Sous les fessées : l’obéissance
Après
le claquement des deux fessées en simultané qui avaient généreusement retenti
dans toute la maison, un calme, tout à fait provisoire, était revenu dans le
salon. Un silence relatif y régnait, seulement troublé par les sanglots et
reniflements difficilement réprimés d’Edouard et Robin. Leur fesseuse
respective les avaient envoyés se positionner au coin en pénitence, chacun à son
mur d’angle, déculotté, chemise relevée au-dessus de leurs fesses écarlates.
Gladys
et Patricia, la main délicieusement piquante, encore imprégnée de la chaleur
des fesses qu‘elles venaient de claquer à plusieurs reprises, dégustaient leur
whisky pur malt, en profitant du réjouissant spectacle. Un moment de
contemplation, bien gagné,
Les deux paires de fesses flamboyantes,
gonflées sous les claques, leur
renvoyaient la récompense de l’énergie qu’elles avaient déployée à leur
administrer les fessées méritées pour sanctionner leurs écarts de comportement.
Malgré
le nombre de corrections déjà distribuées, elles n’en avaient pas encore fini
avec leurs fesses. Décidées en toutes circonstances à sévir sans faiblesse pour
faire respecter leur autorité, elles ne laissaient passer aucune faute relevée
justifiant une fessée. C’étaient la méthode habituelle. La meilleure selon
elles. Les fessées se succédaient les unes après les autres, quel qu’en soit le
nombre prévu et l‘état des fessiers en pénitence. Elles les administraient
toutes avec la même implacable sévérité,
aussi longues et cuisantes qu’elles l’estimaient nécessaire en proportion de la
gravité des désobéissances constatées. La couleur et la cuisson des fesses
rendaient compte de l’efficacité et de la valeur d’exemplarité des punitions.
Entre
les écarts d’Edouard et le comportement scolaire de Robin, le week-end se
déroulaient dans une logique disciplinaire, conforme au respect des règles de
comportement édictées par les maîtresses femmes. Ces messieurs multipliaient
les séjours sur les genoux de leurs fesseuses, les slips glissaient en allers
et retours sur les cuisses au gré des déculottages successifs et les séances de
fessées se succédaient dans une chaude ambiance de recadrage éducatif. Un week-end de détente ordinaire, pour ces
Dames en recherche d’activité physique joignant l’utile à l’agréable.
Gladys,
de retour dans le canapé posa son verre sur la table basse et s’y adossa en
croisant haut les jambes. Elle aimait entendre le crissement de ses bas nylon
sur ses cuisses et exhiber, sans complexe, sa féminité dominante, jusqu’au bout
de ses jarretelles soigneusement tendues sur ses cuisses. Le contraste était
saisissant entre l’élégance frivole de ses tenues et l’implacable sévérité dont
elle faisait preuve pendant les séances de fessées.
Les
bras en arrière, négligemment posés sur le dossier du canapé, le menton relevé,
la maîtresse femme enveloppe d’un regard
satisfait les paires de fesses rougies à l’écarlate de son mari et de son fils.
« Comme ils sont devenus sages tout d’un
coup nos petits chéris ! On fait moins les malins maintenant qu‘on a les fesses
en feu! La fessée il n’y a que ça de vrai pour calmer les ardeurs
récalcitrantes ! N‘est-ce pas ma chérie ? »
Patricia,
enfoncée dans le fauteuil, se détendait avec nonchalance, les jambes croisées,
les talons aiguilles posés sur le rebord de la table, rafraîchissant la main
qui venait de fesser autour de son verre rempli de glaçons.
« Patricia! Insiste la mère, tu pourrais
répondre quand je te parle !
–
Oui maman, oui, je partage entièrement ton avis sur la fessée. Tu le sais bien.
J’adore fesser en plus...
– Il n’empêche… tu as l’air ailleurs.
–
Pas du tout maman. Je pensais à Edwige. J’aurais voulu voir sa tête quand tu
lui as fait entendre claquer les fesses d’Edouard au téléphone. C’était
divinement drôle.
–
Ah… chère Edwige! Telle que je la connais, ça a dû beaucoup l’amuser, oui, et
même l’inspirer… Elle qui est toujours en recherche de nouvelles positions ou
d’idées originales pour pimenter ses séances de fessées.
