Après une longue période d'inactivité, me voici de retour. Comme je vous l'avais dit notre expérience de discipline domestique dure depuis très longtemps, j'ai donc écrit ce texte pour expliquer la genèse de cette relation et la façon dont elle s'est installée progressivement dans notre couple. Et je suis persuadée que cette manière apaisée mais ferme d'appliquer des fessées est le gage de la durée de notre vie conjugale.
Sylvie
La fessée thérapeutique.
Tout a commencé il y a un
peu plus de 20 ans. Notre fille unique venait de partir faire ses études en Angleterre.
Notre vie familiale était très équilibrée, nous pratiquions la fessée sous forme
de jeu érotique. Mon mari avait un travail très éprouvant au plan nerveux avec de
nombreuses responsabilités, nous avions constaté qu'un rapport sexuel le calmait.
« En position monsieur
! »
Il me regarde un peu surpris
mais il s'exécute et j'ai devant mes yeux juste à portée de main ce postérieur que
je connais si bien, il est encore bien protégé par le boxer qui moule parfaitement
ses rotondités, doucement je commence à claquer ses fesses, il semble apprécier.
« Bien maintenant passons
aux choses sérieuses, une fessée ça se donne cul nu, n'est-ce pas mon chéri. »
Il émet un soupir, que je
prends pour un assentiment, je saisi la ceinture de son boxer je le descends sous
ses fesses.
« Et voilà, mon chéri,
déculotté, comme un sale gosse qui va recevoir une bonne fessée par maman Sylvie
! »
Je recommence la fessée à
un rythme soutenu, il se met à gémir, j'augmente progressivement la force de mes
claques, son fessier prend une jolie couleur rose foncé, il se plaint doucement
mais ne fait rien pour éviter sa petite correction. Progressivement je ralentis
la vitesse mais pas l'intensité et je finis par une dizaine de claques espacées
mais très fortes. Il se plaint.
« Aie, aie, c'est trop
fort, ça brûle. »
Je lui caresse les fesses
qui sont bien rouges et chaudes.
« Voilà ce que j'appelle
une bonne fessée, mais tu es encore tout tendu mon chéri, allez c'est fini, un petit
pan pan cucul ça va te faire le plus grand bien. »
Je continue de lui masser
le derrière et j'insinue un doigt dans sa raie fessière, il se contracte immédiatement,
je lui administre deux claques et en souriant j'ajoute.
« Dans ta position et
ta tenue il vaudrait mieux te laisser faire. Te sens tu mieux mon chéri ? »
Il m'avoue que oui, bizarrement
il se sent beaucoup mieux. Moi-même je me surprends à avoir pris du plaisir à cette
fessée et comme je n'ai pas envie d'en rester là, prétextant de sa tension persistante
je lui annonce qu'il va recevoir une deuxième fessée. Devant sa protestation, disant
que ça le brûle encore trop, j'ai une autre idée perverse.
« Bien sûr mon chéri,
je comprends, on va attendre un peu que tes fesses refroidissent, tu sais ce que
tu vas faire, tu te relèves, tu enlèves ton pantalon, tu restes cul nu bien sûr
et tu vas te mettre le nez contre le mur en essayant de bien te décontracter.
J'ai prononcé toute cette
phrase sans réfléchir et d'un ton autoritaire, et à ma grande surprise, Gérard s'est
exécuté, sa chemise était retombée, masquant un peu son derrière tout rouge, je
lui ai demandé de croiser ses mains dans le dos afin de la tenir retroussée. J'étais
assise sur le canapé contemplant ce spectacle peu banal d'un monsieur de quarante
ans, nez au mur, culotte descendue, exposant une paire de fesses bien rouges. Je
l'ai laissé environ cinq minutes, je ne sais pas ce qui lui passait par la tête
à ce moment mais il n'a pas bronché. Je l'ai rappelé et lui ai indiqué à nouveau
mes genoux, sans rien dire il s'est couché en travers de mes cuisses, il ne savait
pas que cela deviendrait une position très familière dans l'avenir. J'ai à nouveau
palpé ses fesses et forcé sa raie fessière, il s'est à nouveau contracté.
