mardi 9 mai 2023

Journal d’un grand garçon fessé – mardi 9 mai 2023 – 14h30

Mon coach est parti depuis hier soir. Je ne sais pas si je le reverrai. Mais ma compagne n’a pas abandonné son travail auprès de moi. Elle est toujours aussi attentive à mon éducation. Particulièrement à mon obéissance.

Je n'en doutais pas, mais j’en ai eu la démonstration cet après-midi.


C’était après le déjeuner. Ma compagne avait décidé que nous devions faire une sieste. Je n’avais rien contre et nous étions tous les deux allongés sur notre lit.

« Mets-toi sous les draps, ma dit-elle ! »

« Oui, je vais le faire ! »

« Josip, tu te déshabilles et tu te mets dans les draps pour la sieste ! »

« Oui, oui. Tout de suite ! »

Je sais que ma compagne n’aime pas quand j’acquiesce à l’une de ses demandes, mais que cela n’est pas suivi d’effet. Elle voit la désobéissance qu’il y a derrière ce petit acte de rébellion, mais moi j’aime bien aller jusqu’au bord de mon libre-arbitre, un petit instant de liberté gagné sur la surveillance qu’exerce ma compagne.

Le tout, c’est de s’arrêter juste à temps. C’est là la difficulté de la chose. Généralement, j’y arrive bien. Pas cette fois-ci.

« Josip, je t’ai dit d’enlever ton survêtement et ta culotte et de te mettre dans le lit. »

J’aurais dû m’arrêter là. Je ne l’ai pas fait.

« Oui, oui, tout de suite ! »

Mais je n’ai pas bougé. Pas un geste pour obéir à la consigne qui m’avait été donnée pour la troisième fois.


Ma compagne s’est levée. Elle a fait le tour du lit. J’ai su alors qu’il était un peu tard, mais j’ai tout de même tenté le coup.

« Je vais le faire, je vais le faire ! »

Mais ma compagne était déjà arrivée de mon côté.

« Lève-toi ! »

J’ai hésité. Je cherchais un argument pour éviter la correction qu’elle avait en tête.

« Lève-toi tout de suite ou je vais chercher le martinet ! »

Cela devenait trop sérieux et le risque trop grand. J’ai obéi.

Aussitôt, ma compagne a baissé mon pantalon, puis ma culotte. Elle s’est assise sur le lit et m’a attrapé par le bras. Elle m’a couché sur son genoux gauche, mes pieds restés entre les siens. Si j’avais encore un doute sur ce qui allait se passer, ma compagne venait de le lever. J’étais dans une parfaite position pour recevoir une fessée déculottée, conséquence méritée de ma désobéissance. Je ne pouvais pas décemment dire le contraire.


La main de ma compagne commença à claquer sur mes fesses. Depuis le temps qu’elle me donne la fessée, elle a acquis une technique certaine. Elle sait, en quelques dizaines de secondes et autant de claques de sa main sur chaque côté de mes fesses, transformer mon postérieur en un brasier incandescent. Cela n’est pas donné à tout le monde. J’en avais fait l’expérience deux jours auparavant. Elle persévéra jusqu’à ce que mes tortillements sur ses genoux, accompagnant mes cris, lui compliquent un peu la tâche.

« Je vais t’apprendre à obéir ! »

Elle passa sa jambe droite sur les miennes, m’immobilisant un peu mieux. La fessée n’était pas finie, loin de là !

« Quand je te dis de faire quelque chose, c’est tout de suite ! »

Sa main sur mes fesses renforçait le message. Je sais que j’aurais dû obéir du premier coup. Maintenant, je regrettais de ne pas l’avoir fait, mais il fallait d’abord en payer le prix. La main de ma compagne s’en chargeait.

Je profitais d’un moment où elle changea de main, et donc légèrement de position, pour faire entrer son message dans mon esprit, pour glisser la mienne le long de son ventre, sur mes fesses, pour les protéger un peu de la grêle de claques qui s’y abattait. Cela ne dura pas longtemps. Elle remonta mon bras dans mon dos et la fessée reprit de plus belle. Ce fut le haut de mes cuisses, puis la jonction entre mes fesses et mon dos qui furent l’objet de l’attention de sa main. Cela faisait horriblement mal.

« Non, Maman, non ! »

« Ah, parce que c’est toi qui décide maintenant ? »

« Non, Maman, non ! »

Elle n’avait interrompu la fessée que quelques secondes. Juste le temps de me faire remarquer que ma supplication était inconsidérée. Ma deuxième main, effectuant la même tentative que la première, subit le même sort. Quand je cherche à protéger mes fesses, j’en sais l’inutilité, mais je ne peux m’empêcher de la faire. C’est un geste de défense instinctif qui se révèle à chaque fois vain. Mes deux bras coincés dans mon dos, le terrain était dégagé pour que la correction continue tant que ma compagne le jugerait utile.


