samedi 25 août 2018

Axel en famille - chapitre 58


« Julie, tu finis tout ce qu’il a dans ton assiette ! »
C’est cette simple remarque qui a mis le feu aux poudres.
La matinée s’était déroulée sans anicroche, ce qui signifie que je n’avais pas reçu d’autre fessée. J’avais fait attention au travail qui m’avait été donné. J’avais trouvé Julie moins exigeante à mon égard lorsqu’elle était venue vérifier ce que j’avais écrit. Je l’avais trouvée même un peu distante, moins concernée.
Je la sentais pensive. Il me semblait qu’elle était plongée dans une profonde réflexion qui monopolisait son attention et l’empêchait d’être totalement à ce qu’elle faisait. Je ne m’en plaignais pas. Tatie Nathalie supervisait tout ce qui se passait et je l’avais vue froncer les sourcils en observant l’attitude distante de Julie à mon égard.

Tatie Nathalie avait préparé le déjeuner, requérant l’assistance de Julie à plusieurs reprises. Celle-ci s’était exécutée, mais en y montrant de la mauvaise grâce. J’avais senti la tension monter entre elles deux.
Tout s’était accéléré suite à cette simple remarque :
« Julie, tu finis tout ce qu’il a dans ton assiette ! »
Julie triait consciencieusement les morceaux de carotte que sa mère avait mis dans le riz. Elle en avait fait un petit tas qu’elle avait placé sur le bord de son assiette.
« Tu sais parfaitement que je ne veux pas de ces habitudes. De plus tu montres le mauvais exemple à Axel. Regarde, lui il a tout mangé. »
J’avais appris, à St Marie, à finir tout ce que les Sœurs mettaient dans mon assiette. L’habitude était maintenant profondément ancrée dans mes habitudes et il ne me serait pas venu l’idée de faire autrement.
Julie avait posé sa fourchette sur la table sans délicatesse, presque en la jetant.
« Tu es chiante, dit-elle à sa mère ! Tu sais parfaitement que je n’aime pas les carottes quand elles sont encore croquantes. Et toi, tu en mets dans le riz. »


Une dispute préparatoire à une fessée


Tatie Nathalie attrapa sa fille par le bras et elle la mit debout à son côté. Sans hésitation, elle la coucha en travers de ses genoux. D’où j’étais je ne voyais pas complètement ce qu’elle faisait, mais je compris, à ses gestes, qu’elle relevait la jupe de Julie dans son dos. Puis, elle perdit un peu de temps avec un collant fin qu’elle enleva complètement, enfin, elle fit glisser la culotte vers les genoux.


