« Teva, c’est Marguerite ! »
L’accueil enthousiaste de Maeva
ne l’étonnait pas. Privée de sortie et de téléphone, elle attendait sa
meilleure amie avec impatience. Marguerite trouvait qu’elles avaient été encore
plus proches le week-end dernier. Etre soumises au même régime disciplinaire,
prendre son bain ensemble, dormir ensemble, mais aussi partager les mêmes
genoux et les câlins avait renforcé les affinités qui était déjà nombreuses
auparavant. Elles étaient devenues des sœurs, sans les disputes.
Non, c’était l’accueil de Teva et
de Fara qui la préoccupait. Elle avait volontairement désobéi lundi dernier et
Teva avait dû passer du temps d’abord pour la punir, puis pour transmettre son
droit de correction à ses cheffes au travail. La dernière phrase que Teva lui
avait dite montrait qu’elle était très fâchée. L’était-elle encore ?
« Pas de bonjour
aujourd’hui ? »
C’était Teva qui sortait de la
cuisine, les poings sur les hanches et l’air indigné. Marguerite baissa la
tête. Elle avait honte. Elle fit un pas timide vers sa mère adoptive.
« Mais qu’est-ce que c’est
que ces manières ? Viens-ici tout de suite ! »
Teva avait ouvert les bras en
grand et un large sourire barrait son visage. Marguerite, presque en courant,
fit les trois pas qui la séparaient de l’étreinte de Teva. Elle nicha son
visage entre les deux seins de sa mère adoptive et elle sentit les bras qui se
refermaient sur elle.
« Tiens, tiens, mais c’est
une petite fille que voilà ! »
Un bras la serrait doucement
contre la poitrine de Teva. La main libre caressa sa nuque, puis se glissa dans
sa chevelure, jouant avec les mèches que les nattes n’avaient pas pu retenir.
« Presque cinq jours sans
elle dans mes bras, c’était long ! »
La main parcourait le dos sur
lequel elle traçait de lentes arabesques circulaires.
« Mmm, que c’est
bon ! »
C’est maintenant sur les fesses
que s’étaient arrêtées les caresses. Teva continua ainsi un long moment et Marguerite
aurait voulu qu’il ne s’arrêtât pas. Puis Teva prit une main de chaque côté de
la tête de Teva et la renversa en arrière.
« Pas de bisou ? Est-ce
que ce serait une petite fille mal élevée ? »
La main claqua doucement les
fesses sur le fond de la jupe.
« Je crois qu’il va falloir
rectifier cela. »
Elle déposa un bisou sur le front
de Marguerite, puis un autre sur le bout de son nez. Elle fronça les sourcils.
« Un bisou là ! En
vitesse ! »
Elle désignait sa joue gauche. Marguerite
s’empressa d’obéir.
« Un autre là ! »
C’était sur l’autre joue. Puis
Teva prit la main de Marguerite et elle l’emmena dans la cuisine. Elle s’assit
sur une chaise et, soulevant Marguerite sans sembler faire un effort, elle
l’assit sur ses genoux, face à elle. Marguerite aimait bien cette position.
Même s’il y avait d’autres personnes autour, cela créait un petit espace
d’intimité. Bien que Maeva soit tout à côté, elle avait l’impression d’avoir
Teva pour elle toute seule et d’être, pour Teva, la personne la plus importante
au monde.
La première fois qu’elle avait
été prise sur les genoux de cette façon, Marguerite avait failli protester.
C’était une position qui convenait pour une petite fille, pas pour elle, à
trente-et-un ans. D’autant plus que ce soir-là elle avait été mise en chemise
de nuit que celle-ci en remontant sur ses hanches laissait voir ses fesses
nues.
Même quand elle était en jupe, sa
pudeur était mise à rude épreuve. La position assise à califourchon obligeait
la jupe à remonter sur les cuisses laissant celles-ci quasiment nues. Il
suffisait, comme Teva en avait l’habitude, qu’elle glisse les mains sous la
jupe, pour une longue caresse prolongée de bas en haut qui s’arrêtait à la
limite de la culotte quand les doigts ne se glissaient pas en-dessous pour
effleurer tout doucement la peau sur le côté des fesses. Le mouvement
retroussait encore un peu plus la jupe et Marguerite savait qu’à ce moment-là
on voyait sa culotte.
