lundi 4 novembre 2019

Les rebelles - chapitre 19

Depuis quelques semaines, des mouvements de protestation ont lieu pour demander l’arrêt pur et simple des châtiments corporelles dans l’établissement Ste CROIX car ces pratiques sont d’un autre âge et c’est inadmissible que des étudiants, même majeur, soient fessés dont certains, en public, pour les soi-disant grosses fautes et ce n’est pas parce que les étudiants sont fouettés que les résultats seront meilleurs, même si l’établissement jouit des meilleures réussites aux examens.
Un mouvement FEMEN est à la tête de ces contestations. Trois jeunes étudiantes ukrainiennes, comme la responsable du mouvement mondial, Inna S., se liguent contre ces pratiques. Sachant que si elles protestent dans l’enceinte de l’établissement, elles s’exposeront à des représailles, Volodyma, Kalyna et Luba, âgées de dix-huit ans et étudiantes en BTS commerce international, préfèrent faire des défilés de contestation, seins nus, le corps portant des inscriptions « Non aux corrections à Ste CROIX ». Pour amplifier le symbole, à la peinture, elles se peignent le corps de traces rouges qui sont censés représentés les marques laissées par le martinet sur les corps des étudiants.
Les trois jeunes étudiantes défilent et prennent à parti les gens pour qu’ils aient conscience de ces faits et adhérent à leurs idées. Si un grand nombre de personnes sont sensibles au bien-être des étudiants, leur mouvement aura plus de poids pour faire cesser ces corrections.
Le mouvement des jeunes militantes choque les passants qui ne comprennent pas le fond du problème, car ils ont toujours entendu dire que Ste CROIX était respectable et que les étudiants y réussissent là mieux qu’ailleurs. Volodyma, leader du mouvement local, est plus vindicative que ses deux amies et n’hésite pas à arranger la foule pour forcer le ralliement des gens à sa cause. Nous vivons dans une ville paisible et ce genre de mouvement ne se voit que sur Paris ou dans les grandes villes de France ou d’Europe, là où le mouvement aura des chances d’être médiatisé.
Les ultra féministes Volodyma, Kalyna et Luba font plusieurs piquets pour dénoncer ce qu’il se passe à Ste CROIX. A plusieurs reprises, les trois jeunes femmes sont chassées soit par les riverains soit par la gendarmerie. Dans la mesure où ces mouvements sont pacifistes, la gendarmerie enregistre les incidents mais ne les poursuit pas, bien que l’atteinte à la pudeur serait applicable dans le cas présent, mais par volonté de ne pas apporter à ce mouvement plus d’intérêt qu’il n’en mérite, les gendarmes ne font que des rappels à la loi et relâchent les trois jeunes activistes après quelques heures passées en cellule. Les parents des jeunes femmes sont avertis du comportement de leurs filles et sont priés de mettre bon ordre dans leurs actes. Les gendarmes se rendent aussi compte que les parents des trois jeunes femmes sont un peu dépassés par le comportement et les convictions politiques de leurs filles.
Les gendarmes avertissent Fanny C., la proviseure que trois jeunes femmes de Ste CROIX protestent contre des mauvais traitements faits sur des étudiants, ce à quoi la proviseure répond qu’il arrive parfois de fesser les mauvais élèves, mais sans plus et cela est porté à la connaissance de tout le monde dès l’admission à l’établissement. Ce n’est pas un secret que la discipline est une règle d’or dans l’établissement. Tout élève qui refuse le règlement intérieur est libre de partir s’il le souhaite. Cependant, rare le font, car tous savent que dès lors qu’ils sont admis dans l’établissement, les meilleures chances d’obtenir leurs diplômes est presque acquis. Même les activistes Volodyma, Kalyna et Luba sont convaincues de rester dans l’établissement, d’ailleurs aucune demande de transfert n’a été formulée les concernant.
Dans leur temps libres, Volodyma, Kalyna et Luba tentent de recruter dans les rangs des étudiantes de l’établissement Ste CROIX, afin d’étendre leur mouvement naissant. Même si les revendications sont légitimes, les moyens ne sont pas acceptés et puis défiler, seins nus dans les rues de la ville est tout à fait gênant et les jeunes femmes de Ste CROIX se refusent à le faire. Par contre, durant les meetings dans l’enceinte de l’école des trois jeunes femmes, les discours engagés sont écoutés et soutenus.
Les enseignants ne sont pas dupes et craignent pour la réputation de l’établissement. Volodyma, Kalyna et Luba sont convoquées dans le bureau de la proviseure et celle-ci leur met les points sur les i, en leur disant que toute manifestation est prohibée au sein de l’école, que ça leur plaise ou non. S’il s’avérait que ces tentatives de rébellion envers l’autorité et la discipline venaient à perdurer, il y aurait des conséquences, Fabienne D. est très claire à ce sujet. Volodyma, Kalyna et Luba, très déterminées ne s’en laissent pas conter et continuent à militer contre les punitions corporelles envers les femmes. Pour illustrer ses propos, Fabienne D. leur montre les martinets à longues lanières de cuir utilisées pour les corrections. Elles doivent se méfier, car elles pourraient bien y goûter et ce jour-là, elles regretteront amèrement de ne pas avoir suivi ses conseils. Assez fières, Volodyma, Kalyna et Luba partent du bureau de la proviseure sans montrer la moindre émotion. Elles sont sûres de leurs convictions et se refusent à baisser leur garde devant cette proviseure.

