mercredi 6 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 20

Marguerite se tenait sur le pas de la porte, hésitante. Comment allait-elle être reçue ? C’est Maeva qui vint ouvrir. Son amie lui sauta au cou et l’embrassa sur les deux joues.
« Teva, c’est Marguerite ! »
L’accueil enthousiaste de Maeva ne l’étonnait pas. Privée de sortie et de téléphone, elle attendait sa meilleure amie avec impatience. Marguerite trouvait qu’elles avaient été encore plus proches le week-end dernier. Etre soumises au même régime disciplinaire, prendre son bain ensemble, dormir ensemble, mais aussi partager les mêmes genoux et les câlins avait renforcé les affinités qui était déjà nombreuses auparavant. Elles étaient devenues des sœurs, sans les disputes.
Non, c’était l’accueil de Teva et de Fara qui la préoccupait. Elle avait volontairement désobéi lundi dernier et Teva avait dû passer du temps d’abord pour la punir, puis pour transmettre son droit de correction à ses cheffes au travail. La dernière phrase que Teva lui avait dite montrait qu’elle était très fâchée. L’était-elle encore ?
« Pas de bonjour aujourd’hui ? »
C’était Teva qui sortait de la cuisine, les poings sur les hanches et l’air indigné. Marguerite baissa la tête. Elle avait honte. Elle fit un pas timide vers sa mère adoptive.
« Mais qu’est-ce que c’est que ces manières ? Viens-ici tout de suite ! »
Teva avait ouvert les bras en grand et un large sourire barrait son visage. Marguerite, presque en courant, fit les trois pas qui la séparaient de l’étreinte de Teva. Elle nicha son visage entre les deux seins de sa mère adoptive et elle sentit les bras qui se refermaient sur elle.
« Tiens, tiens, mais c’est une petite fille que voilà ! »
Un bras la serrait doucement contre la poitrine de Teva. La main libre caressa sa nuque, puis se glissa dans sa chevelure, jouant avec les mèches que les nattes n’avaient pas pu retenir.
« Presque cinq jours sans elle dans mes bras, c’était long ! »
La main parcourait le dos sur lequel elle traçait de lentes arabesques circulaires.
« Mmm, que c’est bon ! »
C’est maintenant sur les fesses que s’étaient arrêtées les caresses. Teva continua ainsi un long moment et Marguerite aurait voulu qu’il ne s’arrêtât pas. Puis Teva prit une main de chaque côté de la tête de Teva et la renversa en arrière.
« Pas de bisou ? Est-ce que ce serait une petite fille mal élevée ? »
La main claqua doucement les fesses sur le fond de la jupe.
« Je crois qu’il va falloir rectifier cela. »
Elle déposa un bisou sur le front de Marguerite, puis un autre sur le bout de son nez. Elle fronça les sourcils.
« Un bisou là ! En vitesse ! »
Elle désignait sa joue gauche. Marguerite s’empressa d’obéir.
« Un autre là ! »
C’était sur l’autre joue. Puis Teva prit la main de Marguerite et elle l’emmena dans la cuisine. Elle s’assit sur une chaise et, soulevant Marguerite sans sembler faire un effort, elle l’assit sur ses genoux, face à elle. Marguerite aimait bien cette position. Même s’il y avait d’autres personnes autour, cela créait un petit espace d’intimité. Bien que Maeva soit tout à côté, elle avait l’impression d’avoir Teva pour elle toute seule et d’être, pour Teva, la personne la plus importante au monde.
La première fois qu’elle avait été prise sur les genoux de cette façon, Marguerite avait failli protester. C’était une position qui convenait pour une petite fille, pas pour elle, à trente-et-un ans. D’autant plus que ce soir-là elle avait été mise en chemise de nuit que celle-ci en remontant sur ses hanches laissait voir ses fesses nues.
