mercredi 13 novembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 21

Chacun avait fait sa part pour faire disparaitre les reliefs du dîner, même Moana. La cuisine était aussi nette que si on venait d’y faire le ménage à fond. Marguerite se savait sous le regard de ses parents adoptifs. Elle n’avait pas ménagé sa peine. C’est Teva qui donna le satisfecit.
« C’est bien. Tout le monde a participé. Tout est bien rangé ! »
Elle fit le tour de la famille pour donner à chacun un bisou. Seul Fara eut le droit d’en recevoir un sur les lèvres.
« Dommage que nous devions passer à des choses moins réjouissantes. C’est l’heure du conseil de famille. Tout le monde dans le séjour ! »
Maeva et Marguerite se regardèrent. Un conseil de famille, mais pour quoi faire. Elles suivirent le mouvement.
« Maeva tu te mets là, Moana à côté d’elle. »
Teva et Fara s’assirent sur le canapé.
« Marguerite, tu te mets debout au milieu devant nous ! »
Le ventre de Marguerite se noua. Elle avait compris à quoi devait servir ce conseil de famille. Il s’agissait de ses désobéissances de début de semaine. Elle prit la place qui lui était désigné. Elle tirait sur le bas de sa chemise de nuit, consciente que ses fesses nues pointaient sous le court vêtement de nuit.
« Pieds joints, s'il te plait, mains derrière le dos ! »
Marguerite baissa les yeux. Elle ne supportait pas le regard que lui jetaient ses parents adoptifs. Les bras tirés en arrière retroussèrent la tunique de nuit encore un peu plus.
« Regarde-nous ! Fais face à tes bêtises, même si tu en as honte ! »
Marguerite frissonna. Elle aurait préféré se retrouver devant un tribunal.
« Les enfants, dit-elle en regardant Maeva et Moana, votre sœur a gravement désobéi lundi dernier. Elle a enfreint, volontairement, les ordres que je lui avais donnés. Il va de soi que nous ne pouvons pas laisser passer cela. »
Elle laissa cette idée faire son chemin dans la tête de tous.
« Fara et moi nous questionneront Marguerite et nous déciderons de sa punition. Vous deux vous écoutez. Je ne veux pas entendre un mot, pas même un bruit. Cela vous vaudrait une fessée. Vous êtes là pour apprendre ce qui arrive quand on désobéit gravement. Est-ce bien compris ? »
Les deux filles hochèrent la tête. L’obligation de silence avait déjà fait son effet.
« Marguerite, je t’avais ordonné de porter ta nouvelle tenue toute la semaine. T’en souviens-tu ?
– Oui Teva.
– Malgré cela, à la première occasion, tu as décidé de te changer et de remettre tes anciens vêtements. Est-ce bien cela ?
– Oui Teva.
« Tu as donc volontairement désobéi. Ai-je raison ?
– Oui Teva. »
La voix de Marguerite était de plus en plus faible et de plus en plus tremblante.
« Peux-tu nous en donner la raison ?
– J’avais peur que mes collègues se moquent.
– Tu as donc décidé de me désobéir plutôt que de risquer quelques moqueries de tes camarades ?
– Oui. »
Cette réponse était à peine audible.
« As-tu quelque chose à dire pour ta défense ?
– Non. Je vous demande pardon. Je ne le ferai plus.
– Tu as des regrets. C’est déjà ça. C’est tout ?
– Oui.
– Bien, va te mettre au coin. Fara et moi allons décider de ta punition. »
C’est la tête basse que Marguerite s’y dirigea. Fara et Teva échangèrent à voix couverte, sans que Maeva n’en comprenne le contenu. Cela ne dura pas très longtemps.
« Reviens-ici, Marguerite. »
C’était Fara qui parlait. Marguerite se replaça à l’endroit qu’elle venait de quitter, les bras toujours croisés dans le dos et la tête baissée.
« Tu as délibérément désobéi alors que cela t’avait été explicitement interdit. De plus, ce n’est pas plusieurs jours après, mais dès que tu n’as plus été sous notre surveillance directe. Teva et moi avons finalement conclu que ce n’était probablement pas prémédité, heureusement pour toi et pour tes fesses. »
Marguerite et Maeva frissonnèrent à la pensée de ce qui aurait pu arriver. Les conséquences n’en avaient pas été détaillées, mais cela laissait la place à l’imagination.
