« C’est bien. Tout le monde
a participé. Tout est bien rangé ! »
Elle fit le tour de la famille
pour donner à chacun un bisou. Seul Fara eut le droit d’en recevoir un sur les
lèvres.
« Dommage que nous devions
passer à des choses moins réjouissantes. C’est l’heure du conseil de famille.
Tout le monde dans le séjour ! »
Maeva et Marguerite se
regardèrent. Un conseil de famille, mais pour quoi faire. Elles suivirent le
mouvement.
« Maeva tu te mets là, Moana
à côté d’elle. »
Teva et Fara s’assirent sur le
canapé.
« Marguerite, tu te mets
debout au milieu devant nous ! »
Le ventre de Marguerite se noua.
Elle avait compris à quoi devait servir ce conseil de famille. Il s’agissait de
ses désobéissances de début de semaine. Elle prit la place qui lui était
désigné. Elle tirait sur le bas de sa chemise de nuit, consciente que ses
fesses nues pointaient sous le court vêtement de nuit.
« Pieds joints, s'il te
plait, mains derrière le dos ! »
Marguerite baissa les yeux. Elle
ne supportait pas le regard que lui jetaient ses parents adoptifs. Les bras
tirés en arrière retroussèrent la tunique de nuit encore un peu plus.
« Regarde-nous ! Fais
face à tes bêtises, même si tu en as honte ! »
Marguerite frissonna. Elle aurait
préféré se retrouver devant un tribunal.
« Les enfants, dit-elle en
regardant Maeva et Moana, votre sœur a gravement désobéi lundi dernier. Elle a
enfreint, volontairement, les ordres que je lui avais donnés. Il va de soi que
nous ne pouvons pas laisser passer cela. »
Elle laissa cette idée faire son
chemin dans la tête de tous.
« Fara et moi nous
questionneront Marguerite et nous déciderons de sa punition. Vous deux vous
écoutez. Je ne veux pas entendre un mot, pas même un bruit. Cela vous vaudrait
une fessée. Vous êtes là pour apprendre ce qui arrive quand on désobéit
gravement. Est-ce bien compris ? »
Les deux filles hochèrent la
tête. L’obligation de silence avait déjà fait son effet.
« Marguerite, je t’avais
ordonné de porter ta nouvelle tenue toute la semaine. T’en souviens-tu ?
– Oui Teva.
– Malgré cela, à la première
occasion, tu as décidé de te changer et de remettre tes anciens vêtements.
Est-ce bien cela ?
– Oui Teva.
« Tu as donc volontairement
désobéi. Ai-je raison ?
– Oui Teva. »
La voix de Marguerite était de
plus en plus faible et de plus en plus tremblante.
« Peux-tu nous en donner la
raison ?
– J’avais peur que mes collègues
se moquent.
– Tu as donc décidé de me
désobéir plutôt que de risquer quelques moqueries de tes camarades ?
– Oui. »
Cette réponse était à peine
audible.
« As-tu quelque chose à dire
pour ta défense ?
– Non. Je vous demande pardon. Je
ne le ferai plus.
– Tu as des regrets. C’est déjà
ça. C’est tout ?
– Oui.
– Bien, va te mettre au coin.
Fara et moi allons décider de ta punition. »
C’est la tête basse que Marguerite
s’y dirigea. Fara et Teva échangèrent à voix couverte, sans que Maeva n’en
comprenne le contenu. Cela ne dura pas très longtemps.
« Reviens-ici, Marguerite. »
C’était Fara qui parlait. Marguerite
se replaça à l’endroit qu’elle venait de quitter, les bras toujours croisés
dans le dos et la tête baissée.
« Tu as délibérément désobéi
alors que cela t’avait été explicitement interdit. De plus, ce n’est pas
plusieurs jours après, mais dès que tu n’as plus été sous notre surveillance
directe. Teva et moi avons finalement conclu que ce n’était probablement pas
prémédité, heureusement pour toi et pour tes fesses. »
Marguerite et Maeva frissonnèrent
à la pensée de ce qui aurait pu arriver. Les conséquences n’en avaient pas été
détaillées, mais cela laissait la place à l’imagination.
« Tu es punie tout ce
week-end. Tu recevras une sévère fessée chaque matin, après le petit-déjeuner,
et chaque soir après le dîner. Bien entendu chaque fessée sera suivie d’un long
temps au coin. Les fessées te seront données ce soir et demain avec le martinet
et dimanche soir, ce sera avec des orties. Nous voulons que tu te rappelles de
cette fessée pendant plusieurs jours. Tu verras combien les orties sont
efficaces pendant plusieurs jours. Est-ce compris ? »
Marguerite dut avaler sa salive
avant de pouvoir répondre. C’est d’une toute petite voix qu’elle répondit.