La fessée déculottée de Julie par sa Maman


Cela avait été fait sans effort apparent et Julie n’avait pas réellement résisté à la volonté de sa mère. Elle se retrouvait à plat ventre sur ses cuisses, la culotte baissée, sans avoir totalement saisi ce qui lui arrivait. Il faut dire que les deux femmes ne pesaient pas le même poids. Julie devait bien rendre une  dizaine de kilos à sa mère et une vingtaine de centimètres.
La première claque tomba, forte, sonore. Julie la fit suivre d’un cri bref. Au bruit qu’elle avait fait, il était clair que la main de Tatie Nathalie avait claqué sur de la peau nue.
Il fallut attendre une bonne dizaine de claques avant que Julie ne tente de se soustraire à la correction qu’elle recevait. Elle tenta tout d’abord de se lever et elle faillit y réussir. Sa mère la rattrapa alors qu’elle avait déjà soulevé son buste et repris appui sur ses pieds. Sa mère le bras droit sur lequel elle s’appuyait et le ramena dans son dos tout en pesant de tout son poids sur les reins de la jeune femme qu’elle tenait fermement. Julie retomba à sa place initiale.
« Est-ce que je t’ai autorisée à te lever ? »
Tatie Nathalie asséna une volée de claques sur les fesses de Julie, en y mettant une force certaine, ce qui fut accueilli par un redoublement de cris.
« Depuis quand essayes-tu de m’empêcher de te fesser quand j’ai décidé que tu devais être punie ? »
Julie tenta d’interposer sa main encore libre, mais, plaquée contre les hanches de sa mère comme elle l’était, il n’était pas possible de ramener son bras en arrière.
« Tu vas recevoir la fessée que tu cherches depuis que tu es arrivée. Je te promets qu’elle va-t-être magistrale. »
Les points d’appui que Julie avait trouvés sur le sol ou en agrippant le barreau de la chaise sur laquelle sa mère était assise, ne lui permirent pas de venir à bout du bras pesant en travers de son dos et de la main qui maintenait son poignet. Suite à cette dernière tentative, elle renonça à se libérer contre la volonté de Tatie Nathalie.
‘Aïe, … tu ne peux pas, aïe, … faire cela, aïe, … je suis, aïe, … trop grande, aïe, …
– Je ne peux pas le faire ? Il me semble pourtant que j’y arrive très bien. Quant à ton âge, je ne crois pas que les choses aient beaucoup changé depuis ta dernière fessée, même si c’était il y a plus de dix ans. J’ai plutôt l’impression que même si tu as vieilli depuis, cette fessée va te faire autant de bien qu’elle t’en avait fait à l’époque. »
Tatie Nathalie accéléra la cadence. Julie renonça aux protestations qu’elle n’aurait de toute façon plus pu émettre puisqu’elle sanglotait maintenant. Autant que je pouvais en juger, elle ne se débattait plus. Seuls ses pieds pédalaient dans le vide sans que cela ne gêne en rien l’administration de la fessée.
Tatie Nathalie fit durer la fessée encore un bon moment, puis elle y mit fin.
« Lève-toi ! »
Péniblement, en prenant appui sur les genoux de sa mère, Julie se redressa.
« Puisque tu ne veux pas finir ce que tu as dans ton assiette, tu vas aller finit le repas au piquet. Tu te rappelles où il se trouve et comment on s’y tient ? »
Julie marcha vers un pan de mur disponible juste à côté de la porte de la cuisine. Sa culotte était tombée sur ses pieds. Elle s’arrêta et sembla découvrir son sous-vêtement à une place incongrue. En se baissant vivement, elle saisit le morceau de tissu qui entourait ses chevilles et le remonta prestement, recouvrant ses fesses. Puis elle se dirigea vers la porte de la cuisine qu’elle franchit en courant.
« Julie, cria sa mère ! »
Tatie Nathalie se leva et elle prit le même chemin que sa fille. J’entendis une porte claquer, puis être rouverte aussitôt. Il ne fallut pas plus de deux minutes à Tatie Nathalie pour revenir dans la cuisine, tirant Julie par le bras.