Patricia
hoche la tête en signe d‘approbation. Elle connaît l’intransigeance de la
discipline domestique pratiquée par l’amie de sa mère et la notoire sévérité de
ses fessées.
–
Si j’ai bien compris, tu l’as invitée samedi avec son mari et son fils pour une
petite soirée d’échanges de bons procédés. »
Gladys
apprécie la vivacité d’esprit de sa fille à comprendre rapidement les
situations.
« C’est exactement ça ! Ces messieurs ne
marchent qu’à la fessée ! Il faut sans cesse les déculotter et leur claquer les
fesses pour les rendre obéissants. Ils ne se comportent en adultes responsables
que les fesses rouges et cuisantes après une bonne raclée !
–
C’est donc l'occasion d'une bonne séance entre amies. Un atelier fessée en
quelque sorte, encore du travail en perspective ! »
Répond Patricia sans détour.
La
discussion se poursuit à voix haute entre les deux femmes sans qu’elles se
préoccupent le moins du monde de deux punis toujours au coin, déculottés,
directement concernés par la teneur de leur conversation.
Gladys reprend.
« Et oui ma chère. On ne va tout de même
pas se plaindre de devoir flanquer des fessées pour la bonne cause, notions de
savoir vivre, d'obéissance et de respect…
–
C’est bien ce que tu m’as appris maman, par le nombre incalculable de fessées
que tu m’as si bien administrées. Mes fesses s’en souviennent de tes leçons !
–
J’espère bien ma chérie ! Et c’est aussi grâce à ces nombreuses fessées
qu’elles sont aussi bien développées aujourd‘hui. »
La
jeune femme apprécia le compliment de sa mère et rosit de plaisir en
trémoussant son plantureux derrière sur son fauteuil.
«En tous cas maman, quel week-end bien rempli
! Dit-elle en faisant teinter les petits morceaux de glace dans son verre. On
ne sait plus où donner de la main!
Gladys
d’un réalisme implacable.
–
Bien sûr que si ma chérie ! Sur deux belles paires de fesses à corriger pour
des raisons tout ce qu‘il y a de plus justifiées.
–
C ‘est vrai maman. Il en reste encore combien ?
–
De fessées ? Une pour chacun ! Edouard pour fêter son troisième Pub et Robin
pour le punir de son insolence envers ses professeurs. Il restera ensuite la
fessée au martinet pour inaugurer celui que je viens d’acheter.
Patricia
est ravie. Elle termine son verre qu’elle repose sur la table en le faisant
claquer d’un coup sec.
« Je crois bien que c’est la première fois
que je mets autant de fessées en aussi peu de temps ! J’en ai la main qui
frétille de plaisir ! Mais que je te signale, maman, que tu ne m’as toujours pas
laissé fesser Edouard !
–
Cesse de râler Patricia, tu vas lui flanquer sa prochaine fessée. Comme convenu.
–
Ce n’est pas trop tôt ! Minaude
l’intéressée en faisant semblant d’être toujours contrariée. Depuis le temps
que je te vois le corriger je me demande à chaque fois pourquoi tu ne me
laisses pas en profiter, moi aussi.
–
Tu n’étais pas prête Patricia ! Les
fesses d’Edouard sont devenues particulièrement endurantes. Il faut taper très
fort et longtemps pour que les fessées soient efficaces. Maintenant, ça suffit
! Je n’aime pas quand tu fais des caprices comme ça... à ton âge. Dans cinq
minutes, ses fesses seront sur tes genoux,
–
Ah quand même !
–
Oui, mais si tu continues je ne vais pas me gêner pour te prendre avant sur les
miens, Ça fait longtemps que je n’ai pas fait sauter tes grosses fesses sous une bonne fessée déculottée bien
cuisante!
–
C‘est bon maman ! Grogne un peu Patricia qui sait sa mère tout à fait capable
de mettre sa menace à exécution.
–
Ça ne me déplairait pas tiens! Pour me refaire la main avant les prochaines
fessées !
– D’accord maman… J’arrête de faire la maline.
–
Tu fais bien ma chérie, parce que la fessée vient de te passer au ras du slip !
–
Ooooh maman... s’il te plaît !
