Un mouvement FEMEN est à la tête de ces contestations. Trois jeunes étudiantes ukrainiennes, comme la responsable du mouvement mondial, Inna S., se liguent contre ces pratiques. Sachant que si elles protestent dans l’enceinte de l’établissement, elles s’exposeront à des représailles, Volodyma, Kalyna et Luba, âgées de dix-huit ans et étudiantes en BTS commerce international, préfèrent faire des défilés de contestation, seins nus, le corps portant des inscriptions « Non aux corrections à Ste CROIX ». Pour amplifier le symbole, à la peinture, elles se peignent le corps de traces rouges qui sont censés représentés les marques laissées par le martinet sur les corps des étudiants.
Les trois
jeunes étudiantes défilent et prennent à parti les gens pour qu’ils aient
conscience de ces faits et adhérent à leurs idées. Si un grand nombre de
personnes sont sensibles au bien-être des étudiants, leur mouvement aura plus
de poids pour faire cesser ces corrections.
Le
mouvement des jeunes militantes choque les passants qui ne comprennent pas le
fond du problème, car ils ont toujours entendu dire que Ste CROIX était
respectable et que les étudiants y réussissent là mieux qu’ailleurs. Volodyma,
leader du mouvement local, est plus vindicative que ses deux amies et n’hésite
pas à arranger la foule pour forcer le ralliement des gens à sa cause. Nous
vivons dans une ville paisible et ce genre de mouvement ne se voit que sur
Paris ou dans les grandes villes de France ou d’Europe, là où le mouvement aura
des chances d’être médiatisé.
Les ultra
féministes Volodyma, Kalyna et Luba font plusieurs piquets pour dénoncer ce
qu’il se passe à Ste CROIX. A plusieurs reprises, les trois jeunes femmes sont
chassées soit par les riverains soit par la gendarmerie. Dans la mesure où ces
mouvements sont pacifistes, la gendarmerie enregistre les incidents mais ne les
poursuit pas, bien que l’atteinte à la pudeur serait applicable dans le cas
présent, mais par volonté de ne pas apporter à ce mouvement plus d’intérêt
qu’il n’en mérite, les gendarmes ne font que des rappels à la loi et relâchent
les trois jeunes activistes après quelques heures passées en cellule. Les
parents des jeunes femmes sont avertis du comportement de leurs filles et sont
priés de mettre bon ordre dans leurs actes. Les gendarmes se rendent aussi
compte que les parents des trois jeunes femmes sont un peu dépassés par le
comportement et les convictions politiques de leurs filles.
Les
gendarmes avertissent Fanny C., la proviseure que trois jeunes femmes de Ste
CROIX protestent contre des mauvais traitements faits sur des étudiants, ce à
quoi la proviseure répond qu’il arrive parfois de fesser les mauvais élèves,
mais sans plus et cela est porté à la connaissance de tout le monde dès
l’admission à l’établissement. Ce n’est pas un secret que la discipline est une
règle d’or dans l’établissement. Tout élève qui refuse le règlement intérieur
est libre de partir s’il le souhaite. Cependant, rare le font, car tous savent
que dès lors qu’ils sont admis dans l’établissement, les meilleures chances
d’obtenir leurs diplômes est presque acquis. Même les activistes Volodyma,
Kalyna et Luba sont convaincues de rester dans l’établissement, d’ailleurs
aucune demande de transfert n’a été formulée les concernant.
Dans leur
temps libres, Volodyma, Kalyna et Luba tentent de recruter dans les rangs des
étudiantes de l’établissement Ste CROIX, afin d’étendre leur mouvement
naissant. Même si les revendications sont légitimes, les moyens ne sont pas
acceptés et puis défiler, seins nus dans les rues de la ville est tout à fait gênant
et les jeunes femmes de Ste CROIX se refusent à le faire. Par contre, durant
les meetings dans l’enceinte de l’école des trois jeunes femmes, les discours
engagés sont écoutés et soutenus.
