mercredi 1 août 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 10

Sous les fessées : l’obéissance

Après le claquement des deux fessées en simultané qui avaient généreusement retenti dans toute la maison, un calme, tout à fait provisoire, était revenu dans le salon. Un silence relatif y régnait, seulement troublé par les sanglots et reniflements difficilement réprimés d’Edouard et Robin. Leur fesseuse respective les avaient envoyés se positionner au coin en pénitence, chacun à son mur d’angle, déculotté, chemise relevée au-dessus de leurs fesses écarlates.
Gladys et Patricia, la main délicieusement piquante, encore imprégnée de la chaleur des fesses qu‘elles venaient de claquer à plusieurs reprises, dégustaient leur whisky pur malt, en profitant du réjouissant spectacle. Un moment de contemplation, bien gagné,
 Les deux paires de fesses flamboyantes, gonflées sous les claques,  leur renvoyaient la récompense de l’énergie qu’elles avaient déployée à leur administrer les fessées méritées pour sanctionner leurs écarts de comportement.

Malgré le nombre de corrections déjà distribuées, elles n’en avaient pas encore fini avec leurs fesses. Décidées en toutes circonstances à sévir sans faiblesse pour faire respecter leur autorité, elles ne laissaient passer aucune faute relevée justifiant une fessée. C’étaient la méthode habituelle. La meilleure selon elles. Les fessées se succédaient les unes après les autres, quel qu’en soit le nombre prévu et l‘état des fessiers en pénitence. Elles les administraient toutes avec la même  implacable sévérité, aussi longues et cuisantes qu’elles l’estimaient nécessaire en proportion de la gravité des désobéissances constatées. La couleur et la cuisson des fesses rendaient compte de l’efficacité et de la valeur d’exemplarité des punitions.

Entre les écarts d’Edouard et le comportement scolaire de Robin, le week-end se déroulaient dans une logique disciplinaire, conforme au respect des règles de comportement édictées par les maîtresses femmes. Ces messieurs multipliaient les séjours sur les genoux de leurs fesseuses, les slips glissaient en allers et retours sur les cuisses au gré des déculottages successifs et les séances de fessées se succédaient dans une chaude ambiance de recadrage éducatif.  Un week-end de détente ordinaire, pour ces Dames en recherche d’activité physique joignant l’utile à l’agréable.

Gladys, de retour dans le canapé posa son verre sur la table basse et s’y adossa en croisant haut les jambes. Elle aimait entendre le crissement de ses bas nylon sur ses cuisses et exhiber, sans complexe, sa féminité dominante, jusqu’au bout de ses jarretelles soigneusement tendues sur ses cuisses. Le contraste était saisissant entre l’élégance frivole de ses tenues et l’implacable sévérité dont elle faisait preuve pendant les séances de fessées.
Les bras en arrière, négligemment posés sur le dossier du canapé, le menton relevé, la maîtresse  femme enveloppe d’un regard satisfait les paires de fesses rougies à l’écarlate de son mari et de son fils.

  « Comme ils sont devenus sages tout d’un coup nos petits chéris ! On fait moins les malins maintenant qu‘on a les fesses en feu! La fessée il n’y a que ça de vrai pour calmer les ardeurs récalcitrantes ! N‘est-ce pas ma chérie ? »


Les deux punis au coin


Patricia, enfoncée dans le fauteuil, se détendait avec nonchalance, les jambes croisées, les talons aiguilles posés sur le rebord de la table, rafraîchissant la main qui venait de fesser autour de son verre rempli de glaçons.
 « Patricia! Insiste la mère, tu pourrais répondre quand je te parle !
– Oui maman, oui, je partage entièrement ton avis sur la fessée. Tu le sais bien. J’adore fesser en plus...
 – Il n’empêche… tu as l’air ailleurs.
– Pas du tout maman. Je pensais à Edwige. J’aurais voulu voir sa tête quand tu lui as fait entendre claquer les fesses d’Edouard au téléphone. C’était divinement drôle.
– Ah… chère Edwige! Telle que je la connais, ça a dû beaucoup l’amuser, oui, et même l’inspirer… Elle qui est toujours en recherche de nouvelles positions ou d’idées originales pour pimenter ses séances de fessées.
Patricia hoche la tête en signe d‘approbation. Elle connaît l’intransigeance de la discipline domestique pratiquée par l’amie de sa mère et la notoire sévérité de ses fessées.  
– Si j’ai bien compris, tu l’as invitée samedi avec son mari et son fils pour une petite soirée d’échanges de bons procédés. »
Gladys apprécie la vivacité d’esprit de sa fille à comprendre rapidement les situations.
 « C’est exactement ça ! Ces messieurs ne marchent qu’à la fessée ! Il faut sans cesse les déculotter et leur claquer les fesses pour les rendre obéissants. Ils ne se comportent en adultes responsables que les fesses rouges et cuisantes après une bonne raclée !
– C’est donc l'occasion d'une bonne séance entre amies. Un atelier fessée en quelque sorte, encore du travail en perspective ! »
Répond  Patricia sans détour.

