Ce ne fut pas un périple bien long. Madame Caroni traversa la pièce et prit la règle qui était posée sur l’étagère de la bibliothèque. Le demi-tour qu’elle fit sur place donna le tournis à Camille qui incertaine sur son équilibre ne songeait pas à se débattre, alors qu’elle était moins bien tenue qu’auparavant.
Elle n’y pensa que quand elle fut revenue en sécurité.
Allongée sur une cuisse de sa tutrice, coincée entre les jambes et retenue par
le bras qui entourait sa taille, Camille ne risquait plus de tomber. Elle ne
pouvait plus non plus se libérer de l’emprise de sa correctrice.
Elle ne comprit ce que Madame Caroni avait voulu faire que
quand elle reçut le premier coup de règle. Elle hurla sans discontinuer et ses
sanglots ne tardèrent pas. Si elle gigotait maintenant, ce n’était plus pour se
libérer. Elle était incapable de penser jusque-là. Elle ne songeait plus qu’à
une chose : où allait tomber la règle la prochaine fois ?
Madame Caroni frappait de façon aléatoire. De temps en temps
sur la fesse droite, à d’autres moment, à gauche, parfois en bas ou en haut,
mais également au centre. Ne pas savoir d’où allait venir la prochaine brûlure
affolait Camille. Elle n’avait pas cru un tel déluge possible. Quand Madame
Caroni accéléra le rythme, elle ne sut plus où elle était. Son hurlement était
continu et pourtant elle devait reprendre sa respiration, mais elle ne s’en
apercevait pas.
La cuisson sur ces fesses en était à un point qu’elle
n’aurait jamais cru possible d’atteindre. Elle aurait donné n’importe quoi pour
que cette correction s’arrêtât. Elle regrettait d’avoir été insolente avec
Madame Caroni, mais il était un peu tard pour s’en repentir. Une vague d’espoir
la submergea quand Madame Caroni posa la règle.
« Alors, cette fessée t’a t-elle fait du bien ? »
Les fesses de Camille étaient encore incandescentes, mais ne
pouvait se résoudre à abonder dans le sens de cette personne qui, figure
d’autorité, représentait tout ce qu’elle rejetait.
« Vous allez me laisser tout de suite ! Je vous
revaudrai ça !
– Ah, cette fessée n’a pas encore produit les effets
désirés. Il faut insister !
Trop tard, la fessée avait repris et Madame Caroni adoptait
maintenant un rythme le plus rapide possible. Elle fut obligée de faire peser
tout son poids sur le dos de Camille, tellement celle-ci se débattait. Ce
n’était plus une tentative coordonnée pour fuir le lieu de sa punition, mais
des mouvements incontrôlés, réflexe provoqués par la douleur qui parcourait ses
fesses sous l’impulsion de la règle.
Les paroles de Camille devinrent vite incompréhensibles.
Madame Caroni croyait y discerner des demandes de pardon et des promesses
esquissées. Elle n’en était pas certaine. Il fallait définitivement ôter de la
tête de cette gamine qu’elle pouvait défier son autorité. Habillage, rythme de
vie, langage… il y avait tant d’aspects à rectifier chez Camille que Madame
Caroni préférait partir sur des bases saines et solides. Elle se doutait qu’elle n’en
aurait pas fini de si tôt avec elle. Elle résolut de lui imposer, dès le
soir-même, un régime des plus sévères.
Madame Caroni continua la fessée jusqu’à ce que Camille ne
se débatte plus. Une crispation parcourait encore son corps à chaque fois que
la règle traçait une nouvelle marque brûlante qui recouvrait les anciennes. Il
n’y avait pas un endroit, sur les fesses, que la règle n’avait pas visité. La
soumission ostensible de Camille à sa punition incita Madame Caroni à faire une
nouvelle tentative.
« Vas-tu être sage et obéissante,
maintenant ? »
Camille ne prêtait pas attention à ce que lui demandait sa
tutrice. C’était encore une chose qu’elle devait apprendre. La règle reprit du
service. Madame Caroni l’appliqua une dizaine de fois sur les fesses, mais elle
avait du mal à trouver un endroit qui n’était pas déjà marqué par la
correction.