Les
enseignants ne sont pas dupes et craignent pour la réputation de
l’établissement. Volodyma, Kalyna et Luba sont convoquées dans le bureau de la
proviseure et celle-ci leur met les points sur les i, en leur disant que toute
manifestation est prohibée au sein de l’école, que ça leur plaise ou non. S’il
s’avérait que ces tentatives de rébellion envers l’autorité et la discipline
venaient à perdurer, il y aurait des conséquences, Fabienne D. est très claire
à ce sujet. Volodyma, Kalyna et Luba, très
déterminées ne s’en laissent pas conter et continuent à militer contre les
punitions corporelles envers les femmes. Pour illustrer ses propos, Fabienne D. leur montre les martinets à longues lanières de cuir utilisées pour les
corrections. Elles doivent se méfier, car elles pourraient bien y goûter et ce jour-là, elles regretteront amèrement de ne pas avoir suivi
ses conseils. Assez fières, Volodyma, Kalyna et Luba partent du bureau de la
proviseure sans montrer la moindre émotion. Elles sont sûres de leurs
convictions et se refusent à baisser leur garde devant cette proviseure.
A force
de répéter les avertissements et lettres aux parents des trois jeunes femmes, Fabienne
D. se lassent et décide de leur donner une bonne leçon. Elle les fait passer en
conseil de discipline pour trouble à la bonne marche de l’établissement. Le
conseil de discipline devra statuer sur les ouï-dire et les présomptions de
propagande de déstabilisation au sein de l’école, ce qui est strictement
interdit.
En
recevant la convocation de leurs filles au conseil de discipline, leurs parents
leur font juste quelques reproches de principe, mais par ailleurs, ils sont
contents que leurs enfants soient engagées dans des actions qui visent à
assouplir la discipline au sein de l’école, même si elles doivent être punies
pour ça. En Ukraine, du temps où leurs parents y étaient, ceux-ci auraient bien
aimé avoir des activistes pour les soutenir contre le régime en place.
En milieu
de semaine, après les cours, Volodyma, Kalyna et Luba se présentent au conseil,
accompagnées de Léa, la déléguée de classe. Les trois filles sont assez
confiantes, car aucune charge assez solide ne peut être retenue contre elles,
car les discutions entre copines ne sont pas interdites, même si celles-ci sont
à connotations politiques.
Le
conseil doit impérativement s’appuyer sur des faits établis pour statuer,
sinon, la décision ne pourra pas être valide. De ce fait, les points de vues
divergent en séance, car les uns ne voient pas la faute, les autres, au
contraire, voient une tentative d’embrigadement des étudiantes dans du
fanatisme et la bonne marche de l’établissement reposent sur la discipline et
la concentration des étudiants dans leur travail et non pas à aller militer et
manifester pour telle ou telle réforme du règlement intérieur ou sur d’autres
sujets à l’extérieur de l’école.
Le vote
final est très serré et c’est à une voix près que la décision de punir les
trois jeunes femmes est votée. C’est une grande victoire pour Fabienne D., car
elle va pouvoir punir ces trois étudiantes et étouffer dans l’œuf toute autre tentative
de rébellion et ceci sera un bon exemple pour les autres. Fabienne D. condamne
les trois élèves à recevoir cinquante coup de martinet sur les fesses nues. Par
contre la punition ne pourra pas être donnée en public, car pour cela, il
aurait fallu que deux tiers des votes soient favorables à une sanction, ce qui
n’a pas été le cas. Les fessées auront donc lieu le Vendredi en soirée, après
le départ des élèves. Les trois punies seront fessées, nues, devant les
professeurs et Léa, si elle le souhaite. Léa donne immédiatement son accord
pour assister à cet excitant spectacle, en prétextant qu’en tant que déléguée
de classe, elle se doit de soutenir moralement ses camarades.
