samedi 30 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 22

« Mais… mais… je ne peux pas. Je ne suis pas… habillée. »
Camille désignait la porte ouverte sur la cage d’escalier, puis ses fesses et ses jambes nues.
« Ne fais pas tant d’histoire. Ce n’est pas parce qu’on risque d’apercevoir un coin de tes fesses, le temps que tu montes au quatrième étage, qu’il faut en faire tout un plat. Les personnes qui les verront n’en seront pas aveuglées. Crois-tu que ce soit aussi surprenant et inhabituel qu’une de mes pupilles se déplace les fesses nues dans la cage d’escalier ?
– Mais non, je ne peux pas.

vendredi 29 novembre 2019

Leçon de bon voisinage

Mais qu'est-ce que c'est que cette façon de se comporter ? Depuis quand te permets-tu d'être aussi impoli avec les voisins que tu croises dans le hall de notre immeuble ? Tu ne pouvais tout simplement pas faire le tour de Madame Simon ? Il y avait largement de la place à passer à côté. Tu étais si pressé que ça ?
A moins que ce ne soit parce que je viens de te gronder et de t'annoncer une punition dès que nous rentrons à la maison ?

jeudi 28 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 16

Clotilde avait passé la nuit à la maison. Dans la chambre d’Amélie. Quand je suis descendu, elles déjeunaient toutes les deux, côte à côte, dans la cuisine.
Dès qu’elles m’ont aperçu, leurs visages se sont fermés. Se sont faits durs.
– Bonjour !
Pas de réponse.
J’ai fait une seconde tentative.
– Bonjour !
Toujours rien.

mercredi 27 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 23

Maeva descendait l’escalier. La dame l’avait gardée au coin le temps que le plus gros de ses pleurs se calme, puis elle l’avait renvoyée chez elle. Maeva sentait que ses yeux étaient encore gonflés par les larmes.
Elle ressassait dans sa tête la punition qu’elle venait de recevoir. Fara et Teva avaient raison. Elle serait dorénavant très attentive au langage qu’elle utilisait. Elle ne tenait à devoir, une nouvelle fois, se rendre chez une inconnue pour y recevoir une fessée. La leçon avait portée. Elle se faisait des promesses qu’elle jurait, intérieurement, de respecter.

mardi 26 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 8

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

UNE CORRECTION EXEMPLAIRE

Après leur vigoureuse fessée au martinet, Stephen et Douglas ont été renvoyés à genoux sur leur chaise, les fesses resplendissantes, savamment marquées aux lanières par Bettina et bien exposées à la vue de tout le monde. Ils continuent tous les deux à pleurer en gémissant plus ou moins en sourdine, attentifs à tenir la position exigée, derrières tendus, bien exposés aux regards.

lundi 25 novembre 2019

Les rebelles - chapitre 21

Ekaterina, Iourievna, Olga et moi, faisons partie du club de tennis de notre ville. La pratique d’une activité sportive est une des composantes de l’éducation russe, comme on dit « un esprit sain, dans un corps sain ». En Russie, les cours ont lieu entre huit heure trente et quinze heure. 

Après une première partie de journée relative à l’enseignement de l’esprit, il y a une seconde partie de la journée relative à d’autres enseignements comme la danse, le chant, les instruments de musique et le sport. Chaque élève est libre de développer une discipline de complément de son choix. Baignées dans cette culture, mes amies et moi-même avons le gout pour les activités sportives que nous pratiquons, pas pour la performance, mais pour le bien-être que cela apporte.

dimanche 24 novembre 2019

Mémoires d'un garnement de jadis - 95ème tableau

Mes exploits en dessin satirique firent le tour de la maison et Maman en parla même à Tante Gladys, qu'elle croisa à la pharmacie Placebo. Bref, un rayonnement local. Mais ma soeur Anna se chargea de me convaincre à sa façon ! Mazette !

samedi 23 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 21

Les deux filles étaient restées au piquet pendant tout le repas. La culotte baissée et le nez touchant le mur, elles avaient attendues que Lorena et sa mère finissent de manger. Sur l’injonction de Lorena, elles avaient dû mettre leurs mains sur la tête.
Le tee-shirt de Camille était assez court pour que le geste l’ait soulevé suffisamment pour dégager presque entièrement ses fesses qui étaient encore bien rouges. Lorena avait retroussé le bas de la robe de Maïlis, mais avait fallu aller chercher une pince à linge pour la maintenir en place. Puis, plus personne ne s’était intéressé à elles.

vendredi 22 novembre 2019

Savoir ranger, cela s'apprend !

