vendredi 2 octobre 2020

L’amie d’enfance de Joachim

 « C’est ta mère qui m’a appelée. Elle m’a demandé de passer te voir. Tu te doutes pourquoi ?

– Ben non, je n’vois pas. Que se passe-t-il ?

– Non, tu n’as rien remarqué ? Hier soir, tard dans la nuit, jusqu’au petit matin.

– Ah ! C’est pour ça ! Mais il s’est rien passé ! Qu’est-ce qu’on t’a raconté ? Des mensonges !

– Ce n’est pas l’avis des voisins. Ils disent qu’ils sont descendus te demander de baisser le son, mais cela n’a rien changé. Ils ont l’air tous d’accord. Pas seulement un ou deux, mais six. Six familles ! Prétends-tu qu’ils mentent tous ?

– Oui… enfin, non… je ne sais pas. Je ne me rappelle plus.

– Tu ne te rappelles plus ? Je trouve que tu as la mémoire bien courte. La musique à fond, jusqu’à quatre heures du matin ? Non, toujours pas de souvenir ? Tu avais bu ?

– Non, rien. Oui peut-être un peu.

– Un peu de quoi ? De souvenirs ? De bruit ? De boisson ? De quoi parles-tu ?

– Non, non je me rappelle… un peu. Oui, ils sont venus. J’ai baissé le son… un peu.

– Ce n’est pas leur avis !

– Ah ?

– Non, pas vraiment ! D’après leur dires, ils n’ont pas pu dormir de la nuit. Et cela ne semble pas t’émouvoir. Comme si c’était normal de faire autant de vacarme sans se préoccuper des voisins.

des remontrances qui vont finir en fessée


– Oui, mais je travaillais. La musique, c’était pour le travail.

– Pour le travail ? A quatre heures du matin ? Parce que tu es musicien maintenant ! Première nouvelle ! Tu te moques de moi ?

– …

– Ta mère dit qu’il est temps que tu comprennes que tu ne peux plus te comporter comme si tu étais tout seul au monde. Elle dit qu’il faut réagir. C’est pourquoi elle m’a envoyée.

– Toi, mais pourquoi toi ?

– Devine ! »

baisser le pantalon


« Il paraît que depuis que tu vis dans cet appartement, c’est de mal en pis. Est-ce vrai que tu n’as pas été au travail la semaine dernière ? Et que cela fait trois fois en deux semaines que tu empêches les voisins de dormir ? Et je ne compte pas les plaintes à cause de ton impolitesse ! Crois-tu que ta mère et moi, nous allons te laisser t’engager sur cette voie ?

– Non, je sais. Bon, c’est d’accord, je ne le ferai plus.

– Promesse un peu tardive, tu ne trouves pas ?

– Mais qu’est-ce que tu fais ?

– Ça ne se voit pas ? Je te baisse le pantalon.

déboutonner le pantalon


– Mais attends, ce n’est pas possible§

– Ah oui ?

– Mais tu n’as pas le droit !

– Tu sais bien que j’ai ce droit depuis le jour où, tu avais vingt-deux ans, je t’ai déculotté et fessé pour ton impolitesse. Je n’ai que quatre ans de plus que toi et nous nous connaissons depuis que nous sommes tout petits. J’ai toujours été chargée, par ta mère, de te faire obéir quand elle n’était pas là. Cela a bien fonctionné jusqu’au jour où tu as décidé de me défier, sous prétexte que tu étais un homme. Un homme, peut-être, mais avec le pantalon et la culotte baissée. Ce jour-là, ça a été ta première fessée, du moins la première que je t’ai donnée. Tu as dû en recevoir bien d’autres de la main de ta mère.

– Mais attends… non !

la culotte baissée


– Attendre ? Je crois au contraire qu’il est urgent de prendre des mesures. Tu te rappelles la dernière fessée que je t’ai administrée ? Tu avais un peu plus de trente ans et tu avais commencé à devenir incontrôlable. A cette époque je te fessais très souvent. Même une fois dans la rue. Je suis certaine que tu t’en souviens. Ce jour-là, je t’ai promis de revenir te fesser si tu en avais de nouveau besoin, quel que soit l’âge que tu aurais. Tu t’en rappelles ?

– Oui… non… euh…

– Il s’est passé plus de dix ans, tu as maintenant quarante-deux ans et je suis venue pour tenir la promesse que je t’avais faite.

– Non, non, pas la culotte, non !

– Bien sûr que si ! Est-ce que je t’ai déjà donné une fessée sans te baisser d’abord la culotte ? Pourquoi voudrais-tu que ça change ?

baisser la culotte


– Mais… mais… mais, je suis trop grand ! Tu ne peux pas… faire ça !

– Tu seras trop grand pour prendre une fessée déculottée quand tu sauras t’autodiscipliner. Et ce n’est pas demain la veille ! En attendant, j’ai bien l’intention de te monter que quand on se conduit comme un garçon immature qui fait des bêtises, tout ce qu’on mérite, c’est une bonne fessée ! Tu vas voir comment, même à plus de quarante ans, c’est très efficace pour prendre conscience que son comportement a été inadmissible.

– Oh, non, c’est pas vrai ! Mais, tu vas tout voir ! C’est… c’est…

– C’est quoi ? Crois-tu que ce soit la première fois où je vois les fesses nues d’un grand garçon, le derrière et le devant ? Et puis, franchement, tu n’as pas grand-chose à cacher. De toute façon, cela fait partie de la punition des vilains garçons, quel que soit leur âge. Il faut leur montrer que s’ils ne sont pas assez responsables pour bien se comporter, c’est qu’il faut leur donner la fessée déculottée. Je ne vois pas pourquoi je ferais une exception pour toi.