« Oui !
– Va chercher le
martinet ! »
Marguerite semblait ne pas savoir
quoi faire. Elle était choquée après avoir entendu quel serait son sort.
« Marguerite, tu obéis tout
de suite ! »
Elle sortit de sa torpeur et
marcha vers la cuisine.
Elle revint en tenant
l’instrument comme s’il pouvait lui sauter au visage. Elle s’arrêta dans le
milieu de la pièce.
« Donne le martinet à Teva.
C’est elle qui t’administre la fessée. »
Il y avait deux pas à faire, mais
ils étaient très longs. Marguerite se déplaçait le plus lentement possible.
Elle ne mettait aucun empressement à se mettre sous la coupe de sa mère
adoptive. Teva la prit par la main pour accélérer son dernier pas et l’amener
entre ses jambes.
Elle pesa sur l’épaule de Marguerite
jusqu’à la faire tomber à genoux entre ses pieds. Puis, elle la courba sur sa
cuisse, plaquant son bras dans le dos de Marguerite. La prise était ferme. Marguerite
savait bien qu’elle n’en sortirait que quand Teva l’aurait décidé. Elle sentit
que sa chemise de nuit était relevée sur ses reins. Elle serra les fesses.
« Marguerite, c’est la
dernière fois que tu me désobéis comme cela ! »
Le sifflement des lanières du
martinet accompagna la fin de la phrase. Le bruit que cela fit sur les fesses
de Marguerite n’était pas très impressionnant. Le cri qu’elle poussa, si !
Teva avait décidé de faire comprendre à Marguerite la gravité de la
désobéissance. Cela passait par une fessée mémorable. Marguerite s’en
rappellerait, Teva se l’était promis. Elle ne pouvait tolérer qu’un de ses
filles prenne pour négligeables les ordres qu’elle leur donnait. C’était la
première fois que cela arrivait. Ce serait la dernière.
Ce n’était que la deuxième fessée
au martinet que subissait Marguerite. Elle avait un très mauvais souvenir de
celle qu’elle avait reçue il y a une semaine. Pourtant, rien à voir avec
celle-là. Teva appliquait le martinet avec une conviction totale. Les lanières
tombaient sur le sommet des fesses, puis elles s’étalaient le long des cuisses
pour finir en leur milieu par un claquement sec de leur extrémité arrivée au
bout de sa course.
Quand Teva relevait l’instrument
pour reprendre de l’élan, Marguerite sentait naître de longues estafilades
brûlantes sur ses fesses dont le pic de douleur se concentrait là où le bout
des lanières avait achevé leur parcours. La cinglée suivante faisait oublier la
précédente en se rajoutant à elle, mais en traçant de nouveaux traits de feu
sur les fesses, un peu décalés par rapport aux premiers et s’emmêlant avec les
premiers.
Marguerite savait qu’il fallait
en passer par là. Sa désobéissance devait être châtiée à son juste prix. Teva
devait s’assurer qu’elle ne recommencerait pas. Le souvenir de cette fessée
devait s’inscrire en marques de feu sur ses fesses pour s’imprimer à jamais
dans son esprit.
C’était difficile d’apprendre
l’obéissance, surtout quand on n’en avait plus l’habitude depuis si longtemps.
Mais Marguerite se savait en de bonnes mains. Teva et Fara arriveraient à leurs
fins. Marguerite savait qu’elle finirait par obéir à ses parents adoptifs sans
discuter, sans y penser, simplement comme une chose normale qui ne se discute
pas. Il fallait seulement un peu de temps et quelques fessées.
Ces pensées lui traversèrent
l’esprit pendant les premières secondes de la fessée. Ensuite, elle ne pensa
plus qu’à la fin de celle-ci. Y en aurait-il une ? Plus la fessée durait,
moins elle y croyait.
Quand les fesses furent bien
striées des marques laissées par le martinet, Teva jugea qu’elle n’obtiendrait
rien de plus en poursuivant. Elle ôta son bras qui bloquait le dos de Marguerite
et elle l’aida à se redresser. La jeune femme resta un instant en équilibre sur
ses genoux, puis elle entoura la taille de Teva de ses deux bras et elle cacha
son visage sur le ventre de sa mère adoptive. Des gros sanglots secouèrent ses
épaules. Dans les bras de Teva, c’était le seul endroit où elle pouvait trouver
un peu de réconfort.
Malheureusement, l’heure n’était
pas encore à la consolation. Teva la laissa pleurer un peu dans son giron, mais
il ne fallait pas que cela dure trop longtemps. La place d’une petite fille qui
venait de recevoir une fessée, était au coin, non dans les bras de sa mère.
