mardi 19 novembre 2019

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 7

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

L'ADDICTION AU JEU PEUT ENTRAÎNER UNE DÉPENDANCE A LA FESSÉE.

Clarisse et Edwige ont décidé de prendre leur temps. Tout en positionnant le postérieur de son mari bien à sa main, chacune le tapote, le caresse, le claque un peu, passe un doigt indiscret dans la raie pour y enfoncer la couture médiane du slip. Des fesses bien moulées dans le nylon offrent une surface beaucoup plus ferme sous la main. Les deux hommes sont tendus. Ils craignent évidemment la fessée qui se prépare. Douglas pleurniche déjà, tandis que Stephen gémit sourdement. Les deux femmes ne prêtent aucune attention à ce qu'elles appellent les jérémiades de leur mari. Edwige insiste sur le positionnement du sien. 


« Présente mieux tes fesses ! Ordonne -t -elle en lui claquant sèchement le derrière pour le faire obéir plus vite. Mieux que ça paresseux ! Plus tendue, bien en vue de tout le monde ! »
Il s'exécute aussitôt et creuse davantage les reins en poussant sur son gros fessier autant qu'il peut, pour encore mieux l'arrondir et en développer les volumes. Bien présenter ses fesses, c'est montrer sa soumission à la fessée. Clarisse se montre plus exigeante envers Douglas et prend plaisir à l'humilier un peu plus devant Bettina et son beau-fils.
 « Demande à tout le monde si tes fesses sont bien présentées pour recevoir ta fessée ! »
Douglas pousse une petite plainte et obéit. Sa voix ne dépasse pas le niveau du sol.
« Est ce que mes fesses sont…
Tes quoi ? Parle plus fort voyons! On ne comprend rien. Puis s'adressant à Bettina Vous avez entendu quelque chose vous ?
Bettina, bien évidemment confirme.
Moi ? Rien du tout, je ne sais même pas de quoi il parle. »
Douglas reprend, à peine plus haut.
« Mes... Mes fesses …
– Tes fesses comment ?
– Mes grosses fesses...
Tes grosse fesses comment ?
– Mes grosses... fesses... déculottées...
– Elles ne sont pas encore déculottées imbécile ! Mais ça ne va pas tarder ! Nouvelle claque sur les fesses.  Recommence, et applique toi s'il te plaît ! Même si ça ne te plaît pas !
Bettina se régale de l'exercice de mise en condition.
« Est ce que mes grosses fesses sont bien présentées... ?
– Présentées pour quoi faire ? 
Pour recevoir la fessée …
La fessée comment ? Douglas ? Les deux fesses claquent à nouveau l'une après l'autre, Il faut tout te demander hein !
La... la bonne fessée que j’ai bien méritée...
– Quand même, il t'en faut du temps... Aller, recommence tout ! »
Vigoureusement stimulé par une crépitante série d'allers et retours sur les fesses, le malheureux redémarre au quart de tour en ânonnant, 
« Est ce que - mes grosses fesses - sont bien présentées - pour recevoir - la bonne fessée - que j’ai méritée ? »
Clarisse impitoyable.
« Ajoute, est ce que vous les avez bien en vue ? En t’adressant d’abord à Bettina.
– Oh chérie s'il te plaît … pas Bett...
Une nouvelle claque sèche sur chaque fesse, coupe court à ses protestations. Il enchaîne immédiatement.
« Bet... Bettina, est ce que mes grosses fesses sont bien présentées pour recevoir la bonne fessée que j’ai méritée ? Est-ce que vous les avez bien en vue ?
– Vue d'ici imprenable jusqu'au fond de la raie ! Répond la voisine toute excitée et frétillant du derrière sur sa chaise. Impossible de rater une claque ! 
Le malheureux croit en avoir fini avec les avilissants préliminaires mais Clarisse insiste.
« Parfait, maintenant demande la même chose à Rodolphe !
– Oh non chérie ! S’il te plaît...Pas à Rodolphe !!.
Mais bien sûr que si mon cher ! Et tout de suite ! Sinon c’est double tarif sur ton arrogant derrière de mari désobéissant ! » 
Mort de honte, Douglas s'exécute devant un Rodolphe, comblé, qui remercie intérieurement sa mère, pour une fois, d'inverser les rôles. Lui qui se retrouve si souvent à la place qu'occupe actuellement son beau-père.