A force de répéter les avertissements et lettres aux parents des trois jeunes femmes, Fabienne D. se lassent et décide de leur donner une bonne leçon. Elle les fait passer en conseil de discipline pour trouble à la bonne marche de l’établissement. Le conseil de discipline devra statuer sur les ouï-dire et les présomptions de propagande de déstabilisation au sein de l’école, ce qui est strictement interdit.
En recevant la convocation de leurs filles au conseil de discipline, leurs parents leur font juste quelques reproches de principe, mais par ailleurs, ils sont contents que leurs enfants soient engagées dans des actions qui visent à assouplir la discipline au sein de l’école, même si elles doivent être punies pour ça. En Ukraine, du temps où leurs parents y étaient, ceux-ci auraient bien aimé avoir des activistes pour les soutenir contre le régime en place.
En milieu de semaine, après les cours, Volodyma, Kalyna et Luba se présentent au conseil, accompagnées de Léa, la déléguée de classe. Les trois filles sont assez confiantes, car aucune charge assez solide ne peut être retenue contre elles, car les discutions entre copines ne sont pas interdites, même si celles-ci sont à connotations politiques.
Le conseil doit impérativement s’appuyer sur des faits établis pour statuer, sinon, la décision ne pourra pas être valide. De ce fait, les points de vues divergent en séance, car les uns ne voient pas la faute, les autres, au contraire, voient une tentative d’embrigadement des étudiantes dans du fanatisme et la bonne marche de l’établissement reposent sur la discipline et la concentration des étudiants dans leur travail et non pas à aller militer et manifester pour telle ou telle réforme du règlement intérieur ou sur d’autres sujets à l’extérieur de l’école.
Le vote final est très serré et c’est à une voix près que la décision de punir les trois jeunes femmes est votée. C’est une grande victoire pour Fabienne D., car elle va pouvoir punir ces trois étudiantes et étouffer dans l’œuf toute autre tentative de rébellion et ceci sera un bon exemple pour les autres. Fabienne D. condamne les trois élèves à recevoir cinquante coup de martinet sur les fesses nues. Par contre la punition ne pourra pas être donnée en public, car pour cela, il aurait fallu que deux tiers des votes soient favorables à une sanction, ce qui n’a pas été le cas. Les fessées auront donc lieu le Vendredi en soirée, après le départ des élèves. Les trois punies seront fessées, nues, devant les professeurs et Léa, si elle le souhaite. Léa donne immédiatement son accord pour assister à cet excitant spectacle, en prétextant qu’en tant que déléguée de classe, elle se doit de soutenir moralement ses camarades.