Gladys
sourit en coin. Comme si ce n’était que partie remise. Elle se tourne alors
vers les deux hommes toujours au garde à vous face aux murs, déculottés, les
fesses à l‘air bien en évidence. Habituées depuis longtemps aux fessées à
répétition, elles récupèrent assez vite et commencent à descendre d‘intensité
en couleur et en cuisson. Gladys l’habitude. Pour les avoir en mains
régulièrement, elle a déjà eu maintes fois l’occasion d’en tester
l’endurance et l’étonnante capacité de
récupération. Une vigoureuse reprise de fessées s’impose pour leur redonner la
belle rougeur éclatante conforme au niveau de cuisson que la punition exige.
« Patricia, encore une tournée avant le
dîner pour en finir avec les punitions du Week-End!
–
Toujours avec plaisir maman !
Comme
à la parade Gladys tape à nouveau dans ses mains pour annoncer la reprise des
festivités
« Edouard, Robin... Venez ici tous les
deux ! C’est l’heure de votre nouvelle fessée! On se reculotte et on vient vite
présenter ses fesses. Une fessée ça n‘attend pas!
–
Sinon ça claque plus fort !
Ajoute
Patricia en se frottant les mains. Elle a déjà quitté le fauteuil et s’est
positionnée, jupe retroussée, sur un des tabourets à fessées. Pendant que les
deux hommes se reculottent Gladys vient s’asseoir à son tour sur l’autre
tabouret.
« Edouard,
en position déculottage sur les cuisses de Patricia, Robin sur les miennes ! On
s‘active ! »
Les
deux punis ont à peine le temps de se reculotter. Ils finissent de remonter
leur slip en se précipitant sur les genoux de leur correctrice respective pour
aller chercher leur fessée. Elles s’amusent ouvertement à les voir se déplacer
en se dandinant comme des pingouins, le pantalon sur les chevilles,
traînant par terre.
« C'est bien, on est obéissant, vos
fessée sont prêtes il n’y a plus qu’à les servir !
Ils
sont plantés devant elles les mains sagement croisées dans le dos en attendant
les consignes.
Edouard
le premier commence à protester timidement.
« Gladys, je t’en prie, plus de fessée
s’il te plaît. On a déjà été punis plusieurs fois. On a compris on ne
recommencera plus! N’est-ce pas Robin ?
–
Oui maman... Patricia... promis ! Assez de fessées, on a les fesses encore
cuisantes des précédentes ! »
Gladys
insensible à leur jérémiades les regarde l’un après l’autre.
« Mais
qu'est-ce qu'il vous prend mes chéris ! On discute maintenant, on négocie ses
fessées, on se rebelle même ! »
Elle
désigne du doigt l’emplacement au sol entre ses jambes écartées. Le ton est
ferme, et tranchant.
« Robin, à genoux aux pieds... Edouard, même chose devant Patricia ! »
Les
deux hommes s’exécutent en regrettant déjà leur intervention. Gladys soulève le
menton de son fils d’un index tendu et le force à la regarder dans les yeux.
Patricia fait de même avec Edouard.
« Ecoute ce que dit maman! »
Gladys
même l'interrogatoire avant la correction.
« Maintenant vous allez répondre
clairement. Estimez-vous avoir mérité les fessées qu’on vous a administrées et
celle qui va suivre dans quelques instants ? Répondez ! Robin ?
–
Euuuh, maman … c’est…
–
Réponds à ma question Robin ! De toute façon, les fesses vont te cuire !… Alors
?
–
Et bien… euuuh, ou...oui... en fait, euuuh .
–
En fait quoi ? Tu les as méritées c’est tout ! Alors te souviens-tu, au moins,
des raisons de cette nouvelle fessée ?
Robin
aurait bien voulu argumenter, discuter l’extrême sévérité de maman, mais il
savait au fond de lui-même que sa position était indéfendable. Ses résultats
scolaires étaient nettement insuffisants, son comportement trop souvent déplacé
et ses insolences inadmissibles, bien réelles. Son attitude avant de rentrer à
la maison, si peu respectueuse. Que pouvait il négocier connaissant l’implacable
autorité de sa mère dans l'application des règles de discipline qu‘elle
imposait dans la maison... Il répond du bout des lèvres.
« Mon insolence ...maman… envers mes
professeurs… maman … désolé.
–
Parfait, c’est la réponse que j’attendais. Et maintenant qu’est-ce que tu as
mérité pour te punir de cette mauvaise habitude et te faire passer l’envie de
recommencer ?
