La
pause est de courte durée. Le programme des punitions n’est pas entièrement
terminé. Pas de mise au coin immédiate, les deux femmes maintiennent les fesses
d’Edouard et Robin à portée de mains en cas d‘urgence. La moindre plainte ou le
plus petit sanglot mal réprimé, déclenche immédiatement une nouvelle fessée.
En
attendant, ils sont en pénitence, à genoux, déculottés fesses en l’air, aux
pieds de leurs correctrices. Elles se sont
réinstallées, l‘une à côté de l‘autre dans le canapé. Détendues, sereines,
les mains délicieusement piquantes
d’avoir claqué si fort sur les derrières. Elles apprécient du regard le résultat de leur travail et
remettent un peu d’ordre dans les petits détails de leur tenue, malmenée
pendant les corrections. Patricia rajuste une jarretelle pendant que Gladys
lisse ses bas nylon sur ses cuisses. Elle évalue du regard, le niveau de
cuisson des postérieurs gonflés de claques sous les fessées, et commente sur un
ton ironique.
«
Ils ne sont pas mignons comme ça, nos petits chéris ? A genoux, tous les deux,
côtes à côtes, à nous régaler du spectacle de leurs fesses resplendissantes
! Mais, je finis par me demander si ces
fessées sont suffisamment sévères pour les amener à changer leurs détestables
attitudes. Ils sont encore loin de montrer un comportement d’adultes
responsables.
– Effectivement, moi aussi j’ai un doute.
Répond malicieusement Patricia, qui sent la prolongation de séance et s’en
réjouit intérieurement. Mais les fessées qu’on leur a mises étaient tout de
même joliment sévères. J’ai adoré. »
–
Et bien, finalement, pas encore assez
sévères à mon goût ! »
Gladys
se lève du canapé. Sa petite moue dubitative souligne son insatisfaction. Les
mains sur les hanches, elle tourne lentement autour des deux hommes prosternés,
déculottés les fesses en batterie, à la merci de probables nouvelles fessées.
Elle poursuit sa réflexion, à voix haute pour
bien se faire entendre, mais en s'adressant à sa fille.
« Ce
n’est pourtant pas la première fois qu’on leur flanque de telles raclées mais
ça ne les empêche pas de reproduire les mêmes fautes, les mêmes
erreurs... C‘est affligeant ! »
Elle
s'accroupit entre les deux, Une paire de fesses dans chaque main en signe de
possession, elle les soupèse avec gourmandise puis, d’une paume bien
enveloppante, en caresse les rondeurs brûlantes.
« Voilà deux beaux derrières, en pleine
cuisson comme on aime les voir. Bien claqués, bien corrigés. Les fessées font
leur effet. Mais j’ai l’impression qu’elles ne sont pas encore durablement
marquantes. Je pense qu’il va falloir améliorer le modèle et les rendre plus
performantes. »
Les deux hommes prosternés au sol, laissent
échapper des petites plaintes larmoyantes d’humiliation en se trémoussant sur
les genoux. Leurs fesses en pleine cuisson, tressaillent douloureusement au
contact de la main qui les fesse si durement depuis le début de la journée.
Indifférente à ces réactions épidermiques, Gladys exprime une satisfaction
toute relative, atténuée de nouvelles exigences,
« A
force de prendre des corrections, leurs fesses sont devenu très endurantes. Du
coup, elles récupèrent vite. Il faut donc prendre de nouvelles mesures. »
Patricia,
le regard brillant, approuve avec un humour cinglant.
« Ah ça oui ! Je suis sûre que leur
flanquer un peu plus le feu aux fesses leur mettrait aussi du plomb dans la
tête !
Les
gémissements des deux punis qui ne perdent pas une miette de la conversation
menée derrière eux à voix haute, se transforment en pitoyables râles plaintifs
aussitôt réprimés avant qu’ils aient pu dépasser le niveau du sol.
–
Tu entends ça maman, ils protestent ! Attention aux fesses ! Menace
immédiatement Patricia. Elles sont toujours à portée de main. Encore une
manifestation de ce genre et c’est la fessée ! Une de plus avant celle qui vous
reste à prendre ! »
Gladys continue à tourner lentement autour des
deux hommes recroquevillés sur le carrelage, les fesses hors slip,
dangereusement exposées.
–
Tu vois, ils sont incorrigibles ! On a
beau les punir, les déculotter, leur flanquer fessées sur fessées, Il n’y a
rien à faire! Alors... conclusion
? »
Patricia
bras tendus, croise les doigts sur son genou avec un sourire.
