« Julie, tu finis tout ce
qu’il a dans ton assiette ! »
C’est cette simple remarque qui a
mis le feu aux poudres.
La matinée s’était déroulée sans
anicroche, ce qui signifie que je n’avais pas reçu d’autre fessée. J’avais fait
attention au travail qui m’avait été donné. J’avais trouvé Julie moins
exigeante à mon égard lorsqu’elle était venue vérifier ce que j’avais écrit. Je
l’avais trouvée même un peu distante, moins concernée.
Je la sentais pensive. Il me
semblait qu’elle était plongée dans une profonde réflexion qui monopolisait son
attention et l’empêchait d’être totalement à ce qu’elle faisait. Je ne m’en plaignais
pas. Tatie Nathalie supervisait tout ce qui se passait et je l’avais vue
froncer les sourcils en observant l’attitude distante de Julie à mon égard.
Tatie Nathalie avait préparé le
déjeuner, requérant l’assistance de Julie à plusieurs reprises. Celle-ci
s’était exécutée, mais en y montrant de la mauvaise grâce. J’avais senti la
tension monter entre elles deux.
Tout s’était accéléré suite à cette
simple remarque :
« Julie, tu finis tout ce
qu’il a dans ton assiette ! »
Julie triait consciencieusement
les morceaux de carotte que sa mère avait mis dans le riz. Elle en avait fait
un petit tas qu’elle avait placé sur le bord de son assiette.
« Tu sais parfaitement que
je ne veux pas de ces habitudes. De plus tu montres le mauvais exemple à Axel.
Regarde, lui il a tout mangé. »
J’avais appris, à St Marie, à
finir tout ce que les Sœurs mettaient dans mon assiette. L’habitude était
maintenant profondément ancrée dans mes habitudes et il ne me serait pas venu
l’idée de faire autrement.
Julie avait posé sa fourchette
sur la table sans délicatesse, presque en la jetant.
« Tu es chiante, dit-elle à
sa mère ! Tu sais parfaitement que je n’aime pas les carottes quand elles
sont encore croquantes. Et toi, tu en mets dans le riz. »
Tatie Nathalie attrapa sa fille par
le bras et elle la mit debout à son côté. Sans hésitation, elle la coucha en
travers de ses genoux. D’où j’étais je ne voyais pas complètement ce qu’elle
faisait, mais je compris, à ses gestes, qu’elle relevait la jupe de Julie dans
son dos. Puis, elle perdit un peu de temps avec un collant fin qu’elle enleva
complètement, enfin, elle fit glisser la culotte vers les genoux.
Cela avait été fait sans effort
apparent et Julie n’avait pas réellement résisté à la volonté de sa mère. Elle
se retrouvait à plat ventre sur ses cuisses, la culotte baissée, sans avoir
totalement saisi ce qui lui arrivait. Il faut dire que les deux femmes ne
pesaient pas le même poids. Julie devait bien rendre une dizaine de kilos à sa mère et une vingtaine de
centimètres.
La première claque tomba, forte,
sonore. Julie la fit suivre d’un cri bref. Au bruit qu’elle avait fait, il était
clair que la main de Tatie Nathalie avait claqué sur de la peau nue.
Il fallut attendre une bonne
dizaine de claques avant que Julie ne tente de se soustraire à la correction
qu’elle recevait. Elle tenta tout d’abord de se lever et elle faillit y
réussir. Sa mère la rattrapa alors qu’elle avait déjà soulevé son buste et
repris appui sur ses pieds. Sa mère le bras droit sur lequel elle s’appuyait et
le ramena dans son dos tout en pesant de tout son poids sur les reins de la
jeune femme qu’elle tenait fermement. Julie retomba à sa place initiale.
« Est-ce que je t’ai
autorisée à te lever ? »
Tatie Nathalie asséna une volée
de claques sur les fesses de Julie, en y mettant une force certaine, ce qui fut
accueilli par un redoublement de cris.
« Depuis quand essayes-tu de
m’empêcher de te fesser quand j’ai décidé que tu devais être
punie ? »
Julie tenta d’interposer sa main
encore libre, mais, plaquée contre les hanches de sa mère comme elle l’était, il
n’était pas possible de ramener son bras en arrière.