Dignes, Volodyma,
Kalyna et Luba, sortent du conseil de discipline, en ne laissant rien paraître de leurs sentiments. Elles donnent l’impression que rien ne les éprouve, bien
qu’elles soient déçues de n’avoir pas eu gain de cause. Fabienne D. dit aux
autres professeurs, qu’après leur fessée, elles feront moins les fières. Elle
veut les mater et les soumettre une bonne fois pour toute. Fabienne D. n’a
qu’un regret, c’est que les punitions ne puissent pas avoir lieu en public,
pour faire comprendre aux autres étudiants ce qu’il coute de défier la
direction. Evidemment, les parents des trois étudiantes sont mis au courant de
la décision du conseil. Déçus, eux-aussi, ils tentent de minimiser ce que leurs
filles vont subir et ils les encouragent à continuer de croire en leur foi,
mais ils conseillent à leurs filles d’utiliser d’autres moyens, qui ne soient
pas répréhensibles.
Le
Vendredi soir, après les cours, Volodyma, Kalyna et Luba sont appelées par la
proviseure. Accompagnées par Léa, les trois jeunes femmes entrent dans le
bureau, en silence. L’imminence de la punition fait que les trois étudiantes
sont tête basse, mais toujours sans manifester de regrets ou de tentative de
rachat. Fabienne D. leur ordonne de se mettre nue pour être corrigées. Dans
cette tenue devant les professeurs, leur défiance risque de s’écrouler et c’est
l’effet recherché par la proviseure.
Lorsqu’elles
sont dénudées, Fabienne D. et Léa les accompagnent à l’infirmerie où les attend
Laetitia F., l’infirmière de l’établissement, pour une visite de routine. Les
rituels examen sont faits rapidement, pouls, tension et examen des zones qui
seront cinglées ne révèlent pas de contre-indications pour leur correction,
puis en compagnie de l’infirmière qui supervisera la punition, ils arrivent dans
le hall de l’établissement où se trouvent déjà réunis les autres professeurs,
réjouis d’assister à cette excitante exhibition. Morgane L. et Sandrine S.,
deux professeures de SVT et informatiques sont chargées par la proviseure d’appliquer
les corrections.
Fabienne
D. prend la parole et rappelle le contexte pour lequel Volodyma, Kalyna et Luba
vont être punies, puis elle ajoute qu’elles devront faire profil bas pour ne
pas être punies de nouveau, car elle n’hésitera pas à réunir le conseil de
discipline au prochain écart de conduite, même mineur et autant de fois qu’il
le faudra. La proviseure ordonne aux trois jeunes femmes de prendre place et de
se pencher en avant, cuisses écartées pour être fessées. Résignées, Volodyma,
Kalyna et Luba ne bronchent pas et se mettent en position.
Les
commentaires dans l’assistance vont bon train, à chacun sa remarque concernant
leurs attitudes ou pour les hommes, concernant leur nudité. Morgane L. et Sandrine S. prennent les longs martinets et prennent
place de part et d’autre des punies, elles les fesseront une fois l’une, une
fois l’autre, à tour de rôle. Fabienne D. leur demande de les faire crier, de
façon à ce que la correction leur soit profitable et qu’elles la retiennent.
Lorsque
les premières cinglées claquent dans le hall, celles-ci sont amplifiées comme
dans une caisse de résonance et de ce fait, paraissent plus terribles qu’elles
ne sont en réalité. Les punies subissent courageusement leur flagellation, en
serrant les dents pour ne pas montrer au public qu’elles en bavent. Elles
souhaitent protéger leurs convictions et montrer que tout autre chose ne les
atteint pas. Hormis des tressaillements ou des gémissements vite ravalés, les
trois jeunes femmes font étalage de tout leur courage. Morgane L. et Sandrine
S. ne ménagent pas leur effort pour les faire crier, mais en vain. Il faut que Morgane
L. et Sandrine S. leur cinglent le dos et l’intérieur des cuisses pour entendre
des plaintes qui se transforment en cris, puis en hurlements, car en recevant
des cinglées sur les zones déjà rougies ou lorsque les lanières cinglent des
parties sensibles de leur corps, la douleur est décuplée et les jeunes femmes
ne tiennent plus et se lâchent. Moites de sueur, par la douleur de l’épreuve
subie, les trois femmes finissent par plier les genoux et terminent à quatre
pattes. Cinquante belles zébrures bien rouges et boursouflées se dessinent sur
le corps des trois étudiantes rendues dociles, de quoi les faire réfléchir à
l’avenir. Les yeux pleins de larmes et grimaçantes de souffrance, les trois
jeunes femmes reprennent leurs esprits. Morgane L. et Sandrine S. aident les
trois jeunes femmes à se relever et la confient à l’infirmière qui, après un
rapide examen, déclare qu’il n’y a rien de grave, elles passeront juste
quelques jours pénibles lorsqu’elles devront s’asseoir, mais elles sont aptes à
rejoindre leur domicile.