–
Une… une fessée maman !
–
Exactement, une fessée! C’est bien, tu l’admets! Une bonne fessée bien
cuisante, pour t’imprimer sur les fesses ce que tu n’arrives pas à mémoriser
dans ta tête ! »
Robin se dandine d’un genou sur l’autre en se
tenant les fesses à pleines mains.
«
Oooh maman, ça va faire la quatrième fessée de la journée… s’il te
plaît... pas trop fort… »
Gladys
d'une écœurante mauvaise foi.
« Voyons Robin, celle de ce matin ne
compte pas … C’était juste une fessée d’échauffement pour préparer celles de
cet après-midi. Nous sommes en train de
régler tes problèmes de scolarité et de discipline à Ste Marie. Les fessées
c’est fait pour ça. Trois motifs graves, trois fessées, c’est le tarif
minimum... pas cher payé! Aller grimpe sur mes genoux, pour que je te
déculotte, je vais te faire passer le goût de l’insolence ! Patricia à toi de faire la leçon à
Edouard. »
Patricia
a suivi avec attention, la démonstration d’autorité de sa mère et la manière
dont elle a fini par faire accepter à Robin le bien-fondé de sa troisième
fessée. A genoux devant sa belle-fille, Edouard, pantalon aux chevilles attend
le bon vouloir de la jeune fesseuse. La
mise au point, ne dure pas longtemps, ses lamentables exploits nocturnes sont
si flagrants qu’il ne peut émettre la moindre contestation sur la sévérité
annoncée de sa correction. Cette nouvelle fessée s’impose comme une évidence
pour célébrer la fin de sa glorieuse tournée au dernier pub.
Obéissant
sans autre discussion à l’injonction pleine d’autorité de sa mère, Robin s’est
remis en positon, à plat ventre sur ses cuisses. Les mains en appui sur le sol, il connaît par
cœur la position à prendre pour la satisfaire et pousse sur ses bras pour lui
monter ses fesses à portée de main. Elles lui chauffent toujours. Sans les
voir, il les sent encore rouges de la dernière raclée et tremble à l’idée de
s’en prendre une autre par-dessus.
D’un
geste élégant Gladys glisse sa main toute entière dans son slip en passant sous
l’élastique et le déculotte en souplesse, accompagnant la descente d’une paume
caressante le long des volumes fessiers. Elle a un petit sourire amusé
lorsqu’elle les sent se crisper au passage. Sans autre préliminaire elle
démarre aussitôt une retentissante fessée. Le gros derrière encore enluminé des
précédents traitements successifs est immédiatement réactif et se tortille
frénétiquement sous les claques au rythme régulier des allers et retours.
Incapable
de se retenir, Robin fond en larmes et se met à pousser des halètements de
douleur en trépignant des mains sur le sol. Ces manifestations bruyantes
n’impressionnent pas Gladys, le moins du monde.
« Je sais mon chéri, je sais, dit-elle
d‘un ton détaché, indifférente à la souffrance qu’elle lui inflige, la fessée
ça fait mal, surtout celle-là ! Et je fais ce qu‘il faut pour ça, c’est le prix
de l’insolence mon cher. »
Et
comme pour souligner son propos elle redouble de vigueur en tapant encore plus
fort. Robin fait des ruades, en hurlant sur ses genoux.
« Pitié maman! Pitié, pas si fort !
Raaaah, tu tapes dur encore! Ça suffit la fessée ! Arrête, pitié ! Aaaah ça
cuit maman ! Ça cuit !
– Evidemment que « ça cuit » comme
tu dis. Une bonne fessée ça doit naturellement cuire. C’est fait pour ça...
pour punir, sinon ça ne sert à rien. Aller, on continue ! Fais plaisir à maman
au lieu de hurler. Je veux une belle danse des fesses, bien en rythme !
Jusque-là
concentrée sur le derrière qu’elle corrige, Gladys, sans pour autant ralentir
la cadence, relève la tête en direction de Patricia, qu’elle trouve curieux de
ne pas entendre.
Elle
vient de se lever du tabouret et conduit Edouard vers le fauteuil en le tenant
par l’oreille.
« Mais enfin Patricia qu’est-ce que tu
fais ? Depuis le temps que tu réclames de corriger ton beau-père, qu’est-ce que
tu attends ?