–
Conclusion ? Tu as encore raison maman, les fessées qu’on leur administre ne
sont pas assez sévères.
–
Nous sommes d’accord ma chérie. Ou plutôt, elles ne sont plus adaptées. Le
tarif, une faute une fessée, n’est plus suffisante pour bien marquer les
esprits.
–
Pour bien leur marquer les fesses tu veux dire ! S’amuse la jeune femme.
–
Evidement, l’un ne va pas sans l’autre. »
Gladys continue son petit manège autour des
punis transis d‘angoisse. Ses talons aiguille claquent, menaçants, sur le
carrelage.
« Ma foi je pense qu'un supplément
fessée leur ferait le plus grand bien. Supplément gratuit bien sûr !
–
Gratuit pour les abonnés seulement ! »
L’humour
ravageur de Patricia n’est pas du goût des deux hommes qui murmurent ce qui
pourrait ressembler à un soupçon de
protestation.
« Qu’est-ce que j’entends ? S’amuse
encore Patricia en feignant la surprise…On a quelque chose à dire? On se
rebiffe ? Attention les fesses, vous avez déjà été prévenus, ça va encore
tomber !
–
Décidément, ma chérie, tu es en pleine forme ! Plaisante à son tour Gladys. Ce
sont les fessées qui te font cet effet-là ?
Patricia,
le visage rayonnant ne cache pas sa bonne humeur.
–
Disons que c‘est la fessée d‘Edouard, oui ! Depuis le temps que j’attendais de
lui flanquer une déculottée, ça m’a tout émoustillée.
Gladys
lui tapote affectueusement la main.
« Et bien tu vas en profiter encore un peu.
Je tiens à ce qu’ils se souviennent de ce qu’il en coûte d‘être aussi
incorrects et négligents, comme ils l’ont été ce week-end.
–
Oh maman... Avec plaisir ! Mais nous ne devions pas essayer le nouveau martinet
après dîner ?
–
Bien sûr mais ça, c’est pour le dessert. Là nous en sommes encore au plat de
résistance !
–
Et eux aussi font de la résistance !
–
C'est pour ça. Tu vas reprendre Edouard et moi Robin pour une fessée
d’entretien. Et quand je le déciderai, on échangera les paires de fesses. Il faut
leur enlever toute possibilité d’accoutumance à une même main.
–
Tout cela me va parfaitement ! »
Patricia
se lève du canapé en retroussant à nouveau sa courte jupe plissée, pour aller
se réinstaller, sur le tabouret à fessée le plus proche, toutes jarretelles
dehors. Elle s’y cale confortablement, déjà prête.
Gladys
claque du doigt en direction de son mari qui obéit immédiatement au signal. Il
se relève précipitamment, au garde à vous devant elle, pantalon sur les
chevilles, slip aux cuisses. Il est ridicule. Elle pointe un indexe autoritaire
vers sa fille.
« Tu vas mettre tes fesses en position
sur les genoux de Patricia ! En l’honneur du quatrième pub que tu as
certainement oublié de mentionner. Dépêche-toi ! Tu sais ce qu’il en coûte de
faire attendre.
–
Mais… mais Gladys tu avais dit trois fessées !! S’inquiète le malheureux pour
le moins inquiet. Trois pubs, trois fessées tu avais dit !
–
Oui sauf que je suis sûre que tu as menti. Tu en as d’abord mentionné quatre
avant de revenir à trois. De toute façon, qu’est-ce que c’est que cette manière
de protester ? Tu as deux seconde pour aller présenter tes fesses à Patricia.
Ou alors c’est la fessée au martinet immédiatement ! »
Edouard, comme piqué par une guêpe se
précipite, sur les genoux de sa belle-fille qui l’accueille avec un large
sourire.
« Et bien mon cher, on en a mis du temps
à venir chercher sa fessée ! »
, Gladys se tourne alors vers son fils, resté
à genoux au sol, en attente.
« Robin… Elle claque une nouvelle fois
des doigts. Tes fesses, tout de suite ! »
–
Ooooh maman, s’il te plait…
Comme d’habitude, il n’a pas le temps de finir
sa phrase. Gladys l’a saisi par l’oreille, toujours la même, et le tire
jusqu’au tabouret à fessée.
