« Non Fara, non, pardon,
pardon ! »
Cela n’avait aucune chance de
faire revenir son beau-frère sur la résolution qu’il avait prise sur une
suggestion de Teva.
« Une punition, donnée à
moitié, pensait-il, est contre-productive. Je dois aller au bout pour le bien de
Maeva. »
Il planta sa belle-sœur devant le
lavabo et il passa le savon sous le jet d’eau.
« Fara, je ne le ferai plus,
Fara !
– Ouvre la bouche !
– Attend Fara,
attend ! »
Sans dire un mot de plus, il
plaqua Maeva contre sa cuisse et passa son bras dans son dos. Il releva la
chemise de nuit qui ne cachait pourtant les fesses qu’à moitié.
« Ah, non… non, pas la
fessée ! »
Maeva avait compris que son
manque d’empressement à obéir allait être sanctionné sur le champ. Ses fesses
la brûlaient encore suite à la précédente fessée. La main de Fara ne fit pas de
quartier. Que Maeva se ressente encore de la fessée qu’il venait de lui
donner était le cadet de ses soucis. Ce n’était que désobéissance sur
désobéissance. Il fallait y mettre fin. Dix, vingt fois, la main claqua les
fesses. Si elles avaient un peu pâli depuis la fin de la précédente correction,
cela suffit à leur faire retrouver leur couleur d’origine.
Fara présenta de nouveau le savon.
« Ouvre la
bouche ! »
Maeva avait compris qu’un soupçon
d’hésitation se paierait de nouveau sur ses fesses, sans doute par une
correction plus retentissante. Elle écarta ses mâchoires en grand. Fara y
introduisit le savon qu’il frotta contre toutes les surfaces qu’il
trouvait : le palais, la langue, les gencives, les dents qu’il enduisait
généreusement. De sa langue, Maeva tentait de repousser le savon. C’était peine
perdue. Elle ne réussissait qu’à sucer plus fortement le savon et le goût savonneux
saturait son nez et sa gorge. Fara s’en tint là quand elle eut un haut-le-cœur.
Le trajet retour vers le séjour
fut aussi rapide que l’aller. Teva qui se tenait sur le pas de la porte de la
cuisine, bras croisés, la regarda passer, un petit sourire aux lèvres.
« Défier Fara n’est pas une
bonne idée, pensait-elle. Ma petite Maeva va l’apprendre à ses dépens. »
Fara la conduisit jusque dans le
coin.
« En position,
gronda-t-il ! »
Dès que Maeva eut dévoilé ses
fesses rouges carmin en relevant sa chemise de nuit et en croisant ses bras
dans son dos, Fara présenta de nouveau le savon devant la bouche de sa
belle-sœur.
« Ouvre ! »
Il n’était pas question de
refuser. Il plaça le savon entre les dents de Maeva.
« Serre ! »
Le savon remplissait toute la
bouche de Maeva. Sa langue le tétait.
« Je te préviens que si le
savon tombe ou s’il y a une seule goutte de salive par terre quand je vais
venir vérifier, cela se règlera avec le martinet ! »
Une claque sur les fesses vint
confirmer le sérieux du propos, s’il en était besoin.
« Va remettre le savon à sa
place ! »
Maeva était étonnée. Cela ne
faisait pas si longtemps que cela qu’elle était au coin. L’odeur et le goût du
savon avait tout envahi. Elle avait dû réprimer des envies de vomir à plusieurs
reprises. Heureusement, elle en avait été capable. Elle n’osait imaginer ce
qu’aurait donné un martinet sur ses fesses, manié par un Fara furieux d’une
nouvelle désobéissance. La récente fouettée de Marguerite apparaîtrait comme
une promenade de santé à côté de cela.
« Interdiction de te rincer
la bouche ! »
Maeva en avait eu l’intention,
mais maintenant ce n’était plus possible. C’est en revenant se placer devant
Fara qu’elle connut le sort qui lui était réservé. La punition n’était pas
terminée. Loin de là !
« Avant de finir la soirée
au coin comme Marguerite, il te reste une chose à faire, c’est d’aller
présenter tes excuses à la voisine du dessus. Tu vas faire cela bien poliment.
Tu vas lui dire que tu regrettes ton insolence. »
C’était un peu humiliant, à
vingt-huit ans, d’aller demander pardon comme une gamine, mais Maeva se dit
qu’elle y survivrait.
« Je ne voudrais pas qu’elle
croit que dans notre maison, les enfants puissent se comporter aussi mal sans
qu’il y ait des conséquences. Tu lui expliqueras comment tu as été punie. Tu
lui parleras de la fessée, du savon dans la bouche et du coin. Je
vérifierai. »
Ça c’était nettement plus
ennuyeux. Tout le monde dans l’immeuble allait savoir qu’elle recevait la
fessée. Il ne fallait pas compter sur la discrétion de la voisine qui avait la
réputation d’avoir la langue bien pendue. Elle regarda Fara d’un air suppliant.
