur envoi.

Au plaisir de vous lire

JLG


De : c*********@*******.fr

A : legall.josip35@laposte.net

Envoyé: vendredi 10 Mars 2023 09:19

Objet : Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

Bonjour Josip,

 Oui, Doumik et Bernard sont des pseudos que j'utilise sur les différents sites pour préserver l'anonymat. Mon véritable prénom est Bernard; je vous propose de l'utiliser.

 Concernant le coaching (sans "t" s'il vous plait ;-) que je pratique depuis quelques décennies, je dois préciser qu'il s'agit d'un jardin secret qui équilibre ma vie mais qui n'est pas toute ma vie non plus. Il faut prendre tout le temps pour trouver la personne avec qui l'on est sur la même longueur d'onde et la distance géographique peut être un obstacle si l'on a pas l'occasion de se voir régulièrement, car on ne coach pas durablement à distance. Ensuite, il faut s'investir car c'est un engagement mutuel. Je le pratique donc sérieusement mais par intermittence.

 Le coaching fonctionne par objectifs précis et personnels pour lesquelles les personnes viennent me voir et que l'on définit ou précise en commun. Il dure donc "un certain temps" adapté à l'objectif et à la personnalité, jusqu'à réalisation de l'objectif (souvent jusqu'à ce que la bonne habitude soit prise). Un bon coaching est aussi un coaching qui s'arrête le moment venu parce qu'il a réussi.

 Les personnes qui viennent me voir ont en général le fantasme de la fessée, mais elle n'est pas administrée dans un contexte ludique mais à titre de punition réelle pour des insuffisances réelles, après avoir été dûment sermonné. Donc, je ne suis pas une machine à fesser mais bien un coach qui utilise la punition dans sa méthodologie, la fessée étant la punition par excellence pour un(e) adulte à mes yeux. 

 Dans la très grande majorité des cas j'ai coaché des femmes, mais à deux reprises des hommes. Dans le premier cas, à l'époque du minitel (je trahis mes 58 ans !), j'ai été en contact avec une secrétaire dont le pseudo était "inversion" et qui avait inversé le lien d'autorité avec son patron dans une toute petite entreprise. Dans la journée il avait l'apparence de la fonction, mais après ou hors la vue des employé(e)s il devait rendre des compte et prenait régulièrement la fessée. Elle a trouvé très amusant et pédagogique de me l'envoyer de temps en temps pour être fessé par un homme. Je dois dire que cul nu en travers de mes genoux, le patron ne faisait pas le malin ! Sinon j'ai également coaché un coach vocal qui avait été élevé au martinet et qui avait besoin d'une reprise en main pour régler certains problèmes personnels.

 Bien à vous,

 Bernard  


De: "legall josip35" <legall.josip35@laposte.net>

À: c*********@*******.fr

Envoyé: Vendredi 10 Mars 2023 11:42:33

Objet: Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

 B‌onjour Bernard,

Vos réponses sont effectivement très explicites. Cela éclaircie grandement, pour moi, ce que peut-être un coaching (sans T comme il se doit). J'ai encore, si vous le permettez, quelques questions :

Si je comprends bien, le coaching n'est pas votre activité principale. Vous vous y livrez de temps de temps. Est-ce une activité que vous pratiquez régulièrement ? En avez-vous un en cours actuellement ?

Vous parlez de la distance géographique comme d'un obstacle. Dans quel périmètre exercez-vous ?

J'ai compris que la fessée fait partie du processus d'accompagnement et qu'il s'agit de réelles punitions. Dois-je comprendre que vous baissez la culotte à chaque fois que vous sévissez ? Les fessées que vous donnez laissent-elles les personnes que vous coachez, les fesses cuisantes ? Considérez-vous qu'il faille que ces personnes extériorisent leur honte et leur douleur par des cris, des pleurs et des tortillements sur vos genoux ? Vous parlez, d'ailleurs de fessées en travers de vos genoux, est-ce la position dans laquelle vous mettez systématiquement les personnes que vous coachez pour les fesser ? Utilisez-vous des instruments punitifs pour renforcer la sévérité de la punition ?