–
J’ai décidé de changer de position, tu vas voir. Puis s’adressant à son
puni qui traîne son pantalon sur les chevilles.
Aller, avance, dépêche-toi ! »
Elle
s’amuse du regard interrogateur de sa mère. Arrivée au fauteuil elle pousse
Edouard qui s’affale courbé en deux sur l’accoudoir.
« Allonge toi là et ne bouge pas! La tête
au fond du coussin ! »
Elle
retrousse sa jupe en tortillant des hanches et l’enjambe pour s’asseoir sur lui
à califourchon, pesant de tout son poids pour l’immobiliser sous son volumineux
postérieur. Le malheureux étouffe à moitié, écrasé sous la lourde masse
charnue. Sa voix parvient à peine de dessous le fessier de la jeune femme qui
lui enfonce le buste dans le coussin du
fauteuil.
« Non Patricia... Arr...arrête… Pas… pas
comme ça ! Je ne peux pas…
–
Mais si tu peux! Tourne ta tête sur le côté pour pouvoir respirer ! »
Elle se soulève et se rassoit sur sa joue en
faisant rebondir plusieurs fois son derrière dessus pour le caler à sa
convenance. Dans le même mouvement elle
lui fait relever les fesses qu’elle coince solidement entre ses fortes cuisses.
Beau papa est à sa merci, parfaitement immobilisé. Les fesses exposées sans
aucune possibilité de tenter le moindre geste de défense.
Les
mains sur les hanches, chevauchant sa victime d’un air triomphant, elle
interpelle sa mère qui continue à claquer les fesses de Robin avec ardeur.
« Alors maman, qu’est-ce que tu en penses
? Pas mal la position non? C’est mieux qu’au tabouret quand même !
–
Excellente ma chérie ! Vraiment excellente !
Commente
Gladys en serrant les dents sur une rafale fesse droite, fesse gauche plus appuyée. Robin, s’égosille et répand ses
larmes sur le carrelage.
« Voilà une utilisation du fauteuil
originale et intéressante. Impossible de
rater une fessée dans une telle position !
–
Fais-moi confiance maman, depuis le temps que j’attends l’occasion... je ne
risque pas de la rater celle-là! »
Elle
lève sa main bien haut, cambre les reins à la recherche du maximum d’élan et la
fessée commence, accompagnant celle de Robin qui claque toujours au même
rythme. Le vacarme est assourdissant. Soumises aux cuisantes rafales les deux paires de fesses retentissent à
l’unisson, emplissant toute la pièce de leur brillante sonorité. Cadencées avec énergie sous les mains fermes
de ces dames, elles rebondissent en chœur, dans un même irrésistible élan.
Celles de Robin valsant sur les genoux de sa mère et celle d’Edouard pilonnées
entre les cuisses serrées de Patricia.
Les
deux femmes n’ont pas besoin de motivation particulière pour corriger leur
puni. Le claquement bien rythmé des fessées suffit à entretenir leur ardeur à
rougir les deux derrières, particulièrement soignés de ce côté-là. Déjà bien
reluisant sous les fessées précédentes ils s’enluminent maintenant d’un
éclatant rouge écarlate du meilleur effet.
« Il faut qu’on fesse ensemble plus
souvent ! »
S’exclame
Gladys en insistant sur la partie inférieure des fesses de Robin légèrement
moins cuite que le reste. Il souffre Robin, il bave de douleur, renifle
bruyamment sans pouvoir retenir ses larmes dont il mouille abondamment le sol,
C’est
la troisième fessée que sa mère lui inflige depuis le début de la journée. Rien
que de plus normal. C'est le tarif habituel pour le genre de fautes commises,
qu'il doit accepter .sans émettre la moindre contestation.
Indifférente
à la souffrance de leur victime, Gladys et Patricia continuent d'échanger leurs
commentaires en fessant.
« Tu ne trouves pas ça stimulant
d’administrer deux fessées en même temps ? »
« Oh si maman, tout à fait d’accord
! » Répond Patricia en plein effort. Je ne sais pas ce qu’en pensent
ces messieurs.
–
Oh tu sais, ces messieurs dans cette situation ne pensent pas. Ils sont trop
occupés à garder leurs fesses bien en place pour ne pas risquer une fessée
supplémentaire.
