vendredi 1 novembre 2019

Comment le rouge vient aux joues et aux fesses des maris - chapitre 3

Après une longue période d'inactivité, me voici de retour. Comme je vous l'avais dit notre expérience de discipline domestique dure depuis très longtemps, j'ai donc écrit ce texte pour expliquer la genèse de cette relation et la façon dont elle s'est installée progressivement dans notre couple. Et je suis persuadée que cette manière apaisée mais ferme d'appliquer des fessées est le gage de la durée de notre vie conjugale.
Sylvie

La fessée thérapeutique.

Tout a commencé il y a un peu plus de 20 ans. Notre fille unique venait de partir faire ses études en Angleterre. Notre vie familiale était très équilibrée, nous pratiquions la fessée sous forme de jeu érotique. Mon mari avait un travail très éprouvant au plan nerveux avec de nombreuses responsabilités, nous avions constaté qu'un rapport sexuel le calmait.
Un soir il est rentré très tendu et il m'a demandé explicitement une petite gâterie, malheureusement j'étais indisposée et je ne pouvais pas répondre à sa demande. Une idée un peu perverse me traversa l'esprit, je lui proposai en riant de "m'occuper de ses fesses". Un peu surpris il accepte, je le fais approcher et je dégrafe sa ceinture et descend son pantalon sur ses chevilles. Puis en souriant je tapote mes genoux.
« En position monsieur ! »
Il me regarde un peu surpris mais il s'exécute et j'ai devant mes yeux juste à portée de main ce postérieur que je connais si bien, il est encore bien protégé par le boxer qui moule parfaitement ses rotondités, doucement je commence à claquer ses fesses, il semble apprécier.
« Bien maintenant passons aux choses sérieuses, une fessée ça se donne cul nu, n'est-ce pas mon chéri. »
Il émet un soupir, que je prends pour un assentiment, je saisi la ceinture de son boxer je le descends sous ses fesses.
« Et voilà, mon chéri, déculotté, comme un sale gosse qui va recevoir une bonne fessée par maman Sylvie ! »
Je recommence la fessée à un rythme soutenu, il se met à gémir, j'augmente progressivement la force de mes claques, son fessier prend une jolie couleur rose foncé, il se plaint doucement mais ne fait rien pour éviter sa petite correction. Progressivement je ralentis la vitesse mais pas l'intensité et je finis par une dizaine de claques espacées mais très fortes. Il se plaint.
«  Aie, aie, c'est trop fort, ça brûle. »
Je lui caresse les fesses qui sont bien rouges et chaudes.
« Voilà ce que j'appelle une bonne fessée, mais tu es encore tout tendu mon chéri, allez c'est fini, un petit pan pan cucul ça va te faire le plus grand bien. »
Je continue de lui masser le derrière et j'insinue un doigt dans sa raie fessière, il se contracte immédiatement, je lui administre deux claques et en souriant j'ajoute.
« Dans ta position et ta tenue il vaudrait mieux te laisser faire. Te sens tu mieux mon chéri ? »
Il m'avoue que oui, bizarrement il se sent beaucoup mieux. Moi-même je me surprends à avoir pris du plaisir à cette fessée et comme je n'ai pas envie d'en rester là, prétextant de sa tension persistante je lui annonce qu'il va recevoir une deuxième fessée. Devant sa protestation, disant que ça le brûle encore trop, j'ai une autre idée perverse.
« Bien sûr mon chéri, je comprends, on va attendre un peu que tes fesses refroidissent, tu sais ce que tu vas faire, tu te relèves, tu enlèves ton pantalon, tu restes cul nu bien sûr et tu vas te mettre le nez contre le mur en essayant de bien te décontracter.
J'ai prononcé toute cette phrase sans réfléchir et d'un ton autoritaire, et à ma grande surprise, Gérard s'est exécuté, sa chemise était retombée, masquant un peu son derrière tout rouge, je lui ai demandé de croiser ses mains dans le dos afin de la tenir retroussée. J'étais assise sur le canapé contemplant ce spectacle peu banal d'un monsieur de quarante ans, nez au mur, culotte descendue, exposant une paire de fesses bien rouges. Je l'ai laissé environ cinq minutes, je ne sais pas ce qui lui passait par la tête à ce moment mais il n'a pas bronché. Je l'ai rappelé et lui ai indiqué à nouveau mes genoux, sans rien dire il s'est couché en travers de mes cuisses, il ne savait pas que cela deviendrait une position très familière dans l'avenir. J'ai à nouveau palpé ses fesses et forcé sa raie fessière, il s'est à nouveau contracté.
« C'est bien ce que je disais, tu es toujours trop tendu, tu vas voir après cette bonne fessée tout va aller mieux. »
J'ai commencé à claquer très fort cette fois et il a protesté mais sans chercher à échapper à la correction. Je lui ai donné une bonne centaine de claques lui faisant un derrière écarlate. Puis je lui ai à nouveau caressé les fesses, elles étaient très chaudes, la peau était douce au toucher, il gémissait doucement, je poursuivi mon examen, violant à nouveau son intimité, j'ai écarté les deux globes qui ressemblait à des tomates bien mûres et cette fois ci il se laissa faire.
« Et bien tu vois ça y est te voilà bien détendu, rien de tel qu'une bonne déculottée ! »
J'avais employé ce terme sans réfléchir à son caractère un peu humiliant pour un monsieur de quarante ans couché sur les genoux de son épouse, la culotte descendue à mi-cuisse et exposant une paire de fesses écarlates.
Je l'ai gardé au moins cinq minutes dans cette position, et je lui ai reposé la question.
« Alors mon chéri comment te sens tu ? »
Il m'a alors avoué être parfaitement relaxé. Je lui ai dit en riant.
« Et bien si c'est une bonne déculottée qui te fait du bien, nous recommencerons. »
II ne protesta pas. Ce fut sa première fessée thérapeutique mais pas la dernière.

