samedi 31 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 28

 Chacun a repris ses occupations comme si de rien n'était, j'observais néanmoins que bien des regards s'attardaient sur les fesses rubicondes de la punie qui tancée et menacée par notre logeuse de se voir allouer "un petit complément", avait fait en sorte de mettre fin à ses pleurs, jugés trop bruyants.

Elle a eu de la chance, car on devait passer à table et sa punition n'a pas duré plus d'un quart d'heure, je me souvenais d'avoir passé plus de deux longues heures, voire davantage, le nez collé contre le mur du salon de la tante Maud.

« Viens ici jeune fille, tu gardes tes mains sur ta tête. »

vendredi 30 octobre 2020

Il ne manquait plus que Cyrielle

 « Il ne reste plus que toi ! Tu sais ce qui t’attend ? Comme les copines, il n’y a pas de raison !

– Mais vous n’avez pas le droit !

– Ah, oui ? Je n’ai pas le droit ? C’est ce qu’on va voir !

– Non vous ne pouvez pas, vous n’êtes pas ma mère !

jeudi 29 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 32 acte 2

 Elena m’a appelée, de là-bas, en Angleterre.

« Vous me manquez, si tu savais !

‒ Alors, raconte ! Comment ça se passe ?

‒ Oh, ça se passe…

‒ Ça a pas l’air d’être l’enthousiasme, dis donc !

mercredi 28 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 21

 Monsieur Antoine les conduisit, tenus chacun par une oreille, au pied du grand arbre qui bordait le jardin.

« Votre nez touche l’écorce, ordonna-t-il, et les mains sur la tête ! »

Aurélie ne mit pas assez d’empressement à se mettre en place ? Une claque sur les fesses l’y encouragea. Elle se plaça d’un côté et Philippe se hâta de prendre la sienne de l’autre. Le tronc était large, ils ne pouvaient plus se voir. Monsieur Antoine rectifia la position de la jupe d’Aurélie, afin que ses fesses encore bien rouges, soient visibles.

mardi 27 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22 bis

 La rencontre

J’étais remonté de Lyon satisfait et heureux. Madame Leroy allait être contente de ce que j’allais lui raconté. J’avais défini une stratégie de diversification, j’avais identifié une entreprise cible et cette entreprise était prête à se marier avec nous.

Madame Séverine était charmante, son entreprise une pépite et en plus elle était fan des produits de la SFID. Bingo sur toute la ligne.

lundi 26 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 1

En sortant du bureau de la proviseure, Andreea A. et moi avons la tête des mauvais jours, car notre convocation au conseil de discipline est mauvais signe. Mais j’aurais dû m’en douter, car se battre est bien évidemment strictement interdit au sein de l’établissement, c’est même l’une des fautes des plus graves, pouvant aller jusqu’à l’exclusion définitive.

dimanche 25 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 138ème tableau

 Maman se réjouissait de l'arrivée prochaine de nouvelles "voisines à chignon". Elle pensait les inviter pour faire plus ample connaissance et leur présenter son grand "poussin chéri". Mazette !

samedi 24 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 27

 Je me relève comme je peux, j'ai juste le temps de m'essuyer les yeux, avant de poser mes mains sur ma tête et d'exhiber en passant devant Justine d'abord "mon attirail" comme disait la tante Maud en se moquant, je suis tellement effondré par ce qui vient de m'arriver, que mon sexe est au repos complet, un spaghetti quasi, puis mes fesses cramoisies, avant d'aller me placer face au mur dans une position qui m'est hélas habituelle.

Une heure, elle n'y va pas de main morte ma mother, encore heureux, qu'elle ne m'ait pas obligé à me mettre à genoux. Je suis au fond du trou, je ne pense plus à rien, Justine fera bien ce qu'elle voudra, de toutes façons, elle aurait été mise au courant un jour ou l'autre, tu penses bien que ma chipie de cousine n'y aurait pas manqué. Je songe avec horreur, qu’elle a toujours barre sur moi, avec la vidéo de mon abaissement total qu'elle a toujours en sa possession, il faudrait que je les récupère, mais ce serait inutile, elle a dû en faire des copies, au moins une en tout cas qu'elle aura confié à Corinne.

Je n'ai plus qu'à filer doux, faute de quoi, tous mes copains et mes copines profiteront du spectacle de mes fessées par les deux filles, plus les mises au piquet.

