jeudi 9 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 44


Catherine fit son apparition dans l’encadrement de la porte. Madame Raveneau la tenait par l’oreille sur laquelle elle tirait pour faire avancer la femme qui la suivait le visage grimaçant. Le pinçon sur son oreille ne lui donnait pas le choix.
Catherine traînait des pieds, au sens littéral du terme. Elle se tordait le cou pour diminuer la tension que Madame Raveneau produisait sur son oreille. Elle avançait le plus vite qu’elle pouvait tout en ne faisant que les petits pas que lui permettait son pantalon autour de ses chevilles. Sa culotte glissait à chaque pas, passant en dessous de ses genoux, puis elle descendit encore jusqu’à ce que le haut de son pantalon l’arrête.
Le corsage qu’elle portait, tombait à mi-fesses. Ses pans, quand ils s’écartaient au gré des mouvements qu’elle faisait pour suivre sa directrice, laissaient apparaître son pubis et les poils noirs qui le recouvraient. Je ne pouvais détacher mes yeux de l’intimité de Catherine qui nous était dévoilée pour la première fois. Rien n’était plus explicite pour que chacun se rende compte du nouveau statut de notre collègue. Elle nous avait rejoints, Magali, moi et plus récemment Béatrice dans le clan de ceux qu’on fessait pour les punir de leurs écarts.
Elle pénétra dans notre bureau, son attention focalisée sur le tiraillement sur son oreille. La nécessité de suivre le mouvement que lui imposait Madame Raveneau était la plus forte. Puis, elle prit conscience que son pubis nu était l’objet de tous les regards. Elle plaça une main devant son triangle pubien pour le dissimuler, sans prendre immédiatement conscience qu’elle focalisait alors l’attention sur sa demi-nudité.
La brève hésitation qu’elle marqua fut réprimée par sa directrice en une seconde. Celle-ci tira sur l’oreille un peu plus fort, simultanément sa main libre claqua les fesses nues qui étaient à sa portée.
« Allez-vous avancer ? Je vais vous apprendre l’obéissance ! »
D’un mouvement sec du poignet, elle tordit l’oreille de Catherine, l’obligeant à faire demi-tour et à venir se placer sous son bras avec lequel elle lui encercla la taille. Elle releva le bas du chemisier, dégageant les fesses.
« Toute désobéissance vous conduira tout droit à une fessée ! »
Catherine avait maintenant les fesses tournées vers le milieu de la pièce. Nous avions une vue imprenable sur son postérieur qui avait encore une couleur rouge assez prononcée. Madame Raveneau s’appliqua pour la fessée qui suivit. Elle ne fut pas longue, mais elle claqua sur la peau nue en y laissant, à chaque fois que la main tombait, une marque sombre qui mettait du temps à se diffuser.
Les cris que poussait Catherine ne laissaient aucun doute sur la sévérité du châtiment. Elle restait sagement en place. Tout juste si, de temps en temps, elle soulevait un pied du côté où la cuisson provoquée par la main de Madame Raveneau devenait insupportable. Sa main libre hésitait, mais elle ne vint pas se mettre en protection sur ses fesses, laissant la fessée aller à son terme. Catherine apprenait. C’était difficile, mais elle apprenait.
« Nous y voilà ! Vous commencez à comprendre Catherine ! »
Les fesses reprirent rapidement une couleur écarlate. Madame Raveneau s’en tint là. Elle laissa Catherine courbée sous son bras. Celle-ci restait maintenant parfaitement immobile. Il ne s’agissait pas de perturber le calme relatif qu’avait amené la fin de la fessée. Tout juste si le contact de la main de la directrice sur la peau enflammée pour en éprouver la sensibilité, arracha un gémissement sourd à Catherine. C’est plutôt l’expression de sa peur et non celle de la douleur que provoquait le contact. La position dans laquelle la maintenait Madame Raveneau, permettait à la punition de reprendre à n’importe quel moment.
« Je tiens à être la plus claire possible. Ni Béatrice, pas plus que Catherine … »
Une claque sur les fesses conclue par un bref cri, accompagna le début de cette déclaration.
« … n’ont le droit de fesser qui que ce soit ici. Cette tâche est réservée à Madame Colas à qui je délègue cette responsabilité. Je conserve, bien entendu, la possibilité de fesser l’un d’entre vous quand je le juge bon. »
Madame Colas approuva d’un hochement de tête décidé.
« Ce qui s’est passé ce midi, et apparemment à plusieurs reprises, est un abus d’autorité. Ces dames en ont été punies. Vous savez comment. Par là où elles ont pêché, si j’ose dire. »
Ce trait d’humour décalé ne fit sourire que Madame Colas. Magali et moi étions trop méfiants à propos de ce qui pouvait se passer par la suite, pour nous laisser aller à réagir à la plaisanterie de notre directrice. L’heure n’était pas encore à la détente. Madame Raveneau nous considérait-elle comme coresponsables de la situation ? Je n’en savais encore rien.
« Je considère cependant, que la fessée qu’elles ont reçue dans mon bureau n’est pas suffisante. Je veux qu’elles comprennent qu’elles seront désormais soumises au même traitement que vous deux : la fessée leur sera donnée quand elles la mériteront, dans votre bureau, devant vous. »
Béatrice qui ne perdait pas un mot de la sentence que prononçait Madame Raveneau, se crispa, mais elle ne bougea pas de la position où elle se tenait. Son nez ne décolla pas du mur. Un sanglot s’échappa de la gorge de Catherine, ce qui lui valut une sérieuse claque sur les fesses.
« Soyez sage et écoutez, Catherine, ce que je vais dire vous concerne au premier chef ! »
Une nouvelle claque rétablit le silence que Catherine tardait à observer.
« Afin de rétablir l’équilibre détruit par les initiatives malheureuses de ces deux arrogantes, Madame Colas et moi allons les fesser devant vous deux qui avez été leurs victimes. »