Fort heureusement, cette fessée, comme les autres, eut une fin. Elle n’avait pas duré plus de deux ou trois minutes, mais elle me laissait les fesses en feu. Je n’avais plus aucune envie ni de discuter ses ordres ni d’en différer la réalisation. La fessée avait porté ses fruits.

« Mets-toi debout ! »

Ma compagne m’ôta mon pantalon, puis ma culotte qui étaient tombés sur mes chevilles. Enfin elle m’enleva la veste de survêtement.

« Au lit ! Tu peux garder tes chaussettes ! »

Je m’empressais d’obéir.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus

Qui adulte reçoit des fessées par punition

La première réelle fessée racontée ici 

La précédente fessée

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage. 
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Bernard, mon coach, et ma compagne ont décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

20 commentaires:

  1. Mais du coup votre objectif en fin de compte c’est de finir par ne plus recevoir de fessées de la part de votre compagne quand votre "éducation" sera terminée ? Votre compagne est-elle également votre partenaire amoureuse ?

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    1. Bonjour lecteur anonyme,
      Ma compagne est également ma partenaire amoureuse. Le soir, nous sommes compagne et compagnon, mais dans la journée, c'est plus compliqué. Quand je ne commets pas d'écart, la relation est la même que le soir. Par contre, quand elle estime que je viens de commettre un acte qui montre mon immaturité, elle passe en mode parental et elle n'hésite pas à me donner la fessée déculottée comme l'on fait tant de génération de pères et de mères, de grands parents, d'oncles et de tantes, d'instituteurs et d'institutrice, de professeures et de professeurs... au nom de l'autorité qu'elle détient sur moi et dont je reconnais les bienfaits.
      Le but du jeu est-il de finir par ne plus recevoir de fessées ? C'est un but théorique visé par toute éducation, mais est-il possible de l'atteindre réellement ? Les fessées que me donne ma compagne m'ont déjà permis d'éradiquer, ou presque, certains travers, mais soit elle devient plus exigeante sur le même sujet, à juste titre à chaque fois, soit elle passe à une autre de mes habitudes qu'elle s'emploie à éradiquer, à bon escient également. Pour l'instant, je n'ai pas vu diminuer sa résolution à améliorer mes comportements. Les raisons de me donner une bonne fessée sont très nombreuses. Il s'agit souvent d'habitudes que j’ai prises depuis longtemps et il est notoire qu’il est difficile de changer les comportements quand ils sont ancrés, particulièrement chez les adultes. Ma compagne s’est néanmoins attelée à cette tâche. Si nous en atteignons la fin un jour, je ne la vois pas se profiler pour le moment.
      Une éducation peut-elle se terminer un jour ? Bien souvent les parents renoncent, à partir d'un certain âge, à assumer la responsabilité de l'éducation de leur enfant. Cela ne signifie pas qu'elle est terminée. Ils renoncent, par contre, à aller plus loin. Pour beaucoup d'adultes, c'est dommageable, surtout s'ils ne trouvent pas la personne qui va prendre le relais. C'est ce qu'a fait ma compagne et qui l'amène à me donner la fessée.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. JLG.
      La fessée est-elle seulement punitive ? N’y a a-t-il pas une véritable jouissance à recevoir la fessée déculottée.
      Au plaisir de vous lire.

