samedi 6 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – samedi 6 mai 2023

C’était sûr. Cela devait arriver. Depuis le temps que ma compagne me la promettait, il fallait bien qu’elle passe à l’acte un de ces jours. C’est arrivé ce matin, mais j’avais été prévenu tellement de fois avant que je ne peux pas m’en plaindre.


Nous venions de nous lever et j’avais préparé le petit déjeuner, comme nous le faisons habituellement. J’étais encore en pyjama. Je ne m’étais pas habillé.

Ma compagne avait eu un premier geste d’agacement.

« Josip, ta bouche ! »

Je venais encore d’ouvrir la bouche en mangeant. Certains, sur ce blog, on trouvé que prendre une fessée pour un « aussi petit défaut » était exagéré. Je ne partage pas cet avis. Il ne s’agit pas d’un « aussi petit défaut », mais d’une habitude dont je voudrais bien me défaire. Quand je vois des personnes qui mangent de cette façon, je trouve cela très gênant et dénotant d’une impolitesse flagrante, bien qu’elle soit, en général, involontaire.

Nous en avons discuté avec ma compagne qui me reprochait ce travers. J’ai convenu que c’était une habitude à perdre puisque je la trouvais détestable chez les autres. Il n’y avait donc pas de raison que je me le permette. Mais, comme pour tous les adultes, quand une manie est ancrée dans les pratiques quotidiennes, il est très difficile de la changer.

Ma compagne avait pris le parti, durant quelques jours et après m’avoir donné une fessée pour ce même motif, de m’en faire la remarque. Comme je ne me rendais pas compte de ce défaut, je retombais dans le travers assez souvent. En fait, quand je faisais attention, il n’y avait pas de souci. Ma bouche restait fermée. Mais dès que je relâchais le contrôle sur ma façon de manger, il n’y avait rien à faire, ma bouche s’ouvrait sans que j’y fasse attention. A chacune de ses admonestations, je refermais promptement la bouche… jusqu’à la prochaine fois. Car je recommençais. Parfois dans le même repas ma compagne devait me rappeler à l’ordre deux fois, rarement trois, mais c’est arrivé une seule fois, me semble-t-il. L’inefficacité de la méthode qu’elle employait était patente.

Mon coach, lors de la dernière visio avec ma compagne, avait évoqué ce défaut. Il avait dit qu’il le prendrait en considération lors de sa venue. En échangeant sur les fessées qu’il envisageait de me donner, la question de ma façon de manger avait été abordée.

« Tu crois qu’il me donnera la fessée à chaque fois que je mangerai la bouche ouverte ? »

« C’est possible me répondit ma compagne. »

Nous étions encore dans notre lit et j’avais commencé à questionner ma compagne sur ce qu’avait prévu mon coach. Cela me préoccupait depuis plusieurs jours et son arrivée était imminente. Il était attendu demain midi.

La perspective d’une fessée pour avoir mâché la bouche ouverte me laissait un sentiment mitigé. D’une part, la perspective de recevoir, de la main de mon coach, plusieurs fessées déculottées pour ce motif ne m’enchantait guère. Je me doutais bien que s’il prenait cette question à bras le corps, mon repas serait interrompu plus d’une fois pendant le week-end pour me retrouver à plat ventre en travers de ses genoux avec les fesses brûlantes. D‘autre part, je ne voyais pas d’autre solution pour me débarrasser de cette habitude. Une réaction immédiate et cuisante à chaque fois que, ne faisant plus attention, je retombais dans cette mauvaise manie.

« Tu crois qu’il va s’en occuper ? »

Je ne savais pas s’il avait projeté de ne me donner que les deux fessées qu’il avait évoqué pour mes précédents écarts, ou s’il entendait prendre sa part de mon éducation, comme le faisait ma compagne et me fesser dès que je l’avais mérité et que c’était possible, où que nous soyons et quelles que soient les personnes présentes.

« C’est bien possible, rétorqua ma compagne. »

« C’est vrai, répondis-je, que je ne peux pas trop compter sur toi ! »

« Comment cela ? »

J’évoquais alors le peu de progrès, sur ce point, que la méthode de ma compagne m’avait permis de faire.

« Tu as raison, dit-elle, je vais changer ma façon de faire ! »

« Tu me l’a déjà dit, mais tu ne l’as pas fait ! »

« Fais-moi confiance ! »

Nous en étions restés là sur ce point.


Au début du petit déjeuner, j’avais fait très attention à garder la bouche fermée. Puis, le repas avançant, ma vigilance était devenue moins pointilleuse. Ce qui devait arriver, arriva.

« Josip, tu te lèves ! »

Je pris tout de suite conscience de ce qui amenait ma compagne à intervenir et comment elle avait l’intention de la faire. Je n’osais pas protester, de peu d’aggraver la sanction qui m’attendait. Et par ailleurs, je savais que ma bévue était réelle.

Ma compagne me prit par le bras et elle m’amena vers la chaise qu’elle avait disposé au cas où il serait nécessaire de me donner la fessée. Elle s’y assit et elle me fit contourner ses genoux pour me placer debout à sa droite. Sans plus attendre, elle baissa mon pantalon de pyjama. Je ne porte pas de culotte en dessous. Mes fesses étaient nues, prêtes pour la fessée. Elle me prit par le haut du bras et elle me guida afin que je me couche à plat ventre en travers de ses genoux.

« Quand on mange, c’est la bouche fermée ! »

Je n’eus pas le temps de reconnaître le bien-fondé de sa remarque avant que la première claque n’atterrisse sur mes fesses. Forte, brûlante. Il y en eut une deuxième, puis une troisième et … ce fut une bonne fessée que me donna ma compagne. Au début, je gémis, puis l’accumulation sur mes fesses fit son effet, je poussais un cri sonore à chaque fois que sa main claquait sur mes fesses. Ce ne fut pas une très grosse fessée. Ce ne fut pas une petite non plus. Elle me laissa les fesses cuisantes et je savais que cela durerait quelques minutes.

« Est-ce que c’est bien compris ? On mange en fermant la bouche ! »

« Oui Maman ! »

« Si j’ai à te le redire, ce sera avec le martinet ! »

Tiendrait-elle sa promesse ? Cela lui arrivait d’oublier ce qu’elle m’avait annoncé. Je résolus, malgré tout, de faire attention à ma façon de manger et de ne plus relâcher mon attention. Plus facile à dire qu’à faire !

Ma compagne m’aida à me relever.

« Va finir de déjeuner ! »

La décision de ma compagne planait encore comme une menace au-dessus de ma tête. Je réalisais alors, que si elle et mon coach s’y mettait ensemble, il y avait peu de chance de passer à travers à chacun de mes négligences sur ce sujet.

Cela promettait quelques bonnes fessées d’ici lundi soir.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

1 commentaire:

  1. Bonjour Josip.
    Tu n’es pas le seul à avoir été puni, moi aussi Marraine m’a corrigé ce matin. C’est vrai que cette correction ja l’avais bien cherchée. Toujours mes insolences et les désobéissances de gamin. Hier soir en arrivant, j’ai dû avouer à Marraine que je n’avais pas fait un certain nombre de choses dont elle l’avait chargé. Elle m’a sévèrement réprimandé et menacé de me punir. Si je continuais elle me promettait la fessée en travers de ses genoux. J’étais prévenu et j’ai échappé de justesse à la fessée. Je reconnais qu’elle aurait été méritée. Je m’en tirais bien. Mais ce matin je n’y ai pas échappé.
    A suivre
    Pascal.

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