Même quand elle était en jupe, sa pudeur était mise à rude épreuve. La position assise à califourchon obligeait la jupe à remonter sur les cuisses laissant celles-ci quasiment nues. Il suffisait, comme Teva en avait l’habitude, qu’elle glisse les mains sous la jupe, pour une longue caresse prolongée de bas en haut qui s’arrêtait à la limite de la culotte quand les doigts ne se glissaient pas en-dessous pour effleurer tout doucement la peau sur le côté des fesses. Le mouvement retroussait encore un peu plus la jupe et Marguerite savait qu’à ce moment-là on voyait sa culotte.
Marguerite sentait toujours une pointe d’angoisse quand son intimité était visible en public. Teva ne s’arrêtait pas à ce genre de détail. Elle considérait que comme chacun pouvait voir ses trois filles nues comme des vers plusieurs fois par jour pendant le bain ou quand elle les déshabillait ou les habillait, il n’y avait pas d’affaire avec un bout de culotte qui apparaissait ou des fesses nues à la vue de tout le monde. C’était de toute façon la règle quand il fallait donner une fessée.
« Que se passe-t-il ce soir ? Tu étais toute bizarre quand tu es arrivée. Tu ne voulais pas venir avec nous pour ces deux jours ?
– Oh si ! Moi je voulais !
– Alors explique-moi ! »
Marguerite se tut et elle baissa la tête. N’obtenant rien d’autre que ce mutisme, Teva souleva le côté de la jupe et elle asséna une petite claque sèche sur le haut de la cuisse.
« Pas de cachotterie, ma jolie ! Tu sais ce que tu risques ! »
Il fallut une autre claque un peu plus forte pour que Marguerite se décide.
« Je ne savais pas si toi tu voulais de moi.
– Oh, oh, c’est une affaire grave ! Et pourquoi n’aurais-je plus voulu de toi ?
– Parce que j’avais été vilaine et lundi j’avais désobéi.
– C’est vrai que tu as été une affreuse petite file désobéissante. Je n’ai pas oublié. Nous en reparlerons ce soir et tu peux t’attendre à être sévèrement punie. »
Marguerite hocha la tête. Ça elle le savait.
– Mais ce n’est pas une raison pour que nous ne voulions plus de toi. Tu sais, ce n’est pas anormal que tu fasses des bêtises, que tu désobéisses, que tu ne sois pas toujours sage. C’est le lot de toutes les petites filles, même quand elles sont grandes comme toi ou ma chipie de Maeva. »
Teva déposa une caresse sur la joue de sa sœur.
« Pour tout cela, Fara et moi nous te donnerons la fessée, mais nous tenons absolument à ce que tu viennes passer le week-end à la maison. Tu es l’une de mes petites filles et j’y tiens. Est-ce bien compris ? »
Teva avait posé son index sur le bout du nez de Marguerite et elle le tapotait au rythme de sa diction.
« De plus, j’espère que tu n’as pas oublié que tu es punie, privée de sortie comme Maeva, pour deux semaines encore en plus de celle-ci ?
– Non Teva.
– Tu sais que je veux pouvoir te surveiller pendant ta punition. Tu dois donc venir habiter ici ces deux prochains week-ends encore. Après, nous verrons. »
Marguerite hocha la tête. Elle était rassurée sur ce point, mais le plus dur était encore à venir.
« Bon ! Est-ce tout ce que tu avais à me dire ? »
Marguerite n’osait pas avouer la suite.
« Teva va se fâcher, c’est certain, se dit-elle ! »
Comment aborder le sujet ?
« Marguerite, gronda Teva ! »
Une sérieuse claque sur le haut de la cuisse lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix.
« Au travail, j’ai été punie. Deux fois.
– Se pourrait-il qu’on ait été obligé de donner la fessée à ma petite fille ? »
Marguerite baissa les yeux. Elle avait honte. Teva mit un doigt sous son menton et lui releva la tête, l’obligeant à la regarder droit dans les yeux. Une autre claque sur la cuisse. Très appuyée, cette fois.
« Alors, j’attends la réponse !
– Oui Teva.
– Et pour quelles raisons ?
– J’ai bavardé et j’ai mal fait mon travail.
– Avec qui bavardais-tu ?
– Avec Micheline.