« Tu vas recevoir la fessée
que tu cherches depuis que tu es arrivée. Je te promets qu’elle va-t-être
magistrale. »
Les points d’appui que Julie
avait trouvés sur le sol ou en agrippant le barreau de la chaise sur laquelle
sa mère était assise, ne lui permirent pas de venir à bout du bras pesant en
travers de son dos et de la main qui maintenait son poignet. Suite à cette
dernière tentative, elle renonça à se libérer contre la volonté de Tatie
Nathalie.
‘Aïe, … tu ne peux pas, aïe, …
faire cela, aïe, … je suis, aïe, … trop grande, aïe, …
– Je ne peux pas le faire ?
Il me semble pourtant que j’y arrive très bien. Quant à ton âge, je ne crois
pas que les choses aient beaucoup changé depuis ta dernière fessée, même si
c’était il y a plus de dix ans. J’ai plutôt l’impression que même si tu as
vieilli depuis, cette fessée va te faire autant de bien qu’elle t’en avait fait
à l’époque. »
Tatie Nathalie accéléra la
cadence. Julie renonça aux protestations qu’elle n’aurait de toute façon plus pu
émettre puisqu’elle sanglotait maintenant. Autant que je pouvais en juger, elle
ne se débattait plus. Seuls ses pieds pédalaient dans le vide sans que cela ne
gêne en rien l’administration de la fessée.
Tatie Nathalie fit durer la
fessée encore un bon moment, puis elle y mit fin.
« Lève-toi ! »
Péniblement, en prenant appui sur
les genoux de sa mère, Julie se redressa.
« Puisque tu ne veux pas
finir ce que tu as dans ton assiette, tu vas aller finit le repas au piquet. Tu
te rappelles où il se trouve et comment on s’y tient ? »
Julie marcha vers un pan de mur disponible
juste à côté de la porte de la cuisine. Sa culotte était tombée sur ses pieds.
Elle s’arrêta et sembla découvrir son sous-vêtement à une place incongrue. En
se baissant vivement, elle saisit le morceau de tissu qui entourait ses
chevilles et le remonta prestement, recouvrant ses fesses. Puis elle se dirigea
vers la porte de la cuisine qu’elle franchit en courant.
« Julie, cria sa
mère ! »
Tatie Nathalie se leva et elle
prit le même chemin que sa fille. J’entendis une porte claquer, puis être rouverte
aussitôt. Il ne fallut pas plus de deux minutes à Tatie Nathalie pour revenir
dans la cuisine, tirant Julie par le bras.
« C’est la dernière fois que
tu me désobéis. Puisqu’il te faut des fesses rouges pour le comprendre, je vais
te rendre ce service. »
Tatie Nathalie plaça sa fille
ployée sous son coude. Elle releva la jupe et la coinça sous on bras qui
enserrait le buste de Julie. Elle prit l’élastique de la culotte pour la
baisser, mais son geste fut arrêté par Julie qui tenait l’autre côté du sous-vêtement.
« Julie, tu vas me laisser
te baisser la culotte tout de suite !
– Non, Maman, pardon, pardon, pas
la culotte !
– C’est ce qu’on va
voir ! »
Tatie Nathalie commença une
fessée retentissante sur les cuisses nues de Julie. La jeune femme pleurait et
criait à chaque fois que la main de sa mère rougissait le haut de ses jambes,
mais elle ne lâchait pas la culotte. Tatie Nathalie stoppa la correction.
« Es-tu disposée à me
laisser faire ?
– Oui, Maman, oui, mais pas ici,
pas devant Axel !
– J’en ai soupé de tes comédies.
Même si cela ne t’est pas arrivé souvent quand tu étais enfant, tu devrais te
rappeler que la présence d’une autre personne ne m’a jamais empêchée de te
déculotter et de te fesser. Rappelle-toi le jour où tu as pris une déculottée
devant les copines ! Axel et toi, vous serez fessés quand je le déciderai,
là où je le déciderai, quelles que soient les personnes présentes. »
Une nouvelle série de fessées,
également réparties sur les deux cuisses de Julie ne changea rien à la
situation.
