lundi 1 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 30 avril 2023

Huit jours sans fessée, sans doute pas loin d’un record, ça ne pouvait pas durer. Et ça n’a pas duré. Ma compagne a dû sévir hier soir et je dois vous en faire le récit aujourd’hui. Cela fait partie de ma punition.

Je commençais à croire que la fessée ne me concernerait plus. Huit jours. Si on y regarde bien, ce n’est pas si long, mais je commençais à m’y habituer.

Je prenais ma douche. Nous étions le soir, après le dîner. J’avais quasiment terminé. Je portais mon peignoir de bains. Je finissais de me sécher quand ma compagne est entrée dans la salle de bains.

« Es-tu bien essuyé ? »

« Oui, Maman, je me suis séché partout. »

« Je vais vérifier. »

Habituellement, je la laisse faire, mais là, j’ai sans doute voulu lui montrer que je savais me comporter comme un grand.

« Ce n’est pas la peine, c’est fait ! »

Poursuivant son idée, ma compagne a voulu m’ôter le peignoir. Je ne l’ai pas laissé faire, remettant en place d’un côté ce qu’elle avait fait de l’autre.

« Tu vas prendre une fessée, m’avertit-elle ! »

Cela ne suffit pas pour me faire renoncer. Mais ma compagne n’avait pas l’intention d’en laisser les choses là. Face à mon entêtement, ma compagne a soulevé l’arrière de mon peignoir, dévoilant mes fesses nues. Une première claque est partie, atterrissant sur mes fesses.

« Aîe ! »

Elle avait été assez forte pour m’obliger à émettre une courte plainte. J’interposais ma main juste à temps pour amortir la seconde claque. Elle recommença peut-être deux ou trois fois, mais j’arrivais, presque à chaque fois à couvrir une partie suffisamment grande de mes fesses pour amoindrir l’efficacité de la fessée.

« Tu enlèves ta main ! »

Je tardais à obéir.

« Tu enlèves ta main ou bien c’est une longue fessée que tu vas prendre et non pas une petite claque ! »

Petite, il fallait le dire vite. La main de ma compagne savait me chauffer les fesses, même quand elle ne me courbait pas sous son bras ou qu’elle ne m’allongeait pas sur ses genoux. J’ôtais tout de même ma main, préférant une claque sur les fesses à une fessée en bonne et due forme.

Quatre ou cinq fois, la main de ma compagne claque mes fesses nues.

« Aïe ! Tu avais dit une seule claque ! »

Deux autres fois la main de ma compagne s’abattit sur mes fesses, confirmant ainsi son droit à me fesser.

« Et comme ça, c’est mieux ? »

Je ne demandais pas mon reste. J’ôtais le peignoir et je voulus prendre mon pyjama, espérant, si j’allais assez vite, échapper à une correction qui s’annonçait. Mais il n’y avait pas de pyjama à sa place habituelle. Celui-ci avait été mis à laver et il fallait aller en chercher un autre. J’avais déjà fait deux pas vers la porte de la salle de bains, quand je fus rattrapé par une admonestation de ma compagne.

« Je n’ai pas fini ! Tu restes ici ! »

J’ignorais cette dernière consigne et je sortis, presque en courant, de la salle de bains.



J’eus tout juste le temps de prendre un pyjama propre, mais pas de l’enfiler. Ma compagne me l’ôta des mains et le posa sur le lit.

« Mais, il faut que je mette mon pyjama ! »

« Et en plus, tu réponds ! Tu viens ici ! »

Toujours en me tenant par la main, elle m’entraîna vers le lit. Il n’y avait plus de doute sur ses intentions. Elle s’y assit et me tirant par le bras, elle m’obligea à me coucher sur sa cuisse gauche, offrant mes fesses nues à la fessée qu’elle avait résolue de me donner. Je tombais à plat ventre exactement là où elle le souhaitait. Poser son coude au milieu de mon dos ne lui prit qu’une fraction de seconde. Il aurait alors fallu que j’utilise notre différence de poids pour me libérer, mais ça, c’est totalement inimaginable. Je savais que j’avais donné à ma compagne un légitime motif de punition et que j’avais mérité une fessée.

