jeudi 30 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 47


« La rumeur de votre sévérité courrait à travers la ville depuis quelques temps. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle aille aussi loin !
– Si cela vous pose problème…
– Ne vous méprenez pas ! Depuis le temps que je pensais que la fessée règlerait bien des problèmes que nous pose cette donzelle. Imbue d’elle-même, autoritaire, impolie, refusant de reconnaître ses erreurs, mentant sans vergogne, dépensière au-delà de ses moyens… j’en passe et des meilleures.
– Je reconnais bien là la Catherine que nous côtoyons tous les jours.
– Comme j’ai recours à cette méthode, depuis quelques temps avec mon fils Stanislav et de ma belle-fille Clara, je l’ai également réintroduite avec mon aîné Igor. J’en ai menacé Catherine à plusieurs reprises suite à l’une de ses bêtises ou de ses insolences, mais elle s’en est toujours moqué. Ouvertement, la dernière fois.
– Je ne savais pas que vous utilisez la fessée, cette bonne vieille méthode avec vos fils et votre bru.
– Tout a commencé un peu comme ici. Clara, ma belle-fille travaille au supermarché. Madame André, la cheffe de magasin a dû lui donner une fessée en me demandant d’en faire autant à son retour à la maison. Vous avez sans doute entendu dire que dans cette entreprise, la même méthode qu’ici est en place : une fessée au travail, une autre à la maison.
– Je suis au courant, répondit Madame Raveneau. Je connais bien la directrice du magasin et nous avons souvent échangé sur nos méthodes communes. Nous avons toutes deux remarqué une nette augmentation de la productivité depuis que la fessée est en vigueur dans nos entreprises. Je compte bien que ni Béatrice ni Catherine n’échapperont à la règle.
– Pour Béatrice, j’ai eu l’impression que c’était en bonne voie. Tout reste à faire pour Catherine. Son caractère affirmé l’incite à la rébellion contre toute forme d’autorité. Je suis d’ailleurs surprise qu’elle ait accepté cette punition.
– Je lui ai pas donné le choix. Être soumise au même traitement que ses collègues, ce qui voulait dire accepter la fessée, ou être renvoyée sur le champ. Je lui ai assuré que je me ferais alors fort d’obtenir des poursuites judiciaires. Vous savez que le procureur est de mes amis.
– Ah, je comprends mieux !
– Elle a tempêté, prétendant que je n’avais pas le droit. Elle a tenté de négocier puis d’adoucir sa peine, mais je me suis montrée inflexible.
– Je vous remercie de votre ténacité. C’est ce qui a manqué à notre chère enfant, dans son adolescence, des adultes tenaces face à ses prétentions.
– Finalement, elle s’est résolue à l’inévitable. »
Madame Raveneau interrompit son récit quelques secondes.
« Je ne sais pas si « résolue » est le mot qui convient. J’ai dû batailler pour lui baisser la culotte. Qu’elle porte un pantalon ne m’a pas facilité la tâche. A l’avenir, je préfèrerai qu’elle vienne au travail en jupe ou en robe. Ce sera plus simple pour la déculotter. Finalement, avec l’aide de Madame Colas, nous y sommes arrivées.
– Je reconnais bien là l’instinct de rébellion de ma belle-fille. Il va falloir que nous en venions à bout !
– Je ne vous le fais pas dire. Elle s’est laissé faire lors de sa deuxième fessée, mais je crois qu’elle était encore sous le coup de la première et la présence de ses collègues l’a pétrifiée. La vigueur de la punition a fait le reste.
– Pensez-vous qu’elle ait abdiquée toute résistance ?
– J’en ai eu l’impression.
– Vous croyez, sans doute, que le moment passé au coin l’a faite réfléchir sur la nécessité de revenir à une obéissance de bon aloi ?
– On peut l’espérer.
– Je pense, au contraire que le répit que vous lui avez donné lui a permis de renforcer sa conviction que la fessée qu’elle a reçue était une injustice dont il va falloir lui rendre compte.
– Nous la connaissons différemment. Quand elle est avec vous, elle peut, en effet, exprimer son indépendance, quitte à commettre les pires bêtises. Au travail, le cadre est assez contraint. Elle a une tâche à accomplir. Mais il est vrai qu’elle ne cesse de prendre des libertés avec les ordres que nous lui donnons. Cela produit souvent des résultats mitigés, mais il est difficile de le lui faire reconnaître.
– Vous voyez, la différence n’est pas si flagrante !
– Vous avez peut-être raison. Catherine nous donnera probablement plus de fil à retordre que je ne l’imaginais.
– Je crains, en effet, que les fessées d’aujourd’hui ne règlent pas la question. Avec Catherine, nous aurons du mal à obtenir une obéissance totale, comme j’ai pu la voir, il y a quelques instants, avec sa jeune collègue.
– Elle aurait tort. Je n’hésiterai pas à sévir dès que nécessaire et je vais donner des consignes de sévérité à Madame Colas.
– Catherine devra savoir que je les appliquerai à la lettre, renchérit cette dernière. »
Dans son coin, Catherine émit un grognement.
« Dites-moi, Mesdames, reprit Madame Gorevski, est-il habituel qu’on se signale de cette façon quand on est au coin ? Je trouve cela étonnant.
– Vous avez raison, répondit Madame Colas, c’est tout à fait interdit !
– Catherine savait-elle qu’elle devait rester silencieuse ? Et je ne parle pas de sa tentative de se reculotter quand elle a compris que c’était moi qui venais d’arriver.
– Elle ne pouvait pas l’ignorer. C’est une consigne stricte pour tous les punis. D’après ce que nous a raconté Magali, sa collègue, elle l’imposait aux autres quand elle s’était arrogé le droit de les punir.
– Une désobéissance délibérée, donc ! Pas de doute, cela mérite une fessée. Nous allons pouvoir juger de son acceptation des punitions qu’elle a méritées. »