« Avec Axel, nous sommes en
famille. Il n’y aura donc pas de pudeur mal placée entre vous deux. Ce sera
comme si vous étiez frère et sœur. Tu vas devoir t’habituer à prendre la fessée
en sa présence et je ne me gênerai pas plus en ce qui le concerne. »
Tatie Nathalie reprit la fessée
sur la peau nue qui était à sa portée. Julie n’avait toujours pas lâché sa
culotte.
« Bon, je vais devoir
utiliser des arguments plus convaincants ! »
Elle prit la brosse qui pendait à
son crochet fort opportunément à portée de main. Elle en appliqua le dos sur la
main de Julie qui hurla de douleur. Trois, quatre, cinq fois … et Julie enleva
la main qui retenait la culotte.
« Enfin, commenta sa mère en
dénudant ses fesses ! »
La brosse continua son travail
sur les fesses de la jeune femme. Celle-ci hurlait, pleurait, gigotait sous le
bras de sa mère, mais elle restait en place. Finalement, n’y tenant plus, elle
plaça sa main sur ses fesses en une tentative désespérée pour les soustraire à
la correction qui s’éternisait.
Tatie Nathalie ne changea même
pas de rythme. Elle frappa sur les doigts qui recouvraient sa cible et Julie
ramena sa main devant elle, laissant ses fesses sans protection. Je savais les
ravages que le dos de la brosse faisait sur un derrière nu. Je compatissais à
la souffrance de Julie, mais je cherchais à me faire oublier, ne tenant pas à
attirer l’attention de Tatie Nathalie.
Elle travaillait à éradiquer les
futures désobéissances et surtout les résistances à recevoir la fessée. Il
fallait donc que la correction fût démonstrative. Elle y réussit parfaitement.
Quand Julie cessa de se tortiller, Tatie Nathalie raccrocha la brosse à sa
place.
« Au piquet ! »
Julie s’y plaça sans hésiter.
Elle posa son nez contre le mur, puis elle croisa ses mains sur le sommet de son
crâne.
« Tu n’oublies pas quelque
chose ? La jupe ! »
Julie souleva lentement l’arrière
de sa jupe et la roula tant bien que mal, puis elle la coinça sous sa ceinture.
Ses fesses écarlates étaient maintenant exposées nues. Elle reprit la pose
qu’on attendait d’elle au piquet.
« Tu vas rester là jusqu’à
ce que nous ayons fini de manger ! Je te donnerai plus tard ta fessée pour
avoir fait obstacle à ton déculottage. Je te promets qu’elle sera
sévère. »
Julie ne fit pas une tentative
pour bouger du piquet où sa mère l’avait mise. Elle reprenait les habitudes qui
avaient été les siennes et qu’elle n’avait pas oubliées. Tatie Nathalie et moi
mangèrent un dessert avant de débarrasser la table.
« Axel, tu vas te laver les
dents, puis tu iras vider la poubelle avant de reprendre tes devoirs là où tu
les avais laissés. Julie, viens me voir ! »
Je lambinais un peu pour sortir
de la cuisine. Je voulais savoir quel sort Tatie Nathalie réservait à sa fille.
Je l’aperçus qui remontait la culotte de sa fille. Julie la laissait faire. Les
quelques secondes où j’avais cédé à la curiosité n’échappèrent pas à Tatie
Nathalie.
« File te laver les dents.
Je sais m’occuper des petits curieux pour leur apprendre à se mêler de ce qui
ne les regarde pas. »
Je ne demandais pas mon reste et
je me dirigeais aussi vite que je le pouvais vers la salle de bain. Je
craignais que Tatie Nathalie me rappelle, ce qui aurait été une mauvaise
nouvelle pour mes fesses. Heureusement, il n’en fut rien.
Quand je repassais par la cuisine
pour y prendre la poubelle, Julie avait retrouvé une tenue décente. Il n’y avait
plus de trace visible de la double fessée qu’elle avait reçue. J’imaginais
aisément que, par contre, intérieurement, elle était encore bien présente. Si
j’avais bien compris la situation, Tatie Nathalie venait de reprendre des
habitudes qu’elle avait abandonnées il y a plus de dix ans.
