samedi 13 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – vendredi 12 mai 2023 – 12h20

Je n’ai pas pris le temps, hier, d’écrire le récit de ma dernière fessée en date. Cela fait pourtant partie de ma punition. Il faut que je le fasse vite avant que ma compagne s’en aperçoive. Si elle se rend compte que je ne l’ai pas mis en ligne, ce sera certainement une raison pour me donner une autre fessée.

Voici donc ce qui m’est arrivé hier midi.

C’est encore ce « manger la bouche ouverte » qui m’a valu d’être puni une nouvelle fois. Maintenant, je n’ai plus de doute. Ma compagne a résolu de me faire passer cette habitude qu’elle trouve très désagréable. Je ne peux pas le lui reprocher. Nous ne sommes pas encore à la tolérance zéro qu’elle avait évoquée. Durant le déjeuner, j’ai eu le droit à une remarque sèche et aux gros yeux.

« Josip, ta bouche ! »

J’ai fermé la bouche aussitôt, craignant de recevoir une fessée, mais cela n’a pas été le cas. Je savais que la prochaine fois, bien que ma compagne n’ait pas beaucoup de temps, je n’y couperai pas. J’ai redoublé de vigilance.

Le problème, c’est que je ne me rends pas compte quand j’ouvre la bouche quand je mâche. C’est un geste que je fais machinalement, une habitude prise depuis longtemps. Je sais que ce n’en sera que plus difficile à la faire disparaître, comme toutes mes manières de faire qui sont maintenant des routines.

Au début de chaque repas, je fais attention à bien fermer la bouche. Quand notre temps passé à table est court, j’arrive maintenir cette vigilance jusqu’au bout. Parfois, je pense au milieu du repas à faire attention. Mais souvent, je n’y songe plus et ma compagne me prend sur le fait.


« Josip, lève-toi ! »

Quand cette phrase résonne, je sais ce qui m’attend. Je sais aussi qu’il est trop tard pour plaider ma cause. Ma compagne a résolu de me donner une fessée, elle ira donc jusqu’au bout. Je me suis levé.

« Mais, Maman... »

« Ose dire que tu n’avais pas la bouche ouverte ! »

« Non Maman, mais pas la fessée ; »

« Parce que tu ne l’as pas méritée selon toi ? »

« Si Maman, mais... »

« Et en plus tu protestes ! »

Ma compagne n’aime pas que je tente d’éviter une fessée une fois qu’elle a décidé de me la donner. En général, cela aggrave la sanction. Ce fut le cas hier.

« Va me chercher la règle ! »

Je n’ai pas obéi instantanément. C’était une nouvelle erreur.

« Et dépêche-toi ! »

Une claque sur le fond de mon pantalon a marqué la fin de la discussion. Il me fallait obéir. J’ai donc été cherché la régle qui était rangée dans le sac à instrument pour la fessée. C’est une règle plate, en bois, qui doit faire quarante centimètres de long. Un instrument très efficace pour donner la fessée.

Quand je suis revenu dans le séjour, ma compagne était assise sur une chaise, là où il y a de la place pour qu’elle puisse me prendre sur ses genoux.


Je lui ai donné la règle. Elle l’a posée sur ses genoux, puis elle m’a déculotté. Mon pantalon sur mes chevilles et ma culotte descendu en bas de mes cuisses, je n’en menais pas large.

« Tu vas perdre l’habitude de manger la bouche ouverte, je te le promets ! »

Elle m’a donné quatre ou cinq claques sur les fesses après avoir soulevé le bas de mon tee-shirt. J’aurai dû les recevoir sans bouger, mais cela fait mal. J’ai donc tourné mon bassin, pour éviter que les claque ne soient trop fortes. Cela n’a pas été du goût de ma compagne.

« Tu ne bouges pas quand je te donne la fessée ! »

Plus facile à dire qu’à faire ! Mais ma compagne n’en avait cure. Elle recommença cette première fessée et je m’efforçais de rester en place, ce qui ne fut pas facile, tant la cuisson sur mes fesses commençait à devenir aiguë. Ma compagne s’en contenta.

« Sur les genoux, ordonna-t-elle ! »

Elle accompagna cette injonction d’un geste explicite. Elle avait la règle dans la main droite, ce qui ,’anonçait rien de bon pour moi. Mon hésitation à prendre place fut remarquée.

« Josip, en vitesse ! »

Je m’allongeais à plat ventre en travers de ses genoux. Dans cette position, ma compagne peut me donner une fessée aussi sévère qu’elle le souhaite. Mon bras gauche est bloqué par la chaise et le haut de son corps. Je ne peux donc pas le ramener en arrière quand la douleur sur mon postérieur devient trop forte. Je ne peux le faire qu’avec ma main droite qui elle est libre, mais je sais que ce ne sera qu’une brève interruption dans la fessée. Elle n’a, en effet, aucun mal à recourber mon bras quand ma main vient s’interposer et gêner l’administration de la punition. De plus, nous sommes tous deux dans une position très stable. Je peux gesticuler des jambes et je ne m’en prive pas, mais c’est bien inefficace pour atténuer la cuisson sur mes fesses. Il faudrait que je me lève, ce que je pourrai sans doute faire en forçant, mais je sais que ça m’est interdit. Une fois que je suis allongé en travers de ses genoux, ma compagne peut me donner une fessée aussi rigoureuse qu’elle l’estime nécessaire. Et puis, c’est une position tellement infantilisante que je n’ai aucun doute : c’est une punition.


