jeudi 7 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 13

Sylvain avait raison. Elles étaient ravissantes. Aussi bien l’une que l’autre. La Sonia que j’avais connue au lycée ne se préoccupait guère alors de son apparence. Elle se voulait « naturelle ». Un jean, un pull, des baskets. Et tout à l’avenant. « Je me sens bien comme ça. Alors ceux à qui ça plaît pas, eh bien tant pis pour eux ! J’en ai rien à battre. » C’était maintenant une véritable beauté. Maquillée, vêtue d’une délicieuse petite robe rouge ras du genou, d’un ravissant petit haut sexy, elle brillait de tous ses feux. J’en suis resté pantois, les yeux écarquillés.
Elle a éclaté de rire.
– Ben, alors, tu me reconnais pas ?
– Si ! Si ! Bien sûr ! Évidemment !
On s’est jetés dans les bras l’un de l’autre.
– Tu es magnifique ! Absolument magnifique.


Quant à Estelle, qui est arrivée en retard…
– Comme d’habitude ! Mais bon, vous me connaissez depuis le temps…
C’était la même Estelle. L’Estelle de toujours. Pétulante. Rieuse. Spontanément séduisante. Celle par qui je m’étais senti invinciblement attiré, dès la toute première fois que je l’avais aperçue, et par la présence de laquelle j’ai été tout aussitôt à nouveau profondément remué. Comme avant. Et beaucoup plus encore qu’avant.

On a passé un long moment à évoquer, tous les quatre, nos souvenirs communs. Avec jubilation.
Et puis… Bon, mais c’était pas tout ça ! C’était bien beau le passé, mais on devenait quoi, là, les uns et les autres ? Hein ? Dans notre vie d’aujourd’hui ? On faisait quoi ? On en était où ?
Oh, ben, Sonia, elle, elle s’était mariée. Il y avait un peu plus d’un an. Avec un ophtalmo.
– Une monumentale connerie ! Ah, parce que j’ai la sécurité matérielle, ça, c’est sûr ! Mais qu’est-ce que je peux m’emmerder ! Si vous saviez !
Sylvain a suggéré.
– Ça existe, le divorce !
– Je sais bien, oui ! Mais c’est pas aussi simple que ça !
Estelle était de son avis. C’était pas simple.
– Parce que moi aussi, je me suis très vite rendu compte que ça pourrait pas le faire avec Martin. Mais pour m’en dépêtrer, ça a été tout un tas de complications à n’en plus finir. Comment il savait me faire culpabiliser, ce salaud ! Ah, j’en ai bavé ! Mais c’est du passé ! Me reste plus qu’à trouver le bon maintenant.
Et elle m’a jeté un rapide petit coup d’œil par en dessous.
– Et vous, les garçons ?
Oh, nous ! Sylvain se consacrait tout entier à un grand projet dont il ne voulait pas encore parler.
– Tant qu’il y a rien de vraiment consistant…
Quant à moi, j’ai éludé. Je poursuivais sagement mes études. Et puis voilà !
Il a bien fallu finir par se quitter. En se promettant de se revoir. Bientôt. Très bientôt. Estelle habitait à quatre ou cinq cents mètres de là. J’ai bien évidemment été tenté de la raccompagner. Je ne l’ai pas fait. En invoquant une excuse bidon.

Philibert a ouvert de grands yeux étonnés.
– Hein ? Ben, pourquoi ?
Pourquoi ? Il demandait pourquoi ?
– Mais parce que, tiens ! Il se serait passé quoi, à ton avis, si je l’avais fait ? Elle m’aurait proposé de monter boire un verre. Forcément… Et une fois là-haut, de fil en aiguille… D’autant qu’on en avait autant envie l’un que l’autre, ça crevait les yeux. Seulement avant-hier, ta sœur m’a flanqué une mémorable fessée, je te rappelle. Dont j’ai encore les marques. Bien incrustées et bien visibles. Alors c’était tout juste pas possible. Va expliquer un truc pareil à une nana, toi ! Elle m’aurait ri au nez, oui !
– Vu comme ça, effectivement…
– Et ça me bouffe la tête ! Parce que j’ai vraiment envie qu’il se passe quelque chose avec elle. Seulement s’il faut que je navigue à vue entre les fessées, que je surveille en permanence mon derrière pour voir s’il est présentable, ça va vite être la galère. D’autant qu’elle risque de pas comprendre pourquoi certains jours j’en suis et pas d’autres.
– D’autant aussi qu’elle a beau en avoir rien à fiche de toi, ma sœur, dès qu’elle aura compris qu’il y a une autre nana sous roche, elle va faire tout ce qu’elle peut pour te mettre des bâtons dans les roues, ça, c’est sûr. Je la connais depuis le temps.
– Je suis pas obligé de lui parler d’Estelle non plus…
– Tu penses bien qu’elle le saura. Ton copain Sylvain, maintenant qu’elle a mis la main dessus, va falloir qu’il passe à la question plus souvent qu’à son tour. Et même si lui, il ne dit rien, elle trouvera le moyen d’être au courant quand même. D’une façon ou d’une autre. Non, la seule solution, pour toi, c’est de jouer cartes sur table. Aussi bien avec Amélie qu’avec Estelle.
– Avec Estelle ! Non, mais alors ça, c’est juste pas possible.
– Ou alors de t’extirper vite fait d’ici, de tout ça. Ce qui est absolument exclu. Elle a barre sur toi, Amélie. Et pas seulement à cause de ce qui s’est passé cet été. Quand bien même il y aurait rien eu, t’es complètement sous son emprise maintenant à ma sœur. C’est pas vrai peut-être ?
Je n’ai pas répondu.