Teva dénoua les bras qui l’entouraient.
« Il est temps que tu ailles
au coin. Allons ! »
A regret, Marguerite se leva. La
peau de ses fesses la tirait, elle était raide. Elle y porta les mains.
« Marguerite, gronda
Teva ! »
L’avertissement était clair. Un
regard jeté vers sa mère et la jeune femme se dirigea vers le coin, tenant sa
chemise de nuit au-dessus de sa taille, autant pour devancer les consignes de
la tenue au coin, que pour éviter tout contact avec ses fesses.
Le nez dans l’angle de la pièce, Marguerite
était encore secouée de sanglots. Elle mit longtemps à les contrôler, même si
elle prenait la précaution de ne pas se faire entendre. Elle ne savait pas si
Fara et Teva lui en tiendraient rigueur, mais il fallait être prudent.
Malgré les élancements qui
provenaient de ses fesses, Marguerite était soulagée. Elle venait de passer la
première épreuve. Bien sûr, il en restait encore plusieurs fessées à venir,
dont certaines seraient aussi rigoureuses que celles de ce soir, plus
peut-être. Elle en voyait la fin, encore lointaine, de cette longue semaine où
elle avait craint d’être exclue de sa nouvelle famille. Il n’en serait rien,
mais il fallait subir, jusqu’au bout, la juste punition qu’elle avait méritée.
La tension redescendit. Chacun,
même les parents avaient appréhendé ce moment. Il fallait punir mais tout en
gardant la relation d’affection qui devait les attacher à leurs trois filles,
et en particulier à Marguerite, celle qui avait le lien familial le plus ténu
avec eux. Il serait trop dommage que l’absence de punition qui pourrait être
interprétée comme de l’indifférence, ou une correction injuste, fragilise le
lien qui s’est créé entre eux. L’attitude de Marguerite, cherchant la sécurité
dans les bras de Teva qui venait de la punir sévèrement, les avait rassurés.
Chacun se préparait à vivre une
soirée tranquille que ne pourrait perturber la présence d’une petite fille au
coin. Cela n’avait rien d’exceptionnel, même si l’on prenait en compte son âge.
Teva sourit à Fara. Tout rentrait dans l’ordre.
Meava avait regagné sa chambre,
mal à l’aise avec sa sœur adoptive au coin. Moana poursuivait sa vie
indifférente à la correction à laquelle elle avait assisté. C’était, après tout,
une chose banale que de voir l’une de ses grandes sœurs au coin, montrant ses
fesses nues au coin, une conséquence banale de la justice parentale.
C’est à ce moment-là que le
téléphone sonna. C’est Fara qui répondit.
« Oui, bonsoir… Bonjour
Madame, comment allez-vous ? ... Oui, certainement… Vous êtes sûre ?
… Ah évidemment ! … Je vous remercie de m’en avoir averti. Je peux vous
assurer que ça ne se reproduira pas. Vous pouvez compter sur moi ! »
Il raccrocha. Il ferma les yeux,
prit une profonde respiration. Pas de doute, il fallait prendre les choses en
main.
« Maeva !
Viens-ici ! »
C’est une petite fille inquiète
qui arriva dans le séjour. Le ton de son beau-frère ne laissait présager rien
de bon.
« Oui Fara, que se
passe-t-il ?
– As-tu croisé la voisine du
dessus en rentrant ce soir ? »
Maeva rougit, puis elle pâlit.
Elle bredouilla une réponse inintelligible.
« Je vois que tu sais de
quoi je parle. Depuis quand te permets-tu de crier des gros-mots dans
l’escalier ? Où te crois-tu ? De plus, tu réponds avec insolence. Je
vais t’apprendre à te tenir quand tu rencontres les voisins. »
Fara prit Maeva par le bras et
elle dut le suivre jusqu’au canapé. Il installa sa belle-sœur à plat-ventre sur
ses genoux et dans le même mouvement il releva la chemise de nuit.
« Non, pas la fessée, s'il
te plait !
– Ose me dire que tu ne l’as pas
méritée ? »
Une première claque sur les
fesses nues vint souligner la question.
« Aïe ! Si, mais s'il
te plait ! Je ne le ferai plus !
– Se permettre des grossièretés
et de l’insolence et être étonné que cela de finisse par une fessée. On aura
tout vu !
– Mais je m’étais cognée et
j’avais mal !
– Est-ce une raison ? »
Une deuxième claque sur l’autre
fesse vint confirmer l’indignation de Fara.
« Aïe ! Non.
