samedi 6 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 6 mai 2023 – 18h45

Il y a des jours comme ça où une seule fessée ne suffit pas. J’en ai reçu une deuxième en cette fin d’après-midi. Tout a commencé au cours d’un moment de calme et de tendresse, mais cela n’a pas duré.


Je ne sais pas ce qui a attiré l’attention de ma compagne. Est-ce la culotte ? Est-ce le tee-shirt ? Est-ce les chaussettes ? Ce matin, après avoir reçu la fessée qui est décrite dans l’article précédent, le petit déjeuner achevé, je suis allé m’habiller. A aucun moment, je n’ai pensé que nous étions le samedi. Or, le week-end, ma compagne exige que je porte des sous-vêtements blancs. C’est plus facile, dit-elle, d’en contrôler la propreté. Et c’est vrai que la moindre tâche se voit tout de suite sur le blanc alors que ce n’est pas aussi évident quand, le reste de la semaine, je mets des sous-vêtements noirs.

J’ai donc mis une culotte, un tee-shirt et des chaussettes de la même couleur qu’habituellement. Sans y penser.

Je n’y songeais pas du tout quand ma compagne m’a apostrophé. Il faut dire que j’avais déjà la culotte baissée, mais ce n’était pas pour une fessée.

« Dis-moi, Josip, nous sommes bien samedi ? »

« Oui répondis-je laconiquement. »

Je ne voyais pas où elle voulait en venir.

« Et samedi, c’est bien le week-end, non ? »

« Oui, c’est le week-end. »

« De quelle couleur doivent être tes sous-vêtements le week-end ? »

Là, j’avais compris de quoi voulait me parler ma compagne. J’étais dans une situation délicate.

« Blancs, ils doivent être blancs ; »

Je tentais de me montrer coopératif, espérant ainsi échapper à la fessée qui m’était promise.

« Et les tiens, sont-ils blancs ? »

« Non, Maman. J’ai oublié ! »

« Oublié ? Comme la semaine dernière si je ne me trompe pas. Tu avais aussi oublié. »

Je ne savais plus si une confirmation des dires de ma compagne allait l’encourager à sévir ou s’il fallait essayer de me trouver des excuses. Dans le doute, je restais silencieux.

« La semaine dernière, je ne t’ai pas puni pour avoir oublié. Sans doute as-tu cru que ce serait pareil aujourd’hui ? »

« Non, Maman. »

« C’est bien ce que je pensais. Tu vas donc avoir une fessée. »

Il n’y avait rien à dire. La conclusion de ma compagne tombait sous le sens et je ne voyais pas ce que je pouvais dire sans aggraver la correction qui m’attendait.


« Va me chercher la règle. »

Les choses s’engageaient très mal. La règle allait renforcer la sévérité de la fessée. Il ne me restait plus qu’une solution : faire profil bas et obéir strictement à ma compagne en subissant la fessée qu’elle prévoyait.

Le pantalon et la culotte baissés, je marchais vers la chambre où se trouvait la règle. J’avais conscience du ridicule de ma démarche dandinante, mais l’heure n’était pas à la négociation.

Quand je revins, ma compagne avait positionné une chaise sur laquelle nous allions prochainement prendre place tous les deux, mais pas dans la même position.

« Viens ici ! »

Elle se tenait debout à côté de la chaise. Elle tendit la main, je lui remis la règle qu’elle posa. Cela annonçait en premier une fessée à main nue. Ma compagne entoura ma taille de son bras gauche et je la laissais me courber sous son bras, lui donnant libre accès à mes fesses. Sa main droite claqua alors mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. Elle continua ainsi, au même rythme, pendant quelques minutes. Cette fessée à main nue avait suffi pour m’échauffer les fesses et je commençais une danse d’un pied sur l’autre, comme si cela pouvait atténuer la fournaise qui prenait place sur mes fesses.