Deux jours plus tard la même occasion se présenta, une nouvelle journée très éprouvante et bien que nous aurions pu avoir cette fois-ci une relation sexuelle, il eut droit à une nouvelle fessée déculottée. Je lui avais proposé le plus naturellement du monde et après avoir retiré son pantalon il s'était couché en travers de mes cuisses, une fois la culotte baissée à mi cuisses, je lui avais administré une bonne fessée. Vous aurez remarqué que je parle de culotte et non de boxer, en effet c'est le terme que je me suis mis à employer à partir de ce jour, sans doute en rapport avec le mot « déculottée », et puis j'avoue que dire à son mari, je vais te baisser la culotte c'est plus explicite sur ce qui va lui arriver.
Comme la dernière fois, prétextant une insuffisante relaxation de son fessier je l'ai envoyé au coin et je l'y ai laissé dix minutes sans aucune protestation de sa part. Il a ensuite comme la première fois reçu une deuxième ration de claques qui lui ont laissé le derrière brûlant.
A partir de ce jour, il ne s'est pas passé de semaine sans qu'il se retrouve au moins 3 ou 4 fois fesses à l'air sur mes genoux. Je commençais à y prendre goût et lui aussi malgré la cuisson qui embrasait ses joues d'en bas, car c'était chaque fois des vraies fessées, il lui est arrivé d'avoir quelques larmes sur les joues d'en haut, bien rouges elles aussi, certainement la honte d'être déculotté et fessé à son âge, mais toujours sans protestation de sa part.