– Micheline ! Toujours là quand il y a une bêtise à faire, celle-là ! Madame Evrint a donné la fessée ?
– Oui Teva.
– A toutes les deux ?
– Oui Teva.
– Et elle a baissé la culotte ? »
Marguerite hocha la tête. C’était difficile de se remémorer le moment où Micheline et elle s’étaient retrouvées côte à côte, les fesses nues devant les collègues.
« Puis elle vous a mises au coin ?
– Oui.
– C’est parfait ! Elle t’a donné un courrier pour moi ?
– Oui Teva.
– File le chercher ! »
La claque que donna Teva après avoir soulevé l’arrière de la jupe, n’avait plus rien d’une caresse. Elle propulsa Marguerite vers le couloir. Marguerite tendit la lettre. Teva prit le temps de la lire, d’un bout à l’autre.
« Ce courrier dit que tu as été en retenue.
– Oui Teva, c’est vrai. »
Marguerite avait été en retenue tous les soirs. Il n’y avait que le vendredi où elle avait pu partir à l’heure. Entre le retard du lundi à récupérer, plus tous les moments qu’elle avait passé au coin, il n’y avait pas eu trop de fin d’après-midi, pour compenser les temps qu’elle n’avait pas consacrés à travailler comme elle l’aurait dû. Il n’était pas seulement question de durée. Les retenues étaient des punitions pendant lesquelles il fallait faire le travail en retard.
La cheffe de service qui surveillait les punis était très exigeante et elle ne laissait jamais partir personne avant que le travail fourni soit parfait. La plupart d’entre elles avaient alors la claque sur les fesses facile pour signaler les erreurs et les oublis. Certaines n’hésitaient pas à donner la fessée au moindre prétexte.
« Qu’est-ce que c’était que ce travail mal fait ?
– Je me suis trompée dans les numéros de facture durant presque une journée. Et puis j’ai inversé des clients. J’ai dû tout refaire.
– Et tu en es fière ?
– Non Teva. »
Teva souleva l’arrière de la jupe de Marguerite.
« Du bavardage au lieu de travailler… »
Debout devant sa mère adoptive, Marguerite reçut une dizaine de claque sur chaque fesse. Elle portait encore sa culotte, mais cela n’empêchait pas que cela chauffât ses fesses.
« … puis des étourderies en-veux-tu-en voilà… »
Une nouvelle volée de claque atterrit sur sa culotte.
« … je vais m’occuper de tout cela ! »
Une troisième fessée aussi forte que les deux premières conclut la réprimande de Teva. Marguerite avait des larmes naissantes au coin de ses yeux.
« Va porter ton sac dans ta chambre et ranger tes affaires dans l’armoire. Puis tu iras de mettre au coin dans le séjour, à ta place habituelle. Je vais venir m’occuper de tes fesses ! »
Marguerite ne demanda pas son reste. Elle savait que la fessée qui l’attendait était parfaitement méritée. Il fallait en passer par là

Quand Teva entra dans le séjour, elle ne put s’empêcher de sourire. Marguerite se tenait le nez dans le coin, les bras croisés dans le dos. Elle n’avait ni baissé sa culotte, ni relevé sa jupe, mais Teva ne l’exigeait pas quand le séjour au coin était un temps d’attente d’une fessée à venir.
« Quelle adorable chipie, pensa-t-elle. Son séjour au coin suffirait presque à la punir. Je suis certaine qu’elle regrette déjà les frasques dont elle s’est rendue coupable. Mais ce n’est pas le moment de m’attendrir. Nous verrons cela quand elle aura été correctement punie. J’ai un travail qui m‘attend, même si ce n’est pas le plus gratifiant dans la fonction de parent. »
Elle prit place sur le canapé, lieu commode pour administrer la fessée.
« Je me contente de ma main ou je me munis d’un instrument ? Compte tenu de toutes les fessées qui vont jalonner son week-end, et certaine très douloureuse, je vais commencer en douceur. Ma main suffira. »
Elle goûta le calme qui régnait dans l’appartement. A peine quelques bruits étouffés venant des chambres des filles dans lesquelles elles jouaient. Marguerite était, elle, parfaitement silencieuse. Ça, c’était une règle à respecter dans tous les cas quand on était mis au coin, immobilisme et silence, que ce soit avant ou après une fessée.
