lundi 8 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – dimanche 7 mai 2023 - 14h15

Eh voilà, ça y est. Mon coach est arrivé ce week-end. Je suis allé le chercher à la gare et je sais que je vais recevoir plusieurs fessées déculottées de sa part. C’est programmé.


Je ne savais pas bien ce que je ressentirai quand il me baisserait la culotte et qu’il me coucherait en travers de ses genoux. C’était la première fois que je recevrai la fessée en présence d’une autre personne que ma compagne et d’une main masculine : une sorte de fessée paternelle après les nombreuses fessées maternelles que me donne ma compagne ?


Ma première surprise, c’est le changement que la présence d’une autre personne a provoqué dans la relation éducative que me dispense ma compagne. J’ai eu le sentiment qu’elle hésitait à me punir alors qu’une autre personne était présente. Mais c’est une impression qui repose sur peu d’éléments. Je n’ai pas reçu de fessée ce matin, et ce n’est pas la première fois que ça arrive. Heureusement !

Ma deuxième surprise, c’est la présence d’une personne, un homme, qui occupe un rôle différent de ceux que je connaissais jusqu’alors. Il n’est ni un égal, c’est mon coach et il a le droit de me donner la fessée déculottée. Ma compagne lui a délégué ce pouvoir, je le sais, ni un autre parent qui prendrait part à mon éducation comme le fait ma compagne. Non, c’est un coach et je me suis rapidement aperçu qu’il comptait s’en tenir à ce rôle.

Le déjeuner s’est passé sans anicroche, ou presque. Ma compagne m’a fait les gros yeux parce que j’ouvrais la bouche en mangeant, mais, malgré ce qu’elle m’avait promis, ça en est resté là. C’est après le repas que la séance de coaching a commencé.


« Viens ici, Josip, m’a dit mon coach ! »

Je me suis approché. J’avais une boule au fond du ventre. A la fois j’aurai volontiers retardé ce qui se préparait et en même temps, il était nécessaire d’en finir. Le plus tôt c’était le mieux et de toute façon, je n’avais pas le choix.

« Alors, revenons sur ta désobéissance ! »

Lors de nos échanges de courriels, le coach m’avait demandé, sur une suggestion de ma compagne, de ne plus le tutoyer mais de l’appeler « monsieur » et de finir mes courriels par « respectueusement » et non plus par « au plaisir de vous lire » qui figure dans ma signature habituelle. Suite au problème que j’ai eu avec mon ordinateur, je lui ai envoyé un message rapidement, après une semaine de silence forcé sur internet. En voulant faire trop vite, j’ai oublié les deux consignes et mon coach m’avait annoncé que je recevrai une fessée pour ce manque de respect envers lui. Nous y étions.

« Je t’avais bien annoncé une fessée déculottée à la main, n’est-ce pas ? »

« Oui, Monsieur. »

« Nous sommes bien d’accord que c’est une fessée méritée, »

« Oui Monsieur. »

Je n’avais pas envie de la recevoir, mais je savais qu’elle était pleinement justifiée et promise depuis longtemps. Ma compagne regardait, mais n’intervenait pas.

« Approche ! »

Il n’y avait qu’un pas à faire pour me placer à sa droite, alors qu’il s’était assis sur la chaise sur laquelle j’avais déjà pris tant de fessées.

« Bien entendu, ce sera une fessée déculottée ! »

Joignant le geste à la parole, mon coach déboucla la ceinture de mon pantalon, il le déboutonna et descendit la fermeture éclair de la braguette. Il n’eut plus qu’à écarter les deux côtés du pantalon pour qu’il tombe sur mes mollets et il l’accompagna pour le faire descendre sur mes chevilles. De ses deux mains, il s’empara de l’élastique de ma culotte et il la baissa jusqu’à mes genoux.

Il marqua une courte pause. Sans doute pour que je prenne bien conscience de ma situation. J’étais déculotté à quelques dizaines de centimètres de son regard. C’était la première fois qu’il m’arrivait qu’une autre personne que ma compagne me déculotte. Je ne me sentais plus du tout comme un adulte. Exposer mes organes génitaux, comme mes fesses, à la vue de deux autres personnes, n’avait pas la moindre importance pour elles. J’avais honte de moi, honte de me trouver dans cette situation.

« Tu connais la position ! »

D’un geste mon coach désignait ses genoux. Je ne savais pas trop s’il me fallait attendre qu’il m’oblige à me coucher à plat ventre en travers de ses genoux en me guidant par le bras ou s’il voulait que je le fasse tout seul. Il perçut ma légère hésitation.

« Allons ! »

Il recommença le geste m’indiquant que je devais me coucher sur ses genoux. Je m’y allongeais, ce ui réduisit considérablement mon champ de vision, mais surtout cela plaçait mes fesses juste là où il fallait pour que sa main puisse m’administrer la fessée qu’il m’avait promise. C’était très infantilisant de me trouver dans cette position.

Sa main claqua une première fois et je poussais un petit grognement, plus de surprise que de douleur. Puis, régulièrement sa main s’abattait sur mes fesses, quatre ou cinq fois d’un côté, puis il passait à l’autre. La fessée durait, mais j’avais cessé mes grognements.

C’était une fessée bien différente de celles que me donnait ma compagne. Je ne peux pas dire que je ne sentais pas sa main à chaque fois qu’il claquait mon postérieur, mais cela ne provoquait pas la fournaise dont j’avais l’habitude. Il aurait pu continuer très longtemps sans que, à par ma tenue et la position qu’il m’avait fait prendre, j’en éprouve de gros dommages. J’en fus presque déçu. J’avais anticipé une fessée magistrale donnée par une main masculine et je recevais une petite fessée, déculottée certes, mais c’était le seul point qui me faisait sentir que j’étais puni.