J'utilisais la fessée pour de nombreuses raisons, mal de tête, mal aux dos et chaque fois mon chéri y trouvait son compte.
Un exemple, un matin mon chéri se lève en grimaçant, un vilain lumbago, sans doute une contracture liée au stress, il est coutumier du fait. En souriant je lui ai dit
« Eh bien mon chéri, encore des soucis, on va employer la bonne vieille méthode, allez en position. »
Je m'étais assise sur le bout du lit et je lui indiquais mes cuisses, interloqué il me regarde sans comprendre, je ne vais tout de même pas lui administrer une fessée alors que son dos lui fait un mal de chien. Mais devant mon sourire et mon air convaincu quand je lui dis que ça lui fera le plus grand bien, il obtempère. Quelques secondes plus tard je lui baisse la culotte de pyjama jusqu'au milieu des cuisses et je commence à lui masser les fesses.
« Allez, on me relâche tout ça, ah non ne commence pas à serrer les fesses, tu sais que je n'aime pas ça et ça complique le traitement. »
En disant ça je lui applique une dizaine de claques sur les fesses bien serrées et immédiatement il se détend et j'ai sous les yeux une belle paire de fesses bien souple, je continue la fessée et c'est bientôt une vraie correction que mon chéri reçoit il se plaint mais je continue jusqu'à ce que j'obtienne un derrière uniformément rouge, je le masse à nouveau et miracle la raie de ses fesses s'ouvre toute seule.
« Voilà, c'est fini tu vas voir comme ça va te faire du bien »
Il gémit doucement, je le garde dans cette position un peu humiliante avec les fesses bien exposées, puis je le fais se relever et à ma grande surprise il se dirige vers le coin, je l'arrête en riant.
« Non mon chéri, cette fois ci pas de coin, je ne voudrais pas que tu sois en retard au travail, ça te vaudrait peut-être une fessée supplémentaire par Mme Dumont (c'est sa supérieure hiérarchique). »
Il s’est retourné les joues toute rouge. J'ai éclaté de rire devant sa tête.
Rassure-toi, ça m'étonnerait qu'elle ait une idée pareille, mais j'avoue que c'est un peu excitant à imaginer, mon chéri déculotté, allongé sur les genoux de Mme Dumont. Cesse de faire cette tête, il n'y a que moi qui ai ce droit. »
Il est parti au travail avec une paire de fesses bien chaude sous son pantalon et sans mal au dos.
Le soir il m'a avoué avoir rougi en rentrant dans le bureau de sa cheffe. Et l'image d'une fessée déculottée administrée par cette belle femme énergique l'a hanté toute la journée. J'ai sauté sur l'occasion.
« C'est du joli, on fantasme au bureau, tu sais que je pourrais être jalouse, et je crois que ça mérite une petite fessée. »
Quelques instants plus tard il était à nouveau allongé en travers de mes cuisses, le pantalon sur les chevilles et la culotte baissée. C'était la première fois qu'il recevait deux fessées dans la même journée et elle ci n'était pas thérapeutique, elle ne fut pas trop sévère mais son derrière était bien rouge quand je l'autorisai à se relever, cette fois-ci encore ses joues étaient aussi rouges que ses fesses, je me mis à rire.
« Alors mon chéri, on a un peu honte de faire déculotter par sa petite femme, avoue que tu l'avais bien mérité celle-là. Tiens puisque ce matin tu voulais aller au coin, tu vas y aller pour réfléchir à tes vilains fantasmes. »