« Tu ne te relèves pas ! Penche-toi correctement ! »

Recevoir une fessée courbé sous le bras est paradoxal. Que ma compagne n’utilise que sa main ou qu’elle recoure à un instrument punitif, très rapidement, la cuisson qu’elle faisait naître sur mes fesses donne envie de se relever afin de mettre fin à la punition. Il va de soi que notre différence de poids entre ma compagne et moi, me le permettrait. Ce n’est pas une position où la personne qui donne la fessée, même quand il y a une grande différence de taille et de poids en faveur de cette dernière, peut maintenir immobile celui ou celle qu’elle punit. Dans cette position, il faut que le ou la punie reconnaisse la légitimité et la nécessité de la fessée qu’il ou elle reçoit.

Malgré la douleur qui embrasait mes fesses, je ne résistais pas quand ma compagne m’obligea à me courber encore plus que je ne l’étais. J’avais une main posée, par derrière, sur le haut de sa cuisse droite , mon bras gauche passant par dessus son bassin et l’autre tenait le bas de sa cuisse gauche. Positionné ainsi, elle avait mes fesses à portée de sa main et elle ne s’en priva pas.


La fessée ne dura pourtant pas bien longtemps. Ce n’était pourtant pas une bonne nouvelle pour moi. Ma compagne prit la règle et elle s’assit sur la chaise. Puis, elle me fit un signe, m’indiquant qu’il fallait que je prenne place en travers de ses genoux. Le grognement que j’émis ne lui sembla pas approprié.

« En vitesse, ordonna-t-elle ! »

Elle me prit par le bras et elle me coucha sur ses genoux.

Aussitôt la règle commença son travail sur mes fesses. Je la sentais claquer, pas très fort parce que ma compagne, quand elle utilise la règle, retient la force avec laquelle elle l’applique sur mes fesses. Cela suffisait pour que je sente la brûlure devenir bien plus aiguë. Je ne sais combien de fois elle l’appliqua ainsi sur mon postérieur, mais les battements de mes jambes, bien qu’ils n’empêchent en rien la fessée, étaient révélateurs de la douleur sur mes fesses.

« Est-ce bien compris ? Le week-end, ce sont des sous-vêtements blancs ! »

« Oui, Maman . »

« De quelle couleur seront tes sous-vêtements demain ? »

« Blancs, Maman, blancs ! »

« Eh bien je vérifierai ! »

La fessée reprit et bien qu‘elle soit à main nue, je ne pouvais plus la supporter plus longtemps. Il le fallait bien, pourtant, je n’avais pas le choix.

Ma compagne utilisa la règle pour finir la fessée et je priais pour qu’elle estimât que j’avais été suffisamment puni. Elle me conduisit ensuite au coin où je suis resté un bon moment, la culotte baissée, sans que je puisse en estimer la durée. Pendant ce temps, ma compagne s’occupa du lave-vaisselle. La vie suivait son cours et j’étais le seul à patienter au coin.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Josip.
    Je vois que ta compagne est toujours aussi attentive à veiller à ton éducation. Deux fessées dans la même journée, c’est beaucoup. Ouille ouille... et en plus la règle. Ça a dû chauffer pour tes fesses.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

    RépondreSupprimer
  2. Josip.
    Deux fessées déculottées dans la même journée c’est beaucoup c’est vrai...mais tu n’es pas le seul à être puni sévèrement et je reconnais que c’est parfois justifié. Il m’est arrivé de me retrouver en travers des genoux de Marraine deux fois dans la même journée pour des fessées magistrales...à la main et au martinet. Tu sais Marraine a un martinet et elle sait s’en servir...et mes fesses en font souvent les frais. Lorsqu’elle me réprimande Marraine poursuit souvent de façon explicite : «Pascal ça suffit maintenant. Tu veux que je te baisse la culotte. » ou «Pascal, dernier avertissement, si je t’y reprends c’est la fessée, et une bonne je t’assure. » ou «Pascal, la prochaine fois c’est le martinet qui attend, » ou pendant la fessée les aller-retours ponctués par : «tiens, tiens et tiens, ça t’apprendra mon garçon, voilà ce que tu merites ».
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.