– Je ne vois donc pas comment tu
peux être surprise que je te corrige. Tu sais donc parfaitement pourquoi et tu
sais qu’elle est nécessaire ! »
La fessée commença, la vraie,
au-delà des deux claques, préliminaires. C’était toujours une épreuve que de
subir une fessée de Fara quand il voulait faire impression. Maeva s’était
beaucoup améliorée pendant les quelques semaines où Teva et lui l’avaient prise
en main. Elle réagissait positivement aux exigences qui lui étaient imposées et
elle ne protestait quasiment plus quand il fallait prendre une fessée. Même si
ce n’était pas avec enthousiasme, elle acceptait les punitions comme un remède
amer qui fallait bien avaler puisque c’était pour son bien.
Et voilà que maintenant elle
reprenait ses habitudes, certes en dehors de la maison, mais cela faisait un
nouveau problème dont il fallait s’occuper. Fara se rendait bien compte qu’ils
avaient été trop optimistes trop vite et que rectifier les habitudes
détestables de Maeva prendrait du temps et de l’énergie, tant elles étaient
ancrées profondément. Ils n’avaient attaqué le vernis, il fallait s’occuper de
ce qu’il y avait en dessous.
« Bon, se dit-il, finissons
d’enlever le vernis, puis nous attaquerons la couche du dessous. »
Il redoubla d’effort. Les cris de
Maeva allèrent crescendo.
« Je ne m’arrête pas avant
que ce petit poison ait les fesses en feu ! »
Fara se méfiait de lui. Il avait
une telle supériorité physique en comparaison avec sa belle-sœur, qu’il aurait
pu lui causer des dommages durables rien qu’avec une fessée un peu trop
appuyée. Il se modérait donc, mais, en conséquence, il pouvait infliger une
correction monumentale quand il le souhaitait.
« Celle-ci en fera partie,
décida-t-il. »
Teva entra dans le séjour.
« Que se passe-t-il ?
– Notre chère Maeva se permet des
gros-mots et d’être insolente avec la voisine du dessus. Elle apprend que cela
fait partie des habitudes qu’elle doit changer. »
Il avait suspendu la fessée, mais
Maeva n’avait pas cessé de pleurer. C’était extrêmement bruyant. Une claque
monumentale sur les fesses.
« Sois plus discrète, gronda
Fara, tu nous empêches de discuter Teva et moi ! »
Maeva était encore réceptive à ce
qui l’entourait. Elle entendit la consigne de Fara et elle tint compte. Fara
entra un peu plus dans les détails.
« Effectivement, réagit
Teva ! Une bonne fessée lui fera du bien. Je pense également que tu
devrais t’occuper de nettoyer cette bouche pleine de gros-mots.
– Oh non ! Pardon s'il te
plait ! »
Une claque sur les fesses mis fin
à cette intervention intempestive.
« Silence, toi ! Depuis
quand les enfants se mêlent-ils des conversations des parents ? »
Une deuxième claque sur les
fesses pour rééquilibrer.
« As-tu besoin du
martinet ? Il est encore chaud, peut-être notre Maeva en a-t-elle
besoin ?
– On ne va pas aller jusqu’au
martinet pour une première fois. Ma main suffira pour aujourd’hui. La
prochaine, par contre… »
Fara reprit la fessée là où il
l’avait laissée au grand dam de Maeva dont les cris redoublèrent aussitôt. C’étaient
ces cris qui constituaient son indicateur d’efficacité. Ils montaient d’abord
dans l’aigu, puis ils étaient mêlés avec des pleurs et ce n’est que quand il
n’y avait plus que des sanglots qu’il savait qu’il ne pourrait guère faire
mieux. Il attendit d’en être arrivé là pour cesser la correction.
Fara laissa peu de temps de
récupération à Maeva. Ce petit temps passé sur les genoux de la personne qui
donnait la punition, sans avoir quitté la position disciplinaire, était
pourtant important. Il permettait de récupérer un peu physiquement parlant
avant de demander à ses jambes de le soutenir de nouveau en position debout.
Là n’était pas le plus important.
C’était surtout un sas pour retrouver ses esprits avant de faire face aux
conséquences sociales de la fessée : le regard des autres, par exemple.
C’était un petit moment de préparation à la honte et à l’humiliation que
provoque le plus souvent une fessée et qui envahit l’esprit de celui, ou celle,
qui vient de se faire corriger, mais également de ceux qui, d’une façon ou
d’une autre en ont l’information. Pour toujours vous êtes devenu celui, ou
celle, à qui, un jour, on a dû donner une fessée déculottée en guise de
punition.
Fara voulait que Maeva en
ressente les affres au plus vite. Et puis, la punition était loin d’être
terminée.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 20
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 22
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
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