A vingt-cinq ans passés, Julie
savait qu’une fessée l’attendait dans l’après-midi et qu’elle n’aurait rien
d’une partie de plaisir. Cette prochaine correction serait déterminante pour la
suite du séjour. A l’évidence, Tatie Nathalie voulait que sa fille reconnaisse
de nouveau sa légitimité à la corriger quand elle le jugeait nécessaire.
Une fois engagé dans cette
direction, il n’y aurait plus de raison de revenir en arrière. J’en savais
quelques choses. Si Julie se soumettait à la prochaine fessée, cela
déterminerait, probablement pour longtemps, la nature des relations qu’elle
entretiendrait avec sa mère. J’avais eu l’impression que Tatie Nathalie avait la
détermination et la force physique nécessaire pour contraindre sa fille.
A l’opposé, je n’avais pas senti
une ferme résolution chez Julie. Il y avait bien eu cette petite tentative pour
se relever quand Tatie Nathalie avait commencé la fessée sur ses genoux, mais
Julie y avait renoncé très vite, comme si elle savait, par avance, que c’était
voué à l’échec. Et c’est sans résister qu’elle avait laissé Tatie Nathalie la
courber sous son bras quelques instants plus tard. Elle s’était contentée de
retenir sa culotte pour éviter qu’elle ne soit baissée devant moi. A ce
moment-là, elle avait déjà reconnu que sa mère avait le droit de la fesser. Si
elle se soumettait à cette fessée, ce serait ensuite la norme sur laquelle il
lui serait quasiment impossible de revenir.
Julie, sans doute sur l’ordre de
sa mère, s’était engagée dans un nettoyage minutieux de la cuisine. Elle
frottait le plan de travail avec un air concentré. Cela contrastait assez
nettement avec son attitude de la veille quand elle n’avait absolument pas
participé aux tâches ménagères que Tatie Nathalie avait assumées seule.
A mon entrée dans la pièce, julie
s’était retournée, puis elle avait rougi tout en baissant les yeux. Elle
s’était remise aussitôt à son travail ce qui lui avait permis de me tourner le
dos. Nous n’avions pas échangé une parole. Je ne voyais pas ce que j’aurais pu
lui dire, d’autant plus que je n’étais pas certain qu’elle ne serait plus en
mesure de clore une discussion qui lui aurait déplu, en me donnant une bonne
fessée. Etre maintenant soumis à l’autorité de Tatie Nathalie ne signifiait pas
que j’échappasse à celle de Julie.
Tatie Nathalie me mit à mon
travail dès que j’eusse accompli les travaux qu’elle m’avait assignés. Installé
sur la table de la salle à manger, j’étais sous son regard. C’était une pièce
ouverte par laquelle il fallait passer pour circuler dans la maison. Elle
pouvait donc, à tout moment vérifier que je travaillais.
« Ta fiche de lecture est bien
avancée, tu dois l’avoir finie pour la fin de l’après-midi. Tu feras attention
à la relire, il y a beaucoup trop de fautes d’orthographe. »
L’orthographe. Encore
l’orthographe ! De toute ma scolarité, cela n’avait jamais été une
préoccupation pour moi, alors que ça l’était pour mes enseignants. J’étais très
mauvais en dictée et les devoirs que je rendais étaient truffés de fautes.
J’avais dû y faire un peu plus attention durant mes études supérieures, mais
j’avais atteint un niveau qui permettait tout juste que mes écrits ne soient
pas rejetés par leurs lecteurs. Je m’étais organisé pour faire relire ce que je
rédigeais, ce qui permettait de rendre des rapports d’études acceptables par
leurs commanditaires. J’avais ainsi réussi à dissimuler cette incompétence. A
St Marie, cet arrangement ne tenait plus, pas plus qu’en présence de Julie ou
de sa mère.
Julie sortit de la cuisine.
« J’ai fini, Maman !
– J’espère que c’est parfaitement
propre. Je ne voudrais pas ajouter une autre fessée à celle que je te dois
déjà. Allons voir cela ! »
Les deux femmes disparurent dans
la cuisine. Elles revinrent quelques minutes plus tard. Tatie Nathalie tenait
Julie par la main. Elle la conduisit jusqu’au canapé et s’y assit. Elle plaça
Julie debout devant elle.