Edwige ne reste pas inactive et impose la même humiliation à son mari.
« Eh bien Stephen... On t’écoute ! Demande la même chose à Bettina et Rodolphe. Ils vont assister à votre correction, il est normal de demander leur avis sur la manière dont vous présentez vos fesses. »
Le malheureux époux n'a pas le choix non plus et s'adresse à son tour et dans les mêmes termes à Bettina qui minaude, le bras négligemment posé en arrière sur le dossier de sa chaise. Elle adore ces moments de mise en condition avant la punition et s'amuse à faire monter les enchères avec une parfaite mauvaise foi.
« Allons Stephen, vous pouvez mieux faire pour présenter vos grosses fesses et qu’on les voit bien danser sous les claques! »
Rodolphe profite de la situation, et reprend les ordres qu'il reçoit de sa mère avant ses propres fessées.
« Il faut gonfler davantage le derrière... Prenez exemple sur mon beau père, il le fait mieux que vous, je trouve. ».
Bettina, spectatrice avisée des nombreuses corrections administrées à la maison confirme les propos du jeune homme.
« Tout à fait ! Au moins, on voit que Madame a dressé Monsieur Douglas à présenter ses fesses correctement lorsqu'il doit se faire corriger. »

Pendant ce temps Clarisse étire encore le slip de son puni pour le lui ajuster  plus tendu sur le derrière. Ça rend les fesses plus compactes et plus fermes sous le nylon. Le rendement sonore s'en trouve nettement meilleur. On entend geindre les deux hommes pliés en deux sur les cuisses de leur épouse, la tête au ras du sol.

Après ce long moment de préparation que Rodolphe comme Bettina ont savouré avec une vue panoramique sur les deux postérieurs parfaitement exposés, la fessée démarre brusquement. Les mains, haut levées, d'Edwige et Clarisse, s’abattent à pleine force sur les fesses bondissantes. Les claques sur ces deux gros fessiers rebondis font un bruit éclatant qui emplit la pièce et, sans aucun doute, doit s'entendre jusque dehors. D'autant mieux que Douglas, obéissant à la règle des fessées, avait dû largement ouvrir les deux battants de la fenêtre donnant sur le jardin. avant de venir s'allonger sur les cuisses de sa femme,
La sonorité des fessées commence de façon si claquante sur les deux derrières à la fois, qu’elle couvre presque les cris des deux punis. Stephen, déjà corrigé quelques heures avant, s’est remis rapidement à pleurer et Douglas n’a pas tardé à suivre.

 Les deux épouses ont débuté la fessée de façon méthodique en claquant systématiquement la totalité du postérieur.  Rigoureuses et appliquées, elles n’épargnent pas un millimètre de peau d’une hanche à l’autre, n’oubliant ni les flancs ni le bas des fesses débordant des élastiques du slip, ajustant le haut des cuisses, écartant les fesses de la main gauche pour abattre la droite en plein sur la raie …En quelques minutes, la totalité des fessiers est devenue uniformément enluminée d’un beau rouge vif qui s’intensifie à grande vitesse. La fessée prend alors une sorte d’allure “de croisière “ . Fesse droite, fesse gauche, fesse droite, fesse gauche, bas des fesses, plein milieu. Et ça repart inlassablement sur le même rythme régulier, fesse droite, fesse gauche... Les postérieurs, bien enserrés dans le nylon, offrent une surface charnue agréablement ferme qui tressautent lourdement au rythme des claques.
Solidement maintenus sur les cuisses de leur fesseuse, agrippés aux pieds de leur chaise pour ne pas tomber, les deux punis s'astreignent à garder la position réglementaire. Malgré les puissants allers et retours qui leur secouent violemment le derrière, ils restent bien cambrés, les reins creusés, avec leur croupe en l’air qui s’ouvre et se contracte en suivant la cadence des claques. Les jambes et les pieds accompagnent le rythme en battant l’air désespérément.  Deux cadres en entreprise, transformés en gamins sévèrement fessés par leur mère.