Marguerite sentait toujours une
pointe d’angoisse quand son intimité était visible en public. Teva ne
s’arrêtait pas à ce genre de détail. Elle considérait que comme chacun pouvait
voir ses trois filles nues comme des vers plusieurs fois par jour pendant le
bain ou quand elle les déshabillait ou les habillait, il n’y avait pas
d’affaire avec un bout de culotte qui apparaissait ou des fesses nues à la vue de
tout le monde. C’était de toute façon la règle quand il fallait donner une
fessée.
« Que se passe-t-il ce
soir ? Tu étais toute bizarre quand tu es arrivée. Tu ne voulais pas venir
avec nous pour ces deux jours ?
– Oh si ! Moi je
voulais !
– Alors explique-moi ! »
Marguerite se tut et elle baissa
la tête. N’obtenant rien d’autre que ce mutisme, Teva souleva le côté de la
jupe et elle asséna une petite claque sèche sur le haut de la cuisse.
« Pas de cachotterie, ma
jolie ! Tu sais ce que tu risques ! »
Il fallut une autre claque un peu
plus forte pour que Marguerite se décide.
« Je ne savais pas si toi tu
voulais de moi.
– Oh, oh, c’est une affaire
grave ! Et pourquoi n’aurais-je plus voulu de toi ?
– Parce que j’avais été vilaine
et lundi j’avais désobéi.
– C’est vrai que tu as été une
affreuse petite file désobéissante. Je n’ai pas oublié. Nous en reparlerons ce
soir et tu peux t’attendre à être sévèrement punie. »
Marguerite hocha la tête. Ça elle
le savait.
– Mais ce n’est pas une raison
pour que nous ne voulions plus de toi. Tu sais, ce n’est pas anormal que tu
fasses des bêtises, que tu désobéisses, que tu ne sois pas toujours sage. C’est
le lot de toutes les petites filles, même quand elles sont grandes comme toi ou
ma chipie de Maeva. »
Teva déposa une caresse sur la
joue de sa sœur.
« Pour tout cela, Fara et
moi nous te donnerons la fessée, mais nous tenons absolument à ce que tu
viennes passer le week-end à la maison. Tu es l’une de mes petites filles et
j’y tiens. Est-ce bien compris ? »
Teva avait posé son index sur le
bout du nez de Marguerite et elle le tapotait au rythme de sa diction.
« De plus, j’espère que tu
n’as pas oublié que tu es punie, privée de sortie comme Maeva, pour deux
semaines encore en plus de celle-ci ?
– Non Teva.
– Tu sais que je veux pouvoir te
surveiller pendant ta punition. Tu dois donc venir habiter ici ces deux
prochains week-ends encore. Après, nous verrons. »
Marguerite hocha la tête. Elle
était rassurée sur ce point, mais le plus dur était encore à venir.
« Bon ! Est-ce tout ce
que tu avais à me dire ? »
Marguerite n’osait pas avouer la
suite.
« Teva va se fâcher, c’est
certain, se dit-elle ! »
Comment aborder le sujet ?
« Marguerite, gronda
Teva ! »
Une sérieuse claque sur le haut
de la cuisse lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix.
« Au travail, j’ai été
punie. Deux fois.
– Se pourrait-il qu’on ait été
obligé de donner la fessée à ma petite fille ? »
Marguerite baissa les yeux. Elle
avait honte. Teva mit un doigt sous son menton et lui releva la tête, l’obligeant
à la regarder droit dans les yeux. Une autre claque sur la cuisse. Très
appuyée, cette fois.
« Alors, j’attends la
réponse !
– Oui Teva.
– Et pour quelles raisons ?
– J’ai bavardé et j’ai mal fait
mon travail.
– Avec qui bavardais-tu ?
– Avec Micheline.
– Micheline ! Toujours là
quand il y a une bêtise à faire, celle-là ! Madame Evrint a donné la
fessée ?
– Oui Teva.
– A toutes les deux ?
– Oui Teva.
