mercredi 27 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 23

Maeva descendait l’escalier. La dame l’avait gardée au coin le temps que le plus gros de ses pleurs se calme, puis elle l’avait renvoyée chez elle. Maeva sentait que ses yeux étaient encore gonflés par les larmes.
Elle ressassait dans sa tête la punition qu’elle venait de recevoir. Fara et Teva avaient raison. Elle serait dorénavant très attentive au langage qu’elle utilisait. Elle ne tenait à devoir, une nouvelle fois, se rendre chez une inconnue pour y recevoir une fessée. La leçon avait portée. Elle se faisait des promesses qu’elle jurait, intérieurement, de respecter.
C’est sans doute parce qu’elle était perdue dans ses pensées qu’elle n’entendit pas la personne qui, montant l’escalier, arrivait à sa rencontre. Qu’aurait-elle pu faire ? Monter l’escalier en espérant que cette personne n’aille pas tout en haut ? Oui peut-être.
Elle tomba nez à nez avec une Dame qui eut un hoquet de surprise en voyant les fesses qui apparaissaient sous la chemise de nuit. Maeva s’arrêta. Elle songea à fuir, mais où. Cette hésitation suffit à la Dame pour reprendre ses esprits.
« Mais, qu’est-ce que tu fais là ? »
Maeva voulut passer à côté d’elle en ignorant sa question, mais elle fut retenue pas le bras.
« Qui es-tu ? »
Sauf à se libérer de force, ce que Maeva n’était pas certaine de réussir à faire, sans compter les conséquences quand Teva ou Fara en auraient vent, il était préférable de donner les réponses que la Dame attendait.
« Je suis la sœur de Teva. J’habite là ! »
C’était rageant, la porte de l’appartement de sa sœur et la sécurité qu’elle représentait était à moins de dix marches de là. Il s’en était fallu de peu pour qu’elle ne rencontre personne.
« C’est là que tu vas ?
– Oui Madame.
– Et d’où viens-tu dans cette tenue… légère ?
– De chez la dame du dessus, là-bas.
– Tu te promènes souvent les fesses à l’air comme cela ?
– Non Madame, mais je… »
Que pouvait-elle dire pour expliquer sa présence dans cette tenue ?
« Attends une seconde. »
La Dame souleva l’arrière de la chemise de nuit, dévoilant les fesses qui étaient encore d’un rouge soutenu.
« C’est donc ça. Tu as reçu une fessée.
– Oui Madame, dit Maeva en baissant la tête.
– Chez la Dame du dessus ? »
Maeva hocha la tête. C’est une claque sur les fesses qui sanctionna cette désinvolture.
« Réponds-moi correctement !
– Oui Madame, chez la Dame du dessus, s’empressa de redire Maeva.
– Et ta sœur est au courant ?
– Oui Madame, c’est elle qui m’y a envoyée.
– Je comprends mieux ce que tu fais là. Rentre chez ta sœur ! Je ne voudrais pas te retarder. »
La deuxième claque sur les fesses recouvertes de la chemise de nuit était plutôt donnée pour l’encourager, de celles qu’on donne à un enfant pour l’inciter à aller de l’avant. La Dame attendit que Maeva sonnât à la porte chez sa sœur pour reprendre l’ascension de l’escalier.
« Je ne sais même pas qui c’est, se dit Maeva. »