Je me suis rendu compte du basculement progressif de notre relation, nous approchions de la fessée punitive. Une étape fut franchie la semaine suivante, un samedi matin, il se leva en se plaignant d'être malade, je lui touchai le front et lui dit qu'il n'avait pas de fièvre et qu'il était douillet comme d'habitude, il protesta énergiquement.
« Parfait, mon chéri, puisque tu es si sûr de toi on va utiliser la méthode de ma mère. »
Vers l'âge de dix ans, ma mère, sur les conseils d'une amie pour éviter que j'utilise une pseudo fièvre pour ne pas aller à l'école avait trouvé une méthode radicale. Elle me couchait sur ses genoux, me baissait la culotte de pyjama et me mettait elle-même le thermomètre, elle pouvait ainsi me surveiller, et en même temps elle m'annonçait la suite.
« Tu vois ma chérie, tu es en bonne position, si tu as vraiment de la fièvre je pourrai te mettre un suppositoire, mais si tu n'en as pas tu es parfaitement placée pour recevoir une bonne fessée pour ton mensonge »
La première fois j'avais menti et j'étais parti à l'école avec une paire de fesses bien rouges, nous étions à la fin des années cinquante et la fessée était encore bien utilisée par les mamans. A ma grande honte, elle utilisa cette méthode jusqu'à mes quinze ans, mais, instruite par ma première expérience, la séance de thermomètre se terminait toujours par l'introduction d'un suppositoire, ce que je détestais profondément, surtout que ma mère me gardait sur ces genoux encore quelques instants en me tenant les fesses bien serrées.
J'ai donc été chercher le thermomètre et un suppositoire de doliprane et j'ai expliqué à Gérard la suite des opérations, il a protesté mais je suis resté inflexible. Assise au bout du lit j'attendais qu'il se décide, devant mon regard sévère, il se céda enfin. La culotte de pyjama bien descendue, je lui tapotais les fesses.
« Alors là mon chéri, il va bien falloir que tu desserres ses fesses, si tu veux que je te mette le thermomètre ! »
II était mort de honte, mais progressivement il relâcha ses muscles fessiers et je les écartai pour mettre à jour son anus, j'avais enduit l'embout du thermomètre avec de la vaseline ce qui fait qu'il pénétrait facilement, il protesta que ça lui faisait mal, je me mis à rire et je lui donnai une claque sur les fesses. Sans me soucier de ses protestations je continuais à l'enfoncer jusqu'à ce que juste un petit bout dépasse quand je relâcherais les fesses.
« Voilà il est bien en place et ne t'avise pas de le rejeter, pour être bien sûr, tu vas le garder cinq minutes. »
C'était bien plus long que ce qui est prescrit mais je voulais marquer le coup. Évidemment comme prévu le thermomètre indiquait 36.8 quand je lui retirais.
« Eh bien mon chéri, comme disait maman, tu n'auras pas de suppo mais tu as gagné une fessée ! Tu es en bonne position, ça va te guérir immédiatement. »
La fessée fut sévère, je ne me souciais pas de ses protestations et c'est avec une paire de fesses bien rouge qu'il prépara le déjeuner, car pour compléter la punition je lui avais annoncé en riant quand il était encore en position disciplinaire.
« Pour ta peine, tu vas me préparer le déjeuner et cul nu en plus, comme ça je pourrai surveiller la couleur de tes fesses, si elles pâlissent trop vite, je pourrai leur redonner un peu de couleur ! »
Nous étions à deux doigts de la fessée punitive qui arrivait à grand pas.

Le rouge vient aux joues d'en haut et d'en bas ou quand la fessée de thérapeutique devient punitive.

