lundi 30 avril 2018

Première fessée au martinet

"Tu sais pourtant que je tiens toujours mes promesses. Depuis le temps que nous cohabitons, tu devrais t'en être rendu compte ! Je ne parle jamais à la légère et ce que je dis, je le fais.
Ne fais pas celle qui est surprise par ce qui lui arrive. Je suis obligée d'en arriver là. Il n'y a que de cette manière que tu comprends que tu t'es comportée comme une petite peste et que tu apprends à ne pas recommencer aussitôt.

samedi 28 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 41


Si mes résultats en mathématiques s’améliorèrent, ils ne furent jamais transcendants. Exceptionnellement au-dessus de la moyenne, la plupart du temps juste en dessous et de temps en temps très mauvais. Cela me valait autant de fessées et Sœur Marie Véronique ne m’en épargna pas une.
Elle estimait qu’en travaillant, je pouvais encore faire des progrès. J’étais donc collé chaque week-end pendant lequel je passais mon temps entre la classe de Sœur Marie Véronique pour faire des mathématiques et celle de Sœur Marie-Odette qui supervisait l’écriture du rapport d’étude.

jeudi 26 avril 2018

Christine - chapitre 27


Il était bientôt l’heure de la messe. Nous étions dimanche matin et cette matinée était à peine entamée que j’en avais fait de cuisants frais. Pour m’être adonnée à l’onanisme, je venais d’être punie d’une bien cruelle façon et c’était la directrice de Ste-Marie, Sœur Marie-Joseph qui avait pris personnellement les choses en main.

Tout avait pourtant bien commencé la veille au soir. Dans notre dortoir, avec toutes les filles, nous profitions de cette fin de consigne. L’une de nous lança l’idée d’un concours de masturbation lorsque nous serions au lit. Rien de bien méchant, ce n’était là que la suite logique de discussions animées au sein d’un groupe de filles jeunes pour la plupart. Personne, ni Mlle Mathilde ni même moi n’émit le moindre refus partant du principe que sous les draps, chacune aurait son libre-arbitre de faire ou de ne pas faire...

mercredi 25 avril 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 18ème tableau

"Tous les mois, c'était le même rituel. Dés la réception de mon bulletin du collège, Maman décachetait la lettre.
Puis, elle me faisait signe de la suivre dans ma chambre, suivi de ma tante Cécile. Nous prenions nos places respectives et la lecture du "salaire de la peur" commençait... Et bien souvent, le verdict maternel restait... inchangé."

lundi 23 avril 2018

Première fessée aux orties

"Ah ça, mon garçon, tu ne peux pas dire que c'est une surprise. Ou alors, c'est que tu ne m'as pas cru quand je t'ai promis une fessée dont tu te souviendrais. Pourtant tu sais bien que je tiens toujours mes promesses.
Trois fois que je te dis qu'il est l'heure de descendre déjeuner, trois fois que tu ignores mes appels. C'est tous les jours pareil ! Et quand je monte te chercher, tu n'es pas encore complètement habillé !

samedi 21 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 40


Je m’installais dans la routine de St Marie. J’y trouvais ma place de plus en plus facilement et, dès la deuxième semaine, les règles de vie de l’établissement me semblèrent familières comme si je les vivais depuis de longs mois.
Il était aisé de s’abandonner à l’autorité des religieuses. Elles régissaient tous les moments quelle qu’en soit la nature. Il suffisait de leur obéir. La vie y était finalement assez simple. Les actes de la vie quotidienne se répétaient invariablement et vous saviez toujours ce qui allait suivre. Il y avait peu de surprise. C’était les contenus des cours qui constituaient la seule nouveauté de chaque jour.
Tout était organisé pour que notre énergie soit canalisée sur le travail scolaire. Nous n’avions quasiment pas de décision à prendre et certainement pas pour des choses importantes. Nos avis et nos opinions n’étaient pas sollicités et il aurait été malvenu que nous en fassions part.

jeudi 19 avril 2018

Christine - chapitre 26


Enfin ma retenue se terminait et avec elle ce week-end de consigne à Ste-Marie. Encore une petite nuit à tenir le coup et le fait d’assister à la messe du dimanche ne serait qu’une simple formalité. Le plus éprouvant était derrière moi, au sens propre comme au sens figuré, car mon derrière avait été durablement marqué en ce samedi. En une seule journée j’avais été fessée trois fois dont une fessée magistrale. Mais c’était la fessée donnée par Mlle Mathilde, notre surveillante de retenue, qui m’avait laissé les traces les plus durables. Pour cela la jeune professeure avait d’abord été réprimandée par Sœur Marie-Joseph dans son bureau, puis obligée de partager notre ordinaire jusqu’au lendemain et enfin fessée en réplique au sortir des douches.