« Viens me voir ma chérie ! »
Marguerite se retourna. Ses yeux suppliaient, bien qu’elle sache qu’elle n’avait aucune chance que Teva la dispense de la fessée. Les bras dans le dos, elle vint se placer devant sa mère adoptive, à quelques centimètres des genoux sur lesquels elle serait allongée dans quelques instants.
« Qu’arrive-t-il aux enfants qui bavardent au lieu de travailler ?
– Ils ont une… fes…
– Redis-le plus fort je n’ai pas entendu.
– Ils ont une fessée.
– En fait, ils en ont deux : une au travail et une à la maison. C’est pour leur apprendre qu’il y a un temps pour tout et que, quand on est au travail, on ne peut pas passer son temps à bavarder avec les copines. Es-tu d’accord ?
– Oui Teva. »
Teva glissa ses mains sous la jupe et elle baissa la culotte qu’elle abandonna en bas des cuisses. Marguerite avait frémi et elle était devenue toute pale, mais elle n’avait pas bougé d’un iota. Il était l’heure de faire face à la justice maternelle.
Teva fit avancer Marguerite d’un pas, pour la placer entre ses jambes. Elle passa son bras autour de la taille de la jeune femme et en pesant sur son dos, elle la coucha sur sa cuisse. Serrée contre le flanc de sa mère, Marguerite était immobilisée. Teva releva soigneusement la jupe. Marguerite était apprêtée pour recevoir la correction qui lui était due.
– Après la fessée que je vais te donner, j’espère que s’en sera fini des bavardages.
– Oh oui Teva, je promets ! »
La main de Teva claque la fesse gauche.
« Ne promets pas quelque chose que tu ne pourras pas tenir. S’il suffisait de promettre ! A la prochaine occasion tu n’y réfléchiras pas plus qu’avant. Tu es bien trop écervelée ! Je compte sur la répétition des fessées pour te faire mûrir un peu. »
Cette dernière promesse en l’air avait un peu exaspéré Teva. La vigueur des premières claques qu’elle administra à Marguerite s’en ressentit. Les couinements affolés qui les suivirent, ramenèrent Teva à plus de mesure. Il fallait garder mesure entre la faute commise et la fessée reçue. Sinon comment punir sévèrement les désobéissances intentionnelles ?
Teva reprit la fessée, mais avec une vigueur plus modérée. Cela n’empêchait pas Marguerite de pousser des cris désespérés. La fessée, même revenue à des niveaux plus raisonnables, propageait une cuisson insupportable sur ses fesses.
« Plus jamais de bavardage au travail ! Plus jamais, se promettait-elle ! »
La fessée avait au moins cette vertu : faire regretter sincèrement, sur le moment, la faute qui en était la cause. Toute la question résidait dans la durabilité de cette résolution. Plus la fessée s’éloigne, plus le souvenir s’en atténue, plus le risque de récidive est fort. Chaque contrevenant, quand il décide d’enfreindre les règles qu’il sait devoir respecter, a toujours la certitude qu’il ne sera pas pris. Les avantages immédiats de la désobéissance sont à ses yeux, à portée de main. A ce moment-là, la fessée, elle, n’est qu’hypothétique.
C’est quand la perspective s’inverse, avec une fessée imminente et des avantages à désobéir qui se sont éloignés que le puni revient aux règles d’obéissance auxquelles il aurait préféré ne jamais avoir dérogé.
Teva savait qu’une seule fessée n’était jamais suffisante pour que le raisonnement s’inverse. Il était primordial de sanctionner sans faillir chaque écart pour que la probabilité et les désagréments d’une fessée certaine soient si présents à l’esprit de celui qui était tenté de désobéir, qu’il préférait renoncer. Marguerite n’en était pas encore là.