 

vendredi 23 octobre 2020

Il n'y a pas de raison, Gaétane également

 « Et toi, petite, Gaétane, petite demoiselle, Comme d’habitude, tu t’es laissé entraîner par les copines à faire les bêtises que les autres avaient inventées. Toujours aussi tête de linotte ! Tu as encore une fois oublié de réfléchir avant de suivre bêtement les copines dans leur désobéissance. Tu sais pourtant que Chloé ne loupe pas une bêtise quand il y en a une à faire. Et toi, comme d’habitude, tu fais comme elle !

– Oui Madame.

– Eh bien je vais t’aider à faire preuve d’un peu plus de jugeotte !

jeudi 22 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 32

 Et ça a enfin été le déconfinement.

« Oh, Théo ! Comment tu m’as manqué ! Si tu savais !

On s’était donné rendez-vous sur le chemin de l’école et, dans le petit square derrière la mairie, on a été dans les bras l’un de l’autre. On s’est pressés l’un contre l’autre. On s’est embrassés. On s’est caressés…

‒ Chuuut ! Arrête ! Arrête ! Parce que…

mercredi 21 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 20

 Maman Marianne s’activait pendant que Philippe était au coin. Il ne comprenait pas bien ce qu’elle faisait, mais il ne cessait de songer à la dernière déclaration de sa belle-mère. Ici, ce n’était pas sa chambre. Il voulait rester dans celle qu’il partageait avec Aurélie. Même s’ils n’étaient pas mariés, ils vivaient en couple depuis assez longtemps pour avoir le droit de dormir dans le même lit.

« Veux-tu te tenir tranquille, Philippe ! A moins que tu ne veuilles une autre fessée ? »

mardi 20 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 23

 La visite

Le  déjeuner  suivi cet apéritif cinglant servit par Gisèle dans la grande salle à manger de Madame Leroy. Nestor rejoignit lui, la cuisine

Madame Séverine très à l’aise dans cette ambiance qui lui plaisait,  put expliquer à ses hôtes tous les avantages des cages de chasteté de l’oiseau en cage. Et elle ne s’en priva pas. Elle estimait que tous les hommes devraient être encagés et que le monde serait meilleur. Tout un programme !

lundi 19 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 41 acte 2

 L’annonce de la fessée de Makary D. fait l’effet d’une offense parmi les adultes. Ils s’aperçoivent qu’ils n’ont pas de statut particulier et que les punitions corporelles sont bien réelles. L’un des leurs va l’apprendre à ses dépens.

Mebrahtu A., le plus âgé des adultes va trouver Fabienne D. pour tenter de la faire changer d’avis. Pour Mebrahtu A., il n’est pas concevable qu’un adulte soit fessé comme un jeune.

dimanche 18 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 137ème tableau

 Maman fut convoquée chez Mère Marie-Tatiana, la directrice de l'école Sainte-Genviève. Après un bilan calamiteux, Maman, furieuse, m'administra devant ces irréprochables Servantes de la Providence, une fessée supposée des plus  sa-lu-taire !! Mon nouveau camarade Phil Hippe assista à ma déconvenue.

samedi 17 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 26

 Je suis retourné chez ma mère soulagé, j'avais encore trois semaines de vacances avant de réintégrer l'ECS et j'entendais bien en profiter après ces derniers jours de calvaire.

Je me suis efforcé de respecter à la lettre les consignes de ma mère et miracle, je ne me suis pas ramassé de fessée !

Elle était ravie de ma nouvelle attitude et se félicitait de ses méthodes et de celles de sa sœur, je me suis bien gardé de lui confier que durant la dernière semaine de mon séjour chez la tante Maud, je m'étais retrouvé sous les fourches caudines de ma jeune cousine, qui avait tout pouvoir sur moi y compris celui de m'infliger des châtiments corporels.

vendredi 16 octobre 2020

Une fessée devant les copines pour Chloé

 « Ah, vous voilà toutes les trois ! Où étiez-vous ? Vous pouvez dire qu’on vous a cherché ! Disparues depuis le début de l’après-midi, sans qu’aucune d’entre vous ne pense à avertir sa mère ! Nous étions toutes les trois inquiètes. Je peux savoir ce que vous avez fait pendant tout ce temps ?

– On est allé se promener. On en avait envie !

– Et où êtes-vous allées vous promener ? Je peux savoir ?

– Ben, je ne sais pas exactement… par là. Où on avait envie d’aller.