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    3. Lecteur anonyme,
      Difficile de répondre à la question.
      Ce qui est certain, c'est que les fessées qui me sont données ont toujours un rôle punitif en réponse à un motif réel et qu'elles me sont utiles pour éradiquer certains défauts ou négligences.
      Ce qui est certain, c'est que j'ai un réel besoin d'avoir, auprès de moi, une personne qui s'occupe de moi dans tous les aspects de ma vie. Qui peut me cajoler, me caresser... me gronder, me baisser la culotte et me fesser quand elle estime que j'en ai besoin.
      Ce qui est certain, c'est qu'au moment où je reçois une réelle fessée déculottée, il n'y a aucun plaisir. Les fessées sont prévues pour faire mal aux fesses et elles le font, à chaque fois. Il n'y a pas plus de jouissance à être mis au coin de longues minutes.
      Ce qui est certain, c'est que je fais confiance à ma compagne pour gérer la discipline dans notre couple et pour pouvoir faire cela, elle dispose du droit et du devoir de me déculotter et de me fesser, quand elle l'estime nécessaire quelles que soient les lieux dans lesquels cela se déroule et quels que soient les personnes présentes.
      Ce qui est certain, c'est que je sais qu'elle ne fera pas n'importe quoi, n'importe où, ce qui ne veut pas dire que je ne recevrai pas la fessée au vu et au su d'autres personnes.
      Ce qui est certain, c'est que ma compagne et moi aimons cette relation filiale qui passe par des câlins et des fessées maternelles. Nous en avions tous deux besoin, chacun dans des fonctions complémentaires.
      Ce qui est certain, c'est que nous n'échangerions pas notre relation, telle qu'elle existe actuellement, pour une autre.
      Est-ce de la jouissance ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Le truc c’est que vous devez tout de même apprécier recevoir des fessées si tel est le fantasme qui était le vôtre avant que vous ne puissiez le concrétiser avec votre compagne ? Êtes-vous vous également soumis à votre femme dans votre relation amoureuse ? Ce qui est étonnant c'est que de jeunes gens comme moi d'une vingtaine d'années qui n'ont absolument pas connu de châtiments corporels comme la fessée déculottée dans leur éducation puisse éprouver le besoin d'en recevoir ? J'aimerais tant avoir une compagne qui puisse avoir un rôle parental sur moi en me donnant clairement des projets et des objectifs dans ma vie et s'assure que je les accomplisse en me punissant si nécessaire.

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    5. Lecteur anonyme,
      Je crois que c'est plus la relation filiale que j'apprécie, donc un ensemble qui comprend la fessée déculottée, mais seulement quand elle est méritée. Je ne crois pas que j'apprécierais s'il n'y avait que les corrections. C'est sans doute la différence avec la relation sadomasochiste. Et je puis vous assurer que, pour moi, la certitude de recevoir la fessée quand ma compagne l'estime nécessaire, a un réel effet. Je compte sur elle pour faire disparaître certaines habitudes que j'ai prises, en me fessant quand je retombe dans mes travers habituels.
      Dans notre relation amoureuse, nous sommes plutôt dans une histoire égalitaire. Ma compagne, je le crois, a autant besoin de mes câlins que moi des siens.
      Je ne sais pas pourquoi la fessée fait partie de ma vie. Si j'ai reçu quelques fessées quand j'étais enfant, elles n'ont jamais été déculottées. C'était plus des claques sur le fond du pantalon que de véritables fessées. Je n'ai pris une fessée sous le coude de la maîtresse qu'une fois dans mon parcours scolaire, mais elle n'avait pas baissé mon pantalon. J'ai assisté à quelques fessées, dont quelques rares déculottées, mais je ne m'en souviens pas vraiment. En tous les cas, dans mon souvenir, celles que j'ai reçues, faisaient bien moins mal que celles que me donne actuellement ma compagne.
      Je ne sais donc pas plus pourquoi d'autres personnes, comme vous, éprouvent le besoin d'avoir une compagne qui joue un rôle parental, quitte à être puni à l'aide d'une réelle fessées quand cette compagne le juge mérité. Sans doute la psychanalyse aurait une bonne explication à cela.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. lecteur anonyme,
      Pour compléter ma réponse précédente:
      Oui, recevoir la fessée est un fantasme qui remonte au moins à mon adolescence. Avant je ne me souviens pas. Si j'ai créé ce blog, c'était pour publier les récits que j'écrivais et entrer en contact avec d'autres personnes qui ont le même.
      Quand ma compagne et moi nous nous sommes contactés, je n'avais pas prévu que notre relation deviendrait ce qu'elle est aujourd'hui. Il est certain que c'était au sujet de la fessée que ma compagne se proposait de me donner. Cela entrait en résonnance avec ma propre envie, ma curiosité. Elle est partie sur une relation filiale (déjà) mais qui était simulée au moment où nous rencontrions. Nous n'habitions alors pas dans ma même région. Peu à peu cette relation est devenue le cœur de ce qui nous rapproche.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    7. Moi j’ai souvent reçu la fessée étant gamin et même ado. J’en ai livré quelques récits sur ce blog. Ce fantasme existe depuis cette époque. Il se réalise aujourd’hui et j’ai besoin d’être guidé et puni lorsque je le mérite. La fessée étant le meilleur moyen de me faire obéir et de parfaire mon éducation.
      Pascal

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    8. Je précise que suis l’auteur anonyme initial pas le dernier. Je suis formellement opposé aux châtiments corporels sur les enfants mais pour autant j'adore m'imaginer être un enfant les subissant de sa maman après s'être mal comporté ou avoir mal agit. N'est-ce pas étrange selon vous ? Monsieur J.