Bien que concentrées sur la fessée qu’elles sont en train d’administrer, Edwige et Clarisse s'amusent à échanger leur point de vue sur les réactions des deux punis.
« Tu ne trouves pas que les fesses de Stephen rougissent plus vite que celles de Douglas, dit Edwige entre deux claquées.
– C'est possible ! répond Clarisse. Mais je connais le derrière de mon Douglas. Il est du genre diesel, il faut le chauffer un bon moment avant d'obtenir du rendement.

Une double fessée déculottée


– C'est sûr, un derrière ça se prépare...
– Tout à fait. Celui de Douglas met un peu de temps à bien chauffer mais il garde sa couleur et la cuisson très longtemps. Grâce aussi à l'efficacité du Dolpic qui prolonge l'effet des fessées pendant plusieurs heures. »

Cuisantes et claquantes les deux fessées se poursuivent, dans un concert de cris et de lamentations, sous le regard attentif de Rodolphe et Bettina. Celle-ci, de plus en plus excitée, ne peut s'empêcher d'accompagner le rythme des claques de petits mouvements de tête, comme pour en accentuer l'impact. Jamais satisfaite la fantasque voisine. Elle en veut toujours plus, quitte à faire des propositions qui peuvent parfois sembler un peu extravagantes.

« Vous savez... dit-elle avec un petit sourire vicieux en direction des deux paires de fesses tressautant, une vigoureuse friction du postérieur au gant de crin en cours de fessée est aussi efficace que le Dolpic et... ça coûte moins cher ! »

Les deux épouses ne relèvent pas, essentiellement concentrées sur les postérieurs qu'elles corrigent. Rodolphe ne dit rien et observe, fasciné par le spectacle. Edwige constate que Douglas remue plus vite le fessier que son mari, et décide d’accélérer la cadence des claques. Le résultat est immédiat, les mouvements trépidants des fesses de Stephen s’accélèrent ...L’augmentation de sa couleur aussi et surtout ses sanglots redoublent. Du coup, les deux femmes se lancent dans une sorte de compétition, à celle qui fessera le plus vite et le plus fort ! Bettina évidemment les encourage. Les deux hommes, ne peuvent s’empêcher de pleurer encore plus fort !

 Rodolphe approuve discrètement, trop heureux de pouvoir assister à une aussi spectaculaire séance de correction qui, pour une fois, ne concerne pas son propre derrière.  Il se demande malgré tout combien de temps encore va durer la fessée, mais il n’a pas envie qu’elle s’arrête. Cela lui plaît bien de voir son beau-père et le mari d'Edwige subir le même traitement que lui en pareille occasion et tortiller du derrière en braillant comme des gamins. Bien fait !. Sûr qu'il est brûlant, bouillant … Les larmes coulent jusque par terre en petites gouttes brillantes sur le carrelage.
 Bettina quant à elle ne dit plus rien. Elle savoure en connaisseuse, hochant la tête en signe d’approbation, manifestement emballée de voir les deux hommes si bien corrigés. Le taux d'humidité de son entre cuisse commence à sérieusement augmenter dans son slip de moins en moins étanche. Le nylon n'étant pas une matière spécifiquement absorbante.   

