Là où l’expertise se révèle primordiale.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les
détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui
permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.
Jeudi 23 août 2018 - 15h17
« Allô, Docteur ?
– Docteur Jeanine Legendre. Bonjour. Que puis-je
pour vous, Madame ?
– Docteur, j’ai besoin de vos conseils.
– C’est tout naturel. Expliquez-moi ce qui vous
amène.
– Il faut d’abord que je vous explique la
situation.
– Faites ! Et prenez votre temps. Il est
essentiel que je comprenne.
– Jean-Paul, c’est mon compagnon. Nous vivons
ensemble depuis cinq ans. Dès notre première rencontre, j’ai su que c’était
avec lui que je voulais faire ma vie. Je pense que je ne me suis pas trompée et
je crois qu’il est du même avis que moi.
– Vous formez un couple heureux si je comprends
bien.
– Oui, c’est cela. Un couple heureux. Les rôles
y ont été rapidement établis. Quand je l’ai connu, Jean-Paul était un jeune
homme immature. J’avais déjà la réputation de savoir ce que je voulais et de
faire ce qu’il fallait pour l’obtenir.
– Je vois. Dans votre couple, c’est vous qui
avez la tête sur les épaules.
– Exactement. Et j’ai pris très vite la
responsabilité de la discipline conjugale.
– Par discipline conjugale, vous voulez
dire ?
– Cela faisait moins d’un mois que nous nos
fréquentions. A plusieurs reprises, j’avais dû le reprendre, le gronder serait
un terme plus exact, à propos de son attitude. Il avait l’habitude, à chaque
fois que quelque chose n’allait pas, d’en reporter la faute sur les autres. Ce
n’était jamais de sa faute et à deux occasions ce week-end-là, j’avais mis en
évidence sa responsabilité dans ce qui lui arrivait. Il avait protesté et sans
réfléchir, je l’avais menacé d’une fessée s’il n’admettait pas sa faute. A ma
grande surprise, cela l’avait fait céder.
– Savez-vous si la fessée faisait partie de son
régime habituel ?
– Je ne l’ai su qu’après. Sa mère m’a expliqué
qu’elle en venait encore à cette extrémité quand il poussait ses comportements
infantiles trop loin.
– Cela explique pourquoi il a réagi positivement
à votre promesse de fessée. Elle ne lui était pas étrangère.
– Oui, sans doute. J’en ai eu la confirmation la
semaine suivante. Une dispute a éclaté entre ma colocataire et Jean-Paul. J’ai
cru me trouver en présence d’enfants : un motif futile, des arguments de
mauvaise foi, l’appel des deux côtés à ce que je prenne parti pour l’un contre
l’autre, le refus d’abréger l’altercation… Deux gamins en colère.
– Ce que vous décrivez est éloquent.
– J’ai dû y mettre fin. J’ai attrapé la plus
proche, ma colocataire, je lui ai donné une forte claque sur les fesses et je
lui ai dit de se taire. Aussitôt, j’ai fait pareil avec Jean-Paul. Ils sont
restés muets de surprise pendant quelques secondes. Jean-Paul s’est repris le
premier. Il a protesté. Non pas contre la fessée que je venais de lui donner,
mais parce que je ne lui donnais pas raison.
– Typique d’un comportement enfantin !
– C’est ce dont j’ai ressenti sur le moment. Sans
réfléchir plus avant aux conséquences de ce que je faisais, je l’ai courbé sous
mon bras et, sur le fond de son pantalon, je lui ai donné une dizaine de
claques. Cela n’a pas dû lui faire grand mal, physiquement parlant, mais je conçois
qu’il en ait été vexé. J’étais tellement outré par ce comportement que je lui
ai ordonné d’aller s’asseoir sur un fauteuil qui nous tournait le dos à l’autre
bout de la pièce et de m’en plus bouger s’il ne voulait pas que je sois plus
démonstrative.
– Sage initiative !
– Je m’attendais à ce qu’il conteste bruyamment ma
décision, mais il n’en a rien été. Il est allé prendre place sur le fauteuil et
s’y est tenu silencieux. Je n’ai pas eu le temps d’en tirer des conclusions sur
le moment. Ma colocataire s’est moquée de lui, de la fessée qu’il avait eue et
de son obéissance de petit garçon. Je lui ai alors fait subir le même sort :
une dizaine de claques sur la jupe et je l’ai envoyée dans sa chambre avec
interdiction d’en sortir. Ce n’était pas la première fois que j’utilisais cette
méthode avec elle et elle savait que quand je me fâchais, il valait mieux filer
doux. Les trois ou quatre fessées déculottées que je lui avais données le lui
avait appris.
– Vous lui donniez la fessée déculottée ?
– Bien sûr, c’était parfois la seule façon de la
contraindre à respecter les règles que nous nous étions fixées.