–
C‘est vrai ! N‘est-ce pas Edouard ? »
Portée
par l’euphorie de fesser son beau-père Patricia ne ménage pas ses forces et
accélère la cadence en appuyant bien les claques. Elle se régale enfin, à son
tour, de la ferme élasticité du gros derrière qu’elle a vu tant de fois sauter
sous les fessées de sa mère et qu’elle sent maintenant vibrer sous sa main.
Elle lui fait payer très cher ses écarts de la veille. La fessée c’est bien
mais dans une position aussi humiliante pour la rendre plus mémorable, c‘est
encore mieux.
Le malheureux immobilisé sous le large fessier
de la jeune femme qui le chevauche en le fessant, subit sa correction sans
pouvoir bouger un petit doigt. Les plaintes et les supplications désespérées à
peine audibles qu‘il lance entre deux sanglots, sont en partie couvertes par le
claquement de sa fessée et finissent étouffées dans le coussin du fauteuil.
Patricia jubile. Elle lui maintient les fesses solidement coincées entre ses
cuisses et dispose ainsi d’une surface bien tendue, ferme et stable, facile à
ajuster. Elle en profite à pleine main. Et ça claque d’une fesse à l’autre,
sans discontinuer avec la régularité d’un métronome.
«
Ah il va s ‘en souvenir de la première fessée déculottée de Patricia, le
cher beau-père hein ! Elle va lui servir de leçon la bonne fessée qui lui rougit
si bien les fesses ! Parce que, monsieur fait la tournée des pubs au lieu de
revenir directement à la maison où sa petite famille l‘attend. Et on rentre
complètement saoul ! A une heure du matin ! Alors... c’est fessées garanties et
fesses rouges à la clé ! Le prix à payer mon cher!
–
Ce week-end de recadrage va leur faire le plus grand bien !
Commente
Gladys, qui ne sait plus où taper. Elle a entièrement rougi les fesses de Robin
du bas des reins jusqu‘en haut des cuisses. Définitivement maté, il pleure
toutes les larmes de son corps, écroulé bras et jambes pendant sur ses genoux.
« Oh maman, arrête les fessées . . . Je
t’en prie, ça… ça fait trop mal. »
Gladys
a un petit sourire Elle parcourt la
surface de son postérieur en feu de la main brûlante avec laquelle elle fesse,
à la recherche d‘un espace un peu moins rouge qui nécessiterait une petite
gâterie supplémentaire. Il n’y en a pas. La cuisson des deux fesses est
parfaite, aucune retouche à faire.
Patricia
a mis aussi un terme à la fessée d’Edouard mais le maintient encore dans le
fauteuil, immobilisé sous ses fesses. L’humiliation, pour être bien ressentie,
doit se prolonger encore après la fessée. Le souffle court, il peine à
reprendre sa respiration et pousse des petits gémissements, qui, loin
d’attendrir la charmante belle fille, la renforce dans le sentiment du devoir
de punition accompli.
Le visage rayonnant, chacune son puni à portée de
main, les deux femmes échangent un sourire de satisfaction en se congratulant
d’un regard complice.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerToujours aussi cinglantes les fessées de ces dames.
Sur l'échelle des claques, le séisme fessier approche des 10 degrés !!
La soirée du Samedi promet un beau feu d'artifices !!! Une rivalité sans bornes... "Chez les Tapefort, des fessées, il en reste encore !".
Excellentes illustrations. On attend ce Samedi avec impatience...
Peter'.
J'ai l'impression que Patricia ne va pas toujours échappée à la bonne fessée déculottée...
RépondreSupprimerBonjour,chers amis.
RépondreSupprimerAurais je fait une mauvaise manip'?? Ou oublié de cliquer pour publier. J'ai répondu à vos deux messages il y a quelques jours... mais rien!
Je re-réponds donc!
Effectivement chez les Tapefort, on fesse d'abord, on discute après.
La fameuse soirée du samedi annoncée des le 1er épisode est encore loin. Il faut bien tenir le lecteur en haleine. Quand à Patricia cher Anonyme, ses fesses sont pour le moment encore à l'abri, mais pour combien de temps ? Sa mère est si intransigeante ! Tout peut arriver. Y compris l'entrée en scène d'autres maîtresse femmes aussi sévères.
Cordialement
Ramina