« Oui ? As-tu quelque
chose à dire ?
Le ton était menaçant.
« Non Fara. »
Un affreux doute l’assaillit.
Fara ne pouvait pas lui demander de monter l’escalier dans cette tenue !
La chemise de nuit ne couvrait pas complètement ses fesses. Dans l’appartement
c’était déjà difficile, mais elle ne ferait pas un pas dehors. En aucun
cas ! Il suffisait de croiser quelqu’un dans l’escalier pour lui exposer
tout son intimité. Elle en mourrait de honte.
« Tu lui montreras la
rougeur de tes fesses et le savon dans ta bouche. Je tiens à ce qu’elle soit
convaincue que tu as été puni à la hauteur de ce tu as commis.
– Mais Fara…
– Oui ?
– Je peux mettre une robe de
chambre pour aller la voir ? »
Le ton était suppliant.
« Pourquoi veux-tu mettre
une robe de chambre ? Si tu rencontres une autre personne et qu’elle
puisse voir que tes fesses sont rouges, j’espère qu’elle en conclura que tu as
été justement punie. Quant à la voisine, ce n’est pas un problème. Après lui
avoir expliqué comment tu as été punie, tu lui diras que je souhaite qu’elle te
donne une fessée.
– Non, cria Maeva ! Non, tu
ne peux pas me demander cela !
– Et pourtant, je vais le faire.
Il faut que tu comprennes que tout écart que tu commettras, aura des
conséquences. Si c’est en public, tu seras punie en public. C’est normal. Là,
c’est envers la voisine que tu as été irrespectueuse, c’est donc elle qui continuera
ta punition. Elève encore une objection et je t’y conduis en te tenant par
l’oreille. Je peux te promette que la fessée que tu recevras sera douloureuse
et qu’elle fera tant de bruit que tout le bâtiment sera au courant. Cela
n’empêchera pas, ensuite, la voisine de te fesser. Je m’en occuperai. Encore
une objection ? »
Maeva n’avait aucun doute. En cas
de besoin, Fara mettrait ses menaces à exécution.
« Non, Fara.
– Alors tu vas monter à l’étage
supérieur, frapper à la porte de la voisine et lui dire exactement ce que je
t’ai dit de lui dire. Je surveillerai ce que tu fais. »
Maeva passa la porte de
l’appartement. Elle tira sur sa chemise de nuit, mais il n’y avait pas moyen de
la rallonger. Fara et Teva étaient juste derrière elle.
« Monte,
dépêche-toi ! »
Le plus raisonnable, c’était
d’aller au plus vite, tout en étant la plus discrète possible. Elle avait deux
demi-paliers à franchir avant d’arriver à l’étage du dessus. Elle monta les
marches aussi vite qu’elle le pouvait tout en restant sur la pointe des pieds
pour attirer le moins possible l’attention.
Il y avait une sonnette à la
porte de l’appartement de la voisine. Elle appuya sur le bouton. Aucun bruit.
Fonctionnait-elle ? Que faire ? Sonner une nouvelle fois ? Et
s’il n’y avait personne ? Elle ne pouvait rester là toute la soirée. Que
dirait Fara si elle revenait bredouille ? Elle s’apprêtait à appuyer sur
le bouton une nouvelle fois quand la porte s’ouvrit.
« Oui qu’est-ce que vous…
oh ! »
C’était bien la dame qu’elle
avait croisée dans l’escalier. Elle restait sans voix, les yeux fixés sur le
bas de la chemise de nuit de Marguerite et sur les fesses qui en dépassaient
certainement. Elle ne devait guère être plus âgée que Marguerite.
« Je… je… je… »
Maeva bafouillait. Elle
n’arrivait pas à entamer réellement sa phrase, tant elle était submergée par
l’émotion. Tout cela prenait du temps. Plus le temps passait, plus le risque de
voir monter ou descendre une autre personne était grand. Il fallait se
ressaisir.
« Je suis venue vous
présenter mes excuses pour avoir été insolente avec vous tout à l’heure. »
La femme en face d’elle restait
sans réaction. Elle n’avait pas encore tout décrypté de la situation qui
amenait une jeune femme adulte se présenter à sa porte, couverte d’un vêtement
de nuit si court qu’on voyait en-dessous poindre ses fesses nues.
« Mon père… euh non, mon
beau-frère m’a puni et aussi pour avoir dit des gros-mots quand vous êtes
passées.
– Ah oui, c’est vrai. Les
gros-mots ! Ma petite fille était avec moi et je ne veux pas qu’on lui
donne le mauvais exemple. J’ai dû demander à ce que ça ne se reproduise pas. »
Elle eut un geste de la tête,
comme si elle se réveillait.