« Tu es punie tout ce week-end. Tu recevras une sévère fessée chaque matin, après le petit-déjeuner, et chaque soir après le dîner. Bien entendu chaque fessée sera suivie d’un long temps au coin. Les fessées te seront données ce soir et demain avec le martinet et dimanche soir, ce sera avec des orties. Nous voulons que tu te rappelles de cette fessée pendant plusieurs jours. Tu verras combien les orties sont efficaces pendant plusieurs jours. Est-ce compris ? »
Marguerite dut avaler sa salive avant de pouvoir répondre. C’est d’une toute petite voix qu’elle répondit.
« Oui !
– Va chercher le martinet ! »
Marguerite semblait ne pas savoir quoi faire. Elle était choquée après avoir entendu quel serait son sort.
« Marguerite, tu obéis tout de suite ! »
Elle sortit de sa torpeur et marcha vers la cuisine.

Elle revint en tenant l’instrument comme s’il pouvait lui sauter au visage. Elle s’arrêta dans le milieu de la pièce.
« Donne le martinet à Teva. C’est elle qui t’administre la fessée. »
Il y avait deux pas à faire, mais ils étaient très longs. Marguerite se déplaçait le plus lentement possible. Elle ne mettait aucun empressement à se mettre sous la coupe de sa mère adoptive. Teva la prit par la main pour accélérer son dernier pas et l’amener entre ses jambes.
Elle pesa sur l’épaule de Marguerite jusqu’à la faire tomber à genoux entre ses pieds. Puis, elle la courba sur sa cuisse, plaquant son bras dans le dos de Marguerite. La prise était ferme. Marguerite savait bien qu’elle n’en sortirait que quand Teva l’aurait décidé. Elle sentit que sa chemise de nuit était relevée sur ses reins. Elle serra les fesses.
« Marguerite, c’est la dernière fois que tu me désobéis comme cela ! »
Le sifflement des lanières du martinet accompagna la fin de la phrase. Le bruit que cela fit sur les fesses de Marguerite n’était pas très impressionnant. Le cri qu’elle poussa, si ! Teva avait décidé de faire comprendre à Marguerite la gravité de la désobéissance. Cela passait par une fessée mémorable. Marguerite s’en rappellerait, Teva se l’était promis. Elle ne pouvait tolérer qu’un de ses filles prenne pour négligeables les ordres qu’elle leur donnait. C’était la première fois que cela arrivait. Ce serait la dernière.
Ce n’était que la deuxième fessée au martinet que subissait Marguerite. Elle avait un très mauvais souvenir de celle qu’elle avait reçue il y a une semaine. Pourtant, rien à voir avec celle-là. Teva appliquait le martinet avec une conviction totale. Les lanières tombaient sur le sommet des fesses, puis elles s’étalaient le long des cuisses pour finir en leur milieu par un claquement sec de leur extrémité arrivée au bout de sa course.
Quand Teva relevait l’instrument pour reprendre de l’élan, Marguerite sentait naître de longues estafilades brûlantes sur ses fesses dont le pic de douleur se concentrait là où le bout des lanières avait achevé leur parcours. La cinglée suivante faisait oublier la précédente en se rajoutant à elle, mais en traçant de nouveaux traits de feu sur les fesses, un peu décalés par rapport aux premiers et s’emmêlant avec les premiers.
Marguerite savait qu’il fallait en passer par là. Sa désobéissance devait être châtiée à son juste prix. Teva devait s’assurer qu’elle ne recommencerait pas. Le souvenir de cette fessée devait s’inscrire en marques de feu sur ses fesses pour s’imprimer à jamais dans son esprit.
C’était difficile d’apprendre l’obéissance, surtout quand on n’en avait plus l’habitude depuis si longtemps. Mais Marguerite se savait en de bonnes mains. Teva et Fara arriveraient à leurs fins. Marguerite savait qu’elle finirait par obéir à ses parents adoptifs sans discuter, sans y penser, simplement comme une chose normale qui ne se discute pas. Il fallait seulement un peu de temps et quelques fessées.
Ces pensées lui traversèrent l’esprit pendant les premières secondes de la fessée. Ensuite, elle ne pensa plus qu’à la fin de celle-ci. Y en aurait-il une ? Plus la fessée durait, moins elle y croyait.

Quand les fesses furent bien striées des marques laissées par le martinet, Teva jugea qu’elle n’obtiendrait rien de plus en poursuivant. Elle ôta son bras qui bloquait le dos de Marguerite et elle l’aida à se redresser. La jeune femme resta un instant en équilibre sur ses genoux, puis elle entoura la taille de Teva de ses deux bras et elle cacha son visage sur le ventre de sa mère adoptive. Des gros sanglots secouèrent ses épaules. Dans les bras de Teva, c’était le seul endroit où elle pouvait trouver un peu de réconfort.