La discussion se poursuit à voix haute entre les deux femmes sans qu’elles se préoccupent le moins du monde de deux punis toujours au coin, déculottés, directement concernés par la teneur de leur conversation.
 Gladys reprend.
 « Et oui ma chère. On ne va tout de même pas se plaindre de devoir flanquer des fessées pour la bonne cause, notions de savoir vivre, d'obéissance et de respect…
– C’est bien ce que tu m’as appris maman, par le nombre incalculable de fessées que tu m’as si bien administrées. Mes fesses s’en souviennent de tes leçons !
– J’espère bien ma chérie ! Et c’est aussi grâce à ces nombreuses fessées qu’elles sont aussi bien développées aujourd‘hui. »
La jeune femme apprécia le compliment de sa mère et rosit de plaisir en trémoussant son plantureux derrière sur son fauteuil. 
 «En tous cas maman, quel week-end bien rempli ! Dit-elle en faisant teinter les petits morceaux de glace dans son verre. On ne sait plus où donner de la main!

Gladys d’un réalisme implacable.
– Bien sûr que si ma chérie ! Sur deux belles paires de fesses à corriger pour des raisons tout ce qu‘il y a de plus justifiées. 
– C ‘est vrai maman. Il en reste encore combien ?
– De fessées ? Une pour chacun ! Edouard pour fêter son troisième Pub et Robin pour le punir de son insolence envers ses professeurs. Il restera ensuite la fessée au martinet pour inaugurer celui que je viens d’acheter.

Patricia est ravie. Elle termine son verre qu’elle repose sur la table en le faisant claquer d’un coup sec. 
 «  Je crois bien que c’est la première fois que je mets autant de fessées en aussi peu de temps ! J’en ai la main qui frétille de plaisir ! Mais que je te signale, maman, que tu ne m’as toujours pas laissé fesser Edouard !
– Cesse de râler Patricia, tu vas lui flanquer sa prochaine fessée. Comme convenu.
– Ce n’est pas trop tôt !  Minaude l’intéressée en faisant semblant d’être toujours contrariée. Depuis le temps que je te vois le corriger je me demande à chaque fois pourquoi tu ne me laisses pas en profiter, moi aussi.
– Tu n’étais pas prête Patricia !  Les fesses d’Edouard sont devenues particulièrement endurantes. Il faut taper très fort et longtemps pour que les fessées soient efficaces. Maintenant, ça suffit ! Je n’aime pas quand tu fais des caprices comme ça... à ton âge. Dans cinq minutes, ses fesses seront sur tes genoux,
– Ah quand même !
– Oui, mais si tu continues je ne vais pas me gêner pour te prendre avant sur les miens, Ça fait longtemps que je n’ai pas fait sauter tes grosses  fesses sous une bonne fessée déculottée bien cuisante!
– C‘est bon maman ! Grogne un peu Patricia qui sait sa mère tout à fait capable de mettre sa menace à exécution.
– Ça ne me déplairait pas tiens! Pour me refaire la main avant les prochaines fessées !
–  D’accord maman… J’arrête de faire la maline.
– Tu fais bien ma chérie, parce que la fessée vient de te passer au ras du slip !
– Ooooh maman... s’il te plaît !