« Punie ? Vous voulez
dire qu’il vous a punie ?
– Oui Madame. J’ai eu… enfin j’ai
reçu… euh… Il m’a donné… une fessée.
– Une fessée ? Vous voulez
dire sur les fesses ? Comme… comme une petite fille ?
– Oui Madame et puis il m’a
savonné la bouche, à cause des gros-mots et j’ai été mise au coin. »
Il fallut quelques secondes à la
Dame pour absorber toutes ces informations.
« Tu veux dire que parce que
j’ai appelé pour me plaindre, ton beau-frère t’a donné une fessée, t’a lavé la
bouche avec du savon, puis il t’a mise au coin ? Et enfin il t’envoie
présenter des excuses… dans cette tenue ?
– Oui Madame. »
La conversation se prolongeait.
Au-delà de son contenu qui était particulièrement vexant, la durée n’arrangeait
pas Maeva. Quelqu’un finirait bien par passer. C’était inévitable. Maeva
regardait son interlocutrice qui semblait réfléchir. Il fallait en finir.
« Et il veut que… que…
que… »
Que cette phrase était difficile
à dire.
« … que vous me donniez une
fessée. »
Maeva avait fini la phrase dans
un souffle, mais le mot était audible : une fessée.
« Que moi, je te donne une
fessée ?
– Oui Madame.
– Ah, c’est pour ça qu’il t’a
envoyé dans cette tenue ! »
Elle prit le temps de réfléchir.
« Une seconde, nous allons
tirer cela au clair. »
Elle prit Maeva par le cou et
elle la fit avancer dans l’appartement. Elle referma la porte derrière elles. Maeva
se sentit soulagée. Elle avait réussi la première partie sans que personne ne
la voie se balader ainsi habillée. Personne, sauf la Dame du dessus.
La Dame emmena Maeva dans la
pièce qui devait être le séjour
« Comment
t’appelles-tu ?
– Maeva, Madame.
– Maeva ! Joli comme prénom.
Dis-moi, Maeva, c’est donc le mari de ta sœur qui t’a punie.
– Oui Madame.
– Et qu’en pense ta sœur ?
– Oh, elle est d’accord. Elle
donne la fessée, elle aussi. C’est elle qui a donné le martinet à Marguerite. »
Maeva se mordit les lèvres. Elle
en disait de trop. Elle devait se contenter de répondre aux questions qu’on lui
posait.
« Marguerite ? Qui est Marguerite ?
– C’est ma meilleure amie, ma
sœur adoptive.
– Ta sœur a donné le martinet à Marguerite
et ton beau-frère t’a administré une fessée, dit-elle pensivement. Et où
est-elle Marguerite en ce moment ?
– Elle est au coin.
– Ah oui, bien sûr, après avoir
reçu une fessée, on va au coin !
– Oui Madame. »
Il y eut un court moment de
silence pendant lequel la Dame passa Maeva en revue, de la tête aux pieds.
– Dis-moi, Maeva, quel âge
as-tu ?
– Vingt-huit ans, Madame.
– Et Marguerite ?
– Trente-et-un, Madame.
– Cela fait longtemps que ta sœur
et ton beau-frère te donnent la fessée ?
– Non Madame, quelques semaines.
C’est depuis que Madame André m’a fessée.
– Madame André ? »
Maeva regrettait déjà d’avoir
donné ce détail, mais il était trop tard.
– C’est la responsable du grand
magasin dans lequel je travaille.
– Je vois. Tu as aussi la fessée
au travail.
– Oui Madame.
– Je vais téléphoner à ta sœur et
à ton beau-frère.
Elle fit un pas pour mettre à
exécution ce qu’elle venait de dire, elle se retourna alors, comme si elle se
ravisait.
– Puisque tu as reçu une fessée,
il y a quelques minutes, tu n’es pas cessée être au coin ?
– Si Madame.
– Alors vas-y !
Là-bas ! »
Maeva se dirigea vers l’angle de
la pièce qui lui était désigné. Elle se plaça face au mur et elle croisa ses
mains dans son dos. Devait-elle relever sa chemise de nuit ? Si Teva ou
Fara apprenaient qu’elle ne l’avait pas fait, ça allait barder. Ils le
sauraient de toute façon. La curiosité dont la Dame avait fait preuve
jusque-là, pouvait l’amener à aborder ce genre de détail au téléphone. Maeva releva
sa tunique au-dessus de ses reins, comme elle le faisait à la maison.
« Voilà qui est parfait,
commenta la voisine. »
Maeva l’entendit sortir de la
pièce. Elle était seule dans cet appartement qu’elle ne connaissait pas, avec
une personne qu’elle avait tout juste croisée dans l’escalier deux ou trois
fois.
« J’ai eu ta sœur au
téléphone, une personne charmante. »
La Dame était revenue sans que
Maeva ne l’entende.