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    9. Monsieur J,
      Si vous signez vos commentaires de "Monsieur J", vous serez facilement identifiable et il sera facile de vous différencier de "Pascal" qui, il est vrai, poste beaucoup de commentaires sur ce blog, parfois toujours les mêmes, mais c'est ainsi.
      Effectivement, je pense également que la fessée n'est pas la bonne solution pour les enfants. Les habitudes, chez eux, sont beaucoup moins ancrées que chez les adultes. Ils sont donc beaucoup plus réceptifs aux exigences des adultes, surtout si celles-ci leur sont exprimées à juste titre et fermement. Il n'en est hélas, pas de même pour les adultes.
      Les fessées qui me sont données ne sont pas des corrections administrées à un enfant dans corps d'adulte. Ce sont des punitions adaptées à l'adulte que je suis. Il s'agit de me faire régresser, en me déculottant, puis en me fessant et enfin en me mettant au coin, au niveau auquel je me suis amené moi-même à cause de mon comportement immature. Ni pour ma compagne, ni pour moi, cela ne paraît étrange. C'est la situation normale dans laquelle doit se trouver un adulte incapable d'assumer les devoirs inhérents à son âge.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Si j’ai bien compris votre compagne et vous sommes dans une relation "filiale", autrement dit pour faire "moderne" dans une relation MDLB (Mommy Domme / Little Boy), qui est un type de relation BDSM ? Vous n'avez donc que le "D" de "Discipline" mais c'en est. Monsieur J.

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    1. Monsieur J,
      Nous ne le vivons pas comme une relation BDSM. Il n'y a pas de Bondage, pas de domination, pas de sadomasochisme.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG et Monsieur J.
      Pour moi c’est mon immaturité qui rend nécessaire que je sois corrigé comme un gamin parce que mon comportement doit être remis dans le droit chemin. J’ai besoin d’une autorité. Marraine l’a bien compris et moi aussi. Lorsqu’elle me déculotte et me fesse c’est parce que mon attitude n’est pas celle d’un adulte responsable. Alors la fessée déculottée s’impose et me ramène à ma situation de gamin et la mise au coin me fait aussi réfléchir sur mes bêtises.
      Au plaisir de vous lire.
      Pascal

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  3. Il y a comme je vous l’ai dit cependant une sacré part de D comme Discipline dans votre relation, qui, même si vous ne le voyez pas ainsi, suffit à en faire du BDSM si l'on se base strictement sur la signification de l'acronyme.
    En dehors de vos espaces de temps et de lieux consacrés aux câlins et aux fessées, vivez-vous une relation "classique" ?
    Monsieur J.

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  4. Monsieur J,
    Je vous l'ai déjà dit, nous ne vivons pas notre relation comme du BDSM qui a, pour moi, une connotation sexuelle forte. Il suffit de regarder quelques sites consacrés à cette pratique pour se rendre compte, me semble-t-il, que ce que nous vivons est très différent. Il n'y a pas une maîtresse et un soumis.
    Il s'agit plutôt d'une relation éducative dans laquelle, comme cela s'est pratiqué pendant des générations, la fessée est le moyen privilégié de prendre conscience de mes manquements en tant qu'adulte.
    D'ailleurs, entre deux temps où la fessée est nécessaire, nous vivons une relation "classique".
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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    1. Le BDSM (que je ne pratique pas mais dont j’ai glané beaucoup de connaissances purement théoriques sur internet car c’est quelque chose qui m'intéresse particulièrement de comprendre cet univers si complexe et si vaste et de m'y projeter), peut très bien n'avoir aucune dimension sexuelle. Le MDLB est justement une branche du BDSM qui n'en a pas. Monsieur J.

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  5. En tout cas c’est intéressant de voir que chez certaines personnes le fantasme de la fessée punitive est complètement dissocié du monde du BDSM alors que pour d'autres comme moi c'est totalement l'inverse. Pourtant c'est la lecture de vos récits et ceux des auteurs invités qui m'a permis d'étoffer mon imaginaire BDSM en y incluant la fessée punitive. Mon récit préféré "Un difficile retour à la maison" de Pierre est pour moi un récit de référence dans mon imaginaire BDSM. Monsieur J.

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    1. Monsieur J,
      Eh oui, les imaginaires sont différents d'un personne à l'autre, y compris quand il s'agit de sujets proches. C'est aussi ce que en fait la richesse.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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  6. Les coups de pieds au cil m’excite et vous?

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