Au plaisir de vous lire,

JLG


De : c*********@*******.fr

A : legall.josip35@laposte.net

Envoyé: samedi 11 Mars 2023 13:46

Objet : Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

 Bonjour Josip,

 Je pratique le "coaching privé directif" à titre de hobby strictement privé et ne prétends à aucune compétence d'ordre professionnel à ce titre, il s'agit juste d'une activité entre partisans des punitions d'adultes. Je le fais depuis des années mais coachée après coachée et pas en permanence. La Covid a pas mal perturbé l'activité. Actuellement j'ai une coachée mais de province donc les rencontres sont espacées. Avec mes coachées "provinciales" cela marche quand elles peuvent venir régulièrement à Paris (je suis parfois aussi allé chez elles), sinon c'est en région parisienne.

 Une fessée punitive administrée à une personne adulte doit être une vrai fessée pour un vrai motif, donc suffisamment cuisante, il ne s'agit pas d'un jeu de rôle mais d'un acte éducatif. En revanche je ne cherche les gémissements ou les pleurs par principe. Chacun à sa personnalité et son endurance et les pleurs sont plus le résultat de l'intensité de l'émotion et de la honte que de la douleur, ce n'est donc pas un critère pour moi.

 Outre la main, je dispose de deux "vrais" martinets de 6 et 8 lanières de cuir à section carrée (fabriqués par une coachée), d'un paddle de cuir et d'une (redoutée) badine de jonc. Outre la régressive position sur le genoux, je fesse aussi la personne penchée sur une chaise ou un bureau lorsque j'administre la martinet ou la badine.

 Je considère que la punition d'un adulte est un moment d'impuissance pendant lequel la personne punie cesse ponctuellement d'être un adulte de plein exercice et voit ses droits suspendus jusqu'à ce que la personne exerçant l'autorité décide de la fin de la punition. Il ne lui reste que le devoir d'obéir et la dignité d'assumer sa punition "comme un(e) grand(e)". Le déculottage me semble un élément nécessaire, non par rapport à la douleur qui ne varie pas beaucoup avec ou sans culotte, mais pour marquer la regression que constitue la fessée flanquée à une personne adulte. 

 Il y deux écoles. Je considère que faire se déculotter elle-même la personne punie (comme lui faire aller chercher le ou les instruments), c'est lui faire manifester qu'elle accepte la fessée qu'elle a mérité, c'est la responsabiliser dans l'exécution de la punition. C'est ce que je pratique en principe. Toutefois, si j'estime que le/la puni(e) non seulement n'a pas eu un comportement pleinement adulte, mais a eu un comportement totalement immature, alors la déculotter moi-même, c'est l'infantiliser à titre de punition supplémentaire.

 Je vois que votre compagne vous reculotte elle-même (donc vous déculotte au préalable j'imagine). Même si vous n'avez probablement pas le choix, comment le vivez vous personnellement en tant qu'adulte ?

 Par ailleurs, j'aime mettre des éléments symboliques dans les punitions. Dans la mesure où mes coachées sont fessées pour des comportements insuffisamment adultes, je leur demande de porter des petites culottes de coton blanc comme des petites filles. Elles ne peuvent porter à nouveau de la lingerie de femme, qu'une fois la séance de coaching terminée, après s'être mises en règle en adulte par rapport au comportement fautif. J'avoue ne pas avoir penser pour les hommes au slip kangourou à l'ancienne que portaient les garçons !

