lundi 25 novembre 2019

Les rebelles - chapitre 21

Ekaterina, Iourievna, Olga et moi, faisons partie du club de tennis de notre ville. La pratique d’une activité sportive est une des composantes de l’éducation russe, comme on dit « un esprit sain, dans un corps sain ». En Russie, les cours ont lieu entre huit heure trente et quinze heure. 

Après une première partie de journée relative à l’enseignement de l’esprit, il y a une seconde partie de la journée relative à d’autres enseignements comme la danse, le chant, les instruments de musique et le sport. Chaque élève est libre de développer une discipline de complément de son choix. Baignées dans cette culture, mes amies et moi-même avons le gout pour les activités sportives que nous pratiquons, pas pour la performance, mais pour le bien-être que cela apporte.

Nos entraînements ont lieu deux fois par semaine et des compétitions se déroulent toute l’année à différents niveaux selon l’âge et le sexe des participants. Cela va des compétitions interclubs puis le championnat départemental, régional voire championnat de France pour les membres qui excellent dans cette pratique.
Ekaterina, Iourievna, Olga et moi évoluons en catégorie de plus de dix-huit ans et nous avons tous les niveaux en face de nous lorsque nous jouons, même des joueuses classées. Dans ce cas, nous sommes très heureuses lorsque nous parvenons à remporter quelques jeux et dans la grande majorité des cas, nous perdons le match en deux sets à zéro.
Dans notre club, nous avons des camarades de classe de Ste CROIX. Kirsten, une allemande de tout juste dix-huit ans, en ERASMUS, est dans ma section BTS informatique. Kirsten a déjà un bon niveau sportif et vise à être classée pour être, peut-être, tenniswoman professionnelle, dès son retour en Allemagne. Par contre, elle a un sacré caractère ! Assez fonceuse et tenace, elle peste souvent lorsqu’elle perd des points ou qu’une décision de l’arbitre ne lui plait pas. Cependant, en dehors des courts de tennis, c’est une chic fille, très sympathique et rigolote, mais dès lors qu’elle a une raquette dans les mains, elle se métamorphose en peste.
Notre entraîneuse, Anne D. tente de la canaliser car ses excès d’humeur nuisent à la production de son jeu et elle a tendance à se déconcentrer lorsqu’elle est dans tous ses états, au point de perdre des matches qui étaient largement à sa portée. Lorsque l’on sait que lors des compétitions en équipe tous les matches gagnés sont importants pour le classement final, on ne peut pas se permettre de perdre des matches « faciles », par contre, lorsque Kirsten est dans un bon jour et qu’elle maitrise ses nerfs, elle est redoutable et elle nous sort souvent de situations très compliquées, ce qui la fait être dans les meilleures joueuses du club. Anne D. le sait et Kirsten est sélectionnée à chaque fois, mais avec elle, on ne sait jamais comment ça va tourner. Elle est un peu comme le dieu romain Janus.
Pour cette nouvelle saison, depuis Septembre, nous avons remporté des matches importants pour le championnat départemental. Par contre, en individuel, c’est moins probant, une majorité des filles du club sont éliminées. Ekaterina et Iourievna sont éliminées dès leur entrée au mois de Septembre et Olga et moi, nous nous faisons battre lors des rencontres de Novembre, malgré notre combativité, nous avons de bien meilleures joueuses en face de nous et leur technique et leur endurance ont raison de notre résistance. Lors de mon dernier match, je termine épuisée, à bout de souffle et trempée de sueur tant j’ai couru, tandis que mon adversaire était juste moite et pas trop essoufflée. Il nous restera les compétitions en double à effectuer lors de la reprise en Janvier.
Kirsten se qualifie assez facilement, mais est accrochée dans la demi-finale de Novembre car elle tombe avec une adversaire corsée d’une autre équipe. Elle remporte dans la douleur le premier set, mais perd sèchement le second set. Voyant que la rencontre est à son désavantage, Kirsten commence à s’énerver et son jeu s’en ressent. Le troisième set décisif pour la rencontre tourne rapidement à l’avantage de son adversaire. Kirsten fait des fautes directes et retourne mal ses balles. Durant les pauses, Anne D. la conseille et tente de lui faire reprendre ses esprits et la bonne direction dans son match, mais Kirsten est fermée et très énervée dans ses gestes et dans ses paroles vis-à-vis de l’arbitre. Raynald B., le président de notre club est obligé d’intervenir pour calmer Kirsten, au bord de la crise de nerfs. Durant les derniers jeux, Anne D. a beau la conseiller, Kirsten est incontrôlable et elle perd le troisième set et le match par voie de conséquence. Kirsten pousse des hurlements de déception et s’effondre en pleurs d’avoir perdu la rencontre. Sa demi-finale dans ce tournoi ne la satisfait pas, elle visait le titre départemental. L’adversaire de Kirsten est folle de joie de poursuivre la compétition et d’accéder à la finale le mois prochain. Anne D. venue à la rencontre de Kirsten pour tenter de faire redescendre la pression se prend un jet de serviette en retour, geste d’humeur inacceptable, même de la part d’une des meilleures filles du club.