– Et elle a baissé la
culotte ? »
Marguerite hocha la tête. C’était
difficile de se remémorer le moment où Micheline et elle s’étaient retrouvées
côte à côte, les fesses nues devant les collègues.
« Puis elle vous a mises au
coin ?
– Oui.
– C’est parfait ! Elle t’a
donné un courrier pour moi ?
– Oui Teva.
– File le chercher ! »
La claque que donna Teva après
avoir soulevé l’arrière de la jupe, n’avait plus rien d’une caresse. Elle
propulsa Marguerite vers le couloir. Marguerite tendit la lettre. Teva prit le
temps de la lire, d’un bout à l’autre.
« Ce courrier dit que tu as
été en retenue.
– Oui Teva, c’est vrai. »
Marguerite avait été en retenue
tous les soirs. Il n’y avait que le vendredi où elle avait pu partir à l’heure.
Entre le retard du lundi à récupérer, plus tous les moments qu’elle avait passé
au coin, il n’y avait pas eu trop de fin d’après-midi, pour compenser les temps
qu’elle n’avait pas consacrés à travailler comme elle l’aurait dû. Il n’était
pas seulement question de durée. Les retenues étaient des punitions pendant
lesquelles il fallait faire le travail en retard.
La cheffe de service qui surveillait
les punis était très exigeante et elle ne laissait jamais partir personne avant
que le travail fourni soit parfait. La plupart d’entre elles avaient alors la
claque sur les fesses facile pour signaler les erreurs et les oublis. Certaines
n’hésitaient pas à donner la fessée au moindre prétexte.
« Qu’est-ce que c’était que
ce travail mal fait ?
– Je me suis trompée dans les
numéros de facture durant presque une journée. Et puis j’ai inversé des
clients. J’ai dû tout refaire.
– Et tu en es fière ?
– Non Teva. »
Teva souleva l’arrière de la jupe
de Marguerite.
« Du bavardage au lieu de
travailler… »
Debout devant sa mère adoptive, Marguerite
reçut une dizaine de claque sur chaque fesse. Elle portait encore sa culotte,
mais cela n’empêchait pas que cela chauffât ses fesses.
« … puis des étourderies
en-veux-tu-en voilà… »
Une nouvelle volée de claque
atterrit sur sa culotte.
« … je vais m’occuper de
tout cela ! »
Une troisième fessée aussi forte
que les deux premières conclut la réprimande de Teva. Marguerite avait des
larmes naissantes au coin de ses yeux.
« Va porter ton sac dans ta
chambre et ranger tes affaires dans l’armoire. Puis tu iras de mettre au coin
dans le séjour, à ta place habituelle. Je vais venir m’occuper de tes
fesses ! »
Marguerite ne demanda pas son
reste. Elle savait que la fessée qui l’attendait était parfaitement méritée. Il
fallait en passer par là
Quand Teva entra dans le séjour,
elle ne put s’empêcher de sourire. Marguerite se tenait le nez dans le coin,
les bras croisés dans le dos. Elle n’avait ni baissé sa culotte, ni relevé sa
jupe, mais Teva ne l’exigeait pas quand le séjour au coin était un temps
d’attente d’une fessée à venir.
« Quelle adorable chipie,
pensa-t-elle. Son séjour au coin suffirait presque à la punir. Je suis certaine
qu’elle regrette déjà les frasques dont elle s’est rendue coupable. Mais ce
n’est pas le moment de m’attendrir. Nous verrons cela quand elle aura été
correctement punie. J’ai un travail qui m‘attend, même si ce n’est pas le plus
gratifiant dans la fonction de parent. »
Elle prit place sur le canapé,
lieu commode pour administrer la fessée.
« Je me contente de ma main
ou je me munis d’un instrument ? Compte tenu de toutes les fessées qui
vont jalonner son week-end, et certaine très douloureuse, je vais commencer en
douceur. Ma main suffira. »
Elle goûta le calme qui régnait
dans l’appartement. A peine quelques bruits étouffés venant des chambres des
filles dans lesquelles elles jouaient. Marguerite était, elle, parfaitement
silencieuse. Ça, c’était une règle à respecter dans tous les cas quand on était
mis au coin, immobilisme et silence, que ce soit avant ou après une fessée.