« Es-tu décidée à répondre ?
– Oui Madame, oui !
– Alors ?
– Oui Madame, je vais être sage. Je vais vous obéir !
– Bon, cette fessée n’a donc pas été inutile, n’est-ce
pas ?
– Oh non Madame… je veux dire oui… oh…
– Ce n’est rien ma grande. Tu vas bien écouter Zia
Margherita et tout ira bien. Commençons par un bon moment au coin. »
Madame Caroni releva Camille qui n’arrivait pas à le faire
toute seule. La jeune femme, au-delà de la douleur qui embrasait ses fesses,
ressentait un tiraillement comme si sa peau avait perdu de sa souplesse. Elle
faillit y porter ses mains.
« Camille, non ! »
L’admonestation de Madame Caroni arrêta son geste.
« Je t’ai dit d’aller au coin. Tu le fais sans délai,
avant de faire quoi que ce soit d’autre, comme par exemple de mettre ses mains
sur ses fesses pour en adoucir la cuisson alors qu’il est nécessaire que tu la
ressentes le plus longtemps possible pour te rappeler en quoi tu as été une
vilaine fille. »
Camille, debout les fesses nues avaient tout de l’attitude
d’une petite fille qu’une grande personne grondait.
« Regarde comment Ludovic et Maïlis s’y tiennent et tu
fais pareil. Tu ne voudrais pas que je sois contrainte de te donner une autre
fessée parce que tu as désobéi ? File au coin ! »
Camille regarda rapidement ses deux compagnons d’infortune
et elle se dirigea vers le coin, d’un pas incertain. Il fallait prendre le
temps d’apprendre à marcher avec un pantalon baissé. Ce n’était que la première
fois qu’elle s’y essayait. La technique n’en était pas encore maîtrisée.
Elle se plaça au coin, relevant son gilet et son tee-shirt
de ses deux mains croisées dans le dos. Elle se plaça face au coin et elle
tourna la tête pour regarder Madame Caroni.
« Allez ! Ton nez dans le coin ! Et que je
n’entende plus parler de toi ! »
Camille enfonça son visage dans l’angle qui lui faisait
face. Ce n’était pas le moment de réveiller la colère que Madame Caroni avait
manifesté contre elle.
Madame Caroni laissa ses trois garnements au coin un bon
moment. Elle continuait ses activités normales sans plus s’occuper d’eux.
Celles-ci l’amenaient parfois dans le séjour, mais elle les laissait enfermés dans
leur isolement.
Ludovic s’y tenait parfaitement. Cela n’étonnait pas Madame
Caroni. Non seulement il commençait à avoir l’habitude et il avait goûté aux
conséquences d’un respect aléatoire des consignes à appliquer quand on est au
coin, mais de plus il avait honte du pipi qu’il avait fait dans sa culotte. Le
moins qu’il pouvait faire, c’était de se tenir extrêmement sage.
Madame Caroni voyait bien que les deux filles n’avaient pas
encore l’habitude de ces longs moments de pénitence. Elles sursautaient à
chaque fois qu’elles entendaient un bruit et particulièrement quand elles
croyaient deviner que Madame Caroni se tenait dans la pièce. Maïlis relevait un
tout petit peu ses épaules, presque imperceptiblement et Camille pliait et
dépliait les doigts de ses deux mains.
Ces deux signes de nervosité faisaient sourire Madame
Caroni. Ils montraient d’une part le déplaisir qu’elles éprouvaient à être au
coin, ce qui était bien normal ; mais également, d’autre part la crainte
qu’elles avaient d’être prises en défaut. Cela entretenait la pression. C’était
donc bénéfique.
« Il est temps de remettre Ludovic au travail dans son
appartement. Il a paressé au coin depuis suffisamment longtemps ! »
Madame Caroni exagérait et elle le savait.