Dignes, Volodyma, Kalyna et Luba, sortent du conseil de discipline, en ne laissant rien paraître de leurs sentiments. Elles donnent l’impression que rien ne les éprouve, bien qu’elles soient déçues de n’avoir pas eu gain de cause. Fabienne D. dit aux autres professeurs, qu’après leur fessée, elles feront moins les fières. Elle veut les mater et les soumettre une bonne fois pour toute. Fabienne D. n’a qu’un regret, c’est que les punitions ne puissent pas avoir lieu en public, pour faire comprendre aux autres étudiants ce qu’il coute de défier la direction. Evidemment, les parents des trois étudiantes sont mis au courant de la décision du conseil. Déçus, eux-aussi, ils tentent de minimiser ce que leurs filles vont subir et ils les encouragent à continuer de croire en leur foi, mais ils conseillent à leurs filles d’utiliser d’autres moyens, qui ne soient pas répréhensibles.
Le Vendredi soir, après les cours, Volodyma, Kalyna et Luba sont appelées par la proviseure. Accompagnées par Léa, les trois jeunes femmes entrent dans le bureau, en silence. L’imminence de la punition fait que les trois étudiantes sont tête basse, mais toujours sans manifester de regrets ou de tentative de rachat. Fabienne D. leur ordonne de se mettre nue pour être corrigées. Dans cette tenue devant les professeurs, leur défiance risque de s’écrouler et c’est l’effet recherché par la proviseure.
Lorsqu’elles sont dénudées, Fabienne D. et Léa les accompagnent à l’infirmerie où les attend Laetitia F., l’infirmière de l’établissement, pour une visite de routine. Les rituels examen sont faits rapidement, pouls, tension et examen des zones qui seront cinglées ne révèlent pas de contre-indications pour leur correction, puis en compagnie de l’infirmière qui supervisera la punition, ils arrivent dans le hall de l’établissement où se trouvent déjà réunis les autres professeurs, réjouis d’assister à cette excitante exhibition. Morgane L. et Sandrine S., deux professeures de SVT et informatiques sont chargées par la proviseure d’appliquer les corrections.

Fabienne D. prend la parole et rappelle le contexte pour lequel Volodyma, Kalyna et Luba vont être punies, puis elle ajoute qu’elles devront faire profil bas pour ne pas être punies de nouveau, car elle n’hésitera pas à réunir le conseil de discipline au prochain écart de conduite, même mineur et autant de fois qu’il le faudra. La proviseure ordonne aux trois jeunes femmes de prendre place et de se pencher en avant, cuisses écartées pour être fessées. Résignées, Volodyma, Kalyna et Luba ne bronchent pas et se mettent en position.
Les commentaires dans l’assistance vont bon train, à chacun sa remarque concernant leurs attitudes ou pour les hommes, concernant leur nudité. Morgane L. et Sandrine S. prennent les longs martinets et prennent place de part et d’autre des punies, elles les fesseront une fois l’une, une fois l’autre, à tour de rôle. Fabienne D. leur demande de les faire crier, de façon à ce que la correction leur soit profitable et qu’elles la retiennent.
Lorsque les premières cinglées claquent dans le hall, celles-ci sont amplifiées comme dans une caisse de résonance et de ce fait, paraissent plus terribles qu’elles ne sont en réalité. Les punies subissent courageusement leur flagellation, en serrant les dents pour ne pas montrer au public qu’elles en bavent. Elles souhaitent protéger leurs convictions et montrer que tout autre chose ne les atteint pas. Hormis des tressaillements ou des gémissements vite ravalés, les trois jeunes femmes font étalage de tout leur courage. Morgane L. et Sandrine S. ne ménagent pas leur effort pour les faire crier, mais en vain. Il faut que Morgane L. et Sandrine S. leur cinglent le dos et l’intérieur des cuisses pour entendre des plaintes qui se transforment en cris, puis en hurlements, car en recevant des cinglées sur les zones déjà rougies ou lorsque les lanières cinglent des parties sensibles de leur corps, la douleur est décuplée et les jeunes femmes ne tiennent plus et se lâchent. Moites de sueur, par la douleur de l’épreuve subie, les trois femmes finissent par plier les genoux et terminent à quatre pattes. Cinquante belles zébrures bien rouges et boursouflées se dessinent sur le corps des trois étudiantes rendues dociles, de quoi les faire réfléchir à l’avenir. Les yeux pleins de larmes et grimaçantes de souffrance, les trois jeunes femmes reprennent leurs esprits. Morgane L. et Sandrine S. aident les trois jeunes femmes à se relever et la confient à l’infirmière qui, après un rapide examen, déclare qu’il n’y a rien de grave, elles passeront juste quelques jours pénibles lorsqu’elles devront s’asseoir, mais elles sont aptes à rejoindre leur domicile.
Quelques professeurs dont François F. et Alain L. viennent les voir et se rincent l’œil, puis leur reprochent leur piètre tentative de rébellion au sein de l’école et leur recrutement d’étudiantes pour les rallier à leur cause ne sera pas. Fabienne D. leur dit que la prochaine fois il y aura plus de cinglées et le devant de leur corps pourrait aussi être la cible des lanières. Cet avertissement est censé convaincre les trois jeunes étudiantes de ne pas continuer sur leur lancée.