« C'est bien ce que je
disais, tu es toujours trop tendu, tu vas voir après cette bonne fessée tout va
aller mieux. »
J'ai commencé à claquer très
fort cette fois et il a protesté mais sans chercher à échapper à la correction.
Je lui ai donné une bonne centaine de claques lui faisant un derrière écarlate.
Puis je lui ai à nouveau caressé les fesses, elles étaient très chaudes, la peau
était douce au toucher, il gémissait doucement, je poursuivi mon examen, violant
à nouveau son intimité, j'ai écarté les deux globes qui ressemblait à des tomates
bien mûres et cette fois ci il se laissa faire.
« Et bien tu vois ça
y est te voilà bien détendu, rien de tel qu'une bonne déculottée ! »
J'avais employé ce terme sans
réfléchir à son caractère un peu humiliant pour un monsieur de quarante ans couché
sur les genoux de son épouse, la culotte descendue à mi-cuisse et exposant une paire
de fesses écarlates.
Je l'ai gardé au moins cinq
minutes dans cette position, et je lui ai reposé la question.
« Alors mon chéri comment
te sens tu ? »
Il m'a alors avoué être parfaitement
relaxé. Je lui ai dit en riant.
« Et bien si c'est une
bonne déculottée qui te fait du bien, nous recommencerons. »
II ne protesta pas. Ce fut
sa première fessée thérapeutique mais pas la dernière.
Deux jours plus tard la même
occasion se présenta, une nouvelle journée très éprouvante et bien que nous aurions
pu avoir cette fois-ci une relation sexuelle, il eut droit à une nouvelle fessée
déculottée. Je lui avais proposé le plus naturellement du monde et après avoir retiré
son pantalon il s'était couché en travers de mes cuisses, une fois la culotte baissée
à mi cuisses, je lui avais administré une bonne fessée. Vous aurez remarqué que
je parle de culotte et non de boxer, en effet c'est le terme que je me suis mis
à employer à partir de ce jour, sans doute en rapport avec le mot « déculottée »,
et puis j'avoue que dire à son mari, je vais te baisser la culotte c'est plus explicite
sur ce qui va lui arriver.
Comme la dernière fois, prétextant
une insuffisante relaxation de son fessier je l'ai envoyé au coin et je l'y ai laissé
dix minutes sans aucune protestation de sa part. Il a ensuite comme la première
fois reçu une deuxième ration de claques qui lui ont laissé le derrière brûlant.
A partir de ce jour, il ne
s'est pas passé de semaine sans qu'il se retrouve au moins 3 ou 4 fois fesses à
l'air sur mes genoux. Je commençais à y prendre goût et lui aussi malgré la cuisson
qui embrasait ses joues d'en bas, car c'était chaque fois des vraies fessées, il
lui est arrivé d'avoir quelques larmes sur les joues d'en haut, bien rouges elles
aussi, certainement la honte d'être déculotté et fessé à son âge, mais toujours
sans protestation de sa part.
J'utilisais la fessée pour
de nombreuses raisons, mal de tête, mal aux dos et chaque fois mon chéri y trouvait
son compte.
Un exemple, un matin mon chéri
se lève en grimaçant, un vilain lumbago, sans doute une contracture liée au stress,
il est coutumier du fait. En souriant je lui ai dit
« Eh bien mon chéri,
encore des soucis, on va employer la bonne vieille méthode, allez en position. »
Je m'étais assise sur le bout
du lit et je lui indiquais mes cuisses, interloqué il me regarde sans comprendre,
je ne vais tout de même pas lui administrer une fessée alors que son dos lui fait
un mal de chien. Mais devant mon sourire et mon air convaincu quand je lui dis que
ça lui fera le plus grand bien, il obtempère. Quelques secondes plus tard je lui
baisse la culotte de pyjama jusqu'au milieu des cuisses et je commence à lui masser
les fesses.