« Ludovic, viens ici que je voie si la punition que je
t’ai donnée à fait de l’effet. »
Il ne put soutenir le regard de sa tutrice. Tout en se
déplaçant, il regardait ses pieds. Arrivé devant elle, il tenta de se contenir,
mais il n’y arriva pas. Il fondit en larmes. Ce grand garçon, debout les fesses
nues devant elle, attendrit Madame Caroni.
« Viens ici, mon garçon. »
Elle attira Ludovic sur ses genoux. Le grand garçon la
laissa l’asseoir à califourchon face à elle. Madame Caroni le serra contre
elle. Elle attendit que le plus gros des larmes soit tari. Sa main remontait
dans le dos de Ludovic, s’emparant des fesses nues en une caresse sécurisante.
Il était secoué de gros sanglots.
« Que t’arrive-t-il ? Pourquoi ce gros
chagrin ?
– J’ai peur.
– Tu as peur ? Crois-tu que je vais te donner une
nouvelle fessée ?
– Non Zia.
– Alors de quoi as-tu peur ?
– Que vous… vous ne vouliez plus de moi.
– Pourquoi ne voudrais-je plus de toi ?
– Parce que je ne vous obéis pas bien et que… je vous donne
beaucoup de travail. »
Madame Caroni entoura Ludovic de ses deux bras en l’attirant
encore plus étroitement contre elle. Ludovic soupira et il se détendit un peu,
laissant sa tutrice le cajoler pendant quelques instants. Il n’était pas encore
complètement serein, mais le fait de ne pas avoir été rejeté le rassurait
quelque peu.
« Vois-tu, mon chéri, si j’ai accepté d’être ta
tutrice, c’est parce que je sais qu’il y a beaucoup de travail à faire avec
toi. Cela ne me rebute pas, au contraire. Je suis prête à passer du temps pour
parfaire l’éducation de tous mes petits protégés. Tu en fais partie. »
La main de Madame Caroni, glissée sous le tee-shirt de
Ludovic, parcourait tout son dos. Elle descendit sur les fesses.
« A chaque fois que tu feras une bêtise, comme ce soir,
tu auras une sérieuse fessée. Je crois que tu as compris que tu en as besoin.
– Oui, Zia Margherita, dit-il à regret.
– Mais cela ne m’empêchera pas de continuer à m’occuper de
toi. Au contraire. Je continuerai tant que j’estimerai que tu en as
besoin. »
Ses paroles apaisèrent les dernières craintes de Ludovic.
« Il serait, par contre nécessaire que tu reconnaisses
quand tu as fait une bêtise. Tu es bien d’accord que faire pipi dans sa culotte
est une grosse bêtise ?
– Oui, Zia. Je… je… j’aurai pas dû… »
Camille ne perdait pas une miette de la conversation qui se
tenait dans son dos, bien que celle-ci se soit tenue à voix basse. Elle n’en
croyait pas ses oreilles. Si elle n’avait pas vu Ludovic quand elle était
entrée dans la pièce, elle aurait juré qu’il s’agissait d’une conversation dont
l’un des protagonistes ne devait avoir pas plus de quatre ou cinq ans.
C’est alors qu’elle prit conscience que sa situation n’était
pas très différente. Pouvait-elle encore se considérer comme une adulte alors
qu’elle venait de recevoir une cuisante fessée déculottée, qu’elle se tenait au
coin, montrant ses fesses nues et marquées par la correction à qui passait par là
et attendant de recevoir une deuxième fessée dès ce soir et d’être punie le
lendemain ? Faire pipi dans sa culotte n’était que l’étape d’après.
Cela ouvrait un abîme de réflexion et d’incertitude qu’elle
découvrait. Comment pourrait-elle reprendre sa vie comme si rien n’avait
changé ? Madame Caroni serait-elle d’accord ? Elle n’envisageait plus
de contester l’autorité de Madame Caroni. C’était un changement important dans
sa vie, elle, la rebelle depuis qu’elle était toute petite. C’était… elle ne
savait pas vraiment qualifier cette situation trop nouvelle pour elle.