 Bien à vous,

 Bernard


De: "legall josip35" <legall.josip35@laposte.net>

À: c*********@*******.fr

Envoyé: Samedi 11 Mars 2023 18:34:18

Objet: Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

 B‌onjour Bernard,

Merci de vos réponses. Je retrouve beaucoup de paramètres entre les fessées que vous donnez et mes convictions qui correspondent, d'ailleurs, aux fessées que je reçois : un vrai motif révélant un comportement insuffisamment adulte qui engendre une vraie punition donc des fesses cuisantes, il ne s'agit jamais d'un jeu de rôle ; la culotte baissée pour déchoir du statut d'adulte ; l'utilisation éventuelle d'instruments punitifs. Je dois avouer que les fessées à main nue sont déjà bien assez cuisantes et je suis désespéré quand ma compagne va chercher un des instruments pour me punir. Je finis alors souvent au coin avec quelques marques sur les fesses que je ressens pendant quelques minutes à quelques heures suivant l'ardeur que ma compagne met dans l'utilisation de l'instrument

Par contre, il y a quelques différences . La fessée ne m'est donnée qu'à plat ventre en travers des genoux ou courbé sous le bras, jamais penché sur une chaise ou une table, même quand il s'agit de m'administrer le martinet ou la badine. Ma compagne considère que la position dans laquelle elle me met doit correspondre à la perte de mon statut d'adulte lors d'une fessée. Il n'y a pas de paddle en cuir, mais parfois, surtout en extérieur, les orties. Cependant, il arrive, pendant que ma compagne me baisse la culotte, que je reçoive des claques sur mes fesses nues debout à côté d'elle ou quand je suis au coin si elle n'est pas satisfaite de mon immobilité ou de mon silence

C'est bien ma compagne qui se charge de me déculotter, puis de me reculotter après la fessée la plupart du temps après un temps passé au coin. Je n'ai effectivement pas le choix. Là aussi, il s'agit de perdre le statut d'adulte, ce qui, comme vous le dites, est fondamental dans une fessée punitive. Se faire baisser la culotte sans avoir le choix, en tant qu'adulte, c'est un moment difficile à vivre. Je le ressens comme tel. C'est un moment important de la punition et je ne crois pas que ma compagne y renoncerait.

Pour ce qui est de la culotte, ma compagne m'impose de mettre des sous-vêtements blancs, dont un slip kangourou. Cela fait partie de la perte du statut d'adulte et comme vous, je n'insisterai jamais assez sur cette nécessité dans une fessée punitive.

Je suis assez curieux de savoir comment vous entrez en contact avec les personnes que vous coachez. Est-ce un choix d'avoir quasi uniquement des femmes ? Vous ne parlez pas de mise au coin ou au piquet, ne l'exigez pas des personnes que vous coachez ?

Au plaisir de vous lire,

JLG


De : c*********@*******.fr

A : legall.josip35@laposte.net

Envoyé: dimanche 12 Mars 2023 11:27

Objet : Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

 Bonjour Josip,

 Je vois que votre compagne a choisi pour vos fessées le mode opératoire qu'ont connu des générations de garçons : être déculotté par elle, à plat ventre sur les genoux et des slips blancs (dont l'intégrité est plus facile à contrôler). Ce niveau de regression dans la perte temporaire du statut d'adulte que constitue la fessée d'une "grande personne" est probablement ce qu'il vous faut pour que la punition soit efficace, ce qui est le but. 

 Je contacte mes partenaires par Internet sur les sites consacrés à la fessée (dont la durée de vie n'est malheureusement par éternelle !). Il est vrai que je cherche prioritairement des femmes mais, s'agissant de la fessée punitive, le sexe du ou de la punie importe peu car l'activité n'a rien de sexuel.

 Le moment de pénitence, au coin ou au piquet, est fondamental pour moi car il va permettre à la personne punie de prendre le temps de réfléchir à la question : pourquoi en suis-je là, isolé(e) cul nu et cuisant ? Je demande aussi à la coachée de réfléchir aux efforts qu'elles va faire pour ne pas reproduire le comportement fautif. Si elle n'est pas capable de me le dire de façon circonstanciée avec ses mots à elle, après un supplément de fessée elle retourne réfléchir au coin jusqu'à un nouveau questionnement. J'ai lu qu'en Asie, la pénitence pour humilier les enfants punis était de les faire mettre accroupis en se tenant le lobe des oreilles entre le pouce et l'index. Ce doit être assez efficace pour l'humilité et le sentiment d'impuissance, mais je n'ai pas encore essayé.