Madame Gorevski attendit l’approbation des deux autres femmes. Des signes de tête la lui donnèrent.
« Catherine, votre désobéissance, alors que vous étiez au coin, mérite une bonne fessée. Venez-ici ! »
Il y eut un petit instant où j’ai cru que Catherine allait obéir. Puis, brusquement, elle se baissa et remonta sa culotte.
« Non, cria-t-elle ! Je ne me laisserai pas faire ! »
Son sous-vêtement n’était qu’à mi-cuisses quand Madame Gorevski l’attrapa. Je ne compris pas tout de suite ce qui arrivait, mais Catherine n’acheva pas son geste. Elle se mit à crier et elle se jucha sur la pointe de ses pieds. Madame Gorevski avait pris la mèche de petits cheveux qui étaient juste au-dessus de l’oreille de sa belle-fille. Elle la tirait vers le haut, obligeant Catherine à suivre son mouvement en se mettant sur la pointe des pieds.
« Qu’avez-vous dit ma bru ? »
Quand Catherine fut perchée aussi haut que sa taille le lui permettait, Madame Gorevski imprima aux cheveux un déplacement en avant. Catherine dut suivre. Ses deux mains posées sur celles de sa belle-mère ne lui permettaient pas de diminuer la pression qui s’exerçait sur sa tempe. Elle se lança dans un concert de protestations qui n’impressionna pas grand monde.
« Aïe ! Vous n’avez pas le droit… Laissez-moi ! »
Contrairement à ce que ses protestations indignées auraient pu laisser penser, Catherine suivait sa belle-mère. La tension sur la peau de son crâne ne lui laissait pas le choix.
« Je ne sais pas si j’en ai le droit, ma fille, mais vous allez prendre cette fessée, même si vous n’êtes pas d’accord.
Obligeamment, Madame Raveneau avait placé une chaise dans l’espace dégagé entre les bureaux. Madame Gorevski y conduisit sa bru. Elle s’y assit et tirant les cheveux vers le bas, elle obligea Catherine à se courber au-dessus de ses genoux jusqu’à ce qu’elle perde l’équilibre et tombe à plat-ventre, là où sa belle-mère avait voulu l’amener.
Catherine tenta de se relever de la position où elle offrait ses fesses à la vindicte de sa belle-mère. Malgré l’urgence qu’elle ressentait à se tirer de ce mauvais pas, le bras pesant sur son dos la maintint en place.
Madame Gorevski la plaqua contre son ventre et elle posa son coude entre les omoplates de sa bru.
« Voyons maintenant si j’arrive à remettre cette culotte à la place qu’elle n’aurait jamais dû quitter ! 
– Non ! Arrêtez ! »
Si le pantalon de Catherine était resté autour de ses chevilles, elle avait réussi à remonter sa culotte jusqu’à mi fesses. Dès qu’elle sentit le pouce de Madame Gorevski se glisser sous l’élastique de son sous-vêtement, elle poussa un nouveau cri d’effroi et sa main libre attrapa sa culotte, empêchant sa belle-mère de la déculotter.
« Ah, fit cette dernière calmement, ça, c’est interdit ! »
Elle prit le poignet de Catherine et le remonta dans son dos. Il fallut insister un peu pour que cette dernière lâchât la culotte à laquelle elle s’accrochait désespérément. Elle tenta une ruade, mais sans point d’appui, cela ne produit qu’un brusque mouvement, vite bloqué par la prise dans laquelle Madame Gorevski la tenait.
« La culotte maintenant ! »
Les battements de pieds de Catherine n’empêchèrent pas la culotte de glisser le long de ses cuisses.
« Non ! Pardon ! Pas la fessée ! Je vais obéir ! Pardon !
– Comme s’il suffisait de demander pardon ! Quand on a été aussi désobéissante que vous, seule une bonne fessée déculottée peut rétablir l’équilibre. Nous verrons plus tard quand ce sera le moment de vous pardonner. »
La tension avait été trop forte pour Catherine. Sa défaite manifeste dans le combat qu’elle avait mené pour éviter la fessée, avait fini d’épuiser sa capacité de résistance. Son premier cri suivit immédiatement la première claque sur ses fesses. Il se transforma en une cascade de pleurs dès que la fessée prit un rythme régulier.
Madame Gorevski appuyait ses coups. Je sentais qu’elle voulait marquer l’esprit de sa bru par une fessée magistrale. Au fond d’elle-même, elle n’était pas mécontente d’avoir dû batailler avec sa belle-fille pour la placer en position disciplinaire.
Catherine aurait maintenant toujours à l’esprit cette première tentative de se soustraire à l’autorité de sa belle-mère. Elle avait échoué et elle s’en rappellerait. Elle avait éprouvé, dans sa chair, la capacité de Madame Gorevski à exercer son droit de punition malgré une résistance acharnée. Cela donnerait une certaine légitimité aux prochaines corrections.
Il fallait cependant pousser son avantage plus loin. La douleur sur ses fesses devait également être un souvenir cuisant de cette première correction administrée par sa belle-mère. Madame Gorevski s’y employa.
La main claquait inlassablement les fesses offertes à la punition. L’expérience accumulée par Madame Gorevski en fessant son fils et son autre belle-fille lui était profitable. Elle savait quand elle faisait impression sur ses punis et quand la fessée devenait une correction qu’on n’oublierait pas.