Gladys sourit en coin. Comme si ce n’était que partie remise. Elle se tourne alors vers les deux hommes toujours au garde à vous face aux murs, déculottés, les fesses à l‘air bien en évidence. Habituées depuis longtemps aux fessées à répétition, elles récupèrent assez vite et commencent à descendre d‘intensité en couleur et en cuisson. Gladys l’habitude. Pour les avoir en mains régulièrement, elle a déjà eu maintes fois l’occasion d’en tester l’endurance  et l’étonnante capacité de récupération. Une vigoureuse reprise de fessées s’impose pour leur redonner la belle rougeur éclatante conforme au niveau de cuisson que la punition exige.
 « Patricia, encore une tournée avant le dîner pour en finir avec les punitions du Week-End! 
– Toujours avec plaisir maman !
Comme à la parade Gladys tape à nouveau dans ses mains pour annoncer la reprise des festivités
 « Edouard, Robin... Venez ici tous les deux ! C’est l’heure de votre nouvelle fessée! On se reculotte et on vient vite présenter ses fesses. Une fessée ça n‘attend pas!
– Sinon ça claque plus fort ! 
Ajoute Patricia en se frottant les mains. Elle a déjà quitté le fauteuil et s’est positionnée, jupe retroussée, sur un des tabourets à fessées. Pendant que les deux hommes se reculottent Gladys vient s’asseoir à son tour sur l’autre tabouret.

« Edouard, en position déculottage sur les cuisses de Patricia, Robin sur les miennes ! On s‘active ! »
Les deux punis ont à peine le temps de se reculotter. Ils finissent de remonter leur slip en se précipitant sur les genoux de leur correctrice respective pour aller chercher leur fessée. Elles s’amusent ouvertement à les voir se déplacer en se dandinant comme des pingouins, le pantalon sur les chevilles, traînant  par terre.
 « C'est bien, on est obéissant, vos fessée sont prêtes il n’y a plus qu’à les servir !
Ils sont plantés devant elles les mains sagement croisées dans le dos en attendant les consignes.
Edouard le premier commence à protester timidement.
 « Gladys, je t’en prie, plus de fessée s’il te plaît. On a déjà été punis plusieurs fois. On a compris on ne recommencera plus! N’est-ce pas Robin ?
– Oui maman... Patricia... promis ! Assez de fessées, on a les fesses encore cuisantes des précédentes ! »
Gladys insensible à leur jérémiades les regarde l’un après l’autre.
« Mais qu'est-ce qu'il vous prend mes chéris ! On discute maintenant, on négocie ses fessées, on se rebelle même ! »
Elle désigne du doigt l’emplacement au sol entre ses jambes écartées. Le ton est ferme,  et tranchant.
 « Robin, à genoux aux pieds...  Edouard, même chose devant Patricia ! »
 Les deux hommes s’exécutent en regrettant déjà leur intervention. Gladys soulève le menton de son fils d’un index tendu et le force à la regarder dans les yeux. Patricia fait de même avec Edouard.
 « Ecoute ce que dit maman! »
Gladys même l'interrogatoire avant la correction.
 «  Maintenant vous allez répondre clairement. Estimez-vous avoir mérité les fessées qu’on vous a administrées et celle qui va suivre dans quelques instants ? Répondez ! Robin ?
– Euuuh, maman … c’est…
– Réponds à ma question Robin ! De toute façon, les fesses vont te cuire !… Alors ?
– Et bien… euuuh, ou...oui... en fait, euuuh .
– En fait quoi ? Tu les as méritées c’est tout ! Alors te souviens-tu, au moins, des raisons de cette nouvelle fessée ?
Robin aurait bien voulu argumenter, discuter l’extrême sévérité de maman, mais il savait au fond de lui-même que sa position était indéfendable. Ses résultats scolaires étaient nettement insuffisants, son comportement trop souvent déplacé et ses insolences inadmissibles, bien réelles. Son attitude avant de rentrer à la maison, si peu respectueuse. Que pouvait il négocier connaissant l’implacable autorité de sa mère dans l'application des règles de discipline qu‘elle imposait dans la maison... Il répond du bout des lèvres.
 « Mon insolence ...maman… envers mes professeurs… maman … désolé.
– Parfait, c’est la réponse que j’attendais. Et maintenant qu’est-ce que tu as mérité pour te punir de cette mauvaise habitude et te faire passer l’envie de recommencer ?
– Une… une fessée maman !
– Exactement, une fessée! C’est bien, tu l’admets! Une bonne fessée bien cuisante, pour t’imprimer sur les fesses ce que tu n’arrives pas à mémoriser dans ta tête ! »
 Robin se dandine d’un genou sur l’autre en se tenant les fesses à pleines mains.
 «   Oooh maman, ça va faire la quatrième fessée de la journée… s’il te plaît... pas trop fort… »
Gladys d'une écœurante mauvaise foi.
 « Voyons Robin, celle de ce matin ne compte pas … C’était juste une fessée d’échauffement pour préparer celles de cet après-midi.  Nous sommes en train de régler tes problèmes de scolarité et de discipline à Ste Marie. Les fessées c’est fait pour ça. Trois motifs graves, trois fessées, c’est le tarif minimum... pas cher payé! Aller grimpe sur mes genoux, pour que je te déculotte, je vais te faire passer le goût de l’insolence !  Patricia à toi de faire la leçon à Edouard. »