Malgré l’annonce qui confirmait que leur punition n’était pas achevée, Béatrice et Catherine se tinrent coites. Béatrice serra les fesses et Catherine se raidit sous le bras de Madame Raveneau. Elles avaient entendu et leur réaction montrait qu’elles accusaient le coup, mais en se résignant au sort qui les attendait malgré sa sévérité.
« Madame Colas, vous chargez-vous de Béatrice, puisque Catherine est déjà en bonne position pour que je la fesse moi-même ?
– Bien volontiers, Madame. Béatrice, venez-ici ! »
Des larmes coulaient sur les joues de l’interpellée quand elle nous fit face pour se mettre sous les ordres de sa cheffe de bureau. Elle n’eut pas l’ombre d’une hésitation. Les punitions que nous avions reçues précédemment, Magali et moi, lui avaient été profitables. Elle savait comment se comporter. Pas un instant ses fesses furent dissimulées par sa jupe qu’elle tenait bien haut au-dessus de ses reins. La grimace qu’elle faisait indiquait son déplaisir, mais ses actes démontraient qu’elle n’envisageait pas de s’y soustraire. Elle laissa Madame Colas la positionner courbée sous son coude sans aucune résistance.
« Avec la règle questionna Madame Colas ? »
Elle avait saisi, sur son bureau, son instrument punitif habituel.
« Oui, c’est une bonne idée. La punition n’en sera que plus salutaire. »
Elle regarda autour d’elle.
« Daniel, allez donc me chercher la règle sur mon bureau. »
Elle me prit au dépourvu et je mis un peu de temps à réagir. Ses sourcils froncés à mon attention me décidèrent à faire montre de célérité. Quelle imprudence de laisser croire à ma directrice que je contestais ses ordres. Je trouvais plutôt normal que Catherine éprouve à son tour la morsure de l’ustensile punitif. Juste retour des choses.
La règle était à sa place. J’en avais éprouvé la dureté quand elle avait été abondamment appliquée sur mes fesses. En la saisissant, j’eus l’impression qu’elle s’impatientait de claquer quelque postérieur qui l’avait mérité. Heureusement, ce n’était pas le mien qui était en ligne de mire. Je la remis avec précaution à Madame Raveneau.
« Merci Daniel, je vais la faire goûter au postérieur qui n’attend que ça. »
Elle asséna un premier coup de la règle sur les fesses de Catherine qui se mit à pleurer aussitôt.
« Soyez plus économe de vos larmes, Catherine ! Vous allez en avoir besoin ! »
Se tournant alors vers Madame Colas, elle lui demanda :
« Etes-vous prête ? »
Un simple signe de tête suffit aux deux femmes pour s’accorder.
« Allons-y ! »
Les deux règles s’abattirent en même temps sur les deux postérieurs. Deux cris simultanés, tout aussi aigus l’un que l’autre, tout aussi désespérés. Aucune des deux n’aurait pu imaginer ce matin, se retrouver dans cette situation avant le soir. Elles n’y songeaient pas à l’instant, mais les conséquences sur leur vie future étaient incalculables.
Madame Raveneau et Madame Colas mécaniquement, sans y penser, avaient synchronisé les deux fessées qu’elles administraient. Les règles tombaient sur les fesses des deux punies exactement au même moment, aussi précisément que l’auraient fait deux batteurs de jazz jouant simultanément le même morceau.
Les cris de Catherine et de Béatrice n’étaient pas dans le même tempo. Béatrice poussait à chaque fois un cri bref qui interrompait des sanglots qui avaient commencé dès le début de la fessée. Cela créait un fond sonore dont émergeait l’aigu régulier du cri.
Catherine s’était tenue silencieuse pendant quelques dizaines de secondes. Son visage que je voyais de trois-quarts, émergeant sous le bras de Madame Raveneau, grimaçait à chaque fois que la règle rajoutait à la cuisson sur ses fesses, mais elle s’efforçait d’absorber cette douleur sans en manifester l’efficacité trop ouvertement. Je sentais que c’était une question de fierté. Elle avait perdu de sa superbe mais elle tenait à conserver ce qui lui en restait. Etre fessée devant ses deux anciennes victimes l’avait fait déchoir, mais elle voulait montrer qu’elle maîtrisait encore un peu la situation. Son silence durant la fessée qu’elle subissait en était la démonstration.
« Je ne vous entends pas chanter, Catherine, serais-je trop complaisante avec vous ? »
Les coups qui suivirent furent beaucoup plus appuyés. Il n’en fallut pas plus de deux pour que Catherine rejoigne Béatrice dans l’extériorisation de sa douleur. Encore une dizaine d’application de la règle sur ses fesses et elle la dépassait en niveau sonore.
« Voilà qui est mieux, commenta Madame Raveneau. Je suis maintenant certaine de faire du bon travail. Il faut y mettre du vôtre, Catherine. »
Pour y mettre du sien, Catherine y mettait maintenant du sien. Elle hurlait sans aucune retenue et ses jambes dessinaient une chorégraphie désordonnée mais explicite. Cependant, elle gardait suffisamment le contrôle pour demeurer à la place que Madame Raveneau lui avait assignée. Ses gesticulations n’allaient pas jusqu’à déséquilibrer sa fesseuse alors que, pesant un poids équivalent, cela aurait été sans doute aisé.
La fessée dura. Nous sentions tous que les deux femmes étaient au bord d’un craquage qui les aurait amenées à faire une bêtise, comme se libérer de l’emprise de leur correctrice. Madame Raveneau donna le signal de la fin.
« Voilà qui a aisément démontré que la fessée est tout aussi efficace pour vous deux que pour vos victimes. »
Elles les relâchèrent et Catherine et Béatrice semblaient perdues, incapables de prendre la moindre décision. Madame Raveneau vint à leur secours.
« Allez vous mettre au coin. Vous y rester jusqu’à ce qu’on vienne vous chercher. »
Cette consigne était facile à suivre et elle s’inscrivait dans la logique de ce qui venait de se passer. Les deux coins disponibles du bureau furent bien vite occupés par les deux femmes dont la poitrine fut soulevée de sanglots silencieux pendant un bon moment. Elles avaient dégagé leurs fesses, relevant ce qui pouvait constituer un obstacle à la vue de leur postérieur écarlate, marqué de traits sombres, là où la règle avait frappé plus fort.