« Aiiie ! Aiiie ! Aiiie, tu
fais mal maman ! »
Ça
ne traîne pas. Cinq secondes plus tard,
il se retrouve de nouveau basculé en travers de ses cuisses, le nez au
ras du carrelage, pratiquement à l’endroit encore mouillé des larmes de sa
précédente fessée. Le temps d’ajuster la
position et de redescendre le slip sur les cuisses pour bien dégager le champ
de tir…
.« Tu es prête ma chérie ?
–
Je suis prête maman, on peut y aller !
–
Alors, dernières fessées avant l'apéritif ! Et que ça claque, pour leur
rappeler pourquoi on les fesse et qu’ils retiennent bien la leçon !
Elle
lève haut la main pour prendre son élan.
« Toujours la leçon, sinon la fessée ne
sert à rien ! »
Les
deux fessées claquent pratiquement en même temps. Celle de Patricia en léger
décalage, résonnant comme en écho à celle de Gladys. Au bout de quelques allers
et retours elles se calent l’une sur l’autre et fessent à l’unisson pour
atteindre aussitôt un niveau sonore agréablement élevé. L’effet est
immédiat. Le claquement des fessées est
très rapidement mis en musique par une bruyante symphonie de pleurs et
supplications que les deux punis
interprètent en cœur, avec brio.
La
cuisson de leur postérieur, encore effective après les fessées précédentes,
leur laisse d’autant moins de délai de résistance, que les deux femmes les
corrigent sans aucune prise en compte du surcroît de douleur infligé. Aucune
concession, aucune modération dans l’application des punitions. Les fessées
sont administrées avec toute la sévérité que l’exige la gravité estimée des
fautes qu’elles sanctionnent. Quel que soit l’état de cuisson de leurs fesses.
Patricia
s'en donne à cœur joie.
« Ah maman, qu’est-ce que ça claque bien
! Encore mieux que tout à l’heure ! »
S’exclame-t-elle
avec un enthousiasme communicatif. Concentrée sur le derrière de Robin Gladys répond
sans relever la tête.
« Après
trois fessées consécutives, c’est tout à fait normal chérie ! Les fesses en
chauffant gagnent de la souplesse et produisent un meilleur rendement sonore.
Comme tu l'as remarqué tout à l'heure, D'où l'intérêt des fessées successives,
avec peu de temps morts, sinon pour les changements de position.
–
C’est pour ça que tu ne les mets pas systématiquement au coin après chaque
fessée !
–
Exactement ! Je préfère attendre que leurs fesses soient entièrement rouges
pour leur imposer la honte de les exposer. »
Les
fessées vont bon train. La discussion entre les deux femmes se déroule sur un
ton tout à fait naturel, comme détaché des circonstances, à moitié couverte par
le claquement des deux paires de fesses. Le bruit est si élevé, qu'elles sont
obligées de crier pour se faire entendre.
Sous
les claquées régulières de la sévère maman, les fesses de Robin reprennent
leur belle couleur, rouge écarlate, qu'elle s‘applique à répartir en
profondeur sur toute la surface. Il pleure sa douleur sans l‘émouvoir le moins
du monde. Bien au contraire, cela ne fait que l‘inciter à taper plus fort. Dans un choix de progression fermement
établi, la dernière fessée à la main doit toujours être plus sévère que la
précédente afin de donner davantage de
portée à la punition.
La
première fessée administrée quelques instants plus tôt à Edouard, a suffi à
Patricia pour prendre la mesure de son imposante paire de fesses et d’y
affirmer définitivement son autorité. La jeune femme apprend très vite et
manifeste d’évidentes dispositions pour administrer les fessées. Elle en fait généreusement profiter les fesses de son beaux père qu‘elle
fait sauter sur ses genoux avec un plaisir manifeste. Celui-ci ne peut
s’empêcher d’implorer une clémence qu’il sait pourtant totalement illusoire.
« Aaah,
pitié, s’il… s’il te plait Pat…
Patricia, arr… arrête la fessée, c‘est trop ! »
Robin
haletant sur les genoux de sa mère se lâche à son tour en trépignant.
« Oui, maman, assez, ... Ça...ça
suffit les fessées! Trop...trop mal. On… on a comp... Compris! Ouaïïïe !
Imperturbables
les deux femmes continuent à fesser sans intention de ralentir la cadence.
« Qu’est-ce que j’entends, ironise Gladys
en appuyant les claques pour les rendre plus cuisantes. Depuis quand on
récrimine pendant une fessée ?