– Et tu penses que ça va me suffire comme réponse ?

jeudi 15 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 31 scène 2

 Iourievna était surexcitée.

« Ça y est, la vidéo du cousin de Ruxandra. Ça y est ! On l’a. Tu viens voir ?

Une quarantaine de gendarmes, hommes et femmes, formaient deux haies, très rapprochées, entre lesquelles les dix condamnés menottés, tout nus, ont dû se frayer un chemin à la queue leu leu. En tête, il y avait la banquière, Jessica S., qui regardait tout le monde d’un air de défi, avec un petit sourire méprisant juché au coin des lèvres.

mercredi 14 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 19

 La vie s’organisait en fonction du confinement. Il était maintenant officiellement en place. Maman Marianne avait prévenu Aurélie et Philippe.

« Je ne veux pas que vous mettiez un pied en dehors de ma propriété sans mon autorisation. Si je vous y prends… »

Oui, ils savaient. Il n’y avait aucune raison que leur mère et belle-mère soit laxiste sur ce sujet, elle ne l’était pas sur les autres.

mardi 13 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 22

 Le rachat

Suite à la réunion stratégique ou j’avais présenté à madame Leroy le projet cage de chasteté comme moyen de diversification pour la SFID, je m’attelais maintenant à trouver la bonne entreprise fabricant ce type de produit à racheter.

Madame Leroy m’avait mis la pression et je devais agir vite sous peine de la décevoir. Et la déception de Madame Leroy se payait de manière cinglante et douloureuse sur les fesses nues. J’avais déjà eu à moultes reprises l’occasion d’en faire l’expérience.

lundi 12 octobre 2020

Les rebelles -chapitre 41 acte 1

 En cette rentrée scolaire, nous accueillons à Ste CROIX des adultes, venus se perfectionner au métier de l’informatique. Les formations d’adultes sont financées par l’IFCIA ( Institut Formation Continue Informatique Adulte ) et comme l’IFCIA ne peut assurer tous les cours, Ste CROIX intègre des candidats adultes pour les mener jusqu’à un niveau diplômant ( BAC, BTS ou Mastères ).

dimanche 11 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 136ème tableau

 Au cours d'un échange interscolaire, j'eus la surprise de croiser Moiselle Tapefort (Pat' pour les intimes) dans le bureau de Madame Fessard, la nouvelle directrice de l'Institut Claquemiche...

samedi 10 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 25

 Enfin, cela cesse, Lucie a abandonné son instrument de torture et passe à présent sa main sur mon fessier tuméfié.

« Venez toucher les filles, je lui ai parfaitement cramé les fesses, je crois qu'il va s'en souvenir de celle-là. »

Tu parles qu’elles se font un plaisir d'obtempérer.

vendredi 9 octobre 2020

Dernier avertissement

«  Je t’ai prévenu que je ne laisserai pas passer la prochaine fois. Et toi, qu’est-ce que tu fais ? Tu saisis la première occasion pour recommencer.

– Mais je n’ai pas fait exprès.

– C’est une excuse un peu facile, tu ne trouves pas ? A chaque fois, soit ce n’est pas de ta faute, soit tu ne l’as pas fait exprès, ou encore c’est quelqu’un d’autre qui est responsable. Tu ne crois pas que ce genre de justification soit un peu éculée ?

– Mais, ma chérie, je…

– Tais-toi, je ne veux plus t’entendre ! Je suis fatiguée de tes jérémiades de grand garçon qui a oublié de grandir dans sa tête en même temps qu’il prenait de l’âge ! Puisque tu persistes dans tes comportement puéril, il faut que je te traite comme si tu étais encore un petit garçon. Je crois que c’est ce dont tu as besoin !

jeudi 8 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 31

 Maman a appelé d’en bas.

« Les filles ! Le facteur ! Des colis pour vous !

Pour nous ? On s’est précipitées. Qu’est-ce que ça pouvait bien être ?

Deux paquets. Identiques. Tout en longueur. Qu’on a tournés et retournés dans tous les sens. Ça venait d’une certaine société Delaniaires. Ce qui ne nous disait rien. Absolument rien. Ni à l’une ni à l’autre...

mercredi 7 octobre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 18

 Le temps au coin s’éternisait. S’il en jugeait par les bruits qu’il entendait, Annette travaillait sur la table de la salle à manger. Elle avait ainsi, du moins Philippe le croyait-il, une vue en permanence sur ses fesses. Pas question de bouger. Il savait comment cela aurait fini.