Ce fut la règle qui s’abattit sur mes fesses. Je hurlais de douleur, mais mon cri fut écourté, par la deuxième fois que ma compagne appliqua la règle sur mes fesses. Ensuite, je n’ai pas compté, mais la règle tombait régulièrement sur mon postérieur et renforçait inexorablement le brasier qui y était né.

Généralement, quand ma compagne me fesse avec la règle, elle retient la force de ses coups.

« Je ne voudrais pas te blesser, m’a-t-elle expliqué ! »

Je pense qu’il faudrait une très longue et très forte fessée pour que la règle laisse un bleu sur mes fesses. C’est l’avantage, si on peut dire, de ma margeur de l’instrument. La cuisson est répartie sur une surface suffisamment grande pour ne pas strier les fesses, comme peuvent le faire la baguette ou le martinet. Par contre, maniée avec vigueur, la règle permet de donner des fessée rapidement insupportables. Il me fallut pourtant subir celle-là jusqu’au bout.

Ma compagne alterna : d’abord la règle, puis sa main, de nouveau la règle et elle finit avec sa main. Je ne sais pas s’il est possible, sans avoir reçu une fessée comme celle que j’ai eue, de se rendre compte de l’efficacité d’une telle correction sur des fesses nues. J’aurai fait n’importe quoi pour que ça s’arrête, n’importe quoi sauf me lever de sur les genoux où je recevais la fessée.

Elle entrecoupait chacune des fessée par un court temps où elle me faisait promettre de ne plus recommencer à manger la bouche ouverte. J’ai promis, sachant parfaitement que je ne saurai pas tenir cette promesse et que je me retrouverai, sans doute encore de nombreuses fois, dans la même position avec des fesses brûlantes.

« Es-tu sûr d’avoir bien compris ? »

Pour ce qui est de la punition, j’avais bien compris que mon habitude m’avait valu une fessée déculottée tout à fait justifiée. J’avais bien compris que c’était ma façon de manger qui avait obligé ma compagne à de coucher sur ses genoux pour me donner la fessée. Pour ce qui est de ne plus manger la bouche ouverte, je ne suis pas certain que cette punition serait la dernière.

« Va finir de manger ! »

L’avantage d’une fessée au milieu du repas, c’est qu’elle n’est pas suivie d’un moment au coin. Je repris place sur ma chaise, les fesses encore brûlantes.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

10 commentaires:

  1. To: Josip

    I am Head of Household and loving but strict wife to my husband now for 20 years.
    Where spanking is the main punishment for my husband that I impose. I also use other forms of punishment early bedtime grounding ect.

    Question Does your girlfriend impose and other punishments other than spanking?
    Thank you Josip !

    MS L.

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    1. Dear Ms L,
      Yes of course, there are corner times, written punishment, scolding...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Josip.
    Je vois que ta compagne applique bien la règle tolérance zéro...et elle a raison. Elle est très organisée, tu parles en effet d’un sac ou sont rangés les instruments pour la fessée. Qu’y a-t-il dans ce sac en dehors de la règle, un martinet peut-être... Moi je reçois de Marraine la fessée à la main ou le martinet, parfois les orties, mais c’est plus rare. On ne trouve pas des orties partout.
    Cette habitude de manger bouche ouverte ça devrait te passer maintenant.
    Moi je suis toujours aussi immature et ma Marraine me dit souvent que je suis un gamin. Je reconnais que c’est vrai et que je mérite souvent la fessée. Lorsqu’elle m’est administrée c’est toujours déculotté bien sûr. Pantalon et culotte baissée, teeshirt un peu remonté. Jamais nu... c’est une punition cuisante.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  3. Bonjour Josip.
    Ce week-end j’étais chez Marraine. Je reconnais que j’ai été insolent envers la voisine... elle m’a administré une fessée magistrale. La fessée déculottée que je redoutais depuis longtemps. Je reconnais que je l’avais bien cherché.
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  4. Pascal,
    Pourquoi ne suis-je pas étonné ?
    JLG.

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    1. Josip.
      Pourquoi n’es-tu pas étonné... ?
      Au plaisir de te lire.
      Pascal

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    2. Je me doutais que tu allais en venir à cette fessée. Autrement, c'est trop difficile de renouveler le scénario.
      JLG.

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    3. Josip.
      Cette fessée m’a fait bien honte. Et Marraine a approuvé sa voisine de m’avoir corrigé.
      Pascal

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    4. Je peux te raconter comment la voisine m’a corrigé. C’est un peu difficile de reconnaître que je méritais cette punition...comme un gamin.
      Au plaisir de te lire
      Pascal

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  5. Bonjour JLG
    Le fessée qui m’a été donnée par la voisine je l’ai décrite en détail dans le blog « la fessée et moi »
    Au plaisir de te lire
    Pascal

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