– Et Jean-Paul, comment a-t-il réagi ?
– Il était visiblement penaud et ne savait pas
comment sortir de cette situation. Il est resté sur son fauteuil, sans rien
faire, jusqu’à ce que je lui demande de venir me voir. Là, je l’ai de nouveau
grondé, en lui disant qu’il aurait mérité une fessée plus sérieuse. Je l’ai
renvoyé chez lui en lui disant de revenir le lendemain demander pardon.
– Et il est revenu le lendemain.
– Vous devinez juste. Je lui ai accordé mon
pardon, mais en lui promettant d’être plus sévère la prochaine fois. Il a
accepté ce verdict.
– Et vous, qu’en avez-vous pensé ?
– Je ne savais pas quoi en penser. Donner la
fessée ne me faisait pas peur, pas plus que de baisser une culotte pour le
faire. Je l’avais expérimenté avec ma colocataire, mais aussi avec un petit
cousin dont j’avais en la garde l’été d’avant. J’en avais constaté l’efficacité.
Mais je sentais bien que mes relations avec Jean-Paul en étaient à un tournant.
Soit elles devenaient sérieuses et je devais prendre des initiatives contre sa
tendance à se comporter en petit garçon, soit elles devaient cesser.
– Et vous avez choisi qu’elles durent ?
– Je ne sais pas s’il s’agit vraiment d’un
choix. Les choses sont arrivées à un point de non-retour quelques semaines plus
tard. La décision s’est imposée. Nous étions chez ma mère pour y passer le week-end.
Pendant le déjeuner, elle a fait un reproche, parfaitement justifié à Jean-Paul.
Il lui a répondu insolemment. Je lui ai demandé d’arrêter et de s’excuser. Au
lieu de le faire, il a continué à être désagréable. Je l’ai prévenu qu’il
fallait qu’il cesse immédiatement. Il m’a regardé. Il y avait une leur évidente
de défi dans son regard. Puis il s’est tourné vers ma mère et il l’a presque
insultée.
– Un test. Comme en font les enfants. Pour voir
jusqu’à où ils peuvent aller.
– Jean-Paul avait été trop loin. Je n’ai pas
hésité. Je l’ai pris par le bras, je l’ai emmené jusqu’au canapé tout proche où
je me suis assise. C’est quand j’ai commencé à déboucler sa ceinture qu’il a
commencé à geindre. Il me demandait pardon, de ne pas le fesser ici, de ne pas
baisser la culotte, mais tout cela sans faire un geste pour s’opposer à son
déculottage. Trente secondes, pas plus, m’ont suffi pour que sa culotte soit à
la hauteur de ses genoux. Je l’ai couché en travers de mes genoux. Il a pris
une fessée qui l’a mené aux cris et aux larmes, puis je l’ai envoyé au coin, le
temps que nous finissions le repas. A la fin, la culotte toujours baissée, il
est venu demander pardon à ma mère.
– Oui, vous êtes allée jusqu’au bout.
– Je le sentais honteux, humilié, au bord des
larmes, mais il s’est exécuté.
–Quelles en ont été les suites ?
– Il a été irréprochable tout l’après-midi. Chaque
fois qu’il était en présence de ma mère, il rougissait et il baissait les yeux,
mais pas un mot plus haut que l’autre.
– Cela a dû vous conforter quant à l’utilisation
de la fessée.
– C’est ce que je lui ai dit le soir dans notre
chambre. Je lui ai annoncé que, désormais, il aurait la fessée à chaque fois
que je trouverai son comportement inadmissible. Il a faiblement protesté, me
suppliant de ne pas le faire en présence d’autres personnes. J’ai mis fin à la
discussion en le menaçant d’une nouvelle fessée immédiate. A compter de ce jour
il s’est résigné et notre relation dure toujours.
– Avez-vous toujours besoin de le corriger ?
– Et oui ! Cela ne s’arrête pas. Je m’y
suis habituée et Jean-Paul également. Il n’a pas vraiment eu le choix. Moins d’un
mois après cette première fessée, il a haussé les épaules quand ma mère lui a
fait une remarque. Je m’apprêtais à sévir quand ma mère m’a demandé de le faire
elle-même. Depuis, il est régulièrement fessé par sa belle-mère et je ne compte
plus les repas de famille qu’il a fini au coin, la culotte baissée, après une
bonne fessée.
– Ah, vous avez durci son régime disciplinaire.
– Effectivement. Sa mère qui ne le fessait qu’en
privé a résolu de le punir devant tout le monde après que j’ai fessé Jean-Paul en sa présence. Entre
sa mère, sa belle-mère et moi, je peux vous garantir qu’il file droit.
– Je vois que vous tenez les choses bien en
mains. Je ne vois pas en quoi je peux vous être utile.