Autant dire tout de suite que ce samedi avait été agité et plein de rebondissements. Magali avait également fait les frais de cette journée. En sport le matin elle avait reçu un violent coup de ballon sur son sein gauche. La douleur l’avait terrassée et avait écrasé sa glande mammaire lui provoquant une sérieuse ecchymose bleutée. Pour cela et pour mes coups reçus le docteur Wagner avait prescrit un traitement à base de crèmes apaisantes.

mercredi 18 avril 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 17ème tableau

" Miss Mac-Tarmack ne tolérait ni insolence, ni désordre pendant sa leçon. Tout manquement à cette règle se soldait pour le fautif par une retenue après le cours. Une retenue souvent assortie d'une cuisante explication...
... en tête-à-tête, sur ses genoux ! La sévérité "so British" de Miss Nancy était bien connue dans le pensionnat.
Of course ! ".

lundi 16 avril 2018

Première fessée en public

"Oh mais si, ma chérie, c'est le bon endroit et le bon moment. Juste après que tu as fait un caprice quand je t'ai ordonné de ne pas t'éloigner. Tu m'as répondu de façon tout à fait insolente. Il faut régler cela sur le champ.
Bien sûr que non, que tu aies vingt-huit ans n'est pas un problème. Il n'y a pas d'âge pour apprendre le respect et l'obéissance à partir du moment où cela n'a pas été fait quand tu étais plus petite.

samedi 14 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 39


S’il est un moment de solitude, c’est celui qu’on passe au coin. Passés les premiers temps où, parce qu’on y montre ses fesses nues, on a l’impression d’être à la convergence de toutes les attentions, on se rend très vite compte que la vie suit son cours sans s’occuper des punis qui cachent leur honte en dissimulant leur visage dans l’un des angles de la pièce.
La suite de l’après-midi dans la classe de Sœur Marie-Odette le montra encore une fois. La religieuse nous oublia et Justine eut bien d’autres sujets de préoccupation que les deux punis dans leur coin.
« Justine, vous devez avoir fini de recopier les règles de grammaire.
– Presque ma Sœur.
– Montrez voir. »

jeudi 12 avril 2018

Christine - chapitre 25


Nous faisions un beau tableau au piquet, Magali et moi, après notre fessée magistrale reçue au réfectoire devant tout le monde. Toute le monde et plus même puisque le docteur Wagner, la pédiatre attachée à Ste-Marie, était également présente. Magali, les mains sur la tête, avait sa culotte de nylon rose baissée aux genoux et sa chemise était roulée sous sa poitrine. Elle présentait à tous une paire de fesses uniformément rosies par les coups de ceinture.

Je me tenais debout à ses côtés, les mains également sur la tête et la chemise remontée sous mes seins. Seule différence souhaitée par la directrice, je ne portais plus ma culotte qu’elle m’avait retirée avant de m’administrer la fessée magistrale. Mes fesses étaient un peu plus marquées que celles de ma camarade, cela était en partie dû à la sauvage sanction que Mlle Mathilde avait cru bon me donner.

mercredi 11 avril 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 16ème tableau

En l'absence de Peter Pan parti en vacances, je reprends le flambeau pour les commentaires, pas pour le dessin. Peter Pan en est bien l'auteur, c'est un de ceux que je n'avais pas encore publié. Prévoyons son retour pour la semaine prochaine, c'est ce qu'il a annoncé.

Tante Béatrice n'hésitait pas à recourir aux châtiments les plus radicaux. Gérome en faisait régulièrement l'expérience. Il faut dire qu'il y mettait du sien.

mardi 10 avril 2018

Chez Madame Anne Sophie - 3ème récit de Vincent


Après une mémorable série de corrections au pensionnat de  Madame Anne Sophie marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.
Mon expérience de jeune pensionnaire sévèrement recadré et puni de nombreuses raclées sur mon joli postérieur m’avait à la fois beaucoup plu mais avait été quand même assez cuisant. Pour ce nouveau rendez-vous il fallait pimenter un peu plus les choses, aller plus loin dans la honte et le ressenti.