– Mais non… attends… non… je…

–D’ailleurs, ça me permet de découvrir une autre négligence de ta part ! Quand as-tu pris ta dernière douche ? Pas aujourd’hui ! Au vu de la propreté de tes fesses et de ton kiki ! Hier ? J’en doute ! Alors ?

– …

– Je vois. Je m’occuperai de ça tout à l’heure. Enlève tes mains. C’est trop tard pour faire état d’une pudeur malvenue quand on va prendre une bonne fessée déculottée !

prêt pour la fessée déculottée


– Aïe ! Non !

– Te voilà dans la position où j’aurais dû te mettre bien souvent ces dix dernières années ! Nous n’en serions pas là ! Sans doute si j’avais tenu quelques années de plus, tu aurais compris depuis longtemps qu’l est préférable de se gouverner soi-même plutôt que d’attendre que d’autres le fassent à ta place. A quoi bon avoir des regrets ? C’est comme ça ! Il faut juste rattraper le temps perdu. Et ça commence aujourd’hui !

– Aïe… arrête tout de suite ! Aïe… non…

– Tu te crois encore autorisé à me donner des ordres ? Mon garçon, j’ai l’impression qu’il y a une bonne partie de la situation qui t’a échappé. Cette fessée est loin d’être arrivée à son terme. L’arrêter maintenant ? Tu n’en retiendrais rien !

à plat ventre en travers des genoux pour la fessée


– Aïe… pardon… je ne le ferai plus… aïe…

– Ah, tu commences à comprendre ! Mais tu ne sais pas encore tout. Pour commencer, quand je vais en avoir fini avec tes fesses, c'est-à-dire pas tout de suite, tu iras au coin. Ce sera pantalon et culotte baissés. J’irai alors chercher les voisins que tu as indisposé hier. Quand ils seront tous là, tu leur présenteras tes excuses. Je tiens à ce qu’ils puissent constater de visu comment tu as été puni. Je les encouragerai ceux qui le veillent bien à te donner une fessée, en complément de celle que tu as déjà reçue. Si j’en juge par leur exaspération, je parierai bien qu’il y a deux ou trois de ces dames qui vont profiter de l’occasion pour te faire payer toutes tes insolences. Si un ou deux messieurs veulent s’y essayer, ils seront les bienvenus !

la fessée déculottée


 – Ensuite, dès ce soir, tu fais tes bagages. Hors de question que tu continues à habiter tout seul. Tu n’en es tout simplement pas capable. Ta mère proposait que tu retournes habiter chez elle, mais j’ai une meilleure idée. J’ai une chambre d’amis dans ma maison. C’est là que, désormais, tu vas demeurer. Je préfère t’avoir sous la main. Je vais pouvoir te surveiller et vérifier que ton comportement réponde à mes exigences.

– Oui, mais aïe… s'il te plait, aïe… je n’en peux plus, aïe… je ferai ce que, aïe… ce que tu voudras, aïe…

Je peux te promettre que tu vas devenir le garçon le plus obéissant, le plus travailleur, le plus soigné, le plus ordonné… et j’en passe, de toute la terre. Et tu sais comment je punirai le moindre de tes écarts !

une bonne fessée déculottée

Quelles que soient les circonstances, je te donnerai la fessée à chaque fois que je jugerai que tu en auras besoin. Et je ne tiendrai pas compte de l’endroit où nous serons, ni s’il y a d’autres personnes présentes. Ce sera la fessée déculottée, même si nous sommes dans le rue ou dans un magasin. Tu vas apprendre à devenir bien sage. Il n’est jamais trop tard pour bien faire.



Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo ou au concepteur du logiciel qui permet de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Des amies obligeantes 

une fessée déculottée devant une amie une fessée en public


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6 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    Bon récit, comme d'habitude.
    Ce logiciel est un bon outil au final.
    Quant aux photos, il me semble qu'elles font partie d'ne série du site "Clare spanks men" animé par Clare Fonda. Cette jeune femme est l'une de ses assistantes , je suppose. A vérifier.
    Amicalement. Peter.

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    1. Peter,
      Je pense que vous avez raison. C'est bien de ce site que sont issues les photos. Le logiciel est pas mal, mais avec Photoshop, on obtient de meilleurs résultats. Vous verrez lundi.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. j'adore avec les dessins mais sa fait 2 fois que je vois l'histoire avec dessins et comme je lit l'histoire a la fin il dise qu'il le fesseras en public mais il a jamais de suite parce que en vois jamais le dessin en public et dans les dessins il faudrait m'être une femme ou un homme d'un certain âge fessée par une jeune avec une belle histoire qui correspond.

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    1. Gérard,
      C'est le jeu. Ce sont des histoires courtes sans suite. Il y a d'autres récits avec des fessées administrées par des jeunes femmes à des adultes plus âgées.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. Bonjour à tous,,

    Belles illustrations, aussi colorées que les fesses du puni. le traitement de l'image, très contrasté apporte une précision proche de la HD. Ces petites chroniques sont très plaisantes et toujours en démonstration du rôle de la fessée comme mode opératoire d'une démarche éducative.
    Cordialement
    Ramina

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  4. Bonjour à toutes et tous.
    J'aime beaucoup ce récit et les illustrations qui vont avec.
    Ah, être fessé de la sorte parune belle femme black!
    Le rêve.

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