Toi, ma cocotte, ce n'est pas la première fois que je te le dis !  Je crois même que je t'en ai encore parlé il y a deux jours, non ? N'essaye pas de me dire que tu ne t'en rappelles plus, je crois que je me sentirai obligée de considérer qu'il s'agit d'un mensonge.
Récapitulons : le papier toilette laissé par terre, la brosse à bain qui n'a pas été remise à sa place, l'armoire de toilette en désordre, portes grandes ouvertes, et tu as vu l'état de la douche ? En moins d'une heure ce matin, tu as réussi à créer un beau capharnaüm !

jeudi 21 novembre 2019

Attention problème d'adresse courriel

J'ai un problème avec mon adresse courriel : Il faut désormais me contacter par courriel à l'adresse suivante :
legall.josip35@laposte.net

Les messages déposés sur l'ancienne adresse ne sont plus lus.

Mes premières fessées - chapitre 15

Amélie m’a rejoint dans la salle de bains.
– Alors ? Hier soir ? Ça s’est passé comment ?
– Ça s’est passé.
– J’ai eu des échos. Elles ont eu du renfort, à ce qu’il paraît. Deux charmantes petites camarades. Et elles n’ont pas été très tendres avec toi, toutes ces nanas, à ce qu’on m’a également dit. Tu fais voir ?

mercredi 20 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 22

Fara prit Maeva par le haut du bras. A grandes enjambées, il marcha vers la salle de bain. Maeva le suivait comme elle le pouvait. Ses pieds touchaient à peine le sol. Ses yeux encore brouillés de larmes ne lui permettaient, que vaguement, de voir où on l’emmenait. Elle le savait et elle redoutait la suite de la punition.
« Non Fara, non, pardon, pardon ! »
Cela n’avait aucune chance de faire revenir son beau-frère sur la résolution qu’il avait prise sur une suggestion de Teva.

mardi 19 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 7

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

L'ADDICTION AU JEU PEUT ENTRAÎNER UNE DÉPENDANCE A LA FESSÉE.

Clarisse et Edwige ont décidé de prendre leur temps. Tout en positionnant le postérieur de son mari bien à sa main, chacune le tapote, le caresse, le claque un peu, passe un doigt indiscret dans la raie pour y enfoncer la couture médiane du slip. Des fesses bien moulées dans le nylon offrent une surface beaucoup plus ferme sous la main. Les deux hommes sont tendus. Ils craignent évidemment la fessée qui se prépare. Douglas pleurniche déjà, tandis que Stephen gémit sourdement. Les deux femmes ne prêtent aucune attention à ce qu'elles appellent les jérémiades de leur mari. Edwige insiste sur le positionnement du sien. 

lundi 18 novembre 2019

Les rebelles - chapitre 20

En ce Vendredi midi, nous assistons à la fessée d’une étudiante de la section BTS informatique dont je fais partie. La punie est Mei, une chinoise de dix-huit ans, venue en France dans le cadre d’échanges scolaires entre l’école TSINGHUA située à KUMMING au sud de la Chine et Ste CROIX.

dimanche 17 novembre 2019

Mémoires d'un garnement de jadis - 94ème tableau

Mon humour frondeur et mes dessins satiriques fâchèrent les religieuses de Sainte-Geneviève.
Un certain Rodolphe s'était permis de les copier  en imitant ma signature. Erreur fatale qui me valut une entrevue cuisante avec Sœur Marie-Adélaïde !

samedi 16 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 20

Madame Caroni recommença une fessée énergique à la main, mais elle fut assez courte. Elle resserra alors son bras autour de la taille de Camille et elle se leva. Camille eut une très désagréable impression de déséquilibre. Madame Caroni la portait sous son coude. Les pieds de Camille ne touchaient pas terre et ses bras battaient dans l’air pour lutter contre la peur de tomber. Madame Caroni l’avait soulevée aisément et elle n’avait pas grand mal à la tenir sous son coude. C’était un poids léger.

vendredi 15 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 14


Affalé sur son lit, Philibert s’est tourné vers moi, appuyé sur un coude, la joue dans la main.
– Et donc, si je comprends bien, tu vas encore y avoir droit ce soir. À la planche à découper, cette fois.
– J’en ai bien peur, oui !
– Finalement, il y en a plus que pour toi, quoi !
– Comment ça ?
– Ben, tu te fais sans arrêt tanner le cul, mais moi, tu sais à quand elle remonte, moi, ma dernière fessée ? À la fois où j’étais allé retrouver Clarisse en douce. Ça fait un bail, avoue !
– Tu vas quand même pas t’en plaindre !