« Allez, on me relâche
tout ça, ah non ne commence pas à serrer les fesses, tu sais que je n'aime pas ça
et ça complique le traitement. »
En disant ça je lui applique
une dizaine de claques sur les fesses bien serrées et immédiatement il se détend
et j'ai sous les yeux une belle paire de fesses bien souple, je continue la fessée
et c'est bientôt une vraie correction que mon chéri reçoit il se plaint mais je
continue jusqu'à ce que j'obtienne un derrière uniformément rouge, je le masse à
nouveau et miracle la raie de ses fesses s'ouvre toute seule.
« Voilà, c'est fini tu
vas voir comme ça va te faire du bien »
Il gémit doucement, je le
garde dans cette position un peu humiliante avec les fesses bien exposées, puis
je le fais se relever et à ma grande surprise il se dirige vers le coin, je l'arrête
en riant.
« Non mon chéri, cette
fois ci pas de coin, je ne voudrais pas que tu sois en retard au travail, ça te
vaudrait peut-être une fessée supplémentaire par Mme Dumont (c'est sa supérieure
hiérarchique). »
Il s’est retourné les joues
toute rouge. J'ai éclaté de rire devant sa tête.
Rassure-toi, ça m'étonnerait
qu'elle ait une idée pareille, mais j'avoue que c'est un peu excitant à imaginer,
mon chéri déculotté, allongé sur les genoux de Mme Dumont. Cesse de faire cette
tête, il n'y a que moi qui ai ce droit. »
Il est parti au travail avec
une paire de fesses bien chaude sous son pantalon et sans mal au dos.
Le soir il m'a avoué avoir
rougi en rentrant dans le bureau de sa cheffe. Et l'image d'une fessée déculottée
administrée par cette belle femme énergique l'a hanté toute la journée. J'ai sauté
sur l'occasion.
« C'est du joli, on fantasme
au bureau, tu sais que je pourrais être jalouse, et je crois que ça mérite une petite
fessée. »
Quelques instants plus tard
il était à nouveau allongé en travers de mes cuisses, le pantalon sur les chevilles
et la culotte baissée. C'était la première fois qu'il recevait deux fessées dans
la même journée et elle ci n'était pas thérapeutique, elle ne fut pas trop sévère
mais son derrière était bien rouge quand je l'autorisai à se relever, cette fois-ci
encore ses joues étaient aussi rouges que ses fesses, je me mis à rire.
« Alors mon chéri, on
a un peu honte de faire déculotter par sa petite femme, avoue que tu l'avais bien
mérité celle-là. Tiens puisque ce matin tu voulais aller au coin, tu vas y aller
pour réfléchir à tes vilains fantasmes. »
Je me suis rendu compte du
basculement progressif de notre relation, nous approchions de la fessée punitive.
Une étape fut franchie la semaine suivante, un samedi matin, il se leva en se plaignant
d'être malade, je lui touchai le front et lui dit qu'il n'avait pas de fièvre et
qu'il était douillet comme d'habitude, il protesta énergiquement.
« Parfait, mon chéri,
puisque tu es si sûr de toi on va utiliser la méthode de ma mère. »
Vers l'âge de dix ans, ma
mère, sur les conseils d'une amie pour éviter que j'utilise une pseudo fièvre pour
ne pas aller à l'école avait trouvé une méthode radicale. Elle me couchait sur ses
genoux, me baissait la culotte de pyjama et me mettait elle-même le thermomètre,
elle pouvait ainsi me surveiller, et en même temps elle m'annonçait la suite.
« Tu vois ma chérie, tu es en bonne position, si
tu as vraiment de la fièvre je pourrai te mettre un suppositoire, mais si tu n'en
as pas tu es parfaitement placée pour recevoir une bonne fessée pour ton mensonge »
La première fois j'avais menti
et j'étais parti à l'école avec une paire de fesses bien rouges, nous étions à la
fin des années cinquante et la fessée était encore bien utilisée par les mamans.
A ma grande honte, elle utilisa cette méthode jusqu'à mes quinze ans, mais, instruite
par ma première expérience, la séance de thermomètre se terminait toujours par l'introduction
d'un suppositoire, ce que je détestais profondément, surtout que ma mère me gardait
sur ces genoux encore quelques instants en me tenant les fesses bien serrées.