« Viens me voir ma
chérie ! »
Marguerite se retourna. Ses yeux
suppliaient, bien qu’elle sache qu’elle n’avait aucune chance que Teva la
dispense de la fessée. Les bras dans le dos, elle vint se placer devant sa mère
adoptive, à quelques centimètres des genoux sur lesquels elle serait allongée
dans quelques instants.
« Qu’arrive-t-il aux enfants
qui bavardent au lieu de travailler ?
– Ils ont une… fes…
– Redis-le plus fort je n’ai pas
entendu.
– Ils ont une fessée.
– En fait, ils en ont deux :
une au travail et une à la maison. C’est pour leur apprendre qu’il y a un temps
pour tout et que, quand on est au travail, on ne peut pas passer son temps à
bavarder avec les copines. Es-tu d’accord ?
– Oui Teva. »
Teva glissa ses mains sous la
jupe et elle baissa la culotte qu’elle abandonna en bas des cuisses. Marguerite
avait frémi et elle était devenue toute pale, mais elle n’avait pas bougé d’un
iota. Il était l’heure de faire face à la justice maternelle.
Teva fit avancer Marguerite d’un
pas, pour la placer entre ses jambes. Elle passa son bras autour de la taille
de la jeune femme et en pesant sur son dos, elle la coucha sur sa cuisse. Serrée
contre le flanc de sa mère, Marguerite était immobilisée. Teva releva
soigneusement la jupe. Marguerite était apprêtée pour recevoir la correction
qui lui était due.
– Après la fessée que je vais te
donner, j’espère que s’en sera fini des bavardages.
– Oh oui Teva, je
promets ! »
La main de Teva claque la fesse
gauche.
« Ne promets pas quelque
chose que tu ne pourras pas tenir. S’il suffisait de promettre ! A la
prochaine occasion tu n’y réfléchiras pas plus qu’avant. Tu es bien trop
écervelée ! Je compte sur la répétition des fessées pour te faire mûrir un
peu. »
Cette dernière promesse en l’air
avait un peu exaspéré Teva. La vigueur des premières claques qu’elle administra
à Marguerite s’en ressentit. Les couinements affolés qui les suivirent,
ramenèrent Teva à plus de mesure. Il fallait garder mesure entre la faute
commise et la fessée reçue. Sinon comment punir sévèrement les désobéissances
intentionnelles ?
Teva reprit la fessée, mais avec
une vigueur plus modérée. Cela n’empêchait pas Marguerite de pousser des cris
désespérés. La fessée, même revenue à des niveaux plus raisonnables, propageait
une cuisson insupportable sur ses fesses.
« Plus jamais de bavardage
au travail ! Plus jamais, se promettait-elle ! »
La fessée avait au moins cette
vertu : faire regretter sincèrement, sur le moment, la faute qui en était
la cause. Toute la question résidait dans la durabilité de cette résolution. Plus
la fessée s’éloigne, plus le souvenir s’en atténue, plus le risque de récidive
est fort. Chaque contrevenant, quand il décide d’enfreindre les règles qu’il
sait devoir respecter, a toujours la certitude qu’il ne sera pas pris. Les
avantages immédiats de la désobéissance sont à ses yeux, à portée de main. A
ce moment-là, la fessée, elle, n’est qu’hypothétique.
C’est quand la perspective
s’inverse, avec une fessée imminente et des avantages à désobéir qui se sont
éloignés que le puni revient aux règles d’obéissance auxquelles il aurait
préféré ne jamais avoir dérogé.
Teva savait qu’une seule fessée
n’était jamais suffisante pour que le raisonnement s’inverse. Il était
primordial de sanctionner sans faillir chaque écart pour que la probabilité et
les désagréments d’une fessée certaine soient si présents à l’esprit de celui
qui était tenté de désobéir, qu’il préférait renoncer. Marguerite n’en était
pas encore là.
Quand une fessée avait produit
les effets qu’on pouvait en attendre, il fallait y mettre fin. C’est les fesses
en feu que Marguerite se dirigea vers le coin qu’elle aurait préféré ne jamais
quitter.