Volodyma, Kalyna et Luba sont ramenées au bureau de la proviseure pour récupérer leurs vêtements. Les trois jeunes femmes marchent doucement et les cuisses écartées, les ridiculisant, car chaque mouvement réveille la douleur lancinante des cinglées reçues. Laetitia F. leur étale une crème, sensée atténuer les brûlures, mais qui mettra un certain temps à le faire. Laetitia F. examine le vagin des trois filles, écartant les grandes lèvres et elle constate qu’elles ont sacrément mouillé durant leur fessée. Pour les vexer davantage, Fabienne D. leur dit que si les fessées leur fait plaisir, elle se fera une joie de les corriger plus souvent et leur annonce qu’un mail a été envoyé à leur parents et que la punition corporelle est portée sur leur bulletin scolaire. Dans la mesure où elles se sont fait remarquer à l’extérieur de l’école, la gendarmerie est également informée de la sanction. Si elles se font arrêter de nouveau, il n’y aura surement plus qu’un simple rappel à la loi, mais elles pourraient passer en jugement immédiat et être sous le coup d’une peine de prison pour outrage et exhibition ou si le juge est clément, d’une autre punition corporelle dans les locaux du tribunal.
Lorsqu’elles sont revêtues, sans sous-vêtements, la proviseure leur dit qu’elles font peine à voir et que leur mine défiante d’avant punition a fait place à une mine défaite. Portant des jupes, les trois filles ne pourront pas cacher les marques rouges reçues sur les cuisses et de ce fait, leur fierté devrait en prendre un sacré coup lorsqu’elles seront en ville, car tout le monde pourra se rendre compte de ce qu’elles viennent de prendre et les passants se douteront que leurs cuisses n’ont pas été les seules à recevoir le martinet.
A peine sorties de l’école, l’effet est immédiat, car les rires et les remarques fusent lorsque les jeunes femmes déambulent dans les rues de la ville pour rentrer chez elles. Bien qu’elles n’en laissent rien paraître, elles sont profondément humiliées d’être la risée des passants. La punition aura porté ses fruits, car depuis cette magistrale correction, Volodyma, Kalyna et Luba mettent un bémol à leurs revendications et protestations, du moins sous la bannière des FEMEN. Elles sont toujours assez engagées mais leur combat revêt un tout autre aspect. Elles s’engagent dans une association d’aides aux femmes démunies et leur procurent conseil et collecte de dons en tout genre.
Malgré des relances de la part d’Inna S., Volodyma, Kalyna et Luba se détournent d’elle, car il y a des fessées et des humiliations qui ne s’oublient pas et ne peuvent qu’assister, impuissantes, aux arrestations d’autres FEMEN, dont certaines se voient condamnées à des fessées dans les tribunaux, afin de les contraindre de cesser d’être seins nus et message de propagande peint sur le corps.