Elle a exigé.
– Arrive ! Je t’emmène…
On venait de finir de dîner.
– Où ça ?
– Tu verras bien.
Elle s’est installée au volant.
– Alors ? Ton après-midi ?
– Oh, bien. Très bien. Génial.
– Tant mieux ! J’ai bien fait de te laisser aller t’amuser un peu, alors ! Ça t’aura changé les idées.
On est passés devant la bibliothèque. Elle a pris à droite, vers la gare, puis presque aussitôt à gauche vers les Ormeaux.
– Tu te demandes bien où on va, hein ? Finir la journée en beauté. Avec les deux jumelles, là, Gwenaëlle et Hortense, tu sais bien, les filles d’hier soir. J’ai passé l’après-midi avec elles. On a beaucoup parlé. Et sympathisé. Tu te doutes bien de quoi essentiellement. Et presque exclusivement. Elles m’ont avoué qu’elles crèvent d’envie de te voir recevoir une bonne fessée et même, encore mieux, de te la flanquer elles-mêmes. Voilà un vœu qui n’est pas bien difficile à exaucer. Je leur ai promis qu’il le serait. Avant ce soir… On peut bien leur faire ce petit plaisir, non ?
– Hein ? Mais…
– Mais quoi ? Tu vas pas commencer à ergoter. Qu’est-ce tu vas me dire ? Que c’est pas mérité ? Et alors ! La belle affaire ! Il peut bien y avoir une fessée, comme ça, de temps en temps, qui soit donnée sans raison, non ? En à-valoir, en quelque sorte, sur une prochaine qui, elle, sera pleinement justifiée. Oh, et puis de toute façon, j’ai pas de comptes à te rendre. J’ai décidé que ce serait comme ça, ce sera comme ça, un point c’est tout. Le débat est clos.