« Je vais faire attention.
Je ne bavarderai plus ! »
Ses bonnes résolutions étaient
d’une sincérité à toute épreuve.
C’est Fara qui vint la chercher
pour le bain.
« Attends, je t’aide à
enlever ta culotte ! »
Les fesses nues mais recouvertes
par la jupe qui était retombée à sa place, Marguerite marcha vers la salle de
bains. Elle n’avait pas encore tout à fait admis qu’il fût normal que ce soit
Fara qui lui donne le bain. Maeva également montrait une certaine gêne. Pour
Moana, c’était une fête. Il n’y avait pourtant pas le choix. Fara et Teva se
répartissait les tâches auprès des enfants en fonction de leur disponibilité
immédiate. A tour de rôle ils les déshabillaient ou les habillaient, les
lavaient, les couchaient… ou les fessaient. Moana échappait à cette dernière
attention, parce qu'elle n’en fournissait aucun motif. Elle en était arrivée à une
conclusion évidente : la fessée, c’est pour les grandes.
Fara les déshabilla toutes les
trois et les mit dans la baignoire. Marguerite n’aimait pas se montrer toute
nue et Maeva non plus. Les protestations qu’elles avaient émises, ayant été
considérées comme des caprices, s’étaient finies par une fessée. Elles savaient
toutes deux que Fara répéterait la punition s’il le jugeait nécessaire. Elles
le laissaient donc faire, un peu crispée quand il lavait les fesses et le
pubis.
Marguerite se surprenait à
oublier que c’étaient des mains masculines qui s’occupaient de ses espaces
intimes. Les gestes de Fara étaient doux et fermes à la fois, mais d’une grande
efficacité. Elle était certaine, après le passage de Fara, que pas un
centimètre carré de sa peau n’avait échappé à l’attention de son père
d’adoption. Elle découvrit même, en observant comment il s’y prenait, comment
il fallait effectuer la toilette de ses lèvres vaginales, ce que sa mère ne lui
avait jamais appris.
C’est en la séchant que Fara
fronça les sourcils.
« Il me semble que cette
vulve est un peu rouge. Va montrer cela à Teva ! »
C’est entièrement nue que Marguerite
parcourut le couloir. Elle n’aimait pas se déplacer ainsi, sans aucun vêtement.
Teva et Fara considéraient que c’était normal que des enfants circulent dans
l’appartement, à l’occasion, dans leur costume de naissance. Moana n’en faisait
pas de cas, ce qui se comprenait à cinq ans. Les trente ans des deux autres
enfants ne changeaient rien à la vision qu’en avaient les deux parents.
Teva n’était pas dans la cuisine.
Elle lisait une revue dans le séjour.
« Fara dit que c’est rouge…
là »
Elle ne savait pas comment
appeler cet endroit habituellement intime. Elle l’avait donc désigné du doigt.
« Attend, je vais
regarder ! »
Teva planta Marguerite debout
devant la grande baie vitrée. Elle écarta les rideaux pour laisser entrer la
lumière. Elle se pencha alors pour examiner la zone incriminée. Marguerite se
rendit tout de suite compte que nombre de voisins d’en face qui regarderaient
dans sa direction, ne pourraient éviter de voir son corps de femme, entièrement
nu. Teva n’y prenait pas garde. C’était le corps d’un enfant et il était
nécessaire d’y prêter la plus grande attention pour des raisons d’hygiène. La
pudeur n’avait pas cours ici.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 19
Mais, ce n'est pas fini
Il y a une suite, le chapitre 21.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Bonjour,
RépondreSupprimerDommage la fessée de Sophie n'a pas eue lieu dans le Chapitre 20 peut être le 21 ?
Au plaisir de vous lire
Cher lecteur anonyme,
RépondreSupprimerIl n'est hélas pas prévu de conter la fessée de Sophie dans les chapitres qui viennent, mais ne vous gênez pas pour reprendre le personnage à votre compte et pour écrire la suite de ce qui arrive à cette Sophie. Je me ferai un plaisir de publier le récit que vous en tirerez.
Au plaisir de vous lire,
JLG.