Annette s’était installée sur la table de la salle à manger, la pièce où elle avait mis Philippe au coin. Elle l’avait ainsi dans son champ de vision, même quand elle écrivait. Durant un bon quart d’heure, Philippe ne bougea par d’un poil. Annette était satisfaite de son obéissance. Il mettait beaucoup de bonne volonté pour montrer sa soumission aux ordres de sa baby-sitter.

Chroniques de confinement - chapitre 17

 Philippe était de retour au coin. Ses épaules étaient encore soulevées de temps en temps par un sanglot silencieux. Sous peine d’une nouvelle fessée, c’était Mademoiselle Annette qui avait exigé qu’il fasse silence, comme il était de bon aloi quand on était au coin.

Que ce soit pour retourner en pénitence ou pour étouffer ses sanglots, Philippe n’avait pas tergiversé. Il n’y avait plus le moindre doute, dans son esprit, que sa baby-sitter avait toute autorité pour décider quel devait être son comportement durant la fin de sa punition. Il n’y avait rien dans cette situation qui l’étonnait. Finir au coin après une fessée et s’y faire oublier étaient des préceptes banals chez sa belle-mère. Il en comprenait l’utilité.

mardi 6 octobre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 21

 La diversification

Quelques jours plus tard la deuxième réunion stratégique de la SFID commençait.

Madame Leroy en tant que Présidente avait ouvert la séance en réexpliquant la nécessité de trouver de nouvelles pistes pour la pérennité de l’entreprise. Comme annoncé lors de la précédente réunion, elle commença un tour de table pour connaître les idées des cadres la SFID qui composaient le comité de Direction.

lundi 5 octobre 2020

Emma apprend à gérer son budget

 « Dis-moi, Emma, qu’est-ce que c’est que ça ?

– Ça quoi ?

– Ne commence pas à être insolente ! Regarde plutôt ! Qu’est-ce que ça veut dire ?

– …

– J’attends une explication ! Comment de fait-il que ton compte soit à découvert ?

– Je… je… Je ne sais pas.

– Tu ne sais pas ? Et bien moi, j’en ai une idée. Qu’est-ce que c’est que cet achat de deux cent cinquante-trois € ?

dimanche 4 octobre 2020

Mémoires d'un garnement de jadis - 135ème tableau

 Cette nuit-là, je nageais en plein rêve ! Pensez donc : une après-midi romantique en compagnie de Géraldine, la fille de la "Cordonnière" de Synthol. Inespéré. Mais la fin se transforma en cauchemar : nos Cerbères de mères nous flanquèrent une raclée... romantique ! 

samedi 3 octobre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 24

 Je prends beaucoup sur moi pour ne pas aggraver mes misères, si je me laissais aller, je lui enverrais, qu'elle avait raison de bien profiter de ma sujétion actuelle, car si les choses venaient à s'inverser, ce qu'à Dieu ne plaise, je serai me souvenir des turpitudes infligées. Je me retrouve donc dans la très humiliante position de repentance souhaitée.

« Tu demandes pardon et tu nous remercies de t'avoir corrigé. »

vendredi 2 octobre 2020

L’amie d’enfance de Joachim

 « C’est ta mère qui m’a appelée. Elle m’a demandé de passer te voir. Tu te doutes pourquoi ?

– Ben non, je n’vois pas. Que se passe-t-il ?

– Non, tu n’as rien remarqué ? Hier soir, tard dans la nuit, jusqu’au petit matin.

– Ah ! C’est pour ça ! Mais il s’est rien passé ! Qu’est-ce qu’on t’a raconté ? Des mensonges !

– Ce n’est pas l’avis des voisins. Ils disent qu’ils sont descendus te demander de baisser le son, mais cela n’a rien changé. Ils ont l’air tous d’accord. Pas seulement un ou deux, mais six. Six familles ! Prétends-tu qu’ils mentent tous ?

jeudi 1 octobre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 30 scène 2

 « T’en as pas marre ?

Ça faisait deux jours. Deux jours qu’Iourievna se repassait en boucle, encore et encore, la vidéo des quatre stagiaires gendarmes sévèrement fessées, devant toute la brigade, à grands coups de palettes de punition.

‒ Hein ? T’en as pas marre ?

Elle n’a pas relevé la tête.