Catherine passa par ces deux phases. Mais il fallut d’abord qu’elle se résignât à recevoir cette fessée. Elle ne cessa pas de se débattre tout de suite. Dans un premier temps, malgré la position qui donnait un avantage certain à sa belle-mère et son bras immobilisé dans son dos, elle chercha un point d’appui efficace pour sa main gauche afin de se relever et de fuir ces genoux sur lesquels elle était contrainte de rester.
Sa main posée au sol ne lui permettait que de soutenir son poids. Quand elle poussait de toute l’énergie qu’elle pouvait mobiliser, elle ne parvenait qu’à soulever le haut de son buste d’une dizaine de centimètres. Le reste, tenu par Madame Gorevski, ne bougeait pas et surtout, cela ne gênait en rien l’application de la fessée. Ses fesses devenaient brûlantes, cela ne pouvait pas continuer.
Se saisir du pied de la chaise sur laquelle Madame Gorevski s’était assise, se révéla tout aussi inefficace. Elle eut l’impression que ses efforts n’étaient même pas identifiés par sa fesseuse qui continuait tranquillement son travail. Ses fesses commençaient à brûler sévèrement. Il y avait urgence. Catherine accompagnait toute cette activité de grognements qui prenaient un caractère désespéré quand la main claquait plus fort, plus douloureusement.
Ses battements de pieds furent plus opérants. En les relevant au maximum de ce que lui permettaient ses genoux, elle arrivait à placer un pied ou l’autre sur le trajet de la main qui la punissait. Cela n’annihilait la fessée, loin de là, mais cela en perturbait le bon déroulement. Madame Gorevski s’en inquiéta.
« Veux-tu bien enlever tes pieds de là ! »
La conviction d’être sur le bon chemin la fit persévérer dans cet exercice, ce qui ne dura pas.
Madame Gorevski suspendit un instant l’administration de la fessée. Elle glissa la main avec laquelle elle fessait sa bru sous le ventre de celle-ci dont elle fit glisser le  bassin entre ses cuisses. Elle referma alors ses genoux sur les cuisses de sa belle-fille, immobilisant le haut des jambes. Le buste de Catherine avait pivoté. Elle était maintenue contre le flanc et non plus contre le ventre de sa fesseuse. La prise sur son bras n’avait pas bougé d’un centimètre.
« Tu rajoutes de la désobéissance à de la désobéissance, ma fille. Nous règlerons cela plus tard. Chaque chose en son temps ! »
La fessée reprit, encore plus forte. Progressivement, sans le décider à aucun moment, Catherine admis la futilité de ses efforts pour échapper à la correction. Elle ne tentait plus de se relever. Ses pieds battaient encore dans le vide, mais c’était la douleur sur ses fesses qui donnait le tempo. La cuisson sur ses fesses ne cessait de s’amplifier et Madame Gorevski ne montrait aucun signe de fatigue.
« Bien, pensa Madame Gorevski, nous y voilà ! Cette donzelle commence à comprendre que la fessée ira à son terme. Nous ne sommes pas au bout du chemin, mais nous y allons à grands pas. »
C’est à ce moment-là, naissant dans un hoquettement, que Catherine laissa échapper le premier sanglot. Il se transforma vite en une cacade de pleurs réguliers dont les variations étaient rythmés par la main de Madame Gorevski sur ses fesses.
Il fallait faire durer la fessée encore un peu. Pas question que Catherine puisse penser qu’il suffisait de pleurer pour y mettre fin, mais l’essentiel du travail était fait. Madame Gorevski n’avait plus d’effort à fournir pour maintenir sa belle-fille en place. Elle aurait pu libérer son bras retenu dans le dos, que Catherine n’aurait plus songé à l’interposer.
Elle attendit que les pleurs de Catherine montent dans l’aigu pour s’abîmer en une longue plainte continue. Elle pouvait mettre fin à cette fessée. Elle avait amené Catherine là où elle le souhaitait.
« Tout n’est pas réglé, mais il n’y aura plus de retour en arrière, se dit-elle. »
Puis se reprenant pour rester plus circonspecte :
« Je l’espère, sinon, nous partons pour une longue route difficile, autant pour elle que pour moi. Je prie pour qu’elle nous épargne cela ! »