Patricia
n‘est évidemment pas en reste et redouble de vigueur en réponse aux
supplications de son beau-père,
– C’est nouveau ça, on réclame la fin de sa
fessée maintenant !
–
Normalement pour un tel acte de contestation s’en est une supplémentaire, mais
puisque on y est déjà, on va faire durer celle-là plus longtemps !
–
Voilà, c’est tout ce qu’ils ont gagné. Ça leur apprendra à perturber le
déroulement d’une fessée par des réclamations inappropriées.
Gladys fesse dur comme elle aime fesser. Elle
a trouvé son rythme de croisière habituel. Lourdes et cuisantes, les claques
puissantes résonnent en cadence sur les fesses de Robin qui s‘efforce de les
garder bien positionnées à sa main.
Patricia maintient le sien, à claques sèches
et brillantes qui enluminent les fesses D‘Edouard d’un rouge écarlate du
meilleur effet.
Ce
beau dimanche en famille, se prolonge dans une chaude ambiance de stricte
discipline domestique, au son crépitant des fessées qui retentissent joyeusement
sur les deux postérieurs en pénitence. Il restera après le dîner, la touche
finale de ce week-end de recadrage, avec
la fessée au martinet, pour inaugurer la mise en service du nouvel instrument.
Les
deux femmes sur leur lancée n‘ont manifestement pas encore l‘intention de
mettre fin à la correction. Les fessées continuent à claquer en même
temps, envahissant bruyamment l’espace du salon. Malgré le
claquement puissant des deux paires de fesses, le bruit du carillon de la porte
d’entrée parvient, difficilement, mais parvient quand même, aux oreilles de
Gladys. Sa main reste en l’air, suspendue au-dessus des fesses de Robin.
« Tu n’as rien entendu Patricia ? J’ai
l’impression qu’on a sonné.»
Vlan
! Vlan ! La main retombe en claquant d’une fesse sur l’autre pour ne pas
interrompre trop longtemps la correction et ne laisser aucun répit à son
propriétaire.
« Patricia, tu m’écoutes ? »
Concentrée
sur sa fessée, la jeune femme met quelque secondes à réaliser que sa mère lui
parle. Elle relève la tête tout en poursuivant le claquage intensif du derrière
qu’elle fait sauter de plus en plus haut sur ses cuisses.
« On a sonné, tu crois ? Désolée maman,
mais on tape tellement fort que je n‘ai rien entendu. »
Elle
continue à fesser. Le carillon de l’entrée retentit à nouveau cette fois bien
audible, il n‘y a plus qu‘une fessée en cours, le bruit est moins fort.
« Ah, j’avais bien entendu ! S’exclame
Gladys, l’oreille tendue vers l’entrée. Il y a quelqu’un à la porte
! »
Robin,
entre deux sanglots et dans l'espoir d'un cessez le feu, se hasarde en relevant
la tête, inconscient des conséquences de son intervention.
« Ah oui, moi aussi j'ai entendu
sonner ! »
La
main ferme de sa mère le recadre aussitôt en lui faisant sauter le derrière
d'un formidable aller et retour sur chaque fesse doublé d'une claque
retentissante en plein milieu. Le fessier tout entier en tressaille de douleur
sur les cuisses maternelles.
« Non mais de quoi tu te mêles
toi ? Ironise Gladys, Ce sont tes
fesses que tu entends sonner mon cher! Et elles sonnent bien ! »
Robin
replonge la tête vers le sol en gémissant.
« Ooooh maman ! Tu es trop
dure ! »
L'épisode
a attiré l'attention de Patricia qui finit par interrompre sa fessée. Elle
tapote le derrière de son puni pour lui faire comprendre que la suspension de
séance n'est que provisoire et que sa correction peut reprendre aussi vite
qu‘elle a cessé.
« Effectivement maman, j'ai aussi entendu
sonner. On attend une visite ?
–
En principe, non ! Je ne vois pas qui ça peut être. »
Gladys
est contrariée d’être une nouvelle fois dérangée pendant l’administration d’une
fessée et manifeste son mécontentement d‘une nouvelle rageuse paire de claques
sur les fesses de Robin qui sursaute en poussant deux cris de douleur.
« Deux
fois dans la même journée! »
D’un
geste de colère elle pousse Robin hors de ses genoux. Il s’affale parterre en
pleurant. Ses fesses en pleine cuisson lui font atrocement mal.