Quelques
professeurs dont François F. et Alain L. viennent les voir et se rincent l’œil,
puis leur reprochent leur piètre tentative de rébellion au sein de l’école et leur
recrutement d’étudiantes pour les rallier à leur cause ne sera pas. Fabienne D.
leur dit que la prochaine fois il y aura plus de cinglées et le devant de leur
corps pourrait aussi être la cible des lanières. Cet avertissement est censé
convaincre les trois jeunes étudiantes de ne pas continuer sur leur lancée.
Volodyma,
Kalyna et Luba sont ramenées au bureau de la proviseure pour récupérer leurs
vêtements. Les trois jeunes femmes marchent doucement et les cuisses écartées,
les ridiculisant, car chaque mouvement réveille la douleur lancinante des
cinglées reçues. Laetitia F. leur étale une crème, sensée atténuer les
brûlures, mais qui mettra un certain temps à le faire. Laetitia F. examine le
vagin des trois filles, écartant les grandes lèvres et elle constate qu’elles
ont sacrément mouillé durant leur fessée. Pour les vexer davantage, Fabienne D.
leur dit que si les fessées leur fait plaisir, elle se fera une joie de les
corriger plus souvent et leur annonce qu’un mail a été envoyé à leur parents et
que la punition corporelle est portée sur leur bulletin scolaire. Dans la
mesure où elles se sont fait remarquer à l’extérieur de l’école, la gendarmerie
est également informée de la sanction. Si elles se font arrêter de nouveau, il
n’y aura surement plus qu’un simple rappel à la loi, mais elles pourraient
passer en jugement immédiat et être sous le coup d’une peine de prison pour
outrage et exhibition ou si le juge est clément, d’une autre punition corporelle
dans les locaux du tribunal.
Lorsqu’elles
sont revêtues, sans sous-vêtements, la proviseure leur dit qu’elles font peine
à voir et que leur mine défiante d’avant punition a fait place à une mine
défaite. Portant des jupes, les trois filles ne pourront pas cacher les marques
rouges reçues sur les cuisses et de ce fait, leur fierté devrait en prendre un
sacré coup lorsqu’elles seront en ville, car tout le monde pourra se rendre
compte de ce qu’elles viennent de prendre et les passants se douteront que leurs
cuisses n’ont pas été les seules à recevoir le martinet.
A peine
sorties de l’école, l’effet est immédiat, car les rires et les remarques fusent
lorsque les jeunes femmes déambulent dans les rues de la ville pour rentrer
chez elles. Bien qu’elles n’en laissent rien paraître, elles sont profondément
humiliées d’être la risée des passants. La punition aura porté ses fruits, car
depuis cette magistrale correction, Volodyma, Kalyna et Luba mettent un bémol à
leurs revendications et protestations, du moins sous la bannière des FEMEN.
Elles sont toujours assez engagées mais leur combat revêt un tout autre aspect.
Elles s’engagent dans une association d’aides aux femmes démunies et leur
procurent conseil et collecte de dons en tout genre.
Malgré
des relances de la part d’Inna S., Volodyma, Kalyna et Luba se détournent
d’elle, car il y a des fessées et des humiliations qui ne s’oublient pas et ne
peuvent qu’assister, impuissantes, aux arrestations d’autres FEMEN, dont
certaines se voient condamnées à des fessées dans les tribunaux, afin de les
contraindre de cesser d’être seins nus et message de propagande peint sur le
corps.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 18Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités
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Bonjour Héléna.
RépondreSupprimerCurieux sujet, que je trouve personnellement assez ambigu, qui associe fiction et réalité dans un contexte de "remise au pas" d'un mouvement féministe!