Agaçante ? Inquiétante ? Humiliante ? Rassurante ? Sans
doute un peu de tout cela à la fois.
« Bien, je suis contente que tu reconnaisses quand tu
fais une bêtise. Ce qui serait normal, c’est qu’une fois que tu as été puni, tu
demandes pardon pour ta bêtise, tu ne crois pas ?
– Oui Zia.
– Alors j’attends.
– Je vous demande pardon, Zia Margherita… pour avait fait…
pipi dans ma culotte.
– C’est bien mon garçon. Je te pardonne. Ta bêtise est donc
oubliée. »
Ludovic cacha son visage dans le cou de sa tutrice. Il se
sortait bien de cette situation qui lui avait semblé inextricable, il n’y avait
pas si longtemps.
« Par contre, nous allons faire en sorte que cela ne se
reproduise plus. Si tu fais encore une fois pipi à la culotte, je serais
obligée de me fâcher pour de vrai. »
Ludovic frissonna à cette promesse. Zia Margherita la
tiendrait, il en était sûr.
« Tu viendras désormais faire pipi ici à heure
fixe : le matin en te levant, dès que tu rentres du travail et le soir
avant de te coucher. Je te mettrai sur les toilettes et tu attendras d’avoir
fait pipi. Cela devrait éviter les accidents. »
Ludovic n’avait rien à dire. La décision de Zia Margherita
était logique. Il ne pouvait pas s’attendre à autre chose.
« Nous commencerons ce soir. Tu ne devrais plus avoir
envie de faire pipi avant de te coucher. Tu viendras donc… disons vers
vingt-et-une heure. Tu amèneras ton pyjama. J’en profiterai pour te préparer à
aller au lit. »
Madame Caroni berça Ludovic sur ses genoux encore quelques
minutes. Il avait fermé les yeux. Madame Caroni le prenait en charge encore un
peu plus. Il n’avait plus qu’à se laisser faire. Il savait qu’il y aurait de
sévères fessées, mais cela faisait partie d’un ensemble qui n’était pas pour
lui déplaire.
« Je te raccompagne chez toi, dit Madame Caroni en
redressant Ludovic. Debout ! »
Il ne fut pas question du pantalon et de la culotte
souillée. Il était, de toute façon, inenvisageable qu’il puisse les remettre
pour monter un étage. Si Ludovic y pensa, espérant que Madame Caroni lui
proposerait une solution pour cacher ses fesses, elle n’y songea pas un
instant. Il n’y avait pas de raison de prendre des précautions pour un
déplacement d’un de ses pupilles, pour monter un étage dans la cage d’escalier,
alors qu’il était les fesses nues. Il n’y avait pour elle rien de choquant ni
de déplacé.
Madame Caroni ouvrit la porte et elle le poussa dehors. Le
rythme cardiaque de Ludovic s’accéléra. Il regardait en bas et en haut pour
tenter de deviner s’il allait rencontrer une autre personne. Madame Caroni ne
lui laissa pas le temps de gamberger.
« Allons, avance ! »
La petite claque sur les fesses était plus affectueuse que
menaçante, mais Ludovic savait qu’il suffirait d’un rien pour qu’elle se
transforme en punition. Il grimpa les premières marches, priant pour ne croiser
personne dans l’escalier.
Quand Madame Caroni revint, les deux filles n’avaient pas
bougé.
« Bon, se dit-elle, mes fessées ont fait
impression. »
Elle avait pourtant pris le temps de rhabiller Ludovic, puis
de vérifier là où il en était dans son travail. Les choses avançaient,
lentement mais elles avançaient. Evidemment, cela n’avait été le jour où
l’efficacité avait été la plus grande. Entre le temps à attendre sur les
marches et celui passé au coin, Ludovic n’avait pas abattu beaucoup de boulot.
Il se rattraperait.
Lorena arriva sur ces entrefaites.