Nous contemplions tous la scène. J’étais fasciné par le changement qui s’était opéré en une bonne demi-heure. La fessée avait fait des miracles. Béatrice, comme à son habitude, maintenant que sa collègue, son principal soutien, avait fait faux bond, tentait de disparaître dans le plus proche trou de souris. Hélas, il n’y en avait pas à sa portée. Toute sa suffisance avait disparu et elle tentait de se faire oublier.
L’arrogance de Catherine n’était plus qu’un lointain souvenir. Il n’y avait plus qu’une femme qui avait renoncé à toute prétention pour rentrer dans le rang des punis que nous étions potentiellement tous à un moment ou à l’autre.
« Que voilà une bonne chose de faite ! »
Sur cette maxime définitive, Madame Raveneau se détourna. Leur sort ne semblait plus l’intéresser. Je sentais la satisfaction d’avoir mené à bien une situation délicate, au plus grand profit de toutes les parties. A n’en pas douter, elle comprenait Catherine et Béatrice dans ce grand ensemble.
« Combien de temps dois-je les laisser au coin, questionna Madame Colas ?
– Laissez-les là toute l’après-midi. On va venir les chercher. En attendant qu’elles songent à ce qui les attend ici à la prochaine incartade.
– Toute l’après-midi, mais cela fait une demi-journée de travail perdu, pour deux personnes ! C’est beaucoup !
– Je pense que ce n’est pas du temps perdu, mais plutôt un investissement. Vous verrez que la crainte de recevoir une nouvelle fessée fera des miracles sur la productivité de ces deux-là. Nous en avons déjà fait la démonstration avec Magali et Daniel, n’est-ce pas ? »
Nous hochâmes la tête de concert. Ce n’était pas le moment de faire preuve d’originalité.
« Je ne doute pas qu’il en sera de même avec nos deux greluches. Je vais faire en sorte qu’elles changent radicalement de comportement. »
Madame Colas approuva. La méthode avait fait ses preuves. Cela annonçait un recours à la fessée qui nous concernerait désormais tous les quatre. L’ambiance dans le bureau allait changer du tout au tout.
« Vous pourrez les garder en retenue autant de soir qu’il sera nécessaire pour rattraper le temps qu’elles auront passé au coin. »
Fessées déculottées en public, retenues, Catherine et Béatrice seraient donc soumises au même régime punitif que nous. Il restait encore un point de différence. Magali et moi avions un tuteur qui, à la maison, doublait les punitions reçues au travail.
Personne ne sembla remarquer la promesse que Madame Raveneau venait de faire. Qui allait venir chercher Catherine et Béatrice ? Ce qui était certain c’est que ces personnes les trouveraient au coin, la culotte baissée. Je pensais à ce que cela signifierai si c’était Madame Tolbois. Les conséquences pour moi seraient désastreuses. En serait-il de même pour mes deux collègues ?