« C’est la dernière fois que tu me désobéis. Puisqu’il te faut des fesses rouges pour le comprendre, je vais te rendre ce service. »
Tatie Nathalie plaça sa fille ployée sous son coude. Elle releva la jupe et la coinça sous on bras qui enserrait le buste de Julie. Elle prit l’élastique de la culotte pour la baisser, mais son geste fut arrêté par Julie qui tenait l’autre côté du sous-vêtement.
« Julie, tu vas me laisser te baisser la culotte tout de suite !
– Non, Maman, pardon, pardon, pas la culotte !
– C’est ce qu’on va voir ! »
Tatie Nathalie commença une fessée retentissante sur les cuisses nues de Julie. La jeune femme pleurait et criait à chaque fois que la main de sa mère rougissait le haut de ses jambes, mais elle ne lâchait pas la culotte. Tatie Nathalie stoppa la correction.
« Es-tu disposée à me laisser faire ?
– Oui, Maman, oui, mais pas ici, pas devant Axel !
– J’en ai soupé de tes comédies. Même si cela ne t’est pas arrivé souvent quand tu étais enfant, tu devrais te rappeler que la présence d’une autre personne ne m’a jamais empêchée de te déculotter et de te fesser. Rappelle-toi le jour où tu as pris une déculottée devant les copines ! Axel et toi, vous serez fessés quand je le déciderai, là où je le déciderai, quelles que soient les personnes présentes. »
Une nouvelle série de fessées, également réparties sur les deux cuisses de Julie ne changea rien à la situation.
« Avec Axel, nous sommes en famille. Il n’y aura donc pas de pudeur mal placée entre vous deux. Ce sera comme si vous étiez frère et sœur. Tu vas devoir t’habituer à prendre la fessée en sa présence et je ne me gênerai pas plus en ce qui le concerne. »
Tatie Nathalie reprit la fessée sur la peau nue qui était à sa portée. Julie n’avait toujours pas lâché sa culotte.
« Bon, je vais devoir utiliser des arguments plus convaincants ! »
Elle prit la brosse qui pendait à son crochet fort opportunément à portée de main. Elle en appliqua le dos sur la main de Julie qui hurla de douleur. Trois, quatre, cinq fois … et Julie enleva la main qui retenait la culotte.
« Enfin, commenta sa mère en dénudant ses fesses ! »
La brosse continua son travail sur les fesses de la jeune femme. Celle-ci hurlait, pleurait, gigotait sous le bras de sa mère, mais elle restait en place. Finalement, n’y tenant plus, elle plaça sa main sur ses fesses en une tentative désespérée pour les soustraire à la correction qui s’éternisait.
Tatie Nathalie ne changea même pas de rythme. Elle frappa sur les doigts qui recouvraient sa cible et Julie ramena sa main devant elle, laissant ses fesses sans protection. Je savais les ravages que le dos de la brosse faisait sur un derrière nu. Je compatissais à la souffrance de Julie, mais je cherchais à me faire oublier, ne tenant pas à attirer l’attention de Tatie Nathalie.
Elle travaillait à éradiquer les futures désobéissances et surtout les résistances à recevoir la fessée. Il fallait donc que la correction fût démonstrative. Elle y réussit parfaitement. Quand Julie cessa de se tortiller, Tatie Nathalie raccrocha la brosse à sa place.
« Au piquet ! »
Julie s’y plaça sans hésiter. Elle posa son nez contre le mur, puis elle croisa ses mains sur le sommet de son crâne.
« Tu n’oublies pas quelque chose ? La jupe ! »
Julie souleva lentement l’arrière de sa jupe et la roula tant bien que mal, puis elle la coinça sous sa ceinture. Ses fesses écarlates étaient maintenant exposées nues. Elle reprit la pose qu’on attendait d’elle au piquet.
« Tu vas rester là jusqu’à ce que nous ayons fini de manger ! Je te donnerai plus tard ta fessée pour avoir fait obstacle à ton déculottage. Je te promets qu’elle sera sévère. »