« Je ne les connais pas celle-là ! Tu as de
nouvelles punies ? »
Les muscles des jambes de Camille se tétanisèrent et elle rentra la tête dans les épaules. Leur disgrâce devenait public. Qui était cette
jeune femme qui avait rejoint Madame Caroni ? Elles restèrent dans l’incertitude
jusqu’au dîner. Lorena et sa mère étaient dans la cuisine. Elles avaient laissé
les deux filles seules dans le séjour, sans avoir besoin de les surveiller.
Quand le repas fut prêt, Madame Caroni songea à ses deux punies.
« Il serait bon que nous gardions un œil sur elles
pendant que nous mangeons. Lorena, peux-tu aller les chercher et les mettre au
piquet contre ce mur ? »
Les deux filles sursautèrent quand elles entendirent la voix
de Lorena.
« Allons, toutes les deux, vous venez avec moi, dans la
cuisine. »
Maïlis se retourna lentement. Elle eut l’air affolé quand
elle aperçut Lorena qui ne pouvait pas être plus âgée qu’elle. Camille tourna
la tête, mais elle ne bougea pas d’un pouce.
Lorena s’attendait à des difficultés pour les faire obéir.
C’était toujours pareil la première fois qu’elle s’occupait d’un nouveau
pupille de sa mère. Ils venaient juste de se faire à l’idée d’être placés sous
la coupe d’une personne qui pouvait passer pour une figure maternelle lorsque elle, Lorena arrivait, son intervention les plaçait dans l’obligation d’obéir à une personne plus
jeune qu’eux. Ils n’étaient pas encore complètement habitués à ce qu’on fasse fi de leur
pudeur pour exposer leurs fesses qu'il fallait également les montrer à une jeune fille
qu’ils ne connaissaient pas. C’était difficile. Lorena le comprenait parfaitement.
Un encouragement à obéir était souvent nécessaire. Elle ne s’en formalisait
pas.
Une, deux fortes claques sur les fesses de Camille.
« Faut-il que je répète ce que je viens de
dire ? »
Camille se retourna, l’air indigné. Une autre claque sur le
haut de la cuisse la dissuada d’aller plus loin. L’autorité de Madame Caroni
planait toujours, si proche que la conséquence d’une rébellion ne faisait aucun
doute. Camille se décida. Elle se retourna et fit face à Lorena.
Maïlis se mit en route, mais au bout d’un pas elle trouva
préférable de remonter sa culotte. Elle eut le temps de se baisser, mais pas de
replacer sa culotte à la place qu’elle estimait que son sous-vêtement n’aurait
jamais dû quitter.
« Laisse ta culotte où elle est, gronda
Lorena ! »
Afin que ce soit bien clair, Lorena donna deux claques sur
les fesses que le bas de la robe, mal retombé, ne cachait pas complètement.
Maïlis se hâta d’obéir et de marcher vers la cuisine.
Camille fit deux pas. Elle avait aussi pensé à remonter sa
culotte, mais la mésaventure arrivée à sa copine l’en avait dissuadée. Elle ne
savait plus quoi faire de ses mains qu’elle plaça devant son sexe. C’était
encore une erreur qu’elle paya d’une large marque rouge sur le haut de la
cuisse.
« Qui t’a dit d’ôter tes mains de ton dos ?
Remets-les y tout de suite ! »
Pour qui n’aurait pas été familier des mœurs en cours chez
Madame Caroni, la procession qui parcourut le couloir aurait pu paraître
étrange : deux jeunes filles, les mains jointes dans le dos qui relevait
leurs vêtements pour dénuder leurs fesses, avançaient dans le couloir avec
difficulté. Le pantalon de l’une et la culotte de l’autre, baissés en-dessous
de leurs genoux, limitaient leur capacité de déplacement. Derrière elles,
venait une troisième jeune femme, normalement habillée et qui semblait avoir
autorité sur les deux premières.
« Dépêchez-vous, toutes les deux, Maman vous attend
dans la cuisine. »
Avec un dessin original de Peter Pan
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 19
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
C'est le chapitre 21.
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.