L'occasion se présenta quelques jours plus tard, comme d'habitude monsieur rentrait énervé du travail et à une de mes questions, il m'envoya grossièrement balader. Mon sang ne fit qu'un tour.
« Tu ne me parle pas sur ce ton ! Enlève ton pantalon et viens me voir ! »
Complètement pris au dépourvu par ma réaction, il bredouilla une excuse, toujours en colère je ne cédais point et je réitérais mon ordre. Vaincu il se décida à quitter son pantalon et à s'approcher de moi, je m'étais assise sur une chaise, dès qu'il fut à ma portée, je lui saisit la main et le fit basculer sur mes genoux. Je le déculottais immédiatement et sans attendre je commençai à lui administrer une fessée retentissante, surpris par la rigueur de la correction, il se mit à crier et à me supplier d'arrêter. Tout en continuant à lui rougir soigneusement toute la surface mise à nu je lui annonçai la suite du programme.
« Ah tu peux bien crier, celle-là tu l'as bien méritée et, crois-moi, ce n'est pas fini, tes fesses vont s'en souvenir de cette correction. »
Il gigotait sur mes cuisses, ses fesses s'ouvraient et se fermaient au rythme de la fessée, ses pieds battaient l'air, mais il ne cherchait pas à échapper à sa punition, depuis quelques mois qu'il était régulièrement déculotté, allongé à plat ventre sur mes cuisses, il avait intégré qu'une fessée donnée par sa femme devait aller à son terme. Je m'appliquais à couvrir toute la surface de la croupe bien tendue d'une belle couleur carmin. Quand je jugeai le résultat satisfaisant, je le fis relever et lui saisissant l'oreille comme aurait fait une sévère institutrice des années cinquante, je le conduisis jusqu'au coin de la pièce, je retroussai sa chemise qui couvrait un peu ses fesses.
« Tu mets tes mains sur la tête et tu ne bouges pas de là. Je n'en ai pas encore fini avec tes fesses ! »
J'étais un peu surprise de son absence de réaction mais je comptais en profiter pour bien asseoir mon autorité et fixer les nouvelles règles qui géreraient notre vie future. Je le laissai en pénitence pendant dix minutes. Je le fis venir devant moi, j'avais pris la règle plate sur son bureau, il se tenait debout, les mains sur la tête, la culotte à mi-cuisses.
« Tourne-toi que je voie tes fesses, ça te cuit j'espère, allez en position, vite ! »
Il protesta faiblement mais il s'exécuta. Je le fis un peu basculer vers l'avant de façon à ce que ses fesses soient bien à ma portée, ses pieds étaient décollés du sol ce qui rendait sa position plus désagréable, il était vraiment comme un petit garçon sur les genoux de sa maîtresse d'école. Je levais la règle et commençais la deuxième fessée, il se mit à nouveau à gémir et me supplia d'arrêter mais j'étais décidée à lui administrer une punition exemplaire, la règle claqua une bonne cinquantaine de fois ses fesses tendues par la position, elle virait au rouge très sombre et Gérard craqua, il se mit à pleurer. Je l'ai laissé un moment dans allongé sur mes genoux mais sans caresser ses fesses brûlantes, je les ai juste touchées pour apprécier la qualité de ma correction.
« Voilà, une bonne fessée pour le vilain garçon, j'espère que ça te servira de leçon, si ce n'est pas suffisant nous recommencerons, que tu aies quarante ans n'a pas d'importance, quand tu auras besoin d'une fessée tu l'auras et elle sera toujours déculottée, j'espère que tu as bien honte à ton âge de te retrouver cul nu sur mes genoux avec les fesses bien rouges. »
Pendant toute cette tirade, il était toujours dans la position traditionnelle de la fessée exposant son derrière écarlate, il ne disait pas un mot. Satisfaite du résultat, je le relevai et immédiatement en lui tenant l'oreille, je le remis au coin. Il y resta une heure cette fois-là. Quand je lui donnai l'autorisation de se rhabiller ses fesses étaient encore rouges.
Le soir nous avons eu une discussion, en fait, c'est surtout moi qui ai parlé, il ne faisait qu'acquiescer. Je lui ai dit que j'étais fatiguée de son mauvais caractère et de son comportement capricieux et qu'à partir d'aujourd'hui je ne perdrais plus mon temps à discuter, à chaque incartade, ce serait la fessée déculottée.

Nous avions une quarantaine d'années à l'époque et maintenant à 65 ans passé j'applique la même méthode et notre couple se porte très bien. Je ne sais pas si mon niveau d'exigence augmente ou si avec l'âge mon mari se relâche mais le nombre et la qualité des fessées à beaucoup augmenté. Les semaines sans fessée n'existent pas et je dirais même sans exagérer que deux jours sans que Gérard ne se retrouve allongé sur mes genoux les fesses à l'air, c'est très rare. Ce qui est fréquent par contre c'est deux voire trois déculottées dans une seule journée. Évidemment ça se termine comme je vous l'ai déjà raconté par une journée fesses rouges à la fin de la semaine.
J'ai toujours mis un point d'honneur à garder une extrême discrétion sur le traitement réservé aux fesses de mon mari et personne dans notre entourage ne se doute de la situation même si bien souvent quand il discute avec des amis ou des voisins, Gérard cache sous son pantalon une paire de fesses bien rouges.
Notre fille a fait sa vie en Angleterre, quand elle vient en vacances, le postérieur de mon mari l'est aussi. Ça ne dure jamais longtemps et si c'est le cas j'ai recours à la fessée à l'extérieur.


Les précédentes contributions de Sylvie

Des conseils sur l'administration de la fessée ?

Mais vous pouvez également consulter...

la pages des "débats en cours"

Les commentaires...