Elles ont échangé toutes les trois quelques mots à voix basse. Ponctués de deux ou trois fous rires. Et puis Amélie s’est dirigée vers la porte.
– Je vous le laisse. Comme convenu. Faites-en bon usage !
– Oh, ça, tu peux compter sur nous !
Hortense s’est frotté les mains.
– Sûr qu’on va bien s’amuser…
Sa sœur a pris un air sévère.
– À ce qu’il paraît qu’elle a été obligée de t’en coller une sacrément corsée, Amélie, vendredi soir, en rentrant de boîte, vu que t’avais picolé comme un trou. Ça doit encore se voir sur ton cul, non ? Ça fait que deux jours ! Eh bien, réponds ! Ça se voit ?
– Un peu.
– Ça veut rien dire, ça, un peu.
Elle a haussé les épaules.
– Le mieux, c’est encore qu’on se fasse notre opinion par nous-mêmes.
Et elle s’est résolument emparée de la boucle de ma ceinture. J’ai, d’instinct, repoussé sa main. Elle m’a menacé du doigt.
– Ah, ça, tu devrais pas. Tu devrais vraiment pas. Parce qu’alors là on risque de se montrer très très sévères avec toi tout à l’heure.
J’ai renoncé. Je me suis laissé faire. De toute façon…
Et elles m’ont déculotté. À quatre mains. Avec conviction.
– Eh, Hortense, c’est derrière que ça se passe !
– Oui, mais devant, ça commence à grimper.
– On verra ça après. Viens là, plutôt !
– Hou là ! Toutes ces traînées que ça a fait ! Et comment elles sont rouges !
Elles en ont épousé les contours. Du bout des doigts.
– Ça fait mal ?
– Pas trop.
Elles y ont enfoncé leurs ongles.
– Et là ?
J’ai serré les dents. Elles ont appuyé plus fort. J’ai gémi.
– C’était largement mérité n’importe comment. Se saouler la gueule comme ça !
– Sans compter tout le reste. Tout ce qu’elle nous a raconté, Amélie.
Hortense m’a contourné.
– Il recommence à bander. Comme tout à l’heure.
Effleuré la queue.
– Oh, là, cette fois, ça y va ! Non, mais regarde-moi comment ça y va.
– C’est tous des gros cochons de pervers, les mecs, n’importe comment. Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ?
Mais rien ! J’avais rien dit.
– Ça vaut mieux ! Parce que tu sais ce qu’il m’a fait, il y en a un, il y a pas longtemps ? Eh ben, il a pris des photos de moi à poil pendant que je dormais et il les a fait circuler parmi ses copains. Ah, c’est beau, ça, hein ! Et Hortense, elle, de son côté, son dernier mec, il avait fait un trou dans la cloison de sa chambre, un trou qu’on pouvait pas voir si on le savait pas. Un trou pour que ses potes puissent se rincer l’œil pendant qu’il la baisait. Vous êtes tous des gros dégueulasses. Des enfoirés de première. Tous autant que vous êtes !
J’ai tenté de protester. J’y étais pour rien, moi, dans toutes ces histoires…
– Parce que t’as pas eu l’occasion. T’aurais eu l’occasion…
– T’as fait bien pire, si ça tombe. Sûrement, même. Tu le portes sur toi n’importe comment que t’es un pervers ! Oh, mais on va te remettre d’aplomb, tu vas voir ! Une bonne correction, il y a rien de tel. On y voit beaucoup plus clair après. Si ! Si, je t’assure !
Elles se sont concertées.
– On lui fait avec quoi ?
Gwenaëlle, elle, ce qui la tentait, c’était la planche à découper. Celle qui avait servi à punir son frère la veille.
– C’est sacrément efficace. Comment il braillait ! Et comment il gigotait !
Hortense a fait la moue.
– Moi, c’est à la main que je préférerais. Pour sentir ses fesses devenir toutes chaudes sous mes doigts. Pour les voir rougir. Et puis, c’est encore plus vexant comme ça, je trouve, pour un type. Ça le rend petit garçon.
– Eh ben, commence alors ! Fais-toi plaisir. Je prendrai le relais.
Elle ne s’est pas fait prier. Elle a tiré une chaise au beau milieu de la pièce, s’y est assise, la mine gourmande, m’a fait signe d’approcher.
– Allez, viens là !
En travers de ses genoux. Elle m’y a calé et j’ai pris appui sur le sol, des deux mains bien à plat.
– Prêt ?
J’ai vaguement acquiescé.
– Quoi ? J’ai pas entendu. Prêt ?
J’étais prêt, oui.
Elle a négligemment laissé traîner ses doigts sur mes fesses. Longtemps. Et puis, brusquement, elle a tapé. Un grand coup sec. Lancé de très haut. À pleines fesses. Le second s’est fait attendre. Le troisième aussi. Et puis une multitude d’autres plus rapprochés, à intervalles réguliers, secs, énergiques, toujours au même endroit. Sur un terrain déjà endommagé par la toute récente correction que m’avait infligée Amélie, c’était particulièrement douloureux. Insupportable. Et je ne parvenais pas, malgré tous mes efforts, à retenir mes cris. Des cris de plus en plus déchirants qui, bien loin de l’apitoyer, semblaient au contraire la stimuler davantage.
– Tu recommenceras ? Hein ? Tu recommenceras à me jeter en pâture à tes copains ?
– Mais c’est pas moi, c’est…
– Réponds ! Je veux que tu répondes. Tu recommenceras ?
Et elle a encore accentué l’intensité des coups. Qui m’ont fait battre pitoyablement des jambes.
J’ai promis. J’ai juré. Tout ce qu’elle voulait. Tout. Mais que ça s’arrête ! Que ça s’arrête !
Elle m’a repoussé.
– Mais c’est qu’il m’en aurait presque fait faire mal aux mains, ce salaud !
Elle s’est relevée, m’a regardé, en riant, me frotter vigoureusement les fesses.
– Oh, sûr que ça va te cuire un sacré moment ! Tant mieux ! Ça t’apprendra…

