Quiproquo 2ème épisode

Si je m'attendais à cela ! Décidément, j'avais sous estimé ma bru. Je ne pensais pas qu'elle mettrait autant d'énergie à construire un environnement aussi attentif aux besoins de mon fils.

Qu'elle s'en soit chargée elle-même m'avait déjà surprise, mais qu'elle vous recrute, vous sa mère, pour la seconder prouve que j'avais tort et qu'elle est l'épouse dont mon fils avait besoin. Je dois avouer que je l'ai pas vu venir et que la pertinence de ses choix me confond. Cela m'incite à plus de modestie.

Je n'aurais jamais pensé à déléguer à sa belle-mère la responsabilité de discipliner mon fils quand ma fille n'est pas là. Je vois que vous avez pris le travail à cœur. Je comprends qu'il n'ait pas eu envie de vous amener chez moi, tout en sachant qu'il risquait d'y prendre une fessée, soit de vous, soit de moi. Mon fils n'a jamais su se tenir en compagnie. Il faut le punir, presque à chaque fois.

Je dois avouer que je n'ai pas compris tout de suite quand vous lui avez ordonné de venir vous voir après le gros-mot qu'il a proféré. Je n'ai pas eu le temps de réagir que vous l'aviez déjà pris en main. N'ayez crainte, si vous n'aviez pris l'initiative en première, c'est moi qui m'en serait chargée. Puisque vous avez commencé, je vous laisse aller au bout. Ce qui est important c'est qu'il soit puni, peu importe par qui et vous semblez avoir l'habitude de ce type de situation.

Je n'ai vraiment compris ce que vous vouliez faire que quand vous lui avez baissé le pantalon. Jusque-là, j'ai plutôt circonspecte. J'approuve, sans réserve, que vous l'ayez déculotté. Il n'y a que comme ça qu'il apprend : à plat-ventre sur des genoux, la culotte baissée et les fesses bien rouges.

Mais vous devez savoir cela aussi bien que moi. A la façon dont il vous a obéi, je vois bien que ce n'est pas la première fois que vous le placez dans cette position. Vous disposez de l'autorité nécessaire pour qu'il obéisse sans discuter. C'est le fruit de l'habitude.

Je suis ravie de l'organisation que ma bru a mise en place. C'est bien évidemment elle qui se charge de mon cher fils le plus souvent. Elle m'a raconté, la semaine dernière pendant que nous prenions un café après qu'elle avait mis son mari au coin. C'était après la fessée déculottée qu'elle lui avait donnée devant moi. Une première ! Je dois avouer qu'elle est plus sévère que moi.
Quand elle ne peut pas s'en occuper, elle le confie soit à vous, soit à moi. Dans les deux cas il est soumis à une discipline implacable. Vous le fessez quand il en a besoin, c'est le détail que j'ignorais.
Je dois vous avouer que je préfère qu'il soit sous la surveillance d'une personne qui n'hésite pas à le punir. Il est tellement inconséquent qu'il pourrait profiter de l'absence de sa femme pour faire une bêtise.

Je vous en prie, finissez cette fessée, nous aurons tout le temps de boire un café quand vous l'aurez mis au coin !

Encore un dessinateur anonyme que je remercie malgré tout

Il s'agit du dessin de couverture d'une revue diffusée par Scarlett Hill , Non nonsens Ladys, numéro 31 (voir lien ci-contre, vers le site, dans la rubrique "à suivre également" dans la colonne de droite).

Les belles-mères sont bien souvent mises à contribution

                                                   

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