Edwige propose alors de faire une pause.
« Ouuuuuf !... La fessée, c'est bien mais ça donne soif ! Je prendrais bien un thé moi, pas toi ? Demande-t-elle à Clarisse qui acquiesce en allongeant une dernière claquée bien retentissante avant de lâcher les fesses écarlates de son mari.
« Si..., moi aussi je commence à avoir soif. On va reprendre des forces ! » 
– Bien, Bettina, soyez gentille de nous en préparer un... et pour vous aussi.
– Rodolphe fera le service, ajoute sa mère, ça va l'occuper un peu au lieu de rester planté sur sa chaise à regarder, comme s'il n'avait jamais vu administrer une fessée !
Bettina, chose rare, vient à son secours.
« Oui mais d'habitude ce sont les siennes qu'il voit rougir dans la glace à la maison. »
Là-dessus, elle se dirige vers la cuisine en le faisant passer devant elle. Elle en profite pour lui tapoter sèchement le derrière moulé de près dans son pantalon serré.
« Et les fessées de maman ça rougit bien les fesses, n'est-ce pas mon ami ? »
Rodolphe ne répond pas... Il sait que ça pourrait mal tourner pour lui, jusqu'ici épargné. Il ne joue pas aux courses... lui.

Libérés par leur femme, les punis s’écroulent en sanglotant, les joues aussi rouges que les fesses, les larmes inondant leur visage. Stephen tombe à genoux aux pieds de son épouse et Douglas roule à plat ventre devant la sienne. Tous les deux se tiennent les fesses à pleines mains en geignant. On en distingue nettement la couleur à travers le nylon transparent des slips qui les maintiennent d'autant plus douloureusement serrées à l'intérieur, qu'elles ont augmenté de volume.

« On prend un thé et on passe à la fessée déculottée ! »  Annonce, d’autorité, la maîtresse de maison.
Douglas bien dressé est prêt à toutes les concessions pour obtenir un soupçon de clémence, qui n'arrive jamais. Il se fait servile.
« On attend la fessée au coin ? interroge-t-il en pleurant.
Non ! Dit Clarisse – tu te remets à genoux sur la chaise, tes fesses bien exposées ! »
Il obéit, toujours sanglotant tandis que son épouse retourne la chaise, sur laquelle elle vient de le fesser, afin de placer le dossier vers le salon, le siège contre la fenêtre ouverte.
« A genoux la dessus Douglas ! Tes fesses bien présentées à la fenêtre pour qu'on voit que je suis en train de te corriger et que tu attends la fessée suivante... Et déculottée celle-là! »
Il supplie en pleurnichant.
« Pitié Clarisse! Pitié, pas la fessée déculottée… je suis bien puni ....je ne ferais plus de bêtise... je te le jure, je ne jouerai plus aux courses .....plus la fessée ....pas la fessée déculottée ....je n’en peux plus ....tu m’as bien corrigé.. ! »

Mais c’est évidemment en vain... Clarisse s'en moque comme de son premier martinet.  Pour toute réponse, elle lui désigne impérativement de l’index le siège de la chaise où il doit se mettre à genoux. Il le fait, en pleurant, son fessier rebondi, en partie dépassant l’encadrement de la fenêtre. Bettina est revenu dans le salon en attendant que l'eau du thé chauffe. Amusée, elle veut constater par elle-même la vue offerte ainsi dans le jardin. Elle sort. En effet, de dehors, on voit parfaitement la grosse paire de fesses écarlates de Douglas secouée de sanglots, son postérieur bien tendu encadré par la fenêtre grande ouverte.
Elle s'esclaffe en se régalant du spectacle.
« Alors Douglas, cela ne vous fait pas du bien de vous aérer un peu le derrière avant la fessée déculottée qui vous attend ? »
Elle rentre, rejoignant les deux punis à genoux, avec leur postérieur cramoisi exhibé de manière provocante. Pour Stephen tourné vers l’intérieur de la pièce et pour Douglas vers l’extérieur... le jardin... les voisines.