 Vous dites avoir parfois été fessé en extérieur par votre compagne, même si c'était à distance suffisante pour que les tiers n'assistent pas en face à face à votre châtiment. Je suis a priori opposé aux fessées devant un public non averti. Les principes que nous partageons ne le sont pas par tous et peuvent légitimement choquer d'autres personnes qui peuvent prendre votre déculottage pour de l'exhibition. En revanche, devant un public averti ou choisi, notamment de très proches ou la famille, pourquoi pas si vous êtes en confiance. J'ai lu des témoignages de couples pratiquant la discipline conjugal où la meilleure amie, la sœur, voire les parents ou beaux-parents étaient au courant ou avaient pu assister à une fessée.

 Cependant, en milieux "non averti", certaines choses sont possibles. Il m'est arrivé de reprendre - poliment, sans hausser le ton mais fermement - une coachée qui n'avait pas salué une ouvreuse au théâtre et de lui demander de s'excuser de façon circonstanciée. Elle l'a fait pour que je n'insiste pas en la menaçant de la fessée, mais la honte subie et le petit sourire entendu de l'ouvreuse valait largement une fessée. Avec une autre coachée, au restaurant et alors qu'elle n'avait pas fini son assiette, je lui ai dit que dans ces conditions elle était privée de désert. Elle ne m'a pas cru. Lorsque la serveuse a apporté la carte des desserts j'ai dit : "je prendrai une crème brûlée, madame n'a pas fini son assiette elle est donc privée de dessert". Je peux vous assuré que cela a été très efficace !

En ce qui vous concerne, vous arrive-t-il d'être repris devant des tiers par votre compagne de la façon dont on reprend des gamins lorsqu'ils ne se comportent pas comme il faut ?

Bien à vous,

Bernard 


De: "legall josip35" <legall.josip35@laposte.net>

À: c*********@*******.fr

Envoyé: Dimanche 12 Mars 2023 16:43:24

Objet: Re: Echanges sur nos conceptions et nos pratiques

 Bonjour Bernard,

Je ne sais pas si la fessée, telle que la pratique ma compagne est ce qu'il me faut, je m'en passerai bien volontiers, mais c'est diablement efficace pour me dissuader de recommencer, au moins à court terme la bêtise qui m'a valu la punition. Je constate que bien des situations auxquels vous soumettez vos coachées me sont également familières. Même si la plupart du temps je m'en passerai bien, je dois reconnaître qu'elles sont très pertinentes pour punir mes errements et m'en faire prendre conscience. Je reconnais dans vos pratiques, une grande partie du mode opératoire de ma compagne (la nature de la fessée, la mise au coin...). J'espère que je n'aurai pas à vivre de si tôt un de vos coaching. Je suppose que cela me ferait du bien en ce qui concerne mon comportement d'adulte, mais je me doute que, sur le moment, cela n'arrangerait pas l'état de mes fessées ni mon statut d'adulte.  

Une différence cependant : pour ma compagne, il s'agit de me punir au moment où l'écart est commis, y compris en extérieur (voir article publié il y a quelques mois sur le blog "une bonne fessée" : http://josiplegall35.blogspot.com/2022/07/qui-adulte-recoit-des-fessees-par.html‌. Les situations qui y sont décrites se sont réellement passées et il y en a au quelques autres, sans témoins heureusement), alors que vous pratiquez une fessée différée pour punir des écarts passés, même si la passé peut-être récent. C'est pourquoi je comprends que la fessée en extérieur ne fait pas partie de votre arsenal punitif. Dans un coaching, cela s'apparenterait plus à de la mise en scène. Alors que pour ma compagne, il s'agit de punir, sur le moment un écart au plus prêt du moment où il a été commis. Elle part du principe que les meilleures fessées, celles qui ont le plus d'efficacité pour éviter la récidive, sont celles qui sont administrées au plus prêt du moment où la faute est constatée. C'est pourquoi, dit-elle, la fessée en extérieur s'impose quand elle est possible, afin de ne pas tomber dans de l'exhibitionnisme, donc quand des personnes "non averties" sont loin où quand elles vont assister furtivement à la fessée déculottée. Elle ne s'est jamais heurtée à des protestations des spectateurs, mais il est vrai qu'elle fait attention.