mercredi 13 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 21

Chacun avait fait sa part pour faire disparaitre les reliefs du dîner, même Moana. La cuisine était aussi nette que si on venait d’y faire le ménage à fond. Marguerite se savait sous le regard de ses parents adoptifs. Elle n’avait pas ménagé sa peine. C’est Teva qui donna le satisfecit.
« C’est bien. Tout le monde a participé. Tout est bien rangé ! »
Elle fit le tour de la famille pour donner à chacun un bisou. Seul Fara eut le droit d’en recevoir un sur les lèvres.
« Dommage que nous devions passer à des choses moins réjouissantes. C’est l’heure du conseil de famille. Tout le monde dans le séjour ! »

mardi 12 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 6

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

CUISANT DIMANCHE CHEZ EDWIGE.


 Edwige n'est pas du genre à passer sur une occasion de sévir. Braver une interdiction formelle, surtout lorsqu'il s'agit de paris d'argent, mérite une sévère correction.  Stephen, comme son ami Douglas, a déjà pris cher. Mêmes causes, même effet, même punition, trois fessées successives, dont deux déculottées... C'est le tarif normal pour une grosse désobéissance.  Mais elle tient à parler à Clarisse pour discuter avec elle d'une sanction plus sévère afin de leur faire passer l'envie de jouer aux courses. Surtout quand ils perdent régulièrement.

lundi 11 novembre 2019

Essentielle leçon de conduite

Il semble que, bien que tu aies eu ton permis de conduire depuis quatre mois maintenant, il soit encore nécessaire que tu reçoives quelques leçons sur le comportement que doit adopter un conducteur prudent.
Et non, ce n’est pas la faute de la voiture si tu as failli renverser une dame sur le passage pour piétons. Bien que ma deux-chevaux aient plusieurs années, elle est comme neuve. Elle n’a pratiquement pas roulé et je l’ai faite réviser régulièrement. Ses freins son en parfait état, mais il faudrait que tu sois un peu plus attentif à ta conduite. C’est la grosse voiture rouge que nous avons croisée qui a retenu ton attention et non le piéton qui traversait la rue !

Les rebelles - intermède - Jour férié à St Croix

Pas un bruit dans la cour de St Croix, pas âme qui bouge dans les classes, pas un bruit dans le gymnase ou dans le réfectoire. On pourrait vainement chercher un élève ou un professeur. Même les membres de la direction sont absents. Le lycée est totalement déserté.
Difficile, dans ces conditions, de concocter un récit qui se tienne ! Il faudrait revenir au domicile particulier de quelques-uns des élèves : Iourievna ? Olga ? Agathe ? Axel ou Adlison ? Hélas nous n'y sommes pas !

dimanche 10 novembre 2019

Mémoires d'un garnement de jadis - 93ème tableau

Depuis mon départ du pensionnat Claquemiche,  c'était la première fois que les deux sœurs directrices de cette école venaient habiter mes rêves. J'était une fois de plus fessé sur les genoux de Moiselle Madeleine pour une énième bêtise de ma part. Comme d'habitude !

samedi 9 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 19

« Allô ? Ah, c’est toi Camille !
– Oui, c’est moi. Ça va ?
– Oui, très bien. »
Elle jeta un œil à Madame Caroni comme s’il était nécessaire que Madame Caroni confirme ses dires.
« Qu’est-ce que tu fais ? Tu te grouilles ? Je t’ai dit qu’il y a une teuf d’enfer au Chat Hurlant.
– Super, au Chat Hurlant
– On passe d’abord chez Amélie, puis on y va. T’es prête ?
– Tu me laisses un quart d’heure et j’arrive. Tu m’attends où ?

jeudi 7 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 13

Sylvain avait raison. Elles étaient ravissantes. Aussi bien l’une que l’autre. La Sonia que j’avais connue au lycée ne se préoccupait guère alors de son apparence. Elle se voulait « naturelle ». Un jean, un pull, des baskets. Et tout à l’avenant. « Je me sens bien comme ça. Alors ceux à qui ça plaît pas, eh bien tant pis pour eux ! J’en ai rien à battre. » C’était maintenant une véritable beauté. Maquillée, vêtue d’une délicieuse petite robe rouge ras du genou, d’un ravissant petit haut sexy, elle brillait de tous ses feux. J’en suis resté pantois, les yeux écarquillés.
Elle a éclaté de rire.
– Ben, alors, tu me reconnais pas ?
– Si ! Si ! Bien sûr ! Évidemment !
On s’est jetés dans les bras l’un de l’autre.
– Tu es magnifique ! Absolument magnifique.

