Journal d’un grand garçon fessé – samedi 22 avril 2023

Ma compagne n’avait pas beaucoup de temps, mais elle tout de même pris ce qu’il lui fallait pour me donner deux fessées pendant le repas. En plus, celles-là, je ne les ai pas vu venir. Mais à la réflexion, elles étaient méritées… comme toujours.

Nous étions à table et la conversation vint sur l’habitude que j’ai d’ouvrir la bouche quand je mange. Ma compagne m’a prévenu qu’elle me la ferait passer de gré ou de force. Le problème pour moi, c’est que je ne m’en rends pas compte.

Ma compagne m’en a parlé il y a longtemps. Nous avons convenu, tous les deux, que c’était une manie fort peu agréable pour les autres convives. Et je lui ai avoué que je voudrais bien m’en passer, mais que je n’y arrive pas. Quand je fais attention, tout va bien, mais dès que je relâche ma concentration, je me laisse aller. Ma compagne avait pris l’habitude, dès qu’elle constatait que je mâchais la bouche ouverte, de me faire les gros yeux. Aussitôt, je rectifiais ma mastication. Parfois, elle devait m’en faire la remarque deux ou trois fois dans un même repas. Parfois, pas du tout. C’est très irrégulier.

Malgré toutes ces remarques, de temps en temps, la mauvaise habitude revenait. Hier, ma compagne m’a annoncé qu’elle allait changer de méthode et que j’aurai une fessée à chaque fois qu’elle me surprendrait la bouche ouverte pendant que je mange.


Ce midi, elle me faisait la remarque que j’avais fait attention pendant tout le repas. Nous en étions au dessert.

« Tu vois, quand tu veux, tu arrives à faire attention ! »

Je haussais les épaules.

« Oui, mais quand j’oublie, de toute façon, je ne risque pas grand-chose ! »

Précédemment, elle n’avait pas mis sa menace à exécution et je m’en étais tiré avec les gros yeux habituels.

« Depuis quand oses-tu me répondre de cette façon ? »

Oui, il est vrai que ma remarque était un peu insolente. Pas qu’un peu aux dires de ma compagne. Elle contourna la table.

« Lève-toi, ordonna-t-elle ! »

Son intention était on ne peut plus claire.

« Mais je n’ai rien fait. On discutait juste et tu te fâches ! »

« Tu es insolent, et ça, ça mérite une fessée ! »

Elle tira sur mon bras et je me levais. Sans plus attendre, elle me courba sous son bras et elle descendit mon pantalon. Ma culotte suivit sans tarder. Les claques sur mes fesses, maintenant dénudées, résonnaient dans la pièce.

Elles étaient suffisamment fortes pour que je cherche à les éviter, en me tortillant sous son bras et en me relevant à chaque fois que sa main claquait mes fesses. Cela eut le don d’irriter ma compagne encore plus. Elle tient à ce que je prenne ma fessée sans lui causer de difficulté, aussi forte la correction soit-elle. Quand je suis courbé sous son bras, c’est là où je dois faire le plus d’effort pour laisser mes fesses à disposition de sa main.

« Reste penché ! Je ne veux pas que tu bouges ! »

Je serrai les dents, mais ça ne dura pas très longtemps. Bientôt j’accompagnais chacune de ses claques par un cri.

Quand nous sommes à l’extérieur de la maison, ma compagne ne trouve pas toujours un endroit pour s’asseoir et me coucher en travers de ses genoux. Elle me donne alors la fessée après m’avoir courbé sous son bras et je dois attendre, dans cette position, qu’elle estime que ma fessée m’a fait apprendre ma leçon. Je peux donc recevoir une très grosse fessée dans cette position.

A la maison, ce n’est pas pareil. Il y a toujours un endroit pour s’asseoir et alors ma compagne me tient bien mieux, surtout pour les grosses fessées. Je sais donc que quand elle me prend sous son bras, c’est que je vais recevoir une petite fessée. Cela ne l’empêche pas de ma déculotter et les claques sur mes fesses ne sont pas anodines. Mais cela ne dure jamais très longtemps. Suffisamment pour que mes fesses s’échauffent et que je crie de douleur, mais ma compagne s’en tient généralement là. Cette fois encore, ce fut le cas.

« La fessée a-t-elle été assez forte pour te faire passer l’envie d’être insolent ? »

« Oui, Maman ! »

Elle remonta ma culotte et mon pantalon et je pus reprendre ma place sur ma chaise… avec des fesses endolories, mais c’est le but recherché quand ma compagne me donne la fessée.



J’avais à peine eut le temps de manger trois bouchées quand ma compagne s’exclama.

« La bouche ! Ferme ta bouche quand tu manges ! »

Je lui obéis instantanément, mais ce ne fut pas suffisant. Elle se leva et vint me chercher sur ma chaise en me prenant par la main.

« Tu sais ce que je t’avais promis ! »

Oui, je savais et cela ne me réjouissais pas. Je suivis ma compagne qui prit place sur une chaise qui était positionnée exprès pour donner la fessée. Elle me mit à sa droite et elle baissa mon pantalon, puis ma culotte. M’empoignant par le bras, elle me coucha à plat ventre en travers de ses genoux.

« Ce sera comme ça à chaque fois que tu ne mangeras pas correctement ! »

La fessée commença. Je savais que j’allais la sentir passer. Ma compagne en possédait parfaitement la technique et l’endurance. Elle n’avait pas décidé d’utiliser un instrument punitif, mais sa main suffisait à transformer mes fesses en une fournaise. Allongé sur ses genoux, je lui laissait mes fesses parfaitement disposée pour sa main. Seuls le bout de mes pieds touchaient le sol, ce qui ne me donnait que peu de possibilité pour me dégager de la position dans laquelle elle m’avait mis.

Bientôt la douleur sur mes fesses fut ma seule préoccupation. Elle ne cessait de croître et je ne pouvais que crier ma douleur entrecoupé de temps en temps par une demande de pardon. Rien n’y faisait. La fessée continuait. Elle dura bien trop longtemps à mon goût, mais ma compagne ne partageait pas cet avis.

Enfin, l’avalanche de claques sur mes fesses cessa.

« As-tu bien compris qu’on ferme la bouche pour manger ? »

« Oui, Maman ! »

Elle distribua quelques généreuses claques supplémentaires sur mes fesses.

« En es-tu certain ? »

« Oui Maman, oui ! »

« Tu sais ce qui se passera la prochaine fois que je te prendrai à mâcher la bouche ouverte ; »

« Oui, Maman ! »

« Qu’est-ce qui se passera ? »

« J’aurai une autre fessée ! »

« Oui, une autre fessée, bien plus sévère que celle que tu viens de prendre. »

Pour faire bonne mesure, elle asséna quelques fessées également réparties des deux côtés.

« C’est bien compris ? »

« Oui Maman ! »

Toute cette conversation se déroulait alors que j’étais encore à plat ventre en travers de ses genoux. J’avais parfaitement le sentiment de ma vulnérabilité. La fessée pouvait reprendre à n’importe quel moment si ma compagne ne se trouvait pas satisfaite de mon attitude ou de mes réponses. De mon côté je n’étais pas encore certain que la fessée était terminée.

Ma compagne m’aida à me relever, puis elle me reculotta.

« Va finir ton dessert ! »

Je m’assis précautionneusement à ma place. Je savais, par expérience, que la cuisson ne durerait pas, mais pour l’instant, elle était encore très vive en j'en avais pour une bonne dizaine de minutes. Je m’abstint de toute remarque. Les fesses douloureuses, c’était une conséquence normale d’une fessée.

D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.