Maeva attendait qu’on vienne lui ouvrir. Elle avait l’impression que cela faisait une éternité qu’elle attendait. Elle s’impatientait tout en surveillant l’escalier. La prochaine personne viendrait-elle du haut ou du bas ? Elle appuya de nouveau sur le bouton de la sonnette.
Pourquoi n’avait-elle pas pris ses clés ? Dans cette tenue, il est vrai que ce n’était pas facile. Maeva n’avait entendu aucun bruit quand elle avait appuyé sur le bouton de la sonnette. Et si elle était hors service ? Elle ne servait pas beaucoup et Maeva ne se rappelait pas si elle avait déjà retenti alors qu’elle était présente.
Sans sonnette, comment faire ? Elle ne tenait pas à aller demander de l’aide à la Dame du dessus, le souvenir de son cours passage chez elle était encore cuisant. Dans cette tenue, où aller ? Elle ne pouvait pas non plus attendre là toute la nuit. Combien de personnes passeront avant qu’elle ne puisse rentrer ?
Maeva tambourina à la porte. Une fois, deux fois, trois fois. Est-ce que quelqu’un, à l’intérieur, l’entendait ? Elle s’apprêtait à recommencer quand la porte s’ouvrit.
« Mais qu’est-ce que tu as à faire tout ce boucan ? »
C’était Teva.
« Tu ne pouvais pas attendre un peu ? Tu as le diable au corps, ce soir, mais je vais te calmer. »
Teva attrapa Maeva et elle la fourra sous son coude et releva la chemise de nuit.
« La fessée chez la voisine ne t’a pas suffi ? Pas de souci, il y a ce qu’il faut à la maison ! »
Quatre claques très fortes, bien détachées les unes des autres, puis Teva prit un rythme régulier, distribuant trois ou quatre claques sur une fesse, puis le même nombre de l’autre côté. Sur les fesses encore sensibles, cela se mit à cuire dès le début.
Maeva s’efforçait de rester silencieuse. Teva n’avait pas fermé la porte, c’était donc sur le palier, ou peu s’en fallait, qu’elle recevait cette fessée. Le bruit de la main sur ses fesses résonnait dans toute la cage d’escalier. Désormais, tout le monde saurait qu’elle recevait la fessée. Avec le bruit que cela faisait, nul ne pouvait plus l’ignorer. Maeva serrait les dents pour ne pas crier. Pourvu que Teva se contente d’une petite correction !
« Je couchais Moana qui a eu du mal à s’endormir. Si ton tintamarre l’a réveillée, tu vas entendre parler de moi ! »
La fessée continuant, Maeva n’y tint plus. Elle émit des couinements, qui devinrent des gémissements, puis des cris qui retentissaient dans l’escalier en écho du claquement de la main sur les fesses. Elle éclata enfin en sanglots. Une porte sur le palier s’ouvrit.
« Ah, je me demandais bien d’où venait tout ce tapage ! 
– Bonjour Hélène. Je suis désolée, mais il faut que cette petite peste apprenne à se tenir correctement. J’espère que cela ne te dérange pas trop ! »
La fessée qui s’était arrêtée permit à Maeva d’identifier la voix de la voisine qui habitait l’appartement contigu.
« Non, pas du tout ! Corriger les attitudes de notre petite Maeva passe en premier ! Je comprends bien que tu n’as pas vraiment le choix.
– Ce soir, elle ne nous laisse aucun répit.
– Continue, Teva, tu fais là une chose très utile ! »
La porte se referma et la fessée reprit pour quelques instants encore, puis Teva s’arrêta là.
« Va au coin ! »
Dès que la cuisson de son postérieur lui en laissa le loisir, Maeva se dit que, là au moins, ses fesses restaient dans le cercle familial. Ce n’était ni très confortable ni très gratifiant, mais c’était mieux que d’être aperçue et fessée par des personnes qu’elle ne connaissait pas.
Bien que cela lui pesât, elle savait que ce ne serait pas la dernière fois où elle sentirait des mains inconnues chauffant son postérieur. L’idée de confier la punition aux personnes au détriment desquels la bêtise avait été commise, ferait son chemin. La leçon reçue n’en était que plus lourde. Un pas était franchi, il n’y aurait pas de retour en arrière.

« Au lit, les filles ! Vous avez suffisamment contemplé votre coin pour ce soir. Il sera encore là pour vous accueillir demain ! »
Marguerite et Maeva se couchèrent sur le ventre. Teva rabattit la couverture avec précaution.
« Pas de pommade sur les fesses ce soir ! Une nuit avec les fesses cuisantes vous fera le plus grand bien ! »
Maeva et Marguerite sentaient toujours la réprobation de Teva et de Fara. Il serait difficile de s’endormir avec ce poids sur la conscience. La lumière éteinte, Teva vint s’asseoir près de Marguerite. Fara fit son apparition, sur la pointe des pieds et prit place à côté de Maeva. Leurs mains se glissèrent sous les draps, massant les épaules, jouant avec les mèches de cheveux des deux jeunes femmes. Puis elles descendirent dans le dos pour arriver progressivement sur les fesses. Elles relevèrent la chemise de nuit et caressèrent la peau qu’elles avaient si pertinemment punie.
Marguerite se rapprocha de Teva et elle se colla à sa cuisse. Maeva mit son pouce dans sa bouche et du petit doigt, elle caressait la cuisse de Fara.
« Chut ! On se tait, murmura Teva d’une voix ferme quand Marguerite émit un gémissement. C’est l’heure de dormir. »
Les deux jeunes femmes se détendirent, confiantes dans l’attention qui leur était portée par Teva et Fara. Moins de cinq minutes plus tard, tout le monde dormait.
Teva et Fara sortirent de la chambre, à pas de velours. Dès qu’ils eurent refermé la porte derrière eux, ils s’embrassèrent.
« Ces deux chipies nous donnent bien du mal et il faudra encore les punir dès demain sans doute, mais ce sont d’adorables petites filles, conclut Fara. »
Il savait qu’il exprimait leur opinion commune.
« Dire qu’elles ont toutes deux aux environs de trente ans ! Elles ont pourtant besoin de la fessée pour grandir, rajouta Teva. »
Puis après un petit moment de silence.
« C’est comme ça ! »