Rodolphe se tient à carreau. Il sert le thé à ces dames installées autour de la table basse du salon.
« On pourrait peut-être leur ordonner de se déculotter ? Suggère Bettina toujours prête à accélérer le mouvement. Ça permettrait de mieux apprécier l'état de leurs fesses.
– On les déculottera nous même au moment de la fessée. Répond Edwige. C'est tellement excitant de déculotter une belle paire de fesses bien rouge ! »
Clarisse approuve.
« Pas de précipitation ! Pour bien fesser, il faut prendre son temps. On a encore tout l'après-midi. »
Les deux femmes dégustent tranquillement leur thé en se dégourdissant les doigts. Elles ont déjà tapé fort. Edwige remet un nuage de lait pour refroidir un peu le liquide brûlant.
« C'est qu'ils ont les fesses aussi fermes que charnues nos petits chéris !
– On n'y est pas pour rien ! Réplique Clarisse avec un petit rire moqueur. Ce n'est pas faute de les entretenir ! »

Elle repose sa tasse sur la table et s'adosse au dossier du canapé en croisant les jambes. Ses bas nylon crissent sur ses cuisses découvertes. Elle arbore une moue de satisfaction en contemplant les deux punis, à genoux sur leur chaise, et surtout Douglas exposant son derrière écarlate à la fenêtre. Elle sourit à l'idée que ces Messieurs, cadres respectés dans leur entreprise, se retrouvent à la maison, dociles, entièrement soumis à l'autorité de leur femme. Déculottés et fessées systématiquement à la moindre désobéissance.  Les dimanches sont propices aux règlements de comptes, celui-ci n'échappe pas à la règle.

« Rodolphe, rend toi utile, ordonne-t-elle à son fils. Tu débarrasses et tu pousses la table pour nous faire de la place. On a besoin d'espace pour fesser correctement. »
Vu l'atmosphère ambiante, le garçon ne fait pas trop le malin et obéit immédiatement. Il revient de la cuisine avec un plateau où il empile tout le service à thé sous le regard pesant de sa mère.
« Et tu fais attention à ne rien casser sinon tes fesses vont s'en prendre une illico ! Je ne sais pas si tu as remarqué mais en ce moment c'est la distribution ! Et pas celle des prix !
– Ou alors des prix de mauvaise conduite ! »
  Enchaîne Bettina avec son petit rire de gamine Elle se lève de son siège en tirant sur sa jupe comme pour essayer de la rallonger. Elle est si courte qu'elle ne descend pas en dessous du renfort noir de ses bas nylon et de ses boucles de jarretelles.

« Finalement, ça ne me déplairait pas de mettre la main à la pâte... ou aux fesses plutôt, dit-elle en pouffant de rire, après tout, vous n'avez invitée, mais peut-être pas uniquement pour regarder. ». 
Edwige et Clarisse écoutent en souriant et se consultent du regard. 
« Elle n'a pas tout a fait tort. Dit la maîtresse de maison... »
Clarisse acquiesce d’un signe de la tête. Bettina poursuit la mine réjouie.
« Il ne faut pas laisser leur derrière se reposer trop longtemps… Ils méritent bien plus que çà … Une fessée au martinet par exemple... Moi aussi j’ai envie de les punir ! »
 Les deux épouses approuvent. Clarisse confirme.
« Après tout, excellente idée ! Une bonne fessée supplémentaire au martinet leur fera le plus grand bien ! »

Douglas, en plein désarroi, redouble de supplications. Il est prêt à promettre n'importe quoi, pour échapper à la fessée au martinet... Escalader le Mont Blanc en tong ou faire un tour du monde en pédalo !
« Pardon ! Pardon chérie ! Je demande pardon à tout le monde ! C'est fini, je ne jouerai plus jamais aux courses ! Je serais toujours obéissant… Chérie pardon !
« Arrête ton cirque Douglas, ça suffit...tu te tais. Ordonne Clarisse. Inutile de pleurnicher, Tu auras ta fessée au martinet !  Bettina vous allez commencer par lui !
– Comme vous voulez, je n'ai pas de préférence du moment que je corrige les deux. Depuis le temps que ça me démangeait... Ils vont voir sur leur gros postérieur, comment je sais me servir d’un bon martinet, elle s'est levée en lissant sa courte jupe sur ses cuisses et demande.  Il est où, le martinet ? »

