jeudi 20 avril 2023

Journal d’un grand garçon fessé – jeudi 20 avril 2023

Je me demande si finalement, ce n’est pas l’insolence qui est mon comportement immature le plus grave ou tout du moins le plus fréquent. C’est, en tout cas, celui qui me vaut le plus de fessées.

Ce matin encore, j’aurais dû tenir compte bien plus tôt des avertissements verbaux et non que ma compagne m’a émis. Mais voilà, quand c’est comme ça, bien que je les voie et que je les identifie comme tel, je n’en tiens que rarement compte. Cette fois-ci, je ne l’ai pas fait.

Nous avions fini le petit déjeuner ce matin, moi un petit peu avant ma compagne, comme d’habitude. J’ai ouvert mon ordinateur pour relever mes courriels et mettre à jour le site « une bonne fessée » lequel a repris de l’activité depuis que j’y suis contraint, par mon coach et par ma compagne, d’y publier les récits des fessées que je reçois.

Ma compagne ayant fini, elle se dirigea vers la salle de bains, puis vers la chambre.

« Josip, viens refaire le lit ! »

« Mais attends, je réponds à ce commentaire puis je viens. »

« Il y en a pour deux minutes. Tu viens tout de suite ! »

« Oui, oui, j’arrive ! »

Je me replongeais dans l’écriture.

« Josip, je compte jusqu’à trois. Si à trois tu n’es pas là, tu auras une fessée »

C’est le genre de promesse que me fait ma compagne dont j’ai appris à tenir compte. Au début, je ne le faisais pas et j’ai vu bien souvent ma compagne fondre sur moi, me courber sous son bras, baisser ma culotte et me donner une fessée. C’était rarement de très grosses fessées, mais elles suffisaient pour me chauffer suffisamment les fesses pour m’inciter à l’obéissance.

« Un ! Deux ! »

« Voilà, je viens, je viens ! »

Je me hâtais de faire les quelques mètres qui me séparent de la chambre, pour bien montrer mon empressement à obéir. En passant je pris une bonne claque sur les fesses. A travers mon pantalon de pyjama, l’effet était modeste, mais il plaçait mon hésitation à obéir à sa place.

« Ça, c’est pour m’avoir obligée à me répéter ! »

Je ne protestais pas contre le traitement qui m’avait été infligé. Je m’en tirais à bon compte.

Nous fîmes le lit, chacun de son côté. Je savais qu’avec mon argumentation déplacée, j’avais indisposé ma compagne et que je n’étais pas passé loin de la fessée.


Je retournais à mon ordinateur et je finis la réponse à l’un des commentaires de la soirée d’hier. Ma compagne se préparait à partir. J’étais encore en pyjama.

« Il est temps que tu te prépares pour aller faire les courses, me dit ma compagne. »

C’est moi qui devait aller acheter ce qui manquait à la maison et pour les semis du potager.

« As-t-u fais la liste ? »

Sur mon téléphone, je fais toujours la liste de ce qui doit être acheté. C’est une façon de ne rien oublier, mais aussi de ne rien acheter qui n’est pas essentiel. Les supermarchés sont conçus pour nous inciter à consommer, en particulier ce dont nous n’avons pas besoin.

« Ah, oui, une liste, répliquais-je, c’est une bonne idée ! Je n’y avais pas pensé. »

Le ton ironique que j’avais pris n’a pas échappé à ma compagne. C’était de trop. Elle fonça sur moi et me fit passer sous son bras gauche puis elle resserra son étreinte autour de ma taille. Une main suffisait pour me baisser la culotte de pyjama.

« Je crois que ce n’est pas le jour pour faire de l’humour à deux balles, lança-t-elle ! »

« Mais je n’ai rien fait ! »

Ma compagne ignora ma supplique. Sa main claqua mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. La fessée n’était donnée qu’à main nue, mais elle cuisait. Je commençais à gigoter et à me relever un tout petit peu.

« Tu restes là et tu te penches bien, ordonna-t-elle ! »

Je repris la position dans laquelle elle m’avait mis.

« Plus tu bouges, plus la fessée durera longtemps. Si tu restes en place, ce sera plus vite fini. »

Je pris sur moi pour rester immobile, malgré la main qui claquait mes fesses, suffisamment fort pour en augmenter considérablement la température.


Ce ne fut, heureusement, pas une grosse fessée. La réelle cuisson que je ressentis, s’estompa en quelques minutes, mais la leçon était comprise. Après que ma compagne m’eut remonté le pantalon de pyjama, je ne pipais pas mot.

« Va te laver les dents et t’habiller ! »

J’obéis tout de suite. Ma compagne avait mis fin à ma tendance à hésiter à obéir.

« Une fessée dès le matin, tu commences bien la journée ! »

J’allais devoir faire attention à ce que je disais jusqu’au soir.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.


1 commentaire:

  1. C’est vrai que la désobéissance débouche souvent sur l’insolence. Et dans ces conditions c’est sur la fessée s’impose. Marraine me gronde souvent pour mes insolences de gamin. Alors c’est souvent que je me retrouve ployé sous son bras gauche ou allongé sur ses genoux culotte baissée pour une bonne fessée. Et lorsque je persiste, c’est le martinet qui entre en scène.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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