Marguerite se réveilla de bonne humeur. Cela changea dès qu’elle se mit sur le dos. Il restait une raideur de la peau de ses fesses qui lui rappela qu’elle était encore punie et qu’une fessée l’attendait dès son petit-déjeuner fini.
Maeva, encore dans un demi-sommeil, vint se blottir dans ses bras. Cela la réconforta un peu. Ses pensées dérivèrent vers ses parents adoptifs. Elle n’avait aucune chance de les faire changer d’avis. Elle ne savait pas encore par lequel des deux, mais elle était certaine d’être corrigée par l’un de ses parents, dans peu de temps. Elle avait pourtant envie de se réfugier dans leurs bras et d’y être consolée.
Elle avait beau chercher, mais elle n’avait pas envie de partir de chez eux. En pensant au lundi matin, elle avait un pincement au cœur. Il signifierait qu’elle ne serait plus sous leur regard bienveillant pendant cinq jours. Certes, cela faisait cinq jours sans fessée, encore que celles qu’elle recevait maintenant au travail, n’étaient pas à négliger, mais cela faisait surtout cinq jours loin de sa nouvelle famille.
Avec elle, elle était certaine d’avoir son dû. Des câlins et des bisous, ainsi que des personnes attentives à ses besoins, ses chagrins et ses réussites, mais également des fessées quand elle les méritait. Les uns et les unes n’allaient pas sans les autres.
« Allez, les filles, debout ! »
Teva venait d’entrer dans la chambre. Elle ouvrit les rideaux en grand. Marguerite se leva et elle intercepta Teva pour un rapide câlin dans ses bras. Elle aimait bien ce moment qui indiquait le début de la journée et les caresses de Teva qu’elle avait l’impression d’avoir volées.
« Debout Maeva, le petit-déjeuner est prêt ! »
Maeva avait du mal à se lever. C’était rituel chaque matin. En réponse à l’ordre de sa sœur, elle émit un long grognement, mais elle ne bougea pas.
« Faut-il que j’aille te lever, Miss grognon ? Si je dois faire le tour du lit, tu peux préparer tes fesses ! »
La promesse de la fessée n’était qu’à moitié sérieuse, mais le jeu qu’elles jouaient toutes les deux chaque matin, pouvait se transformer en une véritable punition si Maeva allait trop loin. Elle se leva en exagérant volontairement la difficulté qu’elle éprouvait. Puis, elle vint revendiquer sa part des bras de sa sœur. Marguerite lui fit de la place. Elles restèrent enlacées toutes les trois un petit moment, puis Teva y mit fin.
« Le petit-déjeuner, les filles ! »
Elle fit pivoter ses deux filles une par une vers la porte et d’une petite claque sur les fesses, elle leur donna le signal du départ. Elles adoraient toutes les trois ce court moment quand Teva venait les lever le week-end, alors qu’elles avaient toutes les trois le temps de se câliner.

Le petit déjeuner avalé et la petite toilette du matin expédié, Teva habilla Marguerite en premier.
« Va te mettre au coin et attends-moi. J’arrive dans quelques minutes pour te donner la fessée, dès que j’ai fini d’habiller Maeva. »
Marguerite n’eut pas le temps d’aller se placer au coin. L’habillage de Maeva commença mal.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Tu appelles ça un placard rangé ? »
Le bruit caractéristique d’une main fessant les rondeurs nues suivit aussitôt. Les cris de Maeva confirmèrent l’intuition de Marguerite. Ce n’est pas elle qui prendrait la première fessée de la journée, cependant, elle s’attendait à ce que la sienne soit mémorable. Elle se dépêcha de gagner le coin avant que Teva ait fini de fesser Maeva et ne la prenne en faute, ailleurs qu’au coin, là où elle devait être.
Elle n’eut pas longtemps à attendre. Maeva qui pleurait toujours, entra dans la pièce et se dirigea vers le coin. Elle était suivie par Teva, toujours en colère.
« Combien de fois t’ai-je dit que tes vêtements devaient être correctement pliés dans ton armoire. S’il te faut une nouvelle fessée pour le comprendre, je suis à ta disposition ! »
Maeva avait gagné sa place au coin. Elle étouffait ses pleurs le plus vite possible.
« Reste-là un moment à penser à cela. Je viendrai te chercher pour que tu ranges ton armoire ! »
Marguerite avait cru que c’était l’heure de sa fessée, mais Teva sortit de la pièce. Elle disposait d’un répit si on peut appeler comme cela un moment passé au coin qui durait.