Gwenaëlle m’a saisi par le bras.
– Allez, à mon tour !
– Tout de suite ?
– Ben oui, tout de suite. Pas dans dix ans. Faut battre le fer tant qu’il est chaud. On t’a pas appris ça à l’école ? Allez, viens !
J’ai poussé un profond soupir. Il me faudrait donc boire le calice jusqu’à la lie ?
– Allez, viens, j’te dis !
Dans la cuisine. Où elle s’est emparée de la planche à découper qu’elle a allègrement brandie.
– Ah, celle-là, tu vas m’en dire des nouvelles !
J’ai intérieurement frémi. Une correction, par-dessus les précédentes, avec cet instrument, ça allait être, à proprement parler, insupportable.
– Va là-bas ! Contre la porte du frigo. C’est le meilleur endroit. T’as bien vu hier avec mon frère.
Hortense est venue lui chuchoter quelque chose à l’oreille.
Elle a ri. D’un petit rire complice.
– Ah, oui ? Eh, ben vas-y !
– Tu m’attends ?
– Évidemment !
Elle s’est enfuie en laissant la porte largement entrebâillée.
Gwenaëlle s’est servi un grand verre d’eau. M’en a tendu un.
– T’as de la chance. Tu vas pouvoir bénéficier d’un petit moment de répit. Mais profites-en bien ! Parce qu’à mon avis il va être de très courte durée.
D’à côté, de la pièce où elle venait de me fesser, nous sont presque aussitôt parvenus des halètements, des gémissements.
– Tiens ! Qu’est-ce que je disais !
De plus en plus prononcés. De plus en plus libérés.
Ça a été instantané. Une érection. À plein volume. J’ai voulu aussitôt me détourner.
– Ah, non, non ! Tu me tournes pas le dos. C’est pas poli.
Et elle m’a tranquillement fixé la queue en bas.
– Eh ben dis donc ! C’est d’entendre ma sœur qui te met dans des états pareils ? C’est bien ce qu’on disait. T’es vraiment rien qu’un sale vicieux.
À côté, Hortense s’est envolée. En grandes trilles de plaisir éperdues. En longues plaintes amoureusement arpégées.
Et puis le silence.
Elle est revenue, échevelée, les joues rouges, les yeux brillants.
– Comment ça fait du bien !
Elle ont encore échangé quelques mots, à voix basse.
Et Gwenaëlle m’a envoyé me rhabiller.
– Bon… Pour aujourd’hui on va en rester là. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Jamais. Elles perdent de leur saveur sinon. Cela étant, tu perds rien pour attendre.
Elle a tapoté, du bout des doigts, la planche à découper.
– Tu feras intimement sa connaissance à celle-là. Et pas plus tard que demain. Même lieu, même heure. Allez, file !
Je n’ai pas demandé mon reste. J’ai dévalé l’escalier.
Elle a crié, par-dessus la rampe.
 Et tâche de pas oublier !
Amélie m’attendait dans la voiture.
– Alors ? Tu t’es bien amusé ? Tu vas me raconter ça !


Pour les distraits qui auraient loupé ce qui s'est passé précédemment

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine dernière, le chapitre 12
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

C'est le chapitre 14

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

6 commentaires:

  1. Bravo pour ce récit très vivant avec une langue tout à fait moderne et adaptée. On attend qu'Amélie fesse Raphaël en public et qu'elle se fasse fesser à son tour .
    Cordialement .

    Serge

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  2. Bonjour, Serge. Et bonjour à tous.
    Il y aura encore beaucoup de rebondissements de toute sorte. On n'en a pas fini avec les aventures de ce pauvre (mais pas si malheureux que ça) Raphaël.
    Bonne journée.
    Amicalement.
    François

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  3. Bonjour à tous,
    Superbe texte en effet. Tous les ingrédients sont là pour nous tenir en haleine jusqu'au prochain épisode. Nous espérons tous que les fessées sont être cinglantes soit pour l'un soit pour l'autre ou pour les deux, et c'est ça qui est intéressant. Une belle série.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Bonjour Elena. Et bonjour tout le monde.
      Il va y avoir encore et encore des fessées, ça, c'est sûr! Et peut-être bien qu'à force de faire les filles vont, elles aussi, finir par y attraper. Quant aux retrouvailles avec les anciennes camarades de lycée, elles risquent de complètement changer la donne.
      Amicalement.
      François

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  4. Bonjour, quel est le blog dont vous nous parlez cher auteur ? Par ailleurs, j'attends la suite des déboires du jeune Raphaël avec une grande impatience.
    Cordialement .
    Serge

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  5. Bonjour, Serge. Et bonjour à tous.
    La suite est en ligne. Et la suite de la suite en cours de rédaction. En ce qui concerne le blog auquel vous faites allusion, il s'agit d' "Autres fessées". Il est référencé ici dans les liens de JLG
    Excellent journée à vous.
    François

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