Madame Gorevski avait cessé toute véritable contrainte sur sa belle-fille. Ses genoux avaient desserrés leur étreinte et si elle lui tenait encore le bras, c’était symbolique. Sa main, posée sur celle de sa bru, en caressait doucement le dos. L’autre tapotait les fesses écarlates, geste que Catherine accompagnait d’un léger glapissement étouffé, signe que la douleur était encore bien présente, mais reconnaissant l’apaisement que provoquait le léger effleurement.
Insouciante de sa nudité publique, Catherine ne bougeait pas. Il serait présomptueux de prétendre qu’elle appréciait ce moment. Là n’était pas la question. Il y avait un tel contraste entre le moment de la fessée, tout en bruit et déchainement, et la douceur qui émanait de ces instants passés sur les genoux de sa belle-mère, que Catherine n’aurait pris aucune initiative pour en bouger. Elle ferma les yeux.
« Allons, allons, ce n’est pas le moment de dormir. Malheureusement pour toi, nous n’avons pas encore épuisé le stock de punitions que tu as à recevoir. »
Catherine émit un grognement qui ne pouvait s’interpréter que comme une protestation. Une protestation timide, mais une protestation cependant. Une claque sur ses fesses l’étouffa dans l’instant.
« Inutile de protester ! Tu as refusé de recevoir une fessée pourtant parfaitement méritée. Tu dois en être punie. Ce sera ici, en présence de ta directrice. Je tiens à lui montrer comment je m’y prends avec mes grandes filles quand elles font une colère. »
Catherine cacha son visage dans les plis de la robe de sa belle-mère. Cette annonce ne lui plaisait pas, mais elle en reconnaissait le bien-fondé.
« Pardon, dit-elle si doucement qu’on l’entendit à peine. »
Madame Gorevski fit glisser Catherine à genoux entre ses pieds. Elle la serra sur sa poitrine et Catherine lui entoura la taille de ses bras, enfouissant son nez entre les deux seins de sa belle-mère. Elles restèrent ainsi quelques instants étroitement enlacées.
Puis, Madame Gorevski prit la tête de Catherine entre ses deux mains et la fit basculer en arrière jusqu’à ce que leurs regards se croisent. Catherine put y lire la détermination qui animait sa belle-mère, tandis qu’il s’agissait de supplication qui emplissait les yeux de la jeune femme.
« Ce n’est pas encore le moment du pardon. Nous verrons cela quand tu auras accepté ta prochaine fessée, alors qu’elle sera bien plus terrible que celle que je t’ai donnée. »
Catherine fit une grimace qu’elle arrêta net quand sa belle-mère lui fit les gros yeux.
« Tu vas aller au coin, le temps que je règle quelques détails avec ta directrice. Attend une seconde ! »
Elle prit un mouchoir, essuya les larmes qui perlaient encore sur les joues de Catherine. Puis elle lui présenta le mouchoir devant le nez.
« Souffle, ordonna-t-elle ! »
Catherine s’exécuta. C’était finalement plus simple d’obéir.
« Encore, dit-elle en changeant de narine ! »
Si ce n’étaient l’inconfort de se trouver à genoux et la cuisson qui enflammait ses fesses, Catherine aurait presque trouvé ce moment agréable.
« Va te remettre au coin ! »
La petite claque sur les fesses lui rappela que sa belle-mère ne plaisantait pas.

Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?


Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 46
Il y a une suite ... le chapitre 48.

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4 commentaires:

  1. Bonjour JLG,
    Catherine va surement changer de statut même plus bas que les autres employés , en plus son retour dans sa famille devrait être très intéressant.
    Vivement l'épisode 48
    JJP

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    1. JJP
      Ah, Le retour dans la famille. C'est une partie qui n'est pas encore écrite. Un jour sans doute, mais il y aura du temps avant la publication.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour à tous,
    Ah les belles mère ! Elles ne sont peut-être pas toutes belles à proprement parler, mais allez savoir pourquoi elles bénéficient la plupart du temps d'une réputation d'autorité et de sévérité qui leur confère un statut d'implacables fesseuses. Il faut croire que se faire déculotter et recevoir une fessée de la main de sa belle mère est encore plus humiliant que par sa propre mère (?)
    Les fesses de Catherine en font la spectaculaire expérience. Sa tentative de rebellion à la correction ne fait que mettre en valeur l'exercice d'autorité de belle maman. Le déculottage et la fessée n'en sont que plus justifiés et savoureux.
    Bonne description de la rivalité entre les deux femmes. La résistance de l'une pliant face à la détermination sans faille de l'autre
    On ne s'ennuie pas une seconde... En attendant les fessées suivantes!
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Oui, les belles-mères, des personnages intéressants à mettre en récit.
      Elles sont une sorte de substitut de la mère qui leur donne une certaine autorité disciplinaire que leur confère leur âge, sans avoir la proximité de celle-ci. C'est donc une fessée reçue par une étrangère, mais qui en a l'autorité. Contradiction fructueuse.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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