Avant la remise des récompenses pour les participations, les joueuses rentrent aux vestiaires pour changer de tenue, boire et s’éponger. Raynald B. donne carte blanche à son entraîneuse pour calmer Kirsten, qui a largement « pété un plomb ». Anne D. rentre dans le vestiaire de sa joueuse sans même frapper et trouve Kirsten à moitié nue, en train de se changer. Anne D. l’invective copieusement en lui faisant des remontrances quant à son attitude irrespectueuse sur le court. Kirsten ne desserre pas les dents, se murant dans le silence lorsque Anne D. lui demande de s’expliquer. Puisqu’elle se heurte à une résistance, Anne D. se fâche, saisit Kirsten par le buste et d’un geste qui surprend la jeune femme, la retourne et la couche sur ses genoux, maintenant ses jambes de façon à l’immobiliser totalement. Kirsten a tellement été surprise qu’elle n’a rien pu faire contre sa coache. Elle se retrouve sans rien pouvoir faire et se doute de la suite des événements. Elle a juste le temps de demander pardon, que les premières claques sonores retentissent déjà dans la pièce. Kirsten tente de se dégager comme elle peut, mais dans la position où elle se trouve, elle ne peut rien faire. Anne D. lui claque les fesses et les cuisses avec vigueur. Ayant transpiré, sa chair est attendrie, décuplant de ce fait la douleur ressentie lors de la sévère fessée. Kirsten ne tarde pas à crier, mais personne ne viendra à son aide, car les murs sont trop épais pour qu’on l’entende. Kirsten tente de mettre une de ses mains en protection de ses fesses qui commencent à s’embraser, mais Anne D. s’en empare et lui bloque dans le dos. Kirsten ne peut qu’endurer la totalité de sa correction. Anne D. lui rougit bien la totalité de ses fesses et une partie des cuisses, de façon à ce que la correction soit retenue. Entre deux cris, Kirsten implore, car ses fesses lui font l’effet d’un brasier.
Lorsqu’Anne D. cesse de la claquer, Kirsten, en sanglots, s’effondre à genoux, les mains se massant les fesses et les cuisses devenues hyper sensibles. Entre deux toussotements dus à ses pleurs, elle bredouille des pardons envers sa coache. Anne D. réalisant qu’elle n’a pas ménagé sa joueuse l’aide à se relever et la prend dans ses bras, voyant son état pitoyable, la faisant bien plus ressembler à une petite fille qu’à une jeune adulte. Dans ses bras, Kirsten se laisse aller à pleurer à chaudes larmes et balbutie qu’elle se contrôlera la prochaine fois, elle le promet.
Anne D. lui demande de se dépêcher de se rhabiller, car on les attend pour la récompense de cette demi-finale. Toujours en pleurs et toute tremblante, Kirsten enfile uniquement son survêtement avec mille précautions, car son arrière train la brûle.
Dans les bras de sa coache, Kirsten, le visage inondé de larmes, pénètre sur le court pour recevoir sa récompense. Anne D. l’embrasse tendrement sur la joue avant de la laisser rejoindre le juge arbitre qui remet aux deux joueuses une médaille de participation à cette demi-finale et elle souhaite bonne chance à l’adversaire de Kirsten pour sa prochaine finale. Kirsten est félicitée par son adversaire et sportivement, Kirsten reconnait sa défaite face à plus forte qu’elle. Les deux joueuses se séparent par une accolade amicale. Kirsten tente de se réhabiliter après ses excès et elle salue le public, qui l’avait prise en grippe en la voyant s’exciter et jurer sur le court durant le match.
Après sa douche, Kirsten, sa récompense autour du cou, rentre avec des amis venus la soutenir. Raynald B. vient au-devant de Kirsten et lui fait, lui aussi, des reproches quant à son attitude et lui dit que les choses n’en resteront pas là, car elle a donné une mauvaise image du club et du sport en général, car il y avait des spectateurs qui ont sans doute été scandalisés par ses mouvements d’humeur et ses réflexions déplacées. Kirsten ne peut qu’approuver les reproches du directeur du club.
La semaine suivante, lors de la reprise des entraînements, Kirsten est convoquée par Raynald B., en présence d’Anne D. Kirsten se doute qu’elle va encore se prendre des remarques de la part du directeur du club. Dès qu’elle entre dans le bureau, au premier étage du bâtiment, les mines de ses deux interlocuteurs sont sombres. Raynald B. commence par la féliciter pour sa place en demi-finale, mais de suite lui dit qu’elle aurait pu mieux faire, si elle avait été davantage concentrée car en ayant en tête les erreurs des points précédents, on est moins attentif aux échanges qui arrivent. Raynald B. lui fait également des remontrances sur sa prestation sur le court et réitère les règles de sportivité qui doivent être les principes de base face à un adversaire et face au public. Kirsten lui demande pardon pour son attitude