Ma compagne s’y attela.

Sa main claqua régulièrement mes fesses, d’un côté puis de l’autre. Elle y mettait suffisamment de cœur pour que, dès le début de la correction, j’exprimais la douleur qui embrasait mes fesses, par des cris sonores.

Ce ne fut pas une fessée bien longue, plutôt une des plus courtes que ma compagne m’ait administré ces dernières semaines. Mais cela suffit à me faire revenir à une obéissance sans faille. Mes fesses étaient brûlantes là où sa main était tombée.

« J’espère que tu as compris ! »

« Oui Maman. »

Je n’avais plus du tout l’intention d’exprimer un quelconque désaccord, sachant que si je persistais, la prochaine fessée serait bien plus sévère que celle que je venais de recevoir. Il était préférable de s’en tenir là, C’est ce que je fis.

« Mets ton pyjama et au lit ! »

Il ne me fallut pas trente secondes pour obéir à ma compagne.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente 

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

6 commentaires:

  1. Bonjour,

    Faisant partie des personnes qui reçoivent encore la fessée à l’âge adulte, je me permets d’apporter mon propre témoignage sur ce blog. Il faut dire que je suis encore puceau et totalement immature sur le plan sexuel. Dans mon cas, il ne s’agit donc pas de discipline conjugale, vu que je ne mène pas une vie de couple, mais d’une pratique de type bdsm.
    Bien que la fessée m’attire depuis longtemps, ce n’est que l’année dernière que j’ai enfin trouvé l’opportunité et le courage de faire le pas. En effet, suite à des recherches sur internet, j’ai pu entrer en contact avec une dominatrice dont le spanking est justement la spécialité. Deux séances très réussies avec elle, où elle m’a déculotté et fessé tout nu, m’ont convaincu de la nécessité d’avoir une maîtresse exigeante, capable de réguler quelque peu ma sexualité désordonnée. Par exemple, quand je suis très excité, il m’arrive de prendre congé pour me masturber au lieu d’aller travailler. Maintenant, grâce à ma maîtresse, ce genre de procédé indigne d’un adulte responsable est dénoncé et ne reste donc plus impuni.
    L’année dernière, alors que je consommais de la pornographie sur internet, il m’est arrivé de graves problèmes informatiques accompagnés d’un chantage financier, qui m’ont obligé à changer d’ordinateur. Même si les conséquences se sont avérées finalement moins graves que prévu, j’ai eu suffisamment la trouille pour m’engager auprès de ma maîtresse à ne plus jamais surfer sur des sites porno. Elle m’a alors assuré que si je récidivais, elle n’hésiterait pas à me fesser à poil devant un maximum de filles. Comme elle l’a fait pour d’autres élèves récalcitrants, il est certain qu’elle passera à l’acte. Autant dire que je me tiens vraiment à carreau dans l’immédiat !

    Merci à celles et ceux qui me liront et laisseront un commentaire.

    Jean Neymar

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  2. Bonjour Jean Neymar.
    Je vois que tu es vraiment attiré par la fessée. C’est aussi mon cas. C’était un fantasme que tu avais depuis longtemps...? Etais tu fessé étant gamin ou ado...? Test il arrivé de pratiquer l’auto-fessée avant de te masturber.
    Bien à toi.

