Je suis tout à fait d'accord avec toi : quand on a une jeune fille de vingt-quatre ans, cela signifie qu'on a affaire à une adulte et qu'on doit se comporter avec elle comme avec une égale, même, et surtout, si on est sa mère.
Je suis tout à fait d'accord avec toi : on doit voir des égards pour sa fille quand elle est devenue une jeune femme qui gagne sa vie, même si elle vit encore sous le toit familial.
Elle est beaucoup trop grande pour être traitée comme une petite fille. Ne sois pas inquiète, je n'ai nulle intention de le faire.
D'ailleurs, la fessée déculottée que je te donne n'a rien à voir avec celle que je te donnais quand tu était petite. Une ou deux claques sur le fond de la culotte suffisait pour que tu regrettes la bêtise que tu venais de faire et pour que tu en demandes pardon. Je n'avais jamais eu jusqu'à maintenant à te déculotter pour que tu comprennes que tu dépasses les bornes.
Sens-tu la différence que cela fait quand la culotte est baissée ? Perçois-tu comment la sensation est différente quand j'utilise la brosse plutôt que ma main ? Te rends-tu compte combien des fesses rouges aident à comprendre bien plus vite qu'on a dépassé les bornes de ce qui était admissible, même pour une "beaucoup trop grande jeune fille ?
Tu vois, ce n'est absolument pas comme quand tu étais petite.
Et non, même à vingt-quatre ans, on ne peut pas laisser sa chambre dans un tel désordre que même une chatte n'y retrouverais pas ses petits. Et non, même à vingt-quatre ans on ne peut pas répondre à sa mère que ça ne la regarde pas
Et non, même à vingt-quatre ans, on ne peut pas répliquer avec insolence à toutes les personnes qui vous font remarquer vos turpitudes. Passe encore que tu sois insolente avec moi , mais avec ta directrice, il n'en est pas question. Je lui ai promis que cela cesserait.
Et non, même à vingt-quatre ans, in ne peut pas rentrer à une heure du matin passée alors qu'on travaille le lendemain. Comme les autres, tu as besoin de dormir. Quand tu étais petite, tu allais au lit toute seule de façon à être en forme à l'école. Désormais, ça aussi ce sera très différent de l'époque où tu étais une petite fille. C'est moi qui déciderait de l'heure où tu iras te coucher et je te mettrais au lit, avec une fessée s'il le faut. J'ai assuré à ta directrice que tu cesserai prochainement de bailler des journées entières au travail.
Pour ce qui est d'être traitée d'égal à égal, puisque tu es une adulte, je te propose que, lorsque je commettrai les mêmes erreurs que toi, tu me traites de la même façon que celle que j'utilise à ton égard. Comme cela, dans cette maison, ce sont les adultes qui sont fessés. Cela te va comme traitement égalitaire ?
Comme tu vois, plus rien à voir avec l'époque où tu étais petite. Tout ce qui a été inutile à ce moment-là va devenir d'actualité. Tu as sans doute compris que tu auras la fessée déculottée à chaque fois que j'estimerai que tu en as besoin. Ma brosse sera toujours prête à servir. Autre nouveauté, tu vas faire connaissance avec le coin. T'y tenir jusqu'à ce que tu aies compris ce qui t'aies reproché, va t'apprendre à regretter tes écarts.
Je préfère te prévenir : à la prochaine plainte de ta directrice, c'est en sa présence tu auras une fessée déculottée. Je vais lui recommander de ne pas hésiter à en faire usage elle-même.
Et non, même à vingt-quatre ans, in ne peut pas rentrer à une heure du matin passée alors qu'on travaille le lendemain. Comme les autres, tu as besoin de dormir. Quand tu étais petite, tu allais au lit toute seule de façon à être en forme à l'école. Désormais, ça aussi ce sera très différent de l'époque où tu étais une petite fille. C'est moi qui déciderait de l'heure où tu iras te coucher et je te mettrais au lit, avec une fessée s'il le faut. J'ai assuré à ta directrice que tu cesserai prochainement de bailler des journées entières au travail.
Pour ce qui est d'être traitée d'égal à égal, puisque tu es une adulte, je te propose que, lorsque je commettrai les mêmes erreurs que toi, tu me traites de la même façon que celle que j'utilise à ton égard. Comme cela, dans cette maison, ce sont les adultes qui sont fessés. Cela te va comme traitement égalitaire ?
Comme tu vois, plus rien à voir avec l'époque où tu étais petite. Tout ce qui a été inutile à ce moment-là va devenir d'actualité. Tu as sans doute compris que tu auras la fessée déculottée à chaque fois que j'estimerai que tu en as besoin. Ma brosse sera toujours prête à servir. Autre nouveauté, tu vas faire connaissance avec le coin. T'y tenir jusqu'à ce que tu aies compris ce qui t'aies reproché, va t'apprendre à regretter tes écarts.
Je préfère te prévenir : à la prochaine plainte de ta directrice, c'est en sa présence tu auras une fessée déculottée. Je vais lui recommander de ne pas hésiter à en faire usage elle-même.
Encore un dessinateur anonyme que je remercie malgré tout
Il s'agit du dessin de couverture d'une revue diffusée par Scarlett Hill , WWS (Woman to whoman spanking), numéro 37 (voir lien ci-contre, vers le site, dans la rubrique "à suivre également" dans la colonne de droite).
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerVoilà qui a le mérite d'être clair et de remettre les pendules à l'heure.
Etre fessé/e dans son enfance et plus tard dans sa vie d'adulte est différent dans le ressenti.
Enfant, la punition nous contrarie mais l'on s'y plie par rapport à l'autorité des adultes mais devenu un/e adulte, la honte s'installe et déstabilise dans certains cas par l'image de soi-même qu'elle renvoie.
Mais bon, une Maman reste une Maman et elle agit pour notre bien-être même si cela doit passer par honte et douleur.
Peter'.
Excellent monologue de cette maman donnant une fessée à sa fille.
RépondreSupprimerCette jeune fille de 24 ans se considère trop grande pour la fessée. Mais comme lui fait remarquer sa mère, avec justesse, elle ne se comporte pas en adulte mais en adolescente écervelée commettant bien des écarts : manque d'ordre, insolence, retour à la maison à pas d'heure...Aussi sa maman recoure à une punition qu'elle aurait sans doute dû un peu plus tôt dans son éducation.
"Beaucoup trop grande" pour la fessée proteste-t-elle. Mais à comportement de gamine punition de gamine ! Cependant elle se soumet quand même à cette fessée déculottée à la brosse décidée par sa mère. Sans doute intérieurement considère-t-elle que celle-ci est après tout méritée. Comme quoi le sentiment d'être encore une gamine (ou un gamin) n'est pas qu'une question de comportement mais aussi un état d'esprit qui n'a rien à voir avec l'âge.
Y aura-t-il une suite à ce récit ?
Oliver Twist
Bonjour Oliver,
SupprimerJ'aime bien votre analyse. Je trouve qu'elle correspond bien au récit. En effet, ce n'est pas une question d'âge, mais de capacité à assumer les contraintes du monde adulte... ou pas.
Je ne suis pas certain qu'il y aura une suite. Le lundi, c'est un monologue en appui d'un dessin. on en reste-là. Il est cependant déjà arrivé qu'un lecteur reprenne à son compte l'histoire et la prolonge par une suite de son cru (voir "La fessée au martinet, question de point de vue).
Qu'attendez-vous pour vous y mettre ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.