« Je me contenterai, pour
aujourd’hui, de ce que tu as fait. C’est loin d’être parfait. Durant ton séjour
ici, je vais te réapprendre à faire du ménage correctement. Tu le faisais
parfaitement les dernières années que tu as passées ici. Je vois que tu ne t’es
pas améliorée. Je vais m’en occuper. »
Julie se tenait devant sa mère, les
bras dans le dos. Elle fixait le sol à ses pieds. Si ce n’était sa taille, tout
indiquait qu’elle était une petite fille à laquelle sa Maman faisait des
reproches mérités.
« Pour le moment, passons à
la fessée. Va chercher la brosse !
– Oh non, Maman, s’il te
plait ! »
Sa mère devait s’attendre à cette
réaction. La claque sur la cuisse partit instantanément.
« Faut-il que je le
redise ?
–Non, Maman. »
Julie se hâta d’aller chercher,
dans la cuisine, l’instrument de sa punition maintenant toute proche. Quand
elle revint, elle le tendit à sa mère, sans hésiter, mais en faisant une
grimace.
« Approche ! »
Elle plaça Julie debout entre ses
jambes. Elle avait placé une main sur chaque côté de la taille de la jeune
femme.
« Tu vas reprendre les
bonnes habitudes que je t’avais inculquées quand tu vivais dans cette maison.
Je veux une grande fille obéissante comme tu l’étais avant. Il n’est plus
question que tu me répondes quand je te gronde. Est-ce compris ?
– Oui, Maman.
– Je te déculotterai et je te
fesserai quand je penserai que ça te fera du bien. Ce sera aussi souvent que tu
le mériteras. Il n’est pas question que tu t’y opposes de quelque façon que ce
soit. Retenir ta culotte alors que j’avais décidé de la baisser, comme tu l’as
fait ce midi, est une grosse désobéissance. Cela mérite une fessée exemplaire
pour t’apprendre à ne plus le faire. »
Tatie Nathalie glissa ses deux
mains sous la jupe de sa fille. A part une crispation de son visage, Julie
resta sans réaction. Les mains de sa mère réapparurent. Elles tenaient la
culotte de Julie qu’elles descendirent jusqu’à ses genoux.
Tatie Nathalie prenait son temps.
Elle voulait qu’il soit clair que Julie se soumettrait désormais aux punitions
de sa mère. En tenant sa fille par le bras, elle lui fit contourner sa jambe
pour la placer à son côté droit. Elle montra ses genoux.
« A plat
ventre ! »
Julie prit place d’elle-même dans
la position disciplinaire. Sa mère releva sa jupe, dévoilant ses fesses qui
portaient encore de légers stigmates de la précédente correction.
« Tu te rappelles les règles
de comportement pendant une fessée ? Elles n’ont pas changé depuis la
dernière fois que je t’ai allongée sur mes genoux. Ce sont celles que tu imposes
à Axel : interdiction de bouger avant que je t’y autorise, pas de main ou
quoique que ce soit d’autre pour gêner l’administration de la punition. Est-ce
bien compris ?
– Oui, Maman.
– Si j’ai à me plaindre de ton attitude
pendant la fessée, tu en auras une nouvelle avec la palette à fesser. Te
rappelles-tu comment elle claque sur les fesses et comment elle laisse des
traces qui mettent plusieurs jours à disparaître ?
– Oui, Maman.
– Alors, allons-y ! »
Tatie Nathalie prit encore le
temps d’ajuster la jupe de Julie, puis elle posa sa main à plat sur la hanche
dénudée de Julie, sans y mettre de pression, uniquement comme une balise qu’il
ne fallait pas dépasser. Elle prit alors la brosse et la leva à hauteur de son
épaule.
Julie éructa un cri étouffé. Je
vis tout son corps se contracter et ses jambes se tendre à l’horizontal. Elle
était encore dans cette position quand le deuxième coup du dos de la brosse
atteignit l’autre côté de ses fesses. Cela faisait un claquement sec dont
l’onde sonore était limitée. Julie cria sa douleur, puis elle fondit en
sanglots.
Cela n’arrêta pas sa mère. Une
fessée trop vite interrompue est trop vite oubliée. Il y avait une leçon à
apprendre. Il fallait qu’elle soit gravée durablement dans la mémoire de Julie.