Quand une fessée avait produit les effets qu’on pouvait en attendre, il fallait y mettre fin. C’est les fesses en feu que Marguerite se dirigea vers le coin qu’elle aurait préféré ne jamais quitter.
« Je vais faire attention. Je ne bavarderai plus ! »
Ses bonnes résolutions étaient d’une sincérité à toute épreuve.

C’est Fara qui vint la chercher pour le bain.
« Attends, je t’aide à enlever ta culotte ! »
Les fesses nues mais recouvertes par la jupe qui était retombée à sa place, Marguerite marcha vers la salle de bains. Elle n’avait pas encore tout à fait admis qu’il fût normal que ce soit Fara qui lui donne le bain. Maeva également montrait une certaine gêne. Pour Moana, c’était une fête. Il n’y avait pourtant pas le choix. Fara et Teva se répartissait les tâches auprès des enfants en fonction de leur disponibilité immédiate. A tour de rôle ils les déshabillaient ou les habillaient, les lavaient, les couchaient… ou les fessaient. Moana échappait à cette dernière attention, parce qu'elle n’en fournissait aucun motif. Elle en était arrivée à une conclusion évidente : la fessée, c’est pour les grandes.
Fara les déshabilla toutes les trois et les mit dans la baignoire. Marguerite n’aimait pas se montrer toute nue et Maeva non plus. Les protestations qu’elles avaient émises, ayant été considérées comme des caprices, s’étaient finies par une fessée. Elles savaient toutes deux que Fara répéterait la punition s’il le jugeait nécessaire. Elles le laissaient donc faire, un peu crispée quand il lavait les fesses et le pubis.
Marguerite se surprenait à oublier que c’étaient des mains masculines qui s’occupaient de ses espaces intimes. Les gestes de Fara étaient doux et fermes à la fois, mais d’une grande efficacité. Elle était certaine, après le passage de Fara, que pas un centimètre carré de sa peau n’avait échappé à l’attention de son père d’adoption. Elle découvrit même, en observant comment il s’y prenait, comment il fallait effectuer la toilette de ses lèvres vaginales, ce que sa mère ne lui avait jamais appris.
C’est en la séchant que Fara fronça les sourcils.
« Il me semble que cette vulve est un peu rouge. Va montrer cela à Teva ! »
C’est entièrement nue que Marguerite parcourut le couloir. Elle n’aimait pas se déplacer ainsi, sans aucun vêtement. Teva et Fara considéraient que c’était normal que des enfants circulent dans l’appartement, à l’occasion, dans leur costume de naissance. Moana n’en faisait pas de cas, ce qui se comprenait à cinq ans. Les trente ans des deux autres enfants ne changeaient rien à la vision qu’en avaient les deux parents.
Teva n’était pas dans la cuisine. Elle lisait une revue dans le séjour.
« Fara dit que c’est rouge… là »
Elle ne savait pas comment appeler cet endroit habituellement intime. Elle l’avait donc désigné du doigt.
« Attend, je vais regarder ! »
Teva planta Marguerite debout devant la grande baie vitrée. Elle écarta les rideaux pour laisser entrer la lumière. Elle se pencha alors pour examiner la zone incriminée. Marguerite se rendit tout de suite compte que nombre de voisins d’en face qui regarderaient dans sa direction, ne pourraient éviter de voir son corps de femme, entièrement nu. Teva n’y prenait pas garde. C’était le corps d’un enfant et il était nécessaire d’y prêter la plus grande attention pour des raisons d’hygiène. La pudeur n’avait pas cours ici.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 19
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Il y a une suite, le chapitre 21.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Dommage la fessée de Sophie n'a pas eue lieu dans le Chapitre 20 peut être le 21 ?
    Au plaisir de vous lire

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  2. Cher lecteur anonyme,
    Il n'est hélas pas prévu de conter la fessée de Sophie dans les chapitres qui viennent, mais ne vous gênez pas pour reprendre le personnage à votre compte et pour écrire la suite de ce qui arrive à cette Sophie. Je me ferai un plaisir de publier le récit que vous en tirerez.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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