J'ai donc été chercher le
thermomètre et un suppositoire de doliprane et j'ai expliqué à Gérard la suite des
opérations, il a protesté mais je suis resté inflexible. Assise au bout du lit j'attendais
qu'il se décide, devant mon regard sévère, il se céda enfin. La culotte de pyjama
bien descendue, je lui tapotais les fesses.
« Alors là mon chéri,
il va bien falloir que tu desserres ses fesses, si tu veux que je te mette le thermomètre
! »
II était mort de honte, mais
progressivement il relâcha ses muscles fessiers et je les écartai pour mettre à
jour son anus, j'avais enduit l'embout du thermomètre avec de la vaseline ce qui
fait qu'il pénétrait facilement, il protesta que ça lui faisait mal, je me mis à
rire et je lui donnai une claque sur les fesses. Sans me soucier de ses protestations
je continuais à l'enfoncer jusqu'à ce que juste un petit bout dépasse quand je relâcherais
les fesses.
« Voilà il est bien en
place et ne t'avise pas de le rejeter, pour être bien sûr, tu vas le garder cinq
minutes. »
C'était bien plus long que
ce qui est prescrit mais je voulais marquer le coup. Évidemment comme prévu le thermomètre
indiquait 36.8 quand je lui retirais.
« Eh bien mon chéri,
comme disait maman, tu n'auras pas de suppo mais tu as gagné une fessée ! Tu es
en bonne position, ça va te guérir immédiatement. »
La fessée fut sévère, je ne
me souciais pas de ses protestations et c'est avec une paire de fesses bien rouge
qu'il prépara le déjeuner, car pour compléter la punition je lui avais annoncé en
riant quand il était encore en position disciplinaire.
« Pour ta peine, tu vas
me préparer le déjeuner et cul nu en plus, comme ça je pourrai surveiller la couleur
de tes fesses, si elles pâlissent trop vite, je pourrai leur redonner un peu de
couleur ! »
Nous étions à deux doigts
de la fessée punitive qui arrivait à grand pas.
Le rouge vient aux joues d'en haut et d'en bas ou quand la fessée de thérapeutique devient punitive.
L'occasion se présenta quelques
jours plus tard, comme d'habitude monsieur rentrait énervé du travail et à une de
mes questions, il m'envoya grossièrement balader. Mon sang ne fit qu'un tour.
« Tu ne me parle pas
sur ce ton ! Enlève ton pantalon et viens me voir ! »
Complètement pris au dépourvu
par ma réaction, il bredouilla une excuse, toujours en colère je ne cédais point
et je réitérais mon ordre. Vaincu il se décida à quitter son pantalon et à s'approcher
de moi, je m'étais assise sur une chaise, dès qu'il fut à ma portée, je lui saisit
la main et le fit basculer sur mes genoux. Je le déculottais immédiatement et sans
attendre je commençai à lui administrer une fessée retentissante, surpris par la
rigueur de la correction, il se mit à crier et à me supplier d'arrêter. Tout en
continuant à lui rougir soigneusement toute la surface mise à nu je lui annonçai
la suite du programme.
« Ah tu peux bien crier,
celle-là tu l'as bien méritée et, crois-moi, ce n'est pas fini, tes fesses vont
s'en souvenir de cette correction. »
Il gigotait sur mes cuisses,
ses fesses s'ouvraient et se fermaient au rythme de la fessée, ses pieds battaient
l'air, mais il ne cherchait pas à échapper à sa punition, depuis quelques mois qu'il
était régulièrement déculotté, allongé à plat ventre sur mes cuisses, il avait intégré
qu'une fessée donnée par sa femme devait aller à son terme. Je m'appliquais à couvrir
toute la surface de la croupe bien tendue d'une belle couleur carmin. Quand je jugeai
le résultat satisfaisant, je le fis relever et lui saisissant l'oreille comme aurait
fait une sévère institutrice des années cinquante, je le conduisis jusqu'au coin
de la pièce, je retroussai sa chemise qui couvrait un peu ses fesses.