Julie ne fit pas une tentative pour bouger du piquet où sa mère l’avait mise. Elle reprenait les habitudes qui avaient été les siennes et qu’elle n’avait pas oubliées. Tatie Nathalie et moi mangèrent un dessert avant de débarrasser la table.
« Axel, tu vas te laver les dents, puis tu iras vider la poubelle avant de reprendre tes devoirs là où tu les avais laissés. Julie, viens me voir ! »
Je lambinais un peu pour sortir de la cuisine. Je voulais savoir quel sort Tatie Nathalie réservait à sa fille. Je l’aperçus qui remontait la culotte de sa fille. Julie la laissait faire. Les quelques secondes où j’avais cédé à la curiosité n’échappèrent pas à Tatie Nathalie.
« File te laver les dents. Je sais m’occuper des petits curieux pour leur apprendre à se mêler de ce qui ne les regarde pas. »
Je ne demandais pas mon reste et je me dirigeais aussi vite que je le pouvais vers la salle de bain. Je craignais que Tatie Nathalie me rappelle, ce qui aurait été une mauvaise nouvelle pour mes fesses. Heureusement, il n’en fut rien.
Quand je repassais par la cuisine pour y prendre la poubelle, Julie avait retrouvé une tenue décente. Il n’y avait plus de trace visible de la double fessée qu’elle avait reçue. J’imaginais aisément que, par contre, intérieurement, elle était encore bien présente. Si j’avais bien compris la situation, Tatie Nathalie venait de reprendre des habitudes qu’elle avait abandonnées il y a plus de dix ans.
A vingt-cinq ans passés, Julie savait qu’une fessée l’attendait dans l’après-midi et qu’elle n’aurait rien d’une partie de plaisir. Cette prochaine correction serait déterminante pour la suite du séjour. A l’évidence, Tatie Nathalie voulait que sa fille reconnaisse de nouveau sa légitimité à la corriger quand elle le jugeait nécessaire.
Une fois engagé dans cette direction, il n’y aurait plus de raison de revenir en arrière. J’en savais quelques choses. Si Julie se soumettait à la prochaine fessée, cela déterminerait, probablement pour longtemps, la nature des relations qu’elle entretiendrait avec sa mère. J’avais eu l’impression que Tatie Nathalie avait la détermination et la force physique nécessaire pour contraindre sa fille.
A l’opposé, je n’avais pas senti une ferme résolution chez Julie. Il y avait bien eu cette petite tentative pour se relever quand Tatie Nathalie avait commencé la fessée sur ses genoux, mais Julie y avait renoncé très vite, comme si elle savait, par avance, que c’était voué à l’échec. Et c’est sans résister qu’elle avait laissé Tatie Nathalie la courber sous son bras quelques instants plus tard. Elle s’était contentée de retenir sa culotte pour éviter qu’elle ne soit baissée devant moi. A ce moment-là, elle avait déjà reconnu que sa mère avait le droit de la fesser. Si elle se soumettait à cette fessée, ce serait ensuite la norme sur laquelle il lui serait quasiment impossible de revenir.
Julie, sans doute sur l’ordre de sa mère, s’était engagée dans un nettoyage minutieux de la cuisine. Elle frottait le plan de travail avec un air concentré. Cela contrastait assez nettement avec son attitude de la veille quand elle n’avait absolument pas participé aux tâches ménagères que Tatie Nathalie avait assumées seule.
A mon entrée dans la pièce, julie s’était retournée, puis elle avait rougi tout en baissant les yeux. Elle s’était remise aussitôt à son travail ce qui lui avait permis de me tourner le dos. Nous n’avions pas échangé une parole. Je ne voyais pas ce que j’aurais pu lui dire, d’autant plus que je n’étais pas certain qu’elle ne serait plus en mesure de clore une discussion qui lui aurait déplu, en me donnant une bonne fessée. Etre maintenant soumis à l’autorité de Tatie Nathalie ne signifiait pas que j’échappasse à celle de Julie.