Rodolphe, ravi de tenir sa petite vengeance sur son beau-père, s’empresse de répondre.
« C’est celui-là Madame Bettina ! C’est son martinet, que maman lui a fait apporter ! »
Clarisse l'a sorti de son sac et le lui tend. Il le donne à Bettina qui le prend fermement en mains et se dirige vers Douglas apeuré qui trépigne sur sa chaise.
« Non, non ! Pas la fessée ! Pas la fessée au martinet ! ...La fessée à la main ! Bettina, s’il vous plaît ! Je sais que je la mérite mais la fessée à la main ! A la main... déculotté si vous voulez ! »
Bettina boit du petit lait. Depuis le temps qu'elle attend ce moment, elle compte bien en profiter au maximum.
– Et comment, je la veux ! La complète même... déculottée et au martinet ! »

Martinet en main, le sourire goguenard, elle retrousse sa jupe sur ses hanches pour officier à l'aise, exhibant sans complexe une splendide paire de fesses qui n'a rien à envier à celles de ses voisines et amies. Un talon aiguille posé sur le barreau de la chaise, elle le soulève déjà et le courbe en équilibre sur sa cuisse relevée à l'horizontale. Bras et jambes ballant, il ne touche plus le sol, obligé de déployer en l'air son volumineux fessier qu'elle oriente vers l'intérieur de la pièce pour que tout le monde profite du spectacle. Faisant preuve d'une belle dextérité, elle le déculotte en un tour de main et lui fait pousser un petit gémissement en s'amusant à faire claquer bruyamment l'élastique de son slip sur ses cuisses. 

Bettina est immédiatement efficace. Douglas reçoit en hurlant sa fessée au martinet sous une véritable volée de coups de lanières !  A genoux sur sa chaise, Stephen regarde, effrayé, le postérieur de son ami se couvrir de superbes marques rouges .... La déculottée est brève mais intense, l'impétueuse voisine relâche sa victime qui saute d’un pied sur l’autre en se frottant les fesses et, sans perdre de temps, commande aussitôt. :
« Stephen, à vous maintenant ! »
Docile, le malheureux commence à creuser les reins pour offrir son derrière … Mais Devant les deux épouses, ravies de la démonstration, Bettina intervient avec autorité.
« Non ! Venez ici, échangez vos places ! Douglas retournez sur votre chaise et Stephen fesses en l'air sur ma cuisse !... Aller on se dépêche ! » 
Ils s’exécutent en hâte… Stephen, aussitôt positionné et déculotté, hurle à son tour en recevant une véritable dégelée de coups de martinet qui lui cinglent les fesses devant la fenêtre grande ouverte .... A son tour il se met à sauter en se frictionnant son gros derrière tout zébré, quand Bettina, satisfaite de sa prestation, le relâche...  Il s'écroule finalement au sol en pleurant bruyamment.



– « Et voilà, ces messiers sont servis ! Deux belles fessées l'une après l'autre... ça fait du bien ! S'exclame-t-elle le martinet toujours en main, les lanières brûlantes pendant le long de sa cuisse. Elle contemple, avec gourmandise, les fessiers écarlates qui tressautent au rythme des sanglots et de la respiration saccadée des punis qui ont du mal à reprendre leur souffle.