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    1. Bonjour,
      N’ayant reçu qu’une seule fessée vers 6 ans, je ne me suis pas préoccupé de cette question pendant longtemps. A la base, mon domaine de spécialité c’est l’exhib, que je pratique dans le cadre du nudisme sauvage (baignades, ballades en forêt). Le fantasme de la fessée est apparu progressivement il y a une dizaine d’années, sans pour autant constituer une obsession au départ. Sa réalisation pratique m’apparaissait insurmontable à l’époque. Il est vrai cependant que j’ai une forte sexualité anale, ce qui n’est pas surprenant de la part d’un puceau. Par contre, j’ai toujours considéré l’auto-fessée comme étant sans intérêt, peu pratique et ridicule.
      Avec les restrictions dues au Covid, mes perspectives d’exhib, spécialement à l’étranger, se sont fortement réduites. Il a fallu donc trouver d’autres moyens de vivre une sexualité déjà très limitée. Ne pouvant rien n’attendre d’une relation de couple, vu mes propres incapacités et mon cadre de vie pourri, j’ai commencé à envisager sérieusement une relation asymétrique avec une femme dominante et expérimentée. De plus en plus, j’ai ressenti un fort besoin d’être coaché et corrigé pour mes comportements sexuels immatures, voire scandaleux. La difficulté était d’admettre qu’en tant qu’adulte je doive confier à une personne de sexe opposé la charge de me discipliner de façon particulièrement humiliante. Mes réticences de départ (douleur physique et sentiment de honte) ont été finalement assez vite surmontées. Ma condition de puceau, c’est-à-dire de non-adulte sexuel, rendait la fessée tout à fait adaptée à mon cas et acceptable pour moi. D’autre part, j’ai un physique qui convient très bien à cette pratique (assez mince, peu musclé, bassin étroit, jolies fesses toutes lisses). Ma maîtresse, qui est bien plus robuste que moi, peut alors me corriger sur ses genoux très confortablement, alors que mes jambes et mes mains ne touchent même pas le sol.

      Jean Neymar

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  3. Bonjour jean Neymar.
    Moi aussi je reçois la fessée déculottée et c’est Marraine qui me l’administre. C’est elle qui se charge de mon éducation. La fessée m’est administrée dans un but punitif. Elle me corrige chaque fois que mon comportement le justifie. Je sais que mon immaturité justifie une sévère reprise en main et le fessée est la plus efficace des méthodes éducatives. Elle a fait ses preuves...
    Pascal

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    1. Bonjour Pascal,
      Tout à fait d’accord avec vous. Quand on n’est pas capable de se discipliner, il faut se mettre sous la tutelle de quelqu’un. Dans mon cas, ça ne concerne que la sexualité.
      Lorsqu’elle me corrige, ma maîtresse ne se contente pas de me déculotter, mais me confisque tous mes vêtements. Si ce n’est pas votre cas, demandez à votre marraine pourquoi. Selon ma maîtresse, la nudité totale fait partie de la punition et renforce le sentiment d’indignité, nécessaire à la prise de conscience de la faute.
      Durant les phases de mise au coin, la dominatrice profite de me réprimander. Elle me parle de la fessée devant tout le monde, réservée aux fautes très graves. En fait, il s’agit d’une fessée donnée dans un lieu discret et sécurisé, et devant un public averti, essentiellement des femmes. C’est la honte garantie!
      Cordialement,
      Jean Neymar

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    2. Bonjour Jean Neymar.
      En ce qui me concerne Marraine m’administre la fessée punitive. Étant un adulte immature j’ai vraiment besoin qu’elle m’éduque avec la sévérité nécessaire. Chaque écart est aussitôt sanctionné et je sais que je mérite d’être corrigé. Marraine me baisse la culotte et je me retrouve cul nu coincé sous son bras ou sur ses genoux. C’est une position humiliante et qui rend la fessée d’autant plus efficace. Il lui arrive même de me déculotter en extérieur, mais je pense n’avoir été vue par personne sauf peut-être un jour lors d’une balade par un cycliste mais je n’en suis pas sûr car il était un peu loin.
      Une exception, Marraine m’a déjà fessé déculottée devant sa voisine et lui a donné la permission de me corriger si nécessaire.
      Au plaisir de te lire.
      Pascal.

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