Il fut décidé que je serai invité  en vacances chez Tante aristo (Madame Anne Sophie)  à l’initiative de ma mère qui se plaignait sans cesse de ma désobéissance et de mon arrogance. Ma tante qui était une institutrice très réputée  corrigeait les vilains garnements. 

lundi 9 avril 2018

Première fessée maritale

"Tu vois, mon chéri, il n'y a que deux solutions. Soit j'accepte que tu me laisses faire seule toutes les tâches ménagères à la maison, soit tu prends l'habitude d'en faire au minimum la moitié.
Je suis désolé de t'annoncer que désormais, faire ta part de l'entretien de la maison, des courses, des repas, du rangement, et d'autres travaux que je t'indiquerai ... fera partie de ta vie tant que tu resteras marié avec moi et j'ai bien l'intention que ce soit pour longtemps.

samedi 7 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 38

Nous nous sommes retrouvés à trois, au début de l’après-midi devant la porte de Sœur Marie-Odette. Je n’avais pas très bien compris pourquoi je devais aller dans celle classe. Je me renseignais auprès des autres.
« Comment t’appelles-tu ? Pourquoi es-tu là ? »
C’était une fille de sixième qui me répondit en premier.
« Moi c’est Justine. Je fais plein de fautes d’orthographe. Ma professeure de français m’a collé pour cela. Sœur Marie-Odette elle est spécialiste. Ça va être ma fête. »
Certes, je n’étais pas un champion en orthographe, mais on ne m’avait pas fait de remarque à ce sujet. J’appris, par la même occasion, que Sœur Marie-Odette était la professeure des classes post-baccalauréat. La réponse du troisième larron ne m’apporta pas plus d’éclaircissement.
« Hum, j’ai répondu à un professeur, alors je fais la ronde des fessées. J’en ai pour une semaine.
– Qu’est-ce que c’est que « la ronde des fessées » ? 
– Oh, c’est nous qui avons appelé ça comme ça. C’est une punition qui est donnée quand un …
 – Où vous croyez-vous ? »
Sœur Marie-Odette était arrivée sans que nous l’entendissions.
« N’oubliez pas que si vous êtes ici, c’est parce que vous êtes punis. Je veux donc vous voir le nez contre le mur, les mains croisées sur le sommet de vos crânes. »

vendredi 6 avril 2018

Ce que « nouvelle fessée déculottée » veut dire quand c’est Anne-Sophie qui fesse.

Un habitué des visites à Madame Anne Sophie. Hervé nous conte son deuxième rendez-vous ... encore plus cuisant que le premier.

Madame Anne-Sophie m'avait prévenu après lui avoir exposé le motif pour lequel il me semblait nécessaire que je sois fessé à nouveau. Son texto était sans appel : « les fessées seront plus sévères mon garçon ». J’avais adoré notamment ce « mon garçon ». Le décor était bien planté : le retour aux fessées d’antan.

La séance qui s’annonçait ne serait donc pas la reconduction de celle vécue dix jours auparavant. Je traduisais dans ma tête ce que cela, à mes yeux, allait signifier : plus de sévérité appliquée, donc plus de cuisance, plus de douleur, sans doute des fessées plus longues, etc.

mercredi 4 avril 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 15ème tableau

En l'absence de Peter Pan parti en vacances, je reprends le flambeau pour les commentaires, pas pour le dessin. Peter Pan en est bien l'auteur, c'est un de ceux que je n'avais pas encore publié.
La fessée n'est pas encore effective, mais elle s'annonce sévère, malgré l'opposition de Gérome.

mardi 3 avril 2018

Axel, élève à St Marie - chapitre 37

Un épisode supplémentaire des aventures d'Axel pour nous remettre du week-end de Pâques.

Sœur Marie Véronique n’en avait pas fini avec nous. Elle se tourna vers Audrey.
« Je vous ai laissé bien plus de temps que prévu. Voyons ce que vous avez produit. »
Audrey fit une grimace qui montrait le peu de confiance qu’elle avait dans le travail qu’elle avait fourni. Sœur Marie Véronique, munie de son stylo rouge, prit place derrière la jeune femme. Elle biffa deux endroits sur le cahier d’Audrey.
« Dites-moi, Mademoiselle, comment expliquez-vous que ce signe plus se soit transformé en un moins ?
– Oh, non, je me suis trompée.
– Trompée, je ne sais pas. Plutôt une nouvelle étourderie. Bien entendu, cette erreur de signe vous a conduit à un résultat totalement faux. »
Audrey baissa les yeux. Elle savait ce que cela voulait dire.
« Et là, pouvez-vous m’expliquer le passage de cette ligne de votre démonstration, elle pointa un endroit sur la feuille d’Audrey, à celle-ci ? »
Les yeux d’Audrey s’écarquillèrent. Elle devint toute blanche.
« J’ai oublié le dernier terme de l’équation.
– Il semble bien, effectivement. J’ai l’impression que la fessée que je viens de vous donner n’a pas su vous convaincre d’être plus attentive à votre travail. Vous aviez, sans doute autre chose à faire de mieux. Prendre le temps de regarder la punition de votre camarade, par exemple ? »
Audrey semblait se recroqueviller à mesure que la conséquence de son laxisme devenait une évidence.