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 18
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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5 commentaires:

  1. Bonjour Héléna.
    Curieux sujet, que je trouve personnellement assez ambigu, qui associe fiction et réalité dans un contexte de "remise au pas" d'un mouvement féministe!
    Certes les méthodes de manifestation des Femen sont radicales et provocatrices mais le mouvement, au demeurant non violent, milite pour les droits de la femme, la démocratie et, à l'origine, pour dénoncer la corruption des politiques en Ukraine... ça méritait peut être une autre traitement... N'est il pas ?
    Maintenant la fessée au martinet, même sévère, est sans doute moins brutale que les agressions et violence physiques que ces jeunes femmes subissent régulièrement, notamment par des mouvements d'extrême droite.
    C'était peut être là le sens du récit ?
    Amicalement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    Le fond du problème est, selon moi, le militantisme au sein de l'école, ça n'a rien a y faire. Je ne veux pas m'engager sur des pistes idéologiques, qui ne regarderont que les lecteurs, mais dans cette fiction, Ste CROIX se veut exemplaire sur toute la ligne. Faire en sorte que les étudiants qui en sorte soient prêt à la vie active et ne favorisent pas les protestations comme on en voit beaucoup. La réputation de l'école ne peut être tâchée d'étudiantes rebelles.
    Les récupérations politiques des étudiants me sont insupportables. Le lycée n'est pas un lieu qui favorise l'entrée en politique ou syndicat.
    Les FEMEN sont non violentes, il est clair, cela dit, l'outrage à la pudeur est un délit, si je ne m'abuse.
    Leur fessée est sensée étouffée dans l'oeuf leur attitude dans et en dehors de l'école et leur tentative de recrutement d'autres filles dans l'établissement.
    Voilà le sens de cette fiction.

    Merci d'avoir soulevé le débat, afin de rendre plus clair ce qui ne l'était pas.
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonsoir Héléna,
    Vous avez le mérite d'exposer clairement votre point de vue, que je respecte, sans en partager l'intégralité.
    Savoir protester n'est pas forcément inutile face à des systèmes, politiques ou économiques oppressants, trop inégalitaires ou enclins à l'abus de pouvoir. Une réflexion sur ces sujets de société n'est pas scandaleuse dans un milieu universitaire et contribue à alimenter les capacité d'analyse et de jugement de futur individus responsables. Ce qu'on appelle l'éveil d'une conscience collective, (non pas collectiviste) ou de l'intérêt commun, plus constructive que la conscience individuelle lorsque l'on reste enfermé dans une bulle imperméable aux mouvements du monde... Même pour la réputation(?)d'un établissement scolaire qui en devient alors élitiste. (sourire)
    Ceci dit, de bonnes fessées... déculottées bien sûr, doivent pouvoir inciter à l'élévation de l'esprit, et la formation de l'individu par un fondement bien cuisant! (rire)!
    Le consensus étant, avant tout établi, sur ce passionnant sujet de la fessée, générateur d'intérêt commun, le reste devient secondaire sur ce blog.
    C'était tout de même l'occasion d'une échange intéressant. Je salue votre franchise et l'intégrité de vos convictions. Les miennes ne le sont pas moins.
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Élena, Ramina et bonjour à tous.
    Un mouvement de protestation contre la fessée puni par des fessées, ça ne manque évidemment pas de sel. Si l'on s'en tient à l'aspect fiction proprement dit - et vous savez très judicieusement varier les situations en sorte que le lecteur ne se lasse pas - j'avoue éprouver une certaine "tendresse" pour un certain nombre de personnages en apparence secondaires. Je pense notamment à Léa, la déléguée de classe, qui, sous couvert de remplir ses fonctions, de porter aide et assistance à ses camarades, en profite allègrement. Ou à l'infirmière qui, elle aussi, profite de la position qu'elle occupe pour laisser courir ses mains, avec délectation, partout où elle en a envie.
    Quoi qu'il en soit, vous lire est toujours un régal.
    Amicalement.
    François

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  5. Bonjour et merci François pour votre point de vue. Je tente de varier les situations et les scénarios.
    Mes personnages sont assez variés, même les second rôles, qui n'en manquent pas une miette et ne donnerait pas leur place au spectacle. Léa et l'infirmière sont de celles-là, en effet et on que donnerait-on pour être à leur place...
    Amitiés.
    Elena.

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