irresponsable. Raynald B. lui propose deux alternatives, soit elle accepte d’être fessée une seconde fois devant les filles du groupe soit elle est exclue du club avec une lettre auprès de la fédération française de tennis pour mettre un terme à sa capacité à intégrer un autre club. Kirsten se sent prise au piège et elle tente de se défendre comme elle peut, car en cas de refus de subir une seconde fessée en public, sa carrière de joueuse professionnelle sera compromise ! Malgré les jérémiades non convaincantes de la part de Kirsten, Raynald B. reste sur sa position. Au bout de vingt minutes d’échanges infructueux, Kirsten ne peut qu’accepter la seconde fessée devant ses coéquipières. Raynald B. lui dit qu’il lui a fait une fleur, car ça aurait pu être devant tous les membres du club, garçons y compris.
Après la séance d’entrainement où la performance de Kirsten laisse à désirer, car sachant ce qu’elle va prendre, Kirsten a l’esprit ailleurs, Raynald B. nous rassemble dans les vestiaires et nous dit que Kirsten va être corrigée pour son odieux comportement lors de la demi-finale, après quoi, elle sera réintégrée au groupe.
Lorsque nous sommes toutes au vestiaire, Anne D. demande à Kirsten de retirer sa jupe, son short et sa culotte et de se pencher pour recevoir sa fessée. Nous voyons Kirsten retirer le bas de ses vêtements en rougissant de honte, car elle va se faire fesser comme une petite fille en public. Sa honte n’est pas d’être le bas du corps nu devant ses coéquipières, car prenant notre douche ensemble, nous avons l’habitude d’être nues les unes devant les autres, mais c’est plutôt de l’être devant Raynald B., car elle n’a jamais été fessée devant un homme, hormis son père.
A peine penchée, Kirsten subit les claques magistrales de la part d’Anne D. sous lesquelles elle ne tarde pas à crier en se trémoussant d’un pied sur l’autre. Par moment, n’y tenant plus, Kirsten mes ses mains en protection pour avoir un peu de répit, à quoi Raynald B. lui ordonne de les retirer, sans quoi il sera obligé de l’attacher et d’utiliser la ceinture pour augmenter la douleur de la correction. Cette seule menace lui fait retirer instantanément les mains et elle ne sait plus comment se positionner pour supporter les claquées. Nous la voyons s’agripper désespérément au rebord du banc et trépigner ou taper des pieds. Raynald B. l’oblige à se pencher davantage et à écarter les cuisses et Kirsten, résignée, obéit sans rechigner, exhibant encore plus ses grandes lèvres entrouvertes, son vagin et son anus. Chaque claque rougit un peu plus la chair et nous assistons aux spasmes de ses fesses et de ses cuisses, rythmés par ses cris. Les claques suivies de fortes contractions de ses muscles lui ont provoqué une réaction au niveau de son vagin. Nous voyons sa cyprine dégouliner, ce qui rend le spectacle assez excitant et heureusement que nous portons une jupe qui masque car le fond de notre culotte est presqu’aussi mouillée que la fente de notre amie.
Lorsque Anne D. cesse de la fesser, Kirsten est secouée par des sanglots, les mains sur ses fesses cramoisies, ne pensant même plus à cacher son pubis dévoilé, car seule la douleur de son arrière train a de l’importance. Kirsten promet tout ce que Raynald B. lui demande.
Anne D. et Raynald B. nous laissent. De notre côté, nous tentons, comme nous pouvons, de réconforter notre amie Kirsten. Au bout d’un bon quart d’heure, elle se calme un peu. Nous l’aidons à se déshabiller et nous l’emmenons à la douche. Celle-ci l’apaise quelque peu, mais elle aura tout de même du mal à s’asseoir durant un à deux jours.
Après la toilette et avec bien du mal, Kirsten réussit à enfiler son pantalon de survêtement, mais ses contorsions et ses pas mal assurés sont la preuve que le brasier couve encore, du fait du frottement du tissu sur sa chair. La plupart des joueuses ayant assisté à la fessée repartent en voiture avec un de leurs parents ou en covoiturage, ce qui n’est pas le cas pour Kirsten qui ne supportera pas la position assise et préfère repartir chez elle à pied. Nous l’accompagnons un bout de chemin et elle fait le reste, seule.
Le lendemain matin, à l’école, Iourievna, Olga et moi voyons Kirsten arriver en petite forme, car sa nuit a été agitée. Elle n’a quasiment pas fermé l’œil, car ses fesses lui faisaient mal et le fait de bouger la nuit la réveillait. Lorsqu’elle s’installe sur sa chaise en cours, c’est du plus délicat et elle tente de ne pas grimacer de douleur pour éviter de révéler à tous les étudiants de la classe le fait qu’elle a été corrigée la veille et seules Olga, Iourievna et moi savons pourquoi par moment, elle prend certaines positions, peu habituelles, sur sa chaise. Malgré tout, elle cache bien sa douleur résiduelle, en étant la plus naturelle possible.
Durant les rencontres suivantes, son attitude change radicalement et à part quelques récidives vite refoulées par la joueuse, Kirsten est beaucoup moins agressive sur le court.