« Maeva, va ranger ton armoire ! »
Maeva se retourna et elle se baissa pour remonter sa culotte. Elle arrêta son geste et regarda sa sœur d’un air interrogatif.
« Remonte ta culotte, bien sûr ! Ta punition est finie. Tu ne vas pas rester les fesses nues en pleine journée ! »
Maeva obéit et elle sortit du séjour sans demander son reste.
« A nous deux, Marguerite ! »
Le cœur de Marguerite fit un bon dans sa poitrine. C’était le moment tant redouté. Teva la prit par la main et elle l’emmena doucement vers le canapé. C’était fait en douceur. Personne, dans cette maison, ne doutait que si Teva avait décidé de donner une fessée à Marguerite, elle n’arrive à ses fins et surtout pas l’intéressée. Il n’y avait besoin d’aucune contrainte physique.
Cette fessée était méritée, elle était due, le plus tôt serait le mieux. Marguerite savait qu’elle allait passer un moment difficile. C’était le rôle de Teva de lui faire regretter ses désobéissances avec des fesses cuisantes et, l’expérience montrait qu’elle excellait dans ce domaine. Après la fessée, elle pourrait de nouveau jouir de la confiance de sa mère adoptive… jusqu’à ce soir.
Teva l’installa à plat-ventre en travers de ses genoux. Marguerite collaborait pendant que Teva la mettait en position disciplinaire. A quoi bon résister ? Elle savait comment cela finirait dans tous les cas. Bien qu’elle sentît monter une peur incontrôlée de ce qui l’attendait, Marguerite était résignée à son sort. Sa culotte fut descendue. C’était la dernière étape.
Teva ne ménagea pas ses efforts. Elle pouvait graduer les fessées qu’elle donnait à la main. Celle-ci devait être des plus sévères. Elle était attentive à ce que le geste de son bras soit parfait, arrivant avec une vitesse maximale qu’elle renforçait encore d’un petit geste du poignet. Sa main était ferme. Elle lui faisait épouser le plus étroitement possible la courbe des fesses, là où elle projetait d’appliquer sa main.
Les réactions de Marguerite la rassuraient. Certes, elle se doutait que sa fille adoptive ne cherchait pas à retenir ses cris et ses larmes. Il y en avait eu dès les quatre ou cinq premières claques. Mais il ne s’agissait pas, non plus d’une simulation ou d’une exagération. Teva le sentait. Les mouvements involontaires qu’elle faisait à chaque fois que la main claquait, ne trompaient pas.
A peine deux minutes après le début de la fessée et Marguerite était au-delà de la rupture. Elle ne contrôlait plus ses mouvements, mais elle ne s’en rendait pas compte. Seule l’autorité de sa mère adoptive lui imposait de rester en place. Le bras qui pesait sur son dos l’y aidait bien. Il empêchait Marguerite de succomber à ses réactions premières qui lui commandaient de fuir cet endroit où la douleur ne cessait d’augmenter. Elle n’arrivait pas à respirer normalement. Elle suffoquait, elle toussait, puis aspirait une grande goulée d’air qu’elle rejetait, aussitôt avalée, au cri qui suivait.
Quand la fessée s’arrêta, Marguerite ne s’en aperçut pas tout de suite. Au contraire, il y eut un pic de douleur qui emporta les fesses de la jeune femme avant de redescendre doucement. Ses cris continuèrent encore un peu. Il fallait du temps pour se remettre d’une telle correction.
Marguerite restait là où elle était. Teva ne lui avait pas ordonné de se lever et elle ne voyait pas où elle pourrait se sentir mieux que sur les genoux de sa mère adoptive, fusse à plat-ventre et la culotte baissée. A ce moment-là, ces détails n’avaient pas d’importance.
Teva inspecta les fesses qu’elle avait sous les yeux. Il fallait faire attention. L’accumulation de fessées pouvait, s’y on n’y prenait pas garde, provoquer des lésions qui mettraient longtemps à se soigner. L’examen approfondi n’indiquait rien d’inquiétant. Les fesses étaient chaudes et rouges, mais il n’y avait pas de nodosités sous la peau. Le toucher ne révéla que de la peau lisse sous les doigts. Ce n’étaient pas les petits cris de douleur et les gémissements que poussait Marguerite quand Teva touchait un peu vivement la peau, qui pouvaient l’inquiéter.
« Soyons prudente ! Il faudrait passer un peu de pommade sans trop tarder. Je ferai cela quand elle sortira du coin. »
« Bon, il est temps de la remettre au coin. »
Marguerite réagit à la première sollicitation de Teva. Le temps était à l’obéissance. Elle sanglotait encore un peu.
« Rien que de normal, se dit Teva. Il va lui falloir un peu de temps avant de contrôler ses pleurs. Je vais peut-être devoir élever un peu la voix pour qu’elle fasse silence ! »
Les règles de comportement au coin ne se discutaient pas. C’était une chose très stable dans cet appartement, qui ne souffrait pas d’exception. Marguerite le savait. Elle se positionna comme Teva l’attendait. Cela faisait maintenant partie des réflexes quand elle devait s’y installer. Il n’y avait pas besoin de la rappeler à l’ordre.
« Je rêve, je rêve, mais j’ai du travail qui m’attend. Ça mériterait une fessée ! »
Cette pensée la fit sourire.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose


Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 22
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, c'est le chapitre 24.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

8 commentaires:

  1. Amis de la poésie et des feux de la rampe (d'escalier) aux fesses bonjour!
    Bonjour JLG.
    Et bien, il s'en passe de belles dans cet immeuble aux appartements communicants. On y fesse autant dans l'escalier,qu'à l"intérieur. Et ça commence par une situation vaudevillesque pour Maéva. Comme les messieurs surpris et réfugiés tout nus sur le palier de leur maîtresse, elle se retrouve devant sa porte fermée, en chemise de nuit, les fesses à l'air, encore rouges de sa récente fessée. Du coup elle s'en prend une autre pour tapage diurne!
    Drôle de rencontre dans cet escalier. Une inconnue ne lui offre pas des fleurs, mais des claques sur le derrière pour avoir répondu à côté des questions qu'elle lui posait. Certain que celle là va réapparaître dans l'histoire à un moment ou un autre.
    Maeva n'est pas sortie de l'asperge, comme c'est la fête à ses fesses elle s'en prend encore une autre dès le lendemain matin... Affaires mal rangées c'est la fessée.
    Une respiration, un répit... que nenni non point... ça tombe comme les giboulées de mars, Marguerite se fait effeuiller le postérieur par Téva, sa mère adoptive, qui lui fait en même temps adopter sa cuisante méthode d'éducation... Fesses rouges garanties!
    Les situations se multiplient, on ne sait plus où donner de la fessée!
    JLG tient parole, et la rampe, l'imagination est au pouvoir!
    Amicalement
    Ramina

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    1. Ramina,
      Le roi du commentaire promotionnel. J'espère que les prochains épisodes vous donneront l'occasion d'exercer encore vos talents sur mes écrits. Ce sont, à chaque fois, des petits bijoux.
      Continuez, j'adore.
      Au plaisir de vus lire,
      JLG.

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  2. Cher JLG,
    Grand merci... Je vais donc persister et signer. J'y prend aussi beaucoup de plaisir.
    Amicalement
    Ramina

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  3. Bonjour cher JLG, je sais que vous avez cessez les publications de nouveaux récits sur votre joli blog, mais contrairement à certains d'autres récits aussi bien écrits, je tenais à souligner une injustice. Certes dans les récits, les comportements sont sanctionnés.

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  4. Je trouve cependant certaines des histoires inhumaines. Je comprends qu'une éducation stricte soit nécessaire pour devenir une personne respectueuse et respectable encore faut-il qu'il y ai de l'amour dans cette éducation. Or j'ai l'impression désagréable que il y ai du sadisme dans plusieurs.

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  5. En effet, cette impression que l'entourage ainsi que les voisins prennent le moindre prétexte pour punir me semble à la limite de la perversion. Respirer un peu plus fort que d'habitude où éternuer mérite une fessée? Cette habitude de surveillance constante est parfois similaire à la Gestapo.

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  6. Les voisins, le village entier n'hésite pas à dénoncer le moindre fait et geste, ont-ils conscience qu'un être parfait et sage 24/24 n'existe pas? Madame Tolbois faisait preuve d'humain, elle corrigeait mais ne rabaissait pas ses enfants. Est ce le seul récit qui correspond à ces critères ? Où peut-être est-ce moi qui vit dans un monde de Bisounours et mériterai une fessée pour revenir à la réalité ?
    Bonne continuation cher Monsieur.

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  7. Si vous souhaitez me répondre par mail, voici mon adresse. julianna.gautier@wanadoo.fr

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