Tatie Nathalie me mit à mon travail dès que j’eusse accompli les travaux qu’elle m’avait assignés. Installé sur la table de la salle à manger, j’étais sous son regard. C’était une pièce ouverte par laquelle il fallait passer pour circuler dans la maison. Elle pouvait donc, à tout moment vérifier que je travaillais.
« Ta fiche de lecture est bien avancée, tu dois l’avoir finie pour la fin de l’après-midi. Tu feras attention à la relire, il y a beaucoup trop de fautes d’orthographe. »
L’orthographe. Encore l’orthographe ! De toute ma scolarité, cela n’avait jamais été une préoccupation pour moi, alors que ça l’était pour mes enseignants. J’étais très mauvais en dictée et les devoirs que je rendais étaient truffés de fautes. J’avais dû y faire un peu plus attention durant mes études supérieures, mais j’avais atteint un niveau qui permettait tout juste que mes écrits ne soient pas rejetés par leurs lecteurs. Je m’étais organisé pour faire relire ce que je rédigeais, ce qui permettait de rendre des rapports d’études acceptables par leurs commanditaires. J’avais ainsi réussi à dissimuler cette incompétence. A St Marie, cet arrangement ne tenait plus, pas plus qu’en présence de Julie ou de sa mère.
Julie sortit de la cuisine.
« J’ai fini, Maman !
– J’espère que c’est parfaitement propre. Je ne voudrais pas ajouter une autre fessée à celle que je te dois déjà. Allons voir cela ! »
Les deux femmes disparurent dans la cuisine. Elles revinrent quelques minutes plus tard. Tatie Nathalie tenait Julie par la main. Elle la conduisit jusqu’au canapé et s’y assit. Elle plaça Julie debout devant elle.
« Je me contenterai, pour aujourd’hui, de ce que tu as fait. C’est loin d’être parfait. Durant ton séjour ici, je vais te réapprendre à faire du ménage correctement. Tu le faisais parfaitement les dernières années que tu as passées ici. Je vois que tu ne t’es pas améliorée. Je vais m’en occuper. »
Julie se tenait devant sa mère, les bras dans le dos. Elle fixait le sol à ses pieds. Si ce n’était sa taille, tout indiquait qu’elle était une petite fille à laquelle sa Maman faisait des reproches mérités.
« Pour le moment, passons à la fessée. Va chercher la brosse !
– Oh non, Maman, s’il te plait ! »
Sa mère devait s’attendre à cette réaction. La claque sur la cuisse partit instantanément.
« Faut-il que je le redise ?
–Non, Maman. »
Julie se hâta d’aller chercher, dans la cuisine, l’instrument de sa punition maintenant toute proche. Quand elle revint, elle le tendit à sa mère, sans hésiter, mais en faisant une grimace.
« Approche ! »
Elle plaça Julie debout entre ses jambes. Elle avait placé une main sur chaque côté de la taille de la jeune femme.
« Tu vas reprendre les bonnes habitudes que je t’avais inculquées quand tu vivais dans cette maison. Je veux une grande fille obéissante comme tu l’étais avant. Il n’est plus question que tu me répondes quand je te gronde. Est-ce compris ?
– Oui, Maman.
– Je te déculotterai et je te fesserai quand je penserai que ça te fera du bien. Ce sera aussi souvent que tu le mériteras. Il n’est pas question que tu t’y opposes de quelque façon que ce soit. Retenir ta culotte alors que j’avais décidé de la baisser, comme tu l’as fait ce midi, est une grosse désobéissance. Cela mérite une fessée exemplaire pour t’apprendre à ne plus le faire. »
Tatie Nathalie glissa ses deux mains sous la jupe de sa fille. A part une crispation de son visage, Julie resta sans réaction. Les mains de sa mère réapparurent. Elles tenaient la culotte de Julie qu’elles descendirent jusqu’à ses genoux.
Tatie Nathalie prenait son temps. Elle voulait qu’il soit clair que Julie se soumettrait désormais aux punitions de sa mère. En tenant sa fille par le bras, elle lui fit contourner sa jambe pour la placer à son côté droit. Elle montra ses genoux.
« A plat ventre ! »
Julie prit place d’elle-même dans la position disciplinaire. Sa mère releva sa jupe, dévoilant ses fesses qui portaient encore de légers stigmates de la précédente correction.
« Tu te rappelles les règles de comportement pendant une fessée ? Elles n’ont pas changé depuis la dernière fois que je t’ai allongée sur mes genoux. Ce sont celles que tu imposes à Axel : interdiction de bouger avant que je t’y autorise, pas de main ou quoique que ce soit d’autre pour gêner l’administration de la punition. Est-ce bien compris ?
– Oui, Maman.
– Si j’ai à me plaindre de ton attitude pendant la fessée, tu en auras une nouvelle avec la palette à fesser. Te rappelles-tu comment elle claque sur les fesses et comment elle laisse des traces qui mettent plusieurs jours à disparaître ?
– Oui, Maman.
– Alors, allons-y ! »
Tatie Nathalie prit encore le temps d’ajuster la jupe de Julie, puis elle posa sa main à plat sur la hanche dénudée de Julie, sans y mettre de pression, uniquement comme une balise qu’il ne fallait pas dépasser. Elle prit alors la brosse et la leva à hauteur de son épaule.
Julie éructa un cri étouffé. Je vis tout son corps se contracter et ses jambes se tendre à l’horizontal. Elle était encore dans cette position quand le deuxième coup du dos de la brosse atteignit l’autre côté de ses fesses. Cela faisait un claquement sec dont l’onde sonore était limitée. Julie cria sa douleur, puis elle fondit en sanglots.
Cela n’arrêta pas sa mère. Une fessée trop vite interrompue est trop vite oubliée. Il y avait une leçon à apprendre. Il fallait qu’elle soit gravée durablement dans la mémoire de Julie. Cela demandait du temps. Tatie Nathalie le prit, bien au-delà de ce qu’aurait souhaité Julie.
Julie n’avait pu tenir la contraction de ses fesses bien longtemps. Je regardais avec fascination la brosse y imprimer sa marque. Elle provoquait une nette dépression sur les fesses de Julie, là où le coup était porté. Puis, alors que Tatie Nathalie cherchait sa prochaine cible, une petite vague se propageait jusqu’au bord des fesses. Les jambes de Julie accusaient le coup à chaque fois, mais elles avaient des difficultés à tenir le rythme.
Cette scène m’hypnotisait. Je n’arrivais pas à me réjouir de voir ma tutrice, à son tour, soumise au régime qu’elle m’avait imposé. Cela me rappelait de trop mauvais souvenirs et je me remémorais la douleur que provoquait ce genre de fessée, une sorte de compassion avec une compagne de punition.
Il arrive un moment où l’accumulation de coups sur les fesses ne provoque plus de réactions. Tatie Nathalie attendit d’en être arrivée là pour mettre fin à la punition de sa fille. Celle-ci ne réagissait plus que mollement à l’application de la brosse sur son postérieur. Elle posa la brosse sur la table basse à côté du canapé. Elle patienta un peu, laissant Julie pleurer, allongée sur ses genoux. Quand les sanglots se transformèrent en gémissements, Tatie Nathalie passa à la phase suivante de la punition.
« Allons, debout ! Il est temps de te mettre au coin ! »
Julie se leva. Elle esquissa un geste pour frotter ses fesses. Elle en fut empêchée par la menace de sa mère.
« Non ! Tes mains ! »
Julie suspendit son geste.
« Va te mettre au coin ! »
Elle marcha vers le lieu qui lui était assigné. Cela se voyait que ce n’était pas la première fois qu’elle s’y tenait. Elle savait parfaitement comment s’y prendre : le nez au plus près de l’arrête du mur, les mains croisées dans le dos relevant sa jupe suffisamment haut pour que ses fesses soient bien visibles.