Patricia a suivi avec attention, la démonstration d’autorité de sa mère et la manière dont elle a fini par faire accepter à Robin le bien-fondé de sa troisième fessée. A genoux devant sa belle-fille, Edouard, pantalon aux chevilles attend le bon vouloir de la jeune fesseuse.  La mise au point, ne dure pas longtemps, ses lamentables exploits nocturnes sont si flagrants qu’il ne peut émettre la moindre contestation sur la sévérité annoncée de sa correction. Cette nouvelle fessée s’impose comme une évidence pour célébrer la fin de sa glorieuse tournée au dernier pub.


Obéissant sans autre discussion à l’injonction pleine d’autorité de sa mère, Robin s’est remis en positon, à plat ventre sur ses cuisses.  Les mains en appui sur le sol, il connaît par cœur la position à prendre pour la satisfaire et pousse sur ses bras pour lui monter ses fesses à portée de main. Elles lui chauffent toujours. Sans les voir, il les sent encore rouges de la dernière raclée et tremble à l’idée de s’en prendre une autre par-dessus.

D’un geste élégant Gladys glisse sa main toute entière dans son slip en passant sous l’élastique et le déculotte en souplesse, accompagnant la descente d’une paume caressante le long des volumes fessiers. Elle a un petit sourire amusé lorsqu’elle les sent se crisper au passage. Sans autre préliminaire elle démarre aussitôt une retentissante fessée. Le gros derrière encore enluminé des précédents traitements successifs est immédiatement réactif et se tortille frénétiquement sous les claques au rythme régulier des allers et retours.

Incapable de se retenir, Robin fond en larmes et se met à pousser des halètements de douleur en trépignant des mains sur le sol. Ces manifestations bruyantes n’impressionnent pas Gladys, le moins du monde.
 « Je sais mon chéri, je sais, dit-elle d‘un ton détaché, indifférente à la souffrance qu’elle lui inflige, la fessée ça fait mal, surtout celle-là ! Et je fais ce qu‘il faut pour ça, c’est le prix de l’insolence mon cher. »
Et comme pour souligner son propos elle redouble de vigueur en tapant encore plus fort. Robin fait des ruades, en hurlant sur ses genoux.
 « Pitié maman! Pitié, pas si fort ! Raaaah, tu tapes dur encore! Ça suffit la fessée ! Arrête, pitié ! Aaaah ça cuit maman ! Ça cuit ! 
 – Evidemment que « ça cuit » comme tu dis. Une bonne fessée ça doit naturellement cuire. C’est fait pour ça... pour punir, sinon ça ne sert à rien. Aller, on continue ! Fais plaisir à maman au lieu de hurler. Je veux une belle danse des fesses, bien en rythme ! 
Jusque-là concentrée sur le derrière qu’elle corrige, Gladys, sans pour autant ralentir la cadence, relève la tête en direction de Patricia, qu’elle trouve curieux de ne pas entendre.
Elle vient de se lever du tabouret et conduit Edouard vers le fauteuil en le tenant par l’oreille.
 « Mais enfin Patricia qu’est-ce que tu fais ? Depuis le temps que tu réclames de corriger ton beau-père, qu’est-ce que tu attends ?
– J’ai décidé de changer de position, tu vas voir. Puis s’adressant à son puni qui traîne son pantalon sur les chevilles.  Aller, avance, dépêche-toi ! »
Elle s’amuse du regard interrogateur de sa mère. Arrivée au fauteuil elle pousse Edouard qui s’affale courbé en deux sur l’accoudoir.
 « Allonge toi là et ne bouge pas! La tête au fond du coussin ! »
Elle retrousse sa jupe en tortillant des hanches et l’enjambe pour s’asseoir sur lui à califourchon, pesant de tout son poids pour l’immobiliser sous son volumineux postérieur. Le malheureux étouffe à moitié, écrasé sous la lourde masse charnue. Sa voix parvient à peine de dessous le fessier de la jeune femme qui lui enfonce le buste  dans le coussin du fauteuil.
 « Non Patricia... Arr...arrête… Pas… pas comme ça ! Je ne peux pas…
– Mais si tu peux! Tourne ta tête sur le côté pour pouvoir respirer ! »
 Elle se soulève et se rassoit sur sa joue en faisant rebondir plusieurs fois son derrière dessus pour le caler à sa convenance.  Dans le même mouvement elle lui fait relever les fesses qu’elle coince solidement entre ses fortes cuisses. Beau papa est à sa merci, parfaitement immobilisé. Les fesses exposées sans aucune possibilité de tenter le moindre geste de défense.
Les mains sur les hanches, chevauchant sa victime d’un air triomphant, elle interpelle sa mère qui continue à claquer les fesses de Robin avec ardeur.
 « Alors maman, qu’est-ce que tu en penses ? Pas mal la position non? C’est mieux qu’au tabouret quand même !