J’ai pensé un peu trop tôt que cette séquence était close. Madame Raveneau eut vite fait de me faire changer d’avis.
« Il reste un point à examiner. »
C’est moi qu’elle regardait droit dans les yeux, d’un air sévère. Je faillis en mouiller ma culotte.
« Voyons voir ce qui a déclenché toute cette affaire. »
Je compris qu’elle voulait revenir sur le temps que, ce matin, nous avions passé indument Magali et moi à la photocopieuse. Si la fessée qui en avait découlé était illégitime, la bêtise elle était bien réelle. Devions-nous faire face, Magali et moi à une punition imminente pour cet écart ?
« Ce qu’il y a d’ennuyeux, c’est que vos deux versions diffèrent. Magali a avoué un « moment de distraction » qui a provoqué la sanction. Pour elle, elle avait un motif tout à fait valable, même si les conditions de son expiation ne l’ont pas été. »
Nous y étions. Il était évident que la vérité émergerait. Je n’étais pas celui qui l’avait dévoilée, au contraire, j’avais tenté, maladroitement, de la dissimuler.
« Si j’en crois Daniel, poursuivit Madame Raveneau, il a reçu une fessée sans raison. Qui dois-je croire ? »
Il y avait là peut-être une façon de rattraper ma bévue.
« Je … je … c’est moi … »
Elle me laissa le temps de préciser mes dires, il est vrai, un peu flous.
« C’est donc vous, Daniel que je dois croire. Magali m’a donc raconté des mensonges ? »
L’utilisation du mot ‘mensonge ne laissait présager rien de bon. Mais je ne pouvais plus reculer.
« Non Madame, c’est Magali qui a raison. Je me suis trompé.
– Que voilà une déclaration intéressante. Vous vous êtes trompé, dites-vous.
– Oui Madame.
– Puis-je savoir ce qui vous induit en erreur ?
– Je … je … je ne sais pas.
– Un trou de mémoire ? Vous n’aviez peut-être pas compris ma question ? »
Comment ne pas m’enfoncer d’avantage ? Je restais silencieux, les yeux baissés.
« Regardez-moi quand je vous parle ! »
Le ton employé était clair. Je me faisais gronder. Cela ne pouvait conduire qu’à une seule conclusion. Il y avait une fessée en préparation.
« Je vais vous proposer une autre version de vos agissements, reprit Madame Raveneau. Plutôt que d’avouer un comportement qui méritait une punition, vous vous êtes empêtré dans des mensonges. Fais-je fausse route ? »
Nous en étions au point où je n’avais pas d’autre solution que d’avouer en comptant sur la clémence de ma directrice. De toute façon, la punition qui m’attendait serait encore plus rigoureuse si je persistais dans mes égarements.
« Non Madame, dis-je dans un souffle.
– Voilà qui est mieux. La situation est donc on ne peut plus claire. Nous avons donc d’une part un comportement répréhensible dont vous vous êtes rendus coupables tous les deux et d’autre part, un mensonge vous êtes l’auteur Daniel. »
Qu’y avait-il à redire à cela. Madame Raveneau nous avait amené là où elle le voulait. Nous n’attendions plus que la sanction.
« Je considère que vous avez été punis pour votre bêtise. Même si les fesseuses n’étaient pas les bonnes, la punition était parfaitement adaptée. Je ne vais donc pas la doubler. Vos tuteurs respectifs seront, par contre, avertis de votre écart. Je compte sur eux pour vous expliquer une deuxième fois ce qu’il en coûte de paresser pendant le temps de travail. »
Que ce soit pour Magali ou pour moi, cela ne faisait aucun doute.
« Bien sûr, il n’est pas question qu’un mensonge aussi évident n’ait aucune conséquence. »

Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 43
Il y a une suite ... le chapitre 45.

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8 commentaires:

  1. Bonjour,
    Une suite passionnante des fessées de Catherine et Béatrice , le suspense est grand pour savoir qui va venir les chercher ???
    Vivement Jeudi Prochain ...!!!

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  2. Bonjour cher lecteur anonyme,
    C'est le jeu du feuilleton. Il faut attendre la semaine prochaine, et parfois la suivante, pour avoir les réponses. Jeudi prochain !
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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  3. Bonjour,
    Et voilà la punition pour Catherine et Béatrice a fini par arriver. Saisissante description d'une double fessée où madame Raveneau fait joliment chanter Béatrice. Une règle qui semble attendre de claquer sur un derrière... Et la directrice se montre implacable, ça claque fort!
    Quelques expressions bien senties pimentent le récit que l'on suit avec plaisir!
    Ramina!
    Du bon travail! C k
    .

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    1. Merci Ramina.
      Cette punition tant attendue est là ! En aurait-il pu être autrement ? Vous verrez, cela offre des développements intéressants ou plus exactement des développements que j'ai trouvé intéressants à écrire.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Bonjour,
    un après midi aux coins culs nus , des risques d’être vues par d'autres témoins?

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  5. je viens de dévorer les 44 chapitres, j'adore, pour une fois il y a des fessées pour un homme et des femmes tout le monde y trouve son compte. Je pense que Mme Ravenaud devrait s'occuper des fesses de Mme Colas qui ne s'etait rendu compte de rien

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    1. Odile,
      Je vous remercie des compliments que vous faites sur le récit que j'ai écrit. Pour un auteur, c'est important de savoir que ce qu'il écrit est apprécié. Jetez un œil sur les autres récits, vous devriez y trouver des scénarios qui vous conviendront.
      Je suis désolé pour vos suggestions, mais je ne pourrai les prendre en compte. L'ensemble du récit est rédigé. Mais que cela ne vous arrête pas. Prenez la plume (ou le clavier) et expliquez-nous cette convocation de Mme Colas, dans le bureau de la directrice ...
      J'attends votre récit.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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