Cela demandait du temps. Tatie Nathalie le prit, bien au-delà de ce qu’aurait
souhaité Julie.
Julie n’avait pu tenir la
contraction de ses fesses bien longtemps. Je regardais avec fascination la
brosse y imprimer sa marque. Elle provoquait une nette dépression sur les
fesses de Julie, là où le coup était porté. Puis, alors que Tatie Nathalie
cherchait sa prochaine cible, une petite vague se propageait jusqu’au bord des
fesses. Les jambes de Julie accusaient le coup à chaque fois, mais elles
avaient des difficultés à tenir le rythme.
Cette scène m’hypnotisait. Je n’arrivais
pas à me réjouir de voir ma tutrice, à son tour, soumise au régime qu’elle
m’avait imposé. Cela me rappelait de trop mauvais souvenirs et je me remémorais
la douleur que provoquait ce genre de fessée, une sorte de compassion avec une
compagne de punition.
Il arrive un moment où
l’accumulation de coups sur les fesses ne provoque plus de réactions. Tatie
Nathalie attendit d’en être arrivée là pour mettre fin à la punition de sa
fille. Celle-ci ne réagissait plus que mollement à l’application de la brosse
sur son postérieur. Elle posa la brosse sur la table basse à côté du canapé.
Elle patienta un peu, laissant Julie pleurer, allongée sur ses genoux. Quand
les sanglots se transformèrent en gémissements, Tatie Nathalie passa à la phase
suivante de la punition.
« Allons, debout ! Il
est temps de te mettre au coin ! »
Julie se leva. Elle esquissa un
geste pour frotter ses fesses. Elle en fut empêchée par la menace de sa mère.
« Non ! Tes
mains ! »
Julie suspendit son geste.
« Va te mettre au
coin ! »
Elle marcha vers le lieu qui lui
était assigné. Cela se voyait que ce n’était pas la première fois qu’elle s’y
tenait. Elle savait parfaitement comment s’y prendre : le nez au plus près
de l’arrête du mur, les mains croisées dans le dos relevant sa jupe
suffisamment haut pour que ses fesses soient bien visibles.
« Je n’ai pas l’impression
que tu travailles beaucoup ! Auras-tu fait ton travail quand je vais venir
vérifier ? »
Tatie Nathalie s’était retournée vers moi. Je baissais la
tête sur mon ouvrage. Je n’avais aucune envie de faire l’objet de son
attention. Pourtant je n’avais pas écrit un mot pendant les presque dix
dernières minutes, le temps qu’avaient duré la fessée et sa préparation. Il
était temps de rattraper mon retard.
Et avec les dessins originaux de Peter Pan.
Grand merci pour ce travail qui se poursuit.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure.
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerEncore de belles séquences de fessées, bien cuisantes. La brosse à fessée est utilisée à bon escient et donne d'excellents résultats.
Histoire de varier les plaisirs, on passe successivement des fesses d'Axel à celles de Julie soumise à l'extrême sévérité de la mère qui fait preuve d'un regain d'autorité tout azimut.
Les fesseuses implacables se multiplient au fil du récit et corrigent sans concession... A un point qu'on se demande bien quel autre personnage féminin pourrait encore intervenir sur les fesses de nos deux héros. Zat iz ze couestionne !! (sourires)
Cordialement.
Ramina
Ramina,
SupprimerQue vous êtes pressé, mon ami !
Laissons d'abord Tatie Nathalie s'installer dans le récit. Elle a sans doute encore quelques autres fesses dont il faudra qu'elle s'occupe.
Nous verrons ensuite s'il est opportun d'introduire d'autres fesseuses dans le récit. Gageons qu'il sera alors encore possible d'en trouver de nouvelles.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG.
RépondreSupprimerLa dessus je vous fais totalement confiance...
Ramina
Ramina,
SupprimerJ'essayerai d'en être digne.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
gageons qu'Axel "témoin involontaire" des fessées de Julie va le payer très cher quand il va se retrouver seul en tête à tête avec Julie !!!
RépondreSupprimerJuves Fandor,
SupprimerC'est une possibilité. Sera-t-elle confirmée par la suite du récit ? A voir !
Au plaisir de vous lire,
JLG.