une nouvelle position pour donner la fessée


– Excellente ma chérie ! Vraiment excellente !
Commente Gladys en serrant les dents sur une rafale fesse droite, fesse gauche  plus appuyée. Robin, s’égosille et répand ses larmes sur le carrelage.
 « Voilà une utilisation du fauteuil originale et intéressante.  Impossible de rater une fessée dans une telle position !
– Fais-moi confiance maman, depuis le temps que j’attends l’occasion... je ne risque pas de la rater celle-là! »
Elle lève sa main bien haut, cambre les reins à la recherche du maximum d’élan et la fessée commence, accompagnant celle de Robin qui claque toujours au même rythme. Le vacarme est assourdissant. Soumises aux cuisantes rafales  les deux paires de fesses retentissent à l’unisson, emplissant toute la pièce de leur brillante sonorité.  Cadencées avec énergie sous les mains fermes de ces dames, elles rebondissent en chœur, dans un même irrésistible élan. Celles de Robin valsant sur les genoux de sa mère et celle d’Edouard pilonnées entre les cuisses serrées de Patricia.

Les deux femmes n’ont pas besoin de motivation particulière pour corriger leur puni. Le claquement bien rythmé des fessées suffit à entretenir leur ardeur à rougir les deux derrières, particulièrement soignés de ce côté-là. Déjà bien reluisant sous les fessées précédentes ils s’enluminent maintenant d’un éclatant rouge écarlate du meilleur effet.
 « Il faut qu’on fesse ensemble plus souvent ! »
S’exclame Gladys en insistant sur la partie inférieure des fesses de Robin légèrement moins cuite que le reste. Il souffre Robin, il bave de douleur, renifle bruyamment sans pouvoir retenir ses larmes dont il mouille abondamment le sol,
C’est la troisième fessée que sa mère lui inflige depuis le début de la journée. Rien que de plus normal. C'est le tarif habituel pour le genre de fautes commises, qu'il doit accepter .sans émettre la moindre contestation.

Indifférente à la souffrance de leur victime, Gladys et Patricia continuent d'échanger leurs commentaires en fessant.
 « Tu ne trouves pas ça stimulant d’administrer deux fessées en même temps ? »
  «  Oh si maman, tout à fait d’accord ! »  Répond Patricia en plein effort. Je ne sais pas ce qu’en pensent ces messieurs.
– Oh tu sais, ces messieurs dans cette situation ne pensent pas. Ils sont trop occupés à garder leurs fesses bien en place pour ne pas risquer une fessée supplémentaire. 
– C‘est vrai ! N‘est-ce pas Edouard ? »
Portée par l’euphorie de fesser son beau-père Patricia ne ménage pas ses forces et accélère la cadence en appuyant bien les claques. Elle se régale enfin, à son tour, de la ferme élasticité du gros derrière qu’elle a vu tant de fois sauter sous les fessées de sa mère et qu’elle sent maintenant vibrer sous sa main. Elle lui fait payer très cher ses écarts de la veille. La fessée c’est bien mais dans une position aussi humiliante pour la rendre plus mémorable, c‘est encore mieux.