une double fessée au martinet


« C’est bien agréable de corriger d'aussi solides paires de fesses !  Elles réagissent vraiment bien au martinet. On sent tout de suite qu'elles sont habituées à s'en prendre des sévères !
Clarisse se rengorge en gonflant sa volumineuse poitrine.
– « Pour y assister souvent, vous le savez chère amie, ces incorrigibles nous en donnent souvent l'occasion. Les fessées c'est pratiquement tous les jours. Ah pour ça... on les gâtent nos petits chéris, autant qu'ils le méritent !
  De vrais gamins, dit Edwige avec un soupire exaspéré, désobéissants, irresponsables... et multirécidivistes avec ça !
  Ils en prennent seulement conscience au moment de la fessée.  Et le lendemain ils ont déjà oublié, alors il faut recommencer... déculotter et fesser !
  C'est exactement l'exemple du PMU. On leur avait pourtant interdit de retourner jouer aux courses... C'est plus fort qu’eux... Le résultat, le voilà... Perte sèche, trois milles Euros !  
La mine sévère, Clarisse ajoute avec un petit sourire qui en dit long.
« D’ailleurs, vu la gravité de la récidive, leur punition n'est pas terminée... Et on ne s'en plaindra pas. N'est-ce pas Edwige ?
  Certainement pas... ma main s'ennuie déjà de leurs fesses ! »   



Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 6
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, c'est le chapitre 8.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

6 commentaires:

  1. Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.

    Des dessins à l'atmosphère très fellinienne pour illustrer une fessée en duo que les trois donneuses éprouvent manifestement beaucoup de plaisir à mettre en place avant de l'administrer effectivement. On prend délicieusement son temps pour le plus grand ravissement du lecteur et pour la plus grande mortification des deux maris punis contraints de commenter ce qui leur arrive.
    Amicalement.
    François

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  2. Bonjour Ramina, bonjour François,

    "Le plus grand cirque du monde" !!! Numéros cinglants à volonté !! Suspense garanti ! Ames sensibles s'abstenir !!!
    Entrez, Mesdames et Messieurs ! Mein Herrn und Damen ! Ladies and Gentleman ! Signore e Signora ! Spectacle époustouflant !
    Lady Edwige et son martinet magique ! Clarisse et sa main de fer !!!
    Eve prend sa revanche sur Adam...
    Amicalement. Peter.

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  3. François-Fabien, bonjour.

    Commentaire subtil et avisé.
    Flatteuse, mais judicieuse, comparaison avec les fortes femmes particulièrement plantureuses dont Fellini peuplait ses films. Croupes puissantes, poitrines opulentes. J'ai le souvenir ému, d'un formidable fessier féminin ondulant, montant un escalier dans, je crois, "Amarcord"... pas sûr de la citation filmique.
    La référence à l'image de ces femmes au physique avantageux apporte une touche de crédibilité à des illustrations relevant davantage du fantasmatique que du réel... Les fessées sont certainement plus impressionnantes administrées sur de volumineux postérieurs par des créatures bien en chaire. Encore une affaire de fantasmes...

    Esthétisme sophistiqué de la domination, la mise en scène du rituel de préparation des fessées constitue une épreuve mentalement humiliante pour ceux qui doivent s'y soumettre ensuite. C'est un jeu de conditionnement mortifiant, comme vous le dites, qui prélude à la douleur physique. N'est ce pas l'objectif d'une punition efficace?...
    Vous me voyez ravi de vous savoir dans le même état de ravissement (sourire) à la lecture de mes drôles d'histoires. Les vôtres n'en sont pas moins réjouissantes.
    Amicalement,
    Ramina

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  4. Bonsoir Peter,

    Belle envolée lyrique! Le sens de la fête qui fait plaisir!
    Monsieur Loyale et sa cavalerie, au rendez vous de la fessée joyeuse! Et tournez manège, une déculottée gratuite pour celui qui attrape le pompon. Derrières sensibles, s'abstenir. Gare au martinet magique... Clarisse et sa main de fer dans son gant de crin en sévice commandé sur les derrières récalcitrants...Demandez le programme!
    Eh oui, pour Eve, la vengeance est un plat qui se mange chaud... Cuit à point même!
    Amicalement
    Ramina

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  5. Bonjour Ramina,

    Rien à ajouter !!
    Amicalement. Peter.

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  6. Bravo Ramina pour vos récits si plaisants.
    Des fesseuses plantureuses qui fessent avec autantd'allégressse c'est une ode à la joie;

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