« On arrête maman ? Demande Patricia
visiblement aussi contrariée que sa mère. Pas de jaloux, Edouard se ramasse un
double aller et retour sur chaque fesse en témoignage de la mauvaise humeur de
la jeune femme.
.
Ecroulés, bras et jambes ballants, sur les
genoux de leur fesseuse, le corps secoué par les sanglots, les deux hommes
n’osent pas bouger. Ils attendent les consignes, espérant que la visite
imprévue leur offre un moment de répit. L’espoir est vite anéanti par Gladys,
–
On reprend ça tout à l’heure. N'’imaginez pas vous en tirer à si bon compte. On
ne change pas la durée d'une fessée en cours, elle se prend jusqu’au bout !
–
Tout à fait ! confirme Patricia.
Troisième
coup de sonnette. Gladys réagit immédiatement.
« Robin tu files te mettre au coin, et tu
restes déculotté, le slip sur les cuisses. Tu tiens aussi ta chemise relevée pour
qu’on voie bien tes fesses... Edouard, tu vas ouvrir, dépêche-toi. Ça fait déjà
trois fois qu’on sonne. »
Patricia
le relève de ses cuisses en le tirant par les cheveux.
« Tu as entendu maman ? Et ce n’est
pas correct de faire attendre la personne qui nous rend visite. »
Edouard
se redresse en grimaçant. La peau de ses fesses chauffées à blanc se tend
douloureusement lorsqu’il reprend sa position debout.
« Oui
chérie, tout de suite... je vais ouvrir. Le temps de me reculotter. »
Il
a à peine saisi l’élastique de son slip que la voix tranchante de son épouse
interrompt son geste,
« Mais Edouard, qu'est-ce que tu
fais ? Qui t’a autorisé à te
reculotter mon ami ! Tu vas ouvrir la porte comme tu es. Déculotté, fesses à
l’air bien en vue.
Le
malheureux éploré pleurniche en se trémoussant sur place.
« Mais Gladys je ne peux pas faire entrer
cette personne les fesses déculottées. Je ne sais même pas de qui il s’agit !
Elle va forcément voir mes fesses toutes rouges ! C’est terriblement honteux !
–
Mais c’est bien ce que je veux, mon cher ! Que la personne que tu vas faire
entrer voit tout de suite que tu es train de te prendre une bonne fessée! Il
faut que tu aies bien honte devant elle, qui va tout de suite comprendre
comment, ici, on corrige les maris indisciplinés.
–
Ooooh chérie, je t’en prie, les punitions sont déjà suffisamment sévères,
laisse-moi au moins me reculotter. »
Patricia
profite qu‘il est encore debout à côté d‘elle. Serrant les dents pour taper
bien fort, elle le projette en avant d’une grosse claque sur les fesses.
« Tu n’as pas compris ce que t’a dit
maman ? Tu vas ouvrir à la personne que tu fais attendre dehors. Ce n‘est
pas correct du tout et normalement ça mérite encore la fessée !
Gladys
ajoute d'un ton jubilatoire,
–
Et tu la fais entrer en passant devant elle pour qu’elle voie bien trembler ton
gros derrière rougies par les fessées ! Je suis sûre qu’elle appréciera.
Surtout si c’est une de nos amies. »
Pantalon
en accordéon sur les mollets, le slip en travers des cuisses Edouard se dirige
d’un pas mal assuré vers l’entrée. Il secoue la tête en pleurnichant sa misère
et la honte de devoir s’exhiber devant une personne étrangère dans une tenue
aussi humiliante. Robin, nez au mur dans le même accoutrement, s’est bien gardé
de se retourner pour suivre la scène. Dans le présent contexte, les fessées
peuvent fuser à n’importe quel moment sous n’importe quel prétexte.
« Bien dit Gladys en se rasseyant dans le
canapé à côté de sa fille, je me demande qui peut bien nous rendre
visite… »
La
question ne se pose pas longtemps, lorsque la voix forte et enjouée d’Edwige se
fait entendre dès qu’Edouard a ouvert la porte. Ses talons aiguilles résonnent
avec un bruit sec sur le carrelage.
« Ah ce cher Edouard, comme c’est gentil
de venir m’ouvrir, et dans cette tenue encore ! Je ne m’attendais pas à un
accueil aussi croustillant ! ! Elle claque bruyamment la porte derrière
elle. C’est bien Edouard, avance ! Je vais passer derrière toi pour
profiter de cette magnifique paire de fesses si merveilleusement rougie
! »
Le
ton est donné. La pétulante créature
fait une entrée frétillante dans le salon, le regard enveloppant,
focalisé sur le postérieur d’Edouard qui la précède sans rien dire, vert de
honte et de confusion. Il a posé les
mains en coquille sur son sexe pour essayer de l’abriter du regard goguenard de
l’exubérante femme.