Malheureusement, l’heure n’était pas encore à la consolation. Teva la laissa pleurer un peu dans son giron, mais il ne fallait pas que cela dure trop longtemps. La place d’une petite fille qui venait de recevoir une fessée, était au coin, non dans les bras de sa mère. Teva dénoua les bras qui l’entouraient.
« Il est temps que tu ailles au coin. Allons ! »
A regret, Marguerite se leva. La peau de ses fesses la tirait, elle était raide. Elle y porta les mains.
« Marguerite, gronda Teva ! »
L’avertissement était clair. Un regard jeté vers sa mère et la jeune femme se dirigea vers le coin, tenant sa chemise de nuit au-dessus de sa taille, autant pour devancer les consignes de la tenue au coin, que pour éviter tout contact avec ses fesses.
Le nez dans l’angle de la pièce, Marguerite était encore secouée de sanglots. Elle mit longtemps à les contrôler, même si elle prenait la précaution de ne pas se faire entendre. Elle ne savait pas si Fara et Teva lui en tiendraient rigueur, mais il fallait être prudent.
Malgré les élancements qui provenaient de ses fesses, Marguerite était soulagée. Elle venait de passer la première épreuve. Bien sûr, il en restait encore plusieurs fessées à venir, dont certaines seraient aussi rigoureuses que celles de ce soir, plus peut-être. Elle en voyait la fin, encore lointaine, de cette longue semaine où elle avait craint d’être exclue de sa nouvelle famille. Il n’en serait rien, mais il fallait subir, jusqu’au bout, la juste punition qu’elle avait méritée.

La tension redescendit. Chacun, même les parents avaient appréhendé ce moment. Il fallait punir mais tout en gardant la relation d’affection qui devait les attacher à leurs trois filles, et en particulier à Marguerite, celle qui avait le lien familial le plus ténu avec eux. Il serait trop dommage que l’absence de punition qui pourrait être interprétée comme de l’indifférence, ou une correction injuste, fragilise le lien qui s’est créé entre eux. L’attitude de Marguerite, cherchant la sécurité dans les bras de Teva qui venait de la punir sévèrement, les avait rassurés.
Chacun se préparait à vivre une soirée tranquille que ne pourrait perturber la présence d’une petite fille au coin. Cela n’avait rien d’exceptionnel, même si l’on prenait en compte son âge. Teva sourit à Fara. Tout rentrait dans l’ordre.
Meava avait regagné sa chambre, mal à l’aise avec sa sœur adoptive au coin. Moana poursuivait sa vie indifférente à la correction à laquelle elle avait assisté. C’était, après tout, une chose banale que de voir l’une de ses grandes sœurs au coin, montrant ses fesses nues au coin, une conséquence banale de la justice parentale.
C’est à ce moment-là que le téléphone sonna. C’est Fara qui répondit.
« Oui, bonsoir… Bonjour Madame, comment allez-vous ? ... Oui, certainement… Vous êtes sûre ? … Ah évidemment ! … Je vous remercie de m’en avoir averti. Je peux vous assurer que ça ne se reproduira pas. Vous pouvez compter sur moi ! »
Il raccrocha. Il ferma les yeux, prit une profonde respiration. Pas de doute, il fallait prendre les choses en main.
« Maeva ! Viens-ici ! »
C’est une petite fille inquiète qui arriva dans le séjour. Le ton de son beau-frère ne laissait présager rien de bon.
« Oui Fara, que se passe-t-il ?
– As-tu croisé la voisine du dessus en rentrant ce soir ? »
Maeva rougit, puis elle pâlit. Elle bredouilla une réponse inintelligible.
« Je vois que tu sais de quoi je parle. Depuis quand te permets-tu de crier des gros-mots dans l’escalier ? Où te crois-tu ? De plus, tu réponds avec insolence. Je vais t’apprendre à te tenir quand tu rencontres les voisins. »
Fara prit Maeva par le bras et elle dut le suivre jusqu’au canapé. Il installa sa belle-sœur à plat-ventre sur ses genoux et dans le même mouvement il releva la chemise de nuit.
« Non, pas la fessée, s'il te plait !
– Ose me dire que tu ne l’as pas méritée ? »
Une première claque sur les fesses nues vint souligner la question.
« Aïe ! Si, mais s'il te plait ! Je ne le ferai plus !
– Se permettre des grossièretés et de l’insolence et être étonné que cela de finisse par une fessée. On aura tout vu !
– Mais je m’étais cognée et j’avais mal !
– Est-ce une raison ? »
Une deuxième claque sur l’autre fesse vint confirmer l’indignation de Fara.