« Tu mets tes mains sur
la tête et tu ne bouges pas de là. Je n'en ai pas encore fini avec tes fesses ! »
J'étais un peu surprise de
son absence de réaction mais je comptais en profiter pour bien asseoir mon autorité
et fixer les nouvelles règles qui géreraient notre vie future. Je le laissai en
pénitence pendant dix minutes. Je le fis venir devant moi, j'avais pris la règle
plate sur son bureau, il se tenait debout, les mains sur la tête, la culotte à mi-cuisses.
« Tourne-toi que je voie
tes fesses, ça te cuit j'espère, allez en position, vite ! »
Il protesta faiblement mais
il s'exécuta. Je le fis un peu basculer vers l'avant de façon à ce que ses fesses
soient bien à ma portée, ses pieds étaient décollés du sol ce qui rendait sa position
plus désagréable, il était vraiment comme un petit garçon sur les genoux de sa maîtresse
d'école. Je levais la règle et commençais la deuxième fessée, il se mit à nouveau
à gémir et me supplia d'arrêter mais j'étais décidée à lui administrer une punition
exemplaire, la règle claqua une bonne cinquantaine de fois ses fesses tendues par
la position, elle virait au rouge très sombre et Gérard craqua, il se mit à pleurer.
Je l'ai laissé un moment dans allongé sur mes genoux mais sans caresser ses fesses
brûlantes, je les ai juste touchées pour apprécier la qualité de ma correction.
« Voilà, une bonne fessée
pour le vilain garçon, j'espère que ça te servira de leçon, si ce n'est pas suffisant
nous recommencerons, que tu aies quarante ans n'a pas d'importance, quand tu auras
besoin d'une fessée tu l'auras et elle sera toujours déculottée, j'espère que tu
as bien honte à ton âge de te retrouver cul nu sur mes genoux avec les fesses bien
rouges. »
Pendant toute cette tirade,
il était toujours dans la position traditionnelle de la fessée exposant son derrière
écarlate, il ne disait pas un mot. Satisfaite du résultat, je le relevai et immédiatement
en lui tenant l'oreille, je le remis au coin. Il y resta une heure cette fois-là.
Quand je lui donnai l'autorisation de se rhabiller ses fesses étaient encore rouges.
Le soir nous avons eu une
discussion, en fait, c'est surtout moi qui ai parlé, il ne faisait qu'acquiescer.
Je lui ai dit que j'étais fatiguée de son mauvais caractère et de son comportement
capricieux et qu'à partir d'aujourd'hui je ne perdrais plus mon temps à discuter,
à chaque incartade, ce serait la fessée déculottée.
Nous avions une quarantaine
d'années à l'époque et maintenant à 65 ans passé j'applique la même méthode et notre
couple se porte très bien. Je ne sais pas si mon niveau d'exigence augmente ou si
avec l'âge mon mari se relâche mais le nombre et la qualité des fessées à beaucoup
augmenté. Les semaines sans fessée n'existent pas et je dirais même sans exagérer
que deux jours sans que Gérard ne se retrouve allongé sur mes genoux les fesses
à l'air, c'est très rare. Ce qui est fréquent par contre c'est deux voire trois
déculottées dans une seule journée. Évidemment ça se termine comme je vous l'ai
déjà raconté par une journée fesses rouges à la fin de la semaine.
J'ai toujours mis un point
d'honneur à garder une extrême discrétion sur le traitement réservé aux fesses de
mon mari et personne dans notre entourage ne se doute de la situation même si bien
souvent quand il discute avec des amis ou des voisins, Gérard cache sous son pantalon
une paire de fesses bien rouges.
Notre fille a fait sa vie
en Angleterre, quand elle vient en vacances, le postérieur de mon mari l'est aussi.
Ça ne dure jamais longtemps et si c'est le cas j'ai recours à la fessée à l'extérieur.
Les précédentes contributions de Sylvie
Conseils aux épouses pour une journée fesses rouges
Une fessée publique
Vous pouvez les retrouver sur la page "les auteurs invités"
Une fessée publique
Vous pouvez les retrouver sur la page "les auteurs invités"
Des conseils sur l'administration de la fessée ?