 Le malheureux immobilisé sous le large fessier de la jeune femme qui le chevauche en le fessant, subit sa correction sans pouvoir bouger un petit doigt. Les plaintes et les supplications désespérées à peine audibles qu‘il lance entre deux sanglots, sont en partie couvertes par le claquement de sa fessée et finissent étouffées dans le coussin du fauteuil. Patricia jubile. Elle lui maintient les fesses solidement coincées entre ses cuisses et dispose ainsi d’une surface bien tendue, ferme et stable, facile à ajuster. Elle en profite à pleine main. Et ça claque d’une fesse à l’autre, sans discontinuer avec la régularité d’un métronome. 
«  Ah il va s ‘en souvenir de la première fessée déculottée de Patricia, le cher beau-père hein ! Elle va lui servir de leçon la bonne fessée qui lui rougit si bien les fesses ! Parce que, monsieur fait la tournée des pubs au lieu de revenir directement à la maison où sa petite famille l‘attend. Et on rentre complètement saoul ! A une heure du matin ! Alors... c’est fessées garanties et fesses rouges à la clé ! Le prix à payer mon cher!
– Ce week-end de recadrage va leur faire le plus grand bien !
Commente Gladys, qui ne sait plus où taper. Elle a entièrement rougi les fesses de Robin du bas des reins jusqu‘en haut des cuisses. Définitivement maté, il pleure toutes les larmes de son corps, écroulé bras et jambes pendant sur ses genoux.
 « Oh maman, arrête les fessées . . . Je t’en prie, ça… ça  fait trop mal. »

Gladys a un petit sourire  Elle parcourt la surface de son postérieur en feu de la main brûlante avec laquelle elle fesse, à la recherche d‘un espace un peu moins rouge qui nécessiterait une petite gâterie supplémentaire. Il n’y en a pas. La cuisson des deux fesses est parfaite, aucune retouche à faire.

Patricia a mis aussi un terme à la fessée d’Edouard mais le maintient encore dans le fauteuil, immobilisé sous ses fesses. L’humiliation, pour être bien ressentie, doit se prolonger encore après la fessée. Le souffle court, il peine à reprendre sa respiration et pousse des petits gémissements, qui, loin d’attendrir la charmante belle fille, la renforce dans le sentiment du devoir de punition accompli.

Le visage rayonnant, chacune son puni à portée de main, les deux femmes échangent un sourire de satisfaction en se congratulant d’un regard complice.

Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 9

Il y a une suite, le chapitre 11

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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3 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Toujours aussi cinglantes les fessées de ces dames.
    Sur l'échelle des claques, le séisme fessier approche des 10 degrés !!
    La soirée du Samedi promet un beau feu d'artifices !!! Une rivalité sans bornes... "Chez les Tapefort, des fessées, il en reste encore !".
    Excellentes illustrations. On attend ce Samedi avec impatience...
    Peter'.

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  2. J'ai l'impression que Patricia ne va pas toujours échappée à la bonne fessée déculottée...

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  3. Bonjour,chers amis.
    Aurais je fait une mauvaise manip'?? Ou oublié de cliquer pour publier. J'ai répondu à vos deux messages il y a quelques jours... mais rien!
    Je re-réponds donc!
    Effectivement chez les Tapefort, on fesse d'abord, on discute après.
    La fameuse soirée du samedi annoncée des le 1er épisode est encore loin. Il faut bien tenir le lecteur en haleine. Quand à Patricia cher Anonyme, ses fesses sont pour le moment encore à l'abri, mais pour combien de temps ? Sa mère est si intransigeante ! Tout peut arriver. Y compris l'entrée en scène d'autres maîtresse femmes aussi sévères.
    Cordialement
    Ramina

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