« Pourquoi reçois-tu la fessée, Josip ? »

Je fus pris au dépourvu par la question. Je ne savais plus quoi répondre. Obnubilé par cette sensation nouvelle, la fessée me laissait le temps, contrairement à ce qui se passait avec ma compagne, de penser à ma surprise, presque à mon désappointement. Mais je ne songeait pas à ce qui m’avait amené sur les genoux de mon coach.

« Je… je... »

La fessée reprit, comme précédemment. Quand elle s’interrompit de nouveau, ma réponse fut trop imprécise. Je ne me souvenait plus de ce qui avait provoqué cette fessée. Il est vrai que cela datait de plusieurs semaines.

« Parce que j’ai désobéi ? »

« Pas seulement et tu n’as pas l’air d’en être convaincu ! »

Oui, c’était vrai, je ne savais plus trop quoi penser de cette punition, qui en était à peine une, ou alors une toute petite. La fessée recommença. Je ne me tortillais pas sur ses genoux, je ne battais pas des pieds, je ne criais pas… Aucun des signes qui indiquent habituellement que la fessée produit son effet. Je ne sais pas si mon coach s’en est aperçu.

« Tu reçois la fessée parce que tu as manqué de respect envers une personne qui s’occupe de toi et qui a autorité sur toi. Est-ce bien compris ? »

« Oui, Monsieur, j’ai compris. »

La fessée cessa.

« Ce n’est pas fini, me dit mon coach. Mais tu vas aller au coin, avant le bouquet final Lève-toi ! »

Je retrouvais une position verticale et sur l’indication de ma compagne, je me dirigeait vers le coin de la démarche particulière qu’on est obligé d’adopter quand on doit marcher avec le pantalon et la culotte baissés. Je me mis au coin.

« Les mains dans le dos, m’ordonna ma compagne ! »

Je dus y rester quelques minutes, pendant que mon coach et ma compagne discutaient de la punition que je venais de recevoir. Je ne sais plus ce qu’ils se sont dits à ce moment-là. J’étais concentré sur la posture que je devais prendre, alors que, sans doute, ils ne me quittaient pas des yeux. Et puis j’étais encore dans la surprise, ne sachant pas trop quoi penser de la petite correction que je venais de prendre.


« Reviens ici, Josip ! »

C’était le bouquet final.

« Remets-toi sur mes genoux ! »

La fessée reprit. La même que précédemment. Mon coach, tout en me fessant, me grondait. Les calques étaient-elles plus appuyées ? Je ne crois pas.

« Bon, dit-il tu vas retourner au coin ! »

« Je crois que je devrai compléter cette fessée, proposa ma compagne ! »

Mon coach se leva et ma compagne prit place sur la chaise. Elle me saisit par le bras et je dus m’allonger à plat ventre en travers de ses genoux. J’étais un peu inquiet. Je connaissais ce que peut provoquer une fessée quand c’est ma compagne qui la donne. Je ne fus pas déçu.

Quelques dizaines de secondes suffirent à ma compagne pour que l’échauffement de mes fesses devienne insupportable. La fessée claquait avec une fréquence plus importante et surtout avec une force bien plus grande, à moins que ce ne soit dû à la façon dont sa main entrait en contact avec mes fesses. Je ne sais pas et ce n’était pas ma préoccupation à ce moment-là. Je me tortillais sur ses genoux, sans chercher à en partir et sans qu’elle ait des difficultés à me maintenir en place. Je battais des pieds et je criais à chaque fois que je sentais que la cuisson que provoquait sa main, augmentait. C’était à chaque fois qu’elle l’abattait sur mes fesses.


« Va te mettre au coin ! »

Être au coin, la culotte baissée, sous le regard de deux personnes, c’est bien entendu pas facile. C’est loin d’être une situation valorisante, mais ce n’était pas le but recherché. J’y suis resté un bon moment sans que je puisse savoir exactement ce qui se passait dans mon dos. Je crois, qu’à un moment, isl sont partis, me laissant seul, mais je n’en étais pas certain. Je fis donc très attention à rester le nez dans l’angle de la pièce et d’observer la plus totale immobilité.

Quand je fus certain qu’ils étaient de nouveau dans la pièce, ma compagne expliqua à mon coach comment elle finissait les punitions. Mon coach me fit venir devant lui et il me reculotta lui-même.

Cela mit fin à la première punition. Il y en avait d’autres de prévues.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Josip.
    Le seul fait d’être mis en travers des genoux de ton coach, totalement déculotté c’est déjà une punition humiliante même si à vrai dire la fessee n’a pas été trop sévère. Et puis c’est une personne étrangère, et c’est tout à fait autre chose. Mais ta compagne a tenu à compléter la punition par une autre fessée cinglante celle-là. Elle voulait certainement montrer à ce Monsieur, combien elle prenait son rôle à cœur en faisant montre d’une grande sévérité à ton égard.
    Tu sais que Marraine, le jour ou elle m’a fessé devant la voisine l’autorisée à me punir si je le mérite. Cela m’a pas eu lieu pour l’instant, et tant mieux, mais je crains qu’il ne s’agisse aussi d’une fessée. Cette dame est assez acariâtre et je ne l’aime pas trop. Je redoute qu’un jour elle ne se décide à me punir. Et la je n’aurai pas le choix...
    Au plaisir de te lire.
    Pascal

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  2. Josip.
    Bien sûr si la voisine me donne la fessée déculottée, ce que je ne souhaite pas, j’en ferai le récit détaillé sur le blog.
    Pascal.

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