Certes les méthodes de manifestation des Femen sont radicales et provocatrices mais le mouvement, au demeurant non violent, milite pour les droits de la femme, la démocratie et, à l'origine, pour dénoncer la corruption des politiques en Ukraine... ça méritait peut être une autre traitement... N'est il pas ?
Maintenant la fessée au martinet, même sévère, est sans doute moins brutale que les agressions et violence physiques que ces jeunes femmes subissent régulièrement, notamment par des mouvements d'extrême droite.
C'était peut être là le sens du récit ?
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerLe fond du problème est, selon moi, le militantisme au sein de l'école, ça n'a rien a y faire. Je ne veux pas m'engager sur des pistes idéologiques, qui ne regarderont que les lecteurs, mais dans cette fiction, Ste CROIX se veut exemplaire sur toute la ligne. Faire en sorte que les étudiants qui en sorte soient prêt à la vie active et ne favorisent pas les protestations comme on en voit beaucoup. La réputation de l'école ne peut être tâchée d'étudiantes rebelles.
Les récupérations politiques des étudiants me sont insupportables. Le lycée n'est pas un lieu qui favorise l'entrée en politique ou syndicat.
Les FEMEN sont non violentes, il est clair, cela dit, l'outrage à la pudeur est un délit, si je ne m'abuse.
Leur fessée est sensée étouffée dans l'oeuf leur attitude dans et en dehors de l'école et leur tentative de recrutement d'autres filles dans l'établissement.
Voilà le sens de cette fiction.
Merci d'avoir soulevé le débat, afin de rendre plus clair ce qui ne l'était pas.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Héléna,
RépondreSupprimerVous avez le mérite d'exposer clairement votre point de vue, que je respecte, sans en partager l'intégralité.
Savoir protester n'est pas forcément inutile face à des systèmes, politiques ou économiques oppressants, trop inégalitaires ou enclins à l'abus de pouvoir. Une réflexion sur ces sujets de société n'est pas scandaleuse dans un milieu universitaire et contribue à alimenter les capacité d'analyse et de jugement de futur individus responsables. Ce qu'on appelle l'éveil d'une conscience collective, (non pas collectiviste) ou de l'intérêt commun, plus constructive que la conscience individuelle lorsque l'on reste enfermé dans une bulle imperméable aux mouvements du monde... Même pour la réputation(?)d'un établissement scolaire qui en devient alors élitiste. (sourire)
Ceci dit, de bonnes fessées... déculottées bien sûr, doivent pouvoir inciter à l'élévation de l'esprit, et la formation de l'individu par un fondement bien cuisant! (rire)!
Le consensus étant, avant tout établi, sur ce passionnant sujet de la fessée, générateur d'intérêt commun, le reste devient secondaire sur ce blog.
C'était tout de même l'occasion d'une échange intéressant. Je salue votre franchise et l'intégrité de vos convictions. Les miennes ne le sont pas moins.
Amicalement
Ramina
Bonjour Élena, Ramina et bonjour à tous.
RépondreSupprimerUn mouvement de protestation contre la fessée puni par des fessées, ça ne manque évidemment pas de sel. Si l'on s'en tient à l'aspect fiction proprement dit - et vous savez très judicieusement varier les situations en sorte que le lecteur ne se lasse pas - j'avoue éprouver une certaine "tendresse" pour un certain nombre de personnages en apparence secondaires. Je pense notamment à Léa, la déléguée de classe, qui, sous couvert de remplir ses fonctions, de porter aide et assistance à ses camarades, en profite allègrement. Ou à l'infirmière qui, elle aussi, profite de la position qu'elle occupe pour laisser courir ses mains, avec délectation, partout où elle en a envie.
Quoi qu'il en soit, vous lire est toujours un régal.
Amicalement.
François
Bonjour et merci François pour votre point de vue. Je tente de varier les situations et les scénarios.
RépondreSupprimerMes personnages sont assez variés, même les second rôles, qui n'en manquent pas une miette et ne donnerait pas leur place au spectacle. Léa et l'infirmière sont de celles-là, en effet et on que donnerait-on pour être à leur place...
Amitiés.
Elena.