« Aïe ! Non.
– Je ne vois donc pas comment tu peux être surprise que je te corrige. Tu sais donc parfaitement pourquoi et tu sais qu’elle est nécessaire ! »
La fessée commença, la vraie, au-delà des deux claques, préliminaires. C’était toujours une épreuve que de subir une fessée de Fara quand il voulait faire impression. Maeva s’était beaucoup améliorée pendant les quelques semaines où Teva et lui l’avaient prise en main. Elle réagissait positivement aux exigences qui lui étaient imposées et elle ne protestait quasiment plus quand il fallait prendre une fessée. Même si ce n’était pas avec enthousiasme, elle acceptait les punitions comme un remède amer qui fallait bien avaler puisque c’était pour son bien.
Et voilà que maintenant elle reprenait ses habitudes, certes en dehors de la maison, mais cela faisait un nouveau problème dont il fallait s’occuper. Fara se rendait bien compte qu’ils avaient été trop optimistes trop vite et que rectifier les habitudes détestables de Maeva prendrait du temps et de l’énergie, tant elles étaient ancrées profondément. Ils n’avaient attaqué le vernis, il fallait s’occuper de ce qu’il y avait en dessous.
« Bon, se dit-il, finissons d’enlever le vernis, puis nous attaquerons la couche du dessous. »
Il redoubla d’effort. Les cris de Maeva allèrent crescendo.
« Je ne m’arrête pas avant que ce petit poison ait les fesses en feu ! »
Fara se méfiait de lui. Il avait une telle supériorité physique en comparaison avec sa belle-sœur, qu’il aurait pu lui causer des dommages durables rien qu’avec une fessée un peu trop appuyée. Il se modérait donc, mais, en conséquence, il pouvait infliger une correction monumentale quand il le souhaitait.
« Celle-ci en fera partie, décida-t-il. »
Teva entra dans le séjour.
« Que se passe-t-il ?
– Notre chère Maeva se permet des gros-mots et d’être insolente avec la voisine du dessus. Elle apprend que cela fait partie des habitudes qu’elle doit changer. »
Il avait suspendu la fessée, mais Maeva n’avait pas cessé de pleurer. C’était extrêmement bruyant. Une claque monumentale sur les fesses.
« Sois plus discrète, gronda Fara, tu nous empêches de discuter Teva et moi ! »
Maeva était encore réceptive à ce qui l’entourait. Elle entendit la consigne de Fara et elle tint compte. Fara entra un peu plus dans les détails.
« Effectivement, réagit Teva ! Une bonne fessée lui fera du bien. Je pense également que tu devrais t’occuper de nettoyer cette bouche pleine de gros-mots.
– Oh non ! Pardon s'il te plait ! »
Une claque sur les fesses mis fin à cette intervention intempestive.
« Silence, toi ! Depuis quand les enfants se mêlent-ils des conversations des parents ? »
Une deuxième claque sur les fesses pour rééquilibrer.
« As-tu besoin du martinet ? Il est encore chaud, peut-être notre Maeva en a-t-elle besoin ?
– On ne va pas aller jusqu’au martinet pour une première fois. Ma main suffira pour aujourd’hui. La prochaine, par contre… »
Fara reprit la fessée là où il l’avait laissée au grand dam de Maeva dont les cris redoublèrent aussitôt. C’étaient ces cris qui constituaient son indicateur d’efficacité. Ils montaient d’abord dans l’aigu, puis ils étaient mêlés avec des pleurs et ce n’est que quand il n’y avait plus que des sanglots qu’il savait qu’il ne pourrait guère faire mieux. Il attendit d’en être arrivé là pour cesser la correction.

Fara laissa peu de temps de récupération à Maeva. Ce petit temps passé sur les genoux de la personne qui donnait la punition, sans avoir quitté la position disciplinaire, était pourtant important. Il permettait de récupérer un peu physiquement parlant avant de demander à ses jambes de le soutenir de nouveau en position debout.
Là n’était pas le plus important. C’était surtout un sas pour retrouver ses esprits avant de faire face aux conséquences sociales de la fessée : le regard des autres, par exemple. C’était un petit moment de préparation à la honte et à l’humiliation que provoque le plus souvent une fessée et qui envahit l’esprit de celui, ou celle, qui vient de se faire corriger, mais également de ceux qui, d’une façon ou d’une autre en ont l’information. Pour toujours vous êtes devenu celui, ou celle, à qui, un jour, on a dû donner une fessée déculottée en guise de punition.
Fara voulait que Maeva en ressente les affres au plus vite. Et puis, la punition était loin d’être terminée.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 20
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 22

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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