lundi 8 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 7 mai 2023 – 15h45

La fessée en extérieur, toujours difficile à se faire déculotter tout en vérifiant que personne d’autre que celle qui nous donne la fessée, ne peut assister à la scène. Là, il y avait mon coach, mais il savait que je recevais la fessée déculottée. C’était donc un moindre mal. Bon une fessée tout de même.


Nous étions parti nous balader à pied. Je sais que cela ne me met pas à l’abri d’une fessée déculottée quand les circonstances le nécessitent et le permettent. Je ne sais pas si mon coach hésiterai à me baisser la culotte en pleine nature. Il ne s’est pas prononcé clairement sur le sujet. Je sais, par expérience, que cela ne pose pas de difficulté pour ma compagne, pourvu que les conditions le permettent.

En effet, elle prend toutes les précautions pour ne pas risquer d’offusquer des personnes qui arriveraient alors que, la culotte baissée, je recevrai une fessée. On ne sait jamais qu’elle va être leur réaction : crier au scandale ou approuver cette façon de maintenir la discipline ?


C’est ma compagne qui a voulu que nous allions voir ce qu’il y a sur le petit chemin qui s’enfonçait entre deux haies en s’éloignant de celui sur lequel nous marchions. Il y avait des petites maisons anciennes et quelques unes plus récentes.

Au bout de quelques dizaines de mètres, ma compagne et mon coach se sont arrêtés. J’ai continué pour voir s’il était possible de se rendre compte jusqu’où allait ce chemin. Il y avait une centaines de mètres à faire pour passer un virage et voir ce qu’il y avait après.

J’ai bien entendu qu’on m’appelait.

« Josip, criait ma compagne, où vas-tu ? »

« Je vais voir jusqu’au virage ! »

Ma compagne m’a dit ensuite que ma réponse n’était pas audible et que, de toute façon, elle me demandait de revenir.


C’est à mon retour, bien que cela n’ait pas duré plus de quelques minutes, que les choses se sont gâtées.

« Depuis quand tu me répons pas quand je t’appelle ? »

Ma compagne avait le ton et l’attitude qu’elle adopte quand elle est fâchée après moi.

« Mais, je n’étais pas loin ! »

« Ce n’est pas la question ! »

la conclusion s’imposait d’elle-même.

« Tu vas avoir une fessée ! »

Elle m’a placé devant elle et elle a défait mon pantalon. J’ai jeté un œil autour de moi. Il n’y avait personne d’autre en vue que mon coach, ma compagne et moi. C’était à la fois une bonne nouvelle et une mauvaise. Une mauvaise parce que la fessée évoquée par ma compagne allait pouvoir se dérouler séance tenante et une bonne parce que aucune personne étrangère ne pourrait y assister, sauf s’il prenait l’envie à quelqu’un d’autre d’emprunter le même chemin que nous.

Ma culotte a suivi.

Je suis toujours inquiet de me retrouver la culotte baissée à l’extérieur de la maison. D’une part, je sais que ma compagne ne fera pas n’importe quoi, mais nous ne sommes jamais vraiment à l’abri d’une arrivée intempestive et il est peu probable, dans ce cas, que ma compagne aura la temps de me remonter la culotte avant que mes fesses nues soient exposées à cette personne inconnue. D’autre part, je ne sais jamais quel sera le jour où elle décidera de me donner une fessée déculottée en public, même si des personnes extérieures sont présentes.

Ma compagne a entouré ma taille de son bras gauche et elle m’a courbé sous son bras. J’étais prêt pour recevoir la correction que j’avais mérité. Comme souvent lorsque la fessée m’est donnée en extérieur, elle est relativement courte. Pour être clair, ma compagne n’a pas besoin d’une longue fessée pour que j’en ressente la douleur. Cela se fair rapidement. Mais afin de ne pas multiplier les risques, elle ne s’attarde généralement pas, mais j’ai le droit à une plus longue fessée une fois de retour à la maison.

Cette fois-ci ne fit pas exception. Mais quand ma compagne me relâcha, j’ai cru qu’elle allait demander à mon coach de finir la fessée. Cela aurait été la première fois qu’il m’aurait donné la fessée en extérieur. Mais elle n’en fit rien.

J’ai cru alors qu’elle allait se munir d’orties qui poussaient en abondance sur le bord du chemin. Une fois encore mes craintes ne se sont pas révélées fondées. Heureusement. La fessées aux orties laisse une sensation de brûlure qui dure plus longtemps qu’avec n’importe quel instrument.

Ma compagne m’a reculotté et nous avons poursuivi notre ballade.


En arrivant à la maison, je m’attendais à ce que ma compagne tienne sa promesse. Il n’en a rien été. Finalement, pour cette désobéissance flagrante, je m’en étais bien tiré. Une seule petite fessée, la culotte baissée, certes, en extérieur certes, en présence de mon coach certes, mais finalement avec peu de conséquences durables. Il aurait pu en être autrement.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

1 commentaire:

  1. Josip.
    La fessée donnée en extérieur c’est bien sûr la plus humiliante mais aussi la plus efficace. On s’en souvient. Non seulement on est déculotté et claqué sous Le Bras ou sur les genoux, mais il y a surtout la crainte d’être vu dans cette position par des personnes non averties alors que la correction est en cours. Bien sûr lorsque de telles fessées me sont administrées, je sais que je les mérite comme toutes les autres. Je pense m’avoir jamais été vu dans cette position mais je n’en suis pas totalement sûr... Marraine fait attention, mais si quelqu’un survenait alors qu’elle me corrige je crois que cela ne la dissuaderait pas de poursuivre la fessée. Dis moi tu as eu de la chance de ne pas avoir eu droit aux orties. Moi j’y ai eu droit il n’y a pas longtemps dans le jardin de Marraine, c’est pire que le martinet...
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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