– C’est que ces derniers temps, je sens que les
fessées que je lui donne sont moins efficaces, comme s’il s’était habitué à la
cuisson que ma main provoque sur ces fesses. Rendez-vous compte : cinq
fessée en une semaine il y a quinze jours, quatre la semaine dernière, et je
suis déjà à six cette semaine.
– Il n’y en avait pas autant auparavant ?
– Non, loin de là. Après une fessée, il se
tenait tranquille plusieurs jours. Maintenant, c’est à peine si cela lui fait
de l’effet plusieurs heures. Enfin, j’exagère un peu.
– Et quelles mesures envisagez-vous ?
– C’est pour cela que je vous appelle Docteur,
je ne sais pas si c’est la bonne solution.
– Expliquez-moi ce à quoi vous avez pensé.
– Je me suis dit qu’il fallait que certaines
fessées, celles qui sanctionnent les comportements les plus graves, soient bien
plus rigoureuses. Quand j’en ai parlé à la mère de Jean-Paul, elle m’a donné le
martinet qu’elle utilisait parfois quand il était enfant. J’ai essayé, mais
cela n’a aucun effet. Quand je le fesse avec ce martinet, j’ai l’impression qu’il
s’ennuie sur mes genoux. Aucune réaction.
– Je ne suis pas étonné. Un martinet
traditionnel, cela cingle un tout petit peu. Rien de rédhibitoire pour un
adulte.
– Que faut-il utiliser alors ?
– Vous m’avez parlé de fessées sous votre coude,
ou à plat-ventre en travers de vos genoux, est-ce là les positions que vous
utilisez habituellement ?
– Oui, c’est cela. Je le mets également souvent
à genoux entre mes pieds alors que je suis assise et je le couche sur ma
cuisse. Parfois, il prend une fessée debout, mais ce ne sont alors que quelques
claques d’avertissement pour souligner une réprimande. Tenez, l’autre jour dans
la salle de bain, sans faire attention à ce qu’il faisait, il a éclaboussé par terre avec
l’eau de son bain en y rentrant. Il y en avait partout. Je lui ai donné une
série de claques sur les fesses pour lui faire comprendre que je n’étais pas
contente et pour qu’il aille chercher la serpillière.
– Oui, je vois. Une sanction rapide qui suit
immédiatement une petite négligence.
– C’est cela. Mais généralement, quand je veux
le punir et qu’il s’en souvienne, c’est l’une des positions dont je vous ai parlé.
Il me semble qu’en le tenant tout contre moi, il a bien plus conscience de
ce que je lui reproche, de la colère que j’ai contre lui et de la nécessit de le punir.
– Oui, je comprends. Je pense que c’est la
meilleure façon de faire, mais vous ne savez pas comment rendre les grosses
fessées plus rigoureuses ?
– Oui, je ne sais pas ce qu’il faut faire.
– Avez-vous essayé d’autres instruments que ce
petit martinet ?
– Euh non. Je veux être sévère, mais je ne voudrais
pas le blesser. Parfois, quand je le fesse, je suis tellement hors de moi.
– Oui, il faut choisir judicieusement ces
instruments. Il y a bien sûr la badine en bois souple, mais je vous conseille
de ne l’utiliser que si vous être certaine d’avoir la maîtrise de la fessée que
vous donnerez à Jean-Paul. Si vous y allez trop fort, vous pouvez aller jusqu’au
sang. Autrement, bien maniée, c’est un instrument redoutable qui laisse des
marques pour plusieurs heures.
– Ah, je vois.
– Mais autrement vous avez le choix. Vous n’aurez
aucun risque de blessures que ce soit avec une règle plate en bois, le dos d’une
brosse à cheveux ou de bain, une ceinture pour peu que vous en ayez réduit la
longueur en l’entourant autour de votre main, pour pouvoir la manipuler en
proximité.
– Avec ces instruments, pas de risque de
blessure ?
– Il y a un risque de contusion, maissi vous
observez bien Jean-Paul quand vous lui donnez la fessée, vous saurez vous
arrêter à temps.
– Et comment ?
– Il est un moment, où poursuivre la fessée est
inutile. La sécrétion d’endorphines atténue la douleur si la fessée dure trop
longtemps. Le puni ne ressent plus la cuisson sur ses fesses. Continuer ne sert
plus à rien, sauf à provoquer des contusions dont on ne s’apercevra que plus
tard. Quand votre puni cesse de réagir à l’application vigoureuse d’un instrument
sur ses fesses, c’est qu’il est temps de mettre fin à la correction. Aller plus
loin n’apportera plus rien, sauf si vous disposez d’un terrain vierge de
fessée, le haut des cuisses par exemple.
– Merci Docteur, je vais suivre vos conseils.
– A cette condition, aucun risque !
– Merci Docteur, c’est exactement le conseil
dont j’avais besoin.
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