C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.

5 commentaires:

  1. Bonjour Sylvie,

    Je vois que l'osmose conjugale se maintient toujours dans votre couple. Votre mari a trouvé involontairement une oreille complaisante et vous êtes sur la même longueur d'onde.
    Il accepte docilement sa "fessée thérapeutique". La fessée peut s'avérer être une preuve d'amour, aussi et pas seulement une façon de rectifier un comportement. D'où cette "équation" que je proposerais :
    Fessée => intérêt pour la personne => preuve d'amour.
    Heureux homme, dirais-je. En tous cas, merci beaucoup pour ce récit.
    Amicalement. Peter Pan.

    RépondreSupprimer
  2. Amis de la poésie et de la fessée homéopathique, bonjour!
    Bonjour Sylvie,

    Et bien voilà,! Enfin des nouvelles de notre amie Sylvie qui nous avait gratifié il y a quelques temps d'un palpitant récit''Journée fesses rouges''... Très rouges même, on s'en souvient encore, le petit mari chéri aussi sans doute!
    Et tout commence en Angleterre, décidément terre promise à la pratique des "Good spanking". Joli conte de fé-ssées, racontant comment un couple amoureux trouve son équilibre par la pratique régulière,(intense avec le temps) de la fessée... déculottée "of course!"
    La fessée soulage. Au diable le Doliprane et autre Effet-ralgan, voici l'effet fessée! Rien de tel qu'une bonne déculottée pour calmer les nerfs et soulager les petits bobos de la pression au travail. La fessée homéopathique, ou soigner le mal par le mal. Faire mal au bas du dos pour en soulager la douleur.
    Il fallait y penser. Ou comment rééquilibrer les comptes de la sécurité sociale en évitant le remboursement de traitements coûteux. Les politiques de santé devraient s'en inspirer. Et puis, trois fessées par jour, cela finiraient par creuser le déficit si elles étaient prises en charge!
    Et à propos de trou de la sécu, le thermomètre (et pas celui de l'opinion )judicieusement placé entre des fesses bien assouplies, contrôle la température du moment. Fessée si tricherie!

    Qui aime bien, fesse bien! La belle au bois fessant sait aussi faire preuve d'autorité et montrer au mari désobéissant ou irrespectueux de quel bois elle lui chauffe les fesses... celui de la règle plate qui vient opportunément renforcer les fessées à la main. Amour et discipline conjugale, le rouge au fesses est à l'honneur...
    Ils vécurent heureux sous le régime de la fessée magique et eurent beaucoup d'occasion de se prouver leur attachement!
    Charmant, strict et sévère... Tout de même.
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  3. Bonsoir Ramina,

    Votre commentaire est une vraie ordonnance digne d'un professionnel de santé. Je l'imagine ainsi rédigée :

    " Dr Ramina.
    Membre de la faculté des Médecines Naturelles
    Expert en fessologie auprès des instances médicales


    Synthol le...



    1 - Polidrane 500 - 1 cp toutes les 4 heures.
    2 - CanNiAr- pommade- 1 application 6/jour
    3 - Fesserouge - Huile parfumée - après bain de siège.
    4 - Pansement massant "Chandeleur" - 1 boite de 30.



    Signature: ".


    Voilà un bon remède à prescrire. non ?
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  4. Cher Peter,
    Les fessantes et charmantes aventures conjugales de Sylvie inspirent... Le joli témoignage méritait bien une telle attention.
    Ton ordonnance devrait se révéler efficace, pour entretenir un derrière toujours en forme, et prêt à l'emploi! Traitement longue durée. On appréciera particulièrement le pansement massant ''Chandeleur'' après avoir fait sauter les fesses comme les crêpes, et la pommade CanNIAR... Excellent antidote au Dolpic!
    On n'arrête pas le progrès...
    Amicalement
    Ramina.

    RépondreSupprimer
  5. Je lis avec attention et beaucoup de plaisir les récits de Sylvie.
    J'adorerais avoir une oompagne comme elle qui me donnerait de bones fessées tous les jours.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.