Une série écrite par Elena


Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 20
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Les joueuses de tennis, dès lors que le niveau s'élève un peu, ont souvent d'inexcusables sautes d'humeur et tendance à se comporter, surtout si elles perdent, de façon inadmissible. Une bonne fessée, dans le secret des vestiaires, peut bien évidemment remettre les pendules à l'heure, mais est-ce suffisant quand tout le club a pâti du comportement de la championne sur qui tout le monde comptait? Certainement pas et un châtiment exemplaire s'impose en présence de toutes les coéquipières. À l'exception du président de club, il n'y aura que des filles pour assister à la punition. Les garçons sont exclus, mais ce qui s'est passé va forcément leur revenir aux oreilles. Et des échos (réflexions, regards, sourires entendus) vont nécessairement se déclencher au passage de Kirsten, d'autant plus appuyés que ces garçons vont se sentir frustrés de n'avoir pas pu assister au spectacle.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour et merci François.
      Pour cet épisode, j'ai reçu de l'aide. Ce qui explique les scénarios disparates.
      En effet, j'ai voulu respecter la réalité, c'est à dire que les vestiaires des joueuses ne sont pas autorisés aux garçons. Et je tiens à respecter une certaine crédibilité dans mes scénarios. Je trouve que ça les rend plus vraisemblables, hormis la fessée, bien évidemment où je me lâche un peu. Pour le directeur, c'est un peu différent, car dans cet épisode, il est de force majeure qu'il soit présent, car c'est le directeur du club et il doit faire respecter les règles en vigueur.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et de la fessée en deux set gagnants... Bonjour!
    Bonjour Héléna.

    Variation sur le thème. Vous faites décidément preuve d'une belle imagination en parvenant à multiplier les situations justifiant de sévères corrections.
    Si tous nos joueurs de tennis se prenaient une bonne fessée déculottée à chaque fois qu'il se font sortir des les premiers tours des compétitions, ils amélioreraient peut-être leurs médiocres performances.
    Ceci dit, la pratique du tennis doit permettre d'acquérir une gestuelle plus efficace pour l'administration des fessées. Les coups droits d'une fesse à l'autre ou autres revers croisés le long de la raie devraient permettre un meilleur rendement. (rires)
    Certains joueurs, manquent, paraît il, de combativité... Les humeurs de Kirsten ne seraient elles pas le signe, au contraire, d'un excès de pugnacité et du désir de gagner? Mais restons Zen, t'as cassé ta raquette de rage parce que tu joues mal... Aller hop, la fessée! ça t'apprendras à mieux travailler à l'entraînement.

    En tout cas la demoiselle ne se contente pas de mouiller simplement le maillot sur le court, elle transpire aussi au vestiaire, entre les jambes, sous la fessée! Du coup, solidarité féminine, les partenaires spectatrices en mouillent aussi leur culotte!
    En cet Automne pluvieux, les zones inondables se multiplient, même sur, et en dehors des terrains de tennis!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina,
      Entièrement d’accord sur tous les points. Les humeurs des joueuses sont un point positif, mais pas à outrance. La combativité, mais pas l’agressivité. N’est-il pas ? Par contre un point sur lequel je n’avais pas d’idées était l’entrainement des fesseuses pour de bonnes raclées. Rien de telles qu’une entraîneuse de tennis. La méthodologie doit être irréprochables et le coup de main très professionnel pour faire passer à ces jeunes adultes l’envie de pourrir l’ambiance sur un cours.
      Amitié.
      Elena

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