« Et bien dites-moi mes chéries, on ne
s’ennuie pas ici. S'exclame-t-elle, Quel plaisir, à peine arrivée, de
contempler un fessier aussi bien cuit ! Ça en impose! »
Gladys
comme Patricia pourtant rarement à court de réplique n’ont pas le temps d’en
placer une.
« Ça fait trois fois que je sonne!
S’exclame la belle femme avec un rire en cascade. J’avais peur que vous ne
m‘entendiez pas. Vous tapiez tellement fort que le claquement des fessées
couvrait presque le bruit de la sonnette ! Quelle belle énergie! J‘adore !
»
Edwige,
debout à l'entrée du salon, envahit de
sa seule présence tout l‘espace de la pièce. Elle est vêtue d’un élégant petit
tailleur noir très près du corps qui met savamment en valeur ses courbes
généreuses. Elle porte, allègrement, la petite cinquantaine d‘une personne épanouie, dont le caractère
affirmé se révèle instantanément au ton de sa voix et à sa manière de se
déplacer. Son physique imposant dégage une impression d’autorité qui s'impose
naturellement dès son irruption dans la pièce. De toute évidence, la maîtresse
femme partage, en tous points, le même
tempérament flamboyant que celui de son amie Gladys.
Edouard
se fait discret, planté au milieu de la pièce. Il préférerait être au coin,
comme Robin, pour se faire oublier, ne serait-ce qu‘un instant. Ses fesses
écarlates, bien en évidence, exposées à la merci de ces femmes si autoritaires
et si sévères, constituent, à son grand
désarroi, le seul centre d‘intérêt
qu’elles accordent à sa personne.
Edwige
rayonne au milieu du salon. Gladys, suivi de Patricia se lève du canapé pour
venir l’embrasser.
« Ma
chérie quelle surprise, et quelle bonne idée cette visite impromptue ! Tu
tombes effectivement en pleine séance de recadrage. Nous étions en train de
fesser Edouard et Robin pour leur indiscipline.
–
J’ai vu ça sur les fesses de ton mari en arrivant ! Ça régale, joli travail,
belle couleur beau fessier bien entretenu !
–
Pour ça oui, on s'en occupe ! Répond Patricia,
Parcourant la pièce du regard, Edwige aperçoit
alors les fesses enluminées de Robin, en pénitence au coin.
« Ah,
mais Robin aussi prend sa raclée ! Oh la, la quelle paire fesses lui aussi
! Vous en avez de beaux spécimens sous la main mes chéries. Il y a de quoi
faire. D’ailleurs pour obtenir une couleur aussi resplendissante vous avez dû
lui en mettre une sévère. Elles sont absolument splendides ! Exactement la même
intensité de rouge bien profond, également réparti sur les deux fesses !
Elle
se tourne vers Gladys avec un large sourire…
« Et question paires de fesses, j'en
connais un rayon, j’ai l’habitude... J'en claque pratiquement tous les
jours ! »
Elle éclate d’un rire sonore, envahissant.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuel week end !!
"Le Jour le plus Long" pour nos deux héros-malgré-eux !
Dame Edwige ne sera pas en reste. "les Erinyes de la fessée ": aussi impitoyables que les trois déesses grecques de la vengeance !!!
Une soirée... d'enfer !! Good luck, camarades !
Peter'.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerEt oui, Week End marathon de la fessée et victoire de la pédagogie de la claque aux fesses pour recadrer les indisciplinés. Ces dames remettent cent fois leur ouvrage sur les fessiers récalcitrants. Dame Edwige vient pimenter l'affaire avec une gouaille annonciatrice d'une tout aussi implacable sévérité.
La canicule sévit sur les derrières en alerte rouge !
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerJ'ajouterais : "Visiteuse du soir... Espoir (?).
Pas sûr, pas sûr...
D'autant que le sortilège de la version de Marcel Carné ne pourra opérer dans votre version ! Dommage.
Bon WE. Peter.
Peter,
RépondreSupprimerC'était bien l'allusion . En l'occurrence le sortilège est mauvais sort pour les fesses des indisciplinés auxquelles la visiteuse du soir ne laissera aucun espoir... plus tard...
Ramina