« Je n’ai pas l’impression que tu travailles beaucoup ! Auras-tu fait ton travail quand je vais venir vérifier ?  »
Tatie Nathalie s’était retournée vers moi. Je baissais la tête sur mon ouvrage. Je n’avais aucune envie de faire l’objet de son attention. Pourtant je n’avais pas écrit un mot pendant les presque dix dernières minutes, le temps qu’avaient duré la fessée et sa préparation. Il était temps de rattraper mon retard.

Et avec les dessins originaux de Peter Pan.

Grand merci pour ce travail qui se poursuit.

Pour suivre le fil de cette histoire :


Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 57
L'épisode suivant : chapitre 59.


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6 commentaires:

  1. Bonjour JLG,
    Encore de belles séquences de fessées, bien cuisantes. La brosse à fessée est utilisée à bon escient et donne d'excellents résultats.
    Histoire de varier les plaisirs, on passe successivement des fesses d'Axel à celles de Julie soumise à l'extrême sévérité de la mère qui fait preuve d'un regain d'autorité tout azimut.
    Les fesseuses implacables se multiplient au fil du récit et corrigent sans concession... A un point qu'on se demande bien quel autre personnage féminin pourrait encore intervenir sur les fesses de nos deux héros. Zat iz ze couestionne !! (sourires)
    Cordialement.
    Ramina

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    1. Ramina,
      Que vous êtes pressé, mon ami !
      Laissons d'abord Tatie Nathalie s'installer dans le récit. Elle a sans doute encore quelques autres fesses dont il faudra qu'elle s'occupe.
      Nous verrons ensuite s'il est opportun d'introduire d'autres fesseuses dans le récit. Gageons qu'il sera alors encore possible d'en trouver de nouvelles.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. JLG.
    La dessus je vous fais totalement confiance...
    Ramina

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    1. Ramina,
      J'essayerai d'en être digne.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. gageons qu'Axel "témoin involontaire" des fessées de Julie va le payer très cher quand il va se retrouver seul en tête à tête avec Julie !!!

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    1. Juves Fandor,
      C'est une possibilité. Sera-t-elle confirmée par la suite du récit ? A voir !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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