mercredi 6 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 20

Marguerite se tenait sur le pas de la porte, hésitante. Comment allait-elle être reçue ? C’est Maeva qui vint ouvrir. Son amie lui sauta au cou et l’embrassa sur les deux joues.
« Teva, c’est Marguerite ! »
L’accueil enthousiaste de Maeva ne l’étonnait pas. Privée de sortie et de téléphone, elle attendait sa meilleure amie avec impatience. Marguerite trouvait qu’elles avaient été encore plus proches le week-end dernier. Etre soumises au même régime disciplinaire, prendre son bain ensemble, dormir ensemble, mais aussi partager les mêmes genoux et les câlins avait renforcé les affinités qui était déjà nombreuses auparavant. Elles étaient devenues des sœurs, sans les disputes.

mardi 5 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 5. Et les dessins ?

Vous avez aimé le cinquième chapitre ? Pourtant il n'y avait pas de dessin... contrairement au précédentes semaines.
Une deuxième lecture devrait permettre de repérer ce manque. Allez-y !

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 5

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

SALE TEMPS POUR DOUGLAS

Du palier en haut de l’escalier, Rodolphe voit son beau-père, toujours assis à table, et sa mère, campée devant lui, en déhanché sur ses hauts talons. Elle a les bras croisés sous son opulente poitrine, en voie d'émancipation d'un décolleté outrageusement plongeant, et pianote avec ses doigts pour montrer son impatience. Elle est frémissante d'une colère à peine contenue. Il est question de ce qui s'est passé cet après-midi et de la correction qu'elle lui a administrée en présence de Bettina. Douglas, qui semble la trouver un peu trop sévère, et pour cause, puisqu'elle l'est tout autant avec lui, le lui dit timidement. L'occasion pour lui de faire discrètement allusion au propre traitement qu'elle lui inflige à la moindre occasion. Clarisse, qui ne tolère aucune remarque sur la discipline, si minime soit-elle, le reprend immédiatement. 

lundi 4 novembre 2019

Les rebelles - chapitre 19

Depuis quelques semaines, des mouvements de protestation ont lieu pour demander l’arrêt pur et simple des châtiments corporelles dans l’établissement Ste CROIX car ces pratiques sont d’un autre âge et c’est inadmissible que des étudiants, même majeur, soient fessés dont certains, en public, pour les soi-disant grosses fautes et ce n’est pas parce que les étudiants sont fouettés que les résultats seront meilleurs, même si l’établissement jouit des meilleures réussites aux examens.

dimanche 3 novembre 2019

Mémoires d'un garnement de jadis - 92ème tableau

Cette virée à l'Olympic me poursuivit en rêve. C'était un pêle-mêle de personnages de mon quotidien :
"Tante" Gladys, très exubérante, apportait des rafraîchissements à ces Dames qui nous recadraient cuisamment , Rodolphe et moi, sous l’œil glacé de Sœur Judith, l'auxiliaire zélée de Mère Marie-Tatiana, directrice de l'école Sainte-Geneviève, qui en rappelait le règlement. Seul Moiselle Claquemiche, la directrice du Pensionnat semblait esquisser un soupçon de compassion à notre égard...

samedi 2 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 18

Ludovic était rentré chez lui comme il en avait maintenant l’habitude, c'est-à-dire dès la fin de son travail. C’était une exigence de Madame Caroni. Il s’était changé immédiatement, passant des vêtements de travail. Il s’était mis au ménage de la salle de bain. C’était le travail que sa tutrice lui avait assigné la veille et il avait bien l’intention d’aller au bout.

vendredi 1 novembre 2019

Comment le rouge vient aux joues et aux fesses des maris - chapitre 3

Après une longue période d'inactivité, me voici de retour. Comme je vous l'avais dit notre expérience de discipline domestique dure depuis très longtemps, j'ai donc écrit ce texte pour expliquer la genèse de cette relation et la façon dont elle s'est installée progressivement dans notre couple. Et je suis persuadée que cette manière apaisée mais ferme d'appliquer des fessées est le gage de la durée de notre vie conjugale.
Sylvie

La fessée thérapeutique.

Tout a commencé il y a un peu plus de 20 ans. Notre fille unique venait de partir faire ses études en Angleterre. Notre vie familiale était très équilibrée, nous pratiquions la fessée sous forme de jeu érotique. Mon mari avait un travail très éprouvant au plan nerveux avec de nombreuses responsabilités, nous avions constaté qu'un rapport sexuel le calmait.