Mais vous pouvez également consulter...
la pages des "débats en cours"
ou encore "la fessée et moi"
Les commentaires...
C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.
Bonjour Sylvie,
RépondreSupprimerJe vois que l'osmose conjugale se maintient toujours dans votre couple. Votre mari a trouvé involontairement une oreille complaisante et vous êtes sur la même longueur d'onde.
Il accepte docilement sa "fessée thérapeutique". La fessée peut s'avérer être une preuve d'amour, aussi et pas seulement une façon de rectifier un comportement. D'où cette "équation" que je proposerais :
Fessée => intérêt pour la personne => preuve d'amour.
Heureux homme, dirais-je. En tous cas, merci beaucoup pour ce récit.
Amicalement. Peter Pan.
Amis de la poésie et de la fessée homéopathique, bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Sylvie,
Et bien voilà,! Enfin des nouvelles de notre amie Sylvie qui nous avait gratifié il y a quelques temps d'un palpitant récit''Journée fesses rouges''... Très rouges même, on s'en souvient encore, le petit mari chéri aussi sans doute!
Et tout commence en Angleterre, décidément terre promise à la pratique des "Good spanking". Joli conte de fé-ssées, racontant comment un couple amoureux trouve son équilibre par la pratique régulière,(intense avec le temps) de la fessée... déculottée "of course!"
La fessée soulage. Au diable le Doliprane et autre Effet-ralgan, voici l'effet fessée! Rien de tel qu'une bonne déculottée pour calmer les nerfs et soulager les petits bobos de la pression au travail. La fessée homéopathique, ou soigner le mal par le mal. Faire mal au bas du dos pour en soulager la douleur.
Il fallait y penser. Ou comment rééquilibrer les comptes de la sécurité sociale en évitant le remboursement de traitements coûteux. Les politiques de santé devraient s'en inspirer. Et puis, trois fessées par jour, cela finiraient par creuser le déficit si elles étaient prises en charge!
Et à propos de trou de la sécu, le thermomètre (et pas celui de l'opinion )judicieusement placé entre des fesses bien assouplies, contrôle la température du moment. Fessée si tricherie!
Qui aime bien, fesse bien! La belle au bois fessant sait aussi faire preuve d'autorité et montrer au mari désobéissant ou irrespectueux de quel bois elle lui chauffe les fesses... celui de la règle plate qui vient opportunément renforcer les fessées à la main. Amour et discipline conjugale, le rouge au fesses est à l'honneur...
Ils vécurent heureux sous le régime de la fessée magique et eurent beaucoup d'occasion de se prouver leur attachement!
Charmant, strict et sévère... Tout de même.
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerVotre commentaire est une vraie ordonnance digne d'un professionnel de santé. Je l'imagine ainsi rédigée :
" Dr Ramina.
Membre de la faculté des Médecines Naturelles
Expert en fessologie auprès des instances médicales
Synthol le...
1 - Polidrane 500 - 1 cp toutes les 4 heures.
2 - CanNiAr- pommade- 1 application 6/jour
3 - Fesserouge - Huile parfumée - après bain de siège.
4 - Pansement massant "Chandeleur" - 1 boite de 30.
Signature: ".
Voilà un bon remède à prescrire. non ?
Amicalement. Peter.
Cher Peter,
RépondreSupprimerLes fessantes et charmantes aventures conjugales de Sylvie inspirent... Le joli témoignage méritait bien une telle attention.
Ton ordonnance devrait se révéler efficace, pour entretenir un derrière toujours en forme, et prêt à l'emploi! Traitement longue durée. On appréciera particulièrement le pansement massant ''Chandeleur'' après avoir fait sauter les fesses comme les crêpes, et la pommade CanNIAR... Excellent antidote au Dolpic!
On n'arrête pas le progrès...
Amicalement
Ramina.
Je lis avec attention et beaucoup de plaisir les récits de Sylvie.
RépondreSupprimerJ'adorerais avoir une oompagne comme elle qui me donnerait de bones fessées tous les jours.