Il est souvent arrivé que ma compagne me reprenne en présence de personnes que je ne connaissais pas, voire qu'elle me donne une petite claque sur les fesses. En général, à ces moments-là, je fais profil bas. Je ne peux pas protester, au risque qu'elle insiste et qu'elle me menace explicitement et à voix haute, d'une fessée, voire de me baisser la culotte. C'est très gênant en présence de tiers "non avertis". C'est difficile, dans ces circonstances de conserver une attitude d'adulte responsable. En général, je n'essaye pas. Je cherche plutôt à quitter les lieux aussi vite que ma compagne me le permet.

Quand vous parliez, dans un de vos précédents courriels, de l'obstacle de la distance pour les personnes qui habitent loin de la région parisienne, est-ce à dire que vous demandez systématiquement aux personnes que vous coachez de se déplacer ? Cela n'est-il pas un obstacle pour bon nombre de personnes?

Très souvent ma compagne me gronde après m'avoir déculotté. C'est infantilisant de devoir attendre, debout à son côté, la culotte baissée, qu'elle commence la fessée elle-même après un sermon qui met l'accent sur le motif qui justifie ma punition imminente. Est-ce une pratique que vous mettez également en place lors de vos coaching ?

 Au plaisir de vous lire,

JLG 


La suite, dans les jours qui viennent.

Si vous voulez lire les conséquences de ces échanges, c'est par ici

3 commentaires:

  1. Bonjour JLG.
    Merci pour cet échange de courriels avec ton coach Bernard. Ils donnent un éclairage plus précis et intéressant sur ses pratiques. Je vois qu’il hésite pas au besoin à baisser la culotte et à fesser ses coachés avec mise au coin. La tenue vestimentaire est également importante c’est vrai pour se sentir infantilisé et la fessée déculottée doit en être la conséquence. Je vois que les pratiques de ta compagne étaient déjà assez proches de celles de Bernard. En ce qui me concerne, Marraine est très rigoureuse dans les corrections qu’elle m’administre. Mais ces punitions sont souvent différées. Je passe beaucoup de temps chez elle mais je n’y suis pas en permanence. Lorsqu’on est ensemble la punition est immédiate, c’est la règle. Pour le reste, je dois lui faire rapport de tout ce que je fais en son absence et elle me questionne aussi beaucoup. Je reconnais l’efficacité réelle de l’éducation de Marraine. Elle n’hésite pas à me faire des observations devant d’autres personnes suivies remarques très allusives. Cela me fait un peu honte mais je n’insiste pas de crainte qu’elle ne devienne plus précise. Quant à la fessée déculottée en extérieur c’est sûr qu’elle me la donne et je la redoute. Mais pour l’instant je crois n’avoir été vu par personne, sauf peut-être un cycliste en vtt. La voisine de Marraine qu’elle connaît bien très bien et dont elle est proche sait comment elle me punit et y fait souvent allusion devant elle. Inutile de te dire que je fais profil bas. Jusqu’au jour où elle m’a déculotté et fessé devant sa voisine pour avoir été insolent.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. Ton coach Bernard dit Doumik je l’avais déjà lu sur le blog « bonne fessée » en décembre. Cela m’avait donné des idées mais je n’en ai jamais parlé à Marraine.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal.

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  3. De bonnes idées pour un coaching d'étudiants trop paresseux

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