« Elle m’a confirmé en tous
points ce que tu m’as dit. Elle a beaucoup insisté pour que je te donne une
fessée. »
Cela n’étonna pas Maeva. Elle ne
se faisait plus d’illusion. Elle ne partirait de cet appartement que les fesses
rougies par la main de la Dame chez qui elle était. C’était une suite logique
de tout ce qui s’était passé ce soir.
« Tu en as besoin,
m’a-t-elle dit. Autant s’y mettre tout de suite, non ?
Viens-ici ! »
Maeva se retourna et marcha vers
la Dame qui avait pris place sur le canapé. Ses mains tenaient sa chemise de
nuit relevée, ce qui exposait entièrement ses fesses, son pubis épilé précédant
le tout. Comment faire autrement sans désobéir aux règles fixées par Teva et
Fara ? Elle était déjà dans une très mauvaise situation, sans avoir besoin
d’en rajouter. Il fallait boire le calice jusqu’à la lie.
C’est à ce moment-là qu’une
petite fille fit son apparition. Elle entra dans la pièce en sautillant.
« Maman, je voulais… »
Elle s’était statufiée à la vue
de Maeva qui avait prestement rabattu sa chemise de nuit.
« Maeva, la chemise, gronda
la Dame ! »
Evidemment, c’était le geste à ne
pas faire. Si Teva ou Fara l’apprenaient…
« C’est qui ?
– C’est la grande fille que nous
avons croisé dans l’escalier. Elle est punie pour avoir dit des gros-mots et avoir
répondu à ta Maman. Tu vois ce qui arrive quand on ne fait pas attention à
comment on parle. Une fessée, même pour les grandes filles ! »
La fillette hocha la tête.
« Tu vas lui donner la
fessée ?
– Oui, maintenant.
– Je peux voir ?
– Reste si tu le veux, mais sois
sage ! »
La fillette s’assit dans un
fauteuil, face à sa mère. Elle avait pris un air grave. Une fessée, ce n’était
pas rien.
« Allons, Maeva, c’est le
moment ! »
La Dame prit Maeva par le bras et
elle l’allongea en travers de ses genoux. Les fesses nues, positionnées ainsi,
étaient une cible facile, d’autant plus que Maeva ne faisait rien pour se
dérober. La Dame n’avait pas une grande expérience en matière de fessée. Ce ne
fut pas la plus rigoureuse de toutes celles que Maeva avait reçues, mais elle
se rajoutait à celles de Fara. Cela faisait une sérieuse correction en une
seule soirée. Maeva en ressentit tout de suite les effets.
C’était, par contre l’une des
plus vexantes. Tout y concourrait : l’âge de la dame très proche de celui
de Maeva, le fait que ce soit une quasi inconnue qui la punisse, la présence de
la petite fille en spectatrice… C’en était trop pour Maeva qui fondit en larmes
autant en raison de la vive cuisson sur ses fesses, que de la honte qu’elle
ressentait.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 21
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 23
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Amis de la poésie et de la fessée savonnette, bonjour!
RépondreSupprimerBonjour JLG.
Si Annie aime les sucettes (France Gall / Gainsbourg) On peut comprendre que Maeva finisse par détester le savon... Parfumé à la lavande ou à la ciboulette ( ce qui est tout de même assez rare !) ça laisse vraiment un mauvais goût. Fond dans la bouche, pas dans la main! Celle de Fara ne fait pas de cadeau, désobéissances sur désobéissances, c'est fessées sur fessées!! Normal.
"Cent fois sur le fessier remettez votre ouvrage... Polissez le sans cesse et le repolissez..." je crois que j'ai déjà écrit ça en plagiant Boileau... mais bon, c'est pour ceux qui n'étaient pas encore arrivés sur le blog...
Les fesses de Maeva passe par tous les états... et entre toutes les mains. Le récit renouvelle l'intérêt en proposant des situations originales, finalement assez drôle (pour le lecteur) lorsque la malheureuse déjà sévèrement corrigée, doit monter chez la voisine, étonnée, pour lui demander une nouvelle fessée... ça craint, comme on dit, surtout devant une petite fille, témoin impromptu.
Analyse synthétique au dernier paragraphe des différentes situations contribuant à la réussite de la punition de Maeva. On retrouve là, l'illustration logique des mesures souvent éditées par l'auteur pour réaliser une correction efficace.
Que pourrait il bien arriver d'autre à Maeva ? On compte sur la suite pour de nouvelles et toujours aussi cuisantes expériences.
Amicalement.
Ramina
Ramina,
SupprimerComptez sur la suite et sur mon imagination pour imaginer de nouvelles situations, de nouveaux personnages... et de nombreuses fessées. Suite au prochain épisode !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
J'en ai pourtant envoyé un hier mercredi!
RépondreSupprimerRamina