mercredi 22 août 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 46


En quelques minutes, Madame Raveneau avait résumé la situation dans laquelle s’était mise Béatrice et sa collègue. Le recours à la fessée avait été présenté comme une évidence et comme une fleur qui était faite à Béatrice, l’alternative étant une sanction officielle qi conduirait à son licenciement. Placée devant ce dilemme, Béatrice avait choisi la fessée, en sachant qu’il s’agirait alors d’un régime définitivement adopté par la direction de l’entreprise, le même que celui qui était appliqué à ses des collègues. Madame Raveneau parlait évidemment de Magali et de moi.

« Elle en avait des exemples sous les yeux depuis plusieurs semaines. Elle s’est donc engagée en connaissance de cause.
– Fort bien, répondit Madame Caroni, je vois que vous prenez grand soin de vos salariés. Cela vous honore.
– Je vous remercie.
– Mais je ne vois pas ce que je viens faire dans l’histoire.
– J’y venais … »
Madame Raveneau expliqua alors le principe « une fessée au travail, une fessée à la maison » donc le système de tutorat que Madame Tolbois avait proposé d’instaurer et que la Maman de Magali avait confirmé.
« Je cherche donc une tutrice pour Béatrice qui accepterait de contresigner son carnet de correspondance après l’avoir punie d’une bonne fessée, comme il se doit.
– Je vois bien l’utilité d’une telle démarche et je suis certaine que Béatrice en tirera profit, mais comment avez-vous pensé à moi ?
– Béatrice vous avait désignée comme la personne proche à qui nous pouvions faire appel en cas de problème. J’ai cru que cette situation en faisait partie. A ma connaissance, Béatrice n’a pas de famille proche qui pourrait lui rendre ce service. Qu’en dites-vous ?
– Faire appel à moi ? Elle ne m’en avait jamais parlé ! Je ne suis que sa voisine ! »
Madame Caroni resta pensive un petit moment.
« Il est vrai qu’à quatre ou cinq reprises, peut-être un peu plus, j’ai dû expliquer à Béatrice qu’elle ne pouvait pas se laisser aller au cafard qui l’envahissait. Les dernières fois, je l’en ai carrément grondée. J’ai eu l’impression que cela lui avait fait du bien et que ça l’aidait à reprendre le dessus. C’est difficile d’être une femme seule avec personne à qui se confier. »
Madame Raveneau approuva d’un hochement de tête sans argumenter plus avant. Elle laissait le temps à Madame Caroni de prendre sa décision.
« Vous permettez, dit cette dernière ? »
Sans attendre l’autorisation formelle de la directrice, elle se tourna vers Béatrice.
« Viens-ici, lui dit-elle ! »
Béatrice fit demi-tour. Elle fit un pas vers sa voisine. Elle prit alors conscience que sa culotte baissée gênait son déplacement et qu’elle tenait toujours sa robe relevée, exposant son pubis à Madame Caroni, maintenant qu’elle lui faisait face. Elle en laissa tomber le devant, couvrant la toison qu’elle exhibait à tous vents.
« Béatrice, gronda Madame Colas ! »
Cela suffit à la ramener à une obéissance plus stricte. Elle releva aussitôt sa robe, haut au-dessus de ses reins. D’un regard, elle chercha l’approbation de Madame Colas.
« Dépêchez-vous ! On vous attend ! »
Les yeux baissés, Béatrice continua son chemin. Alors qu’elle passait à proximité de sa cheffe de bureau, elle fut retenue par le bras.
« C’est la dernière fois que vous me faites des simagrées comme celle-là ! »
Madame Colas lui donna une dizaine de claques sur les fesses qui amenèrent des larmes dans les yeux de Béatrice.
« Il vous est interdit de recouvrir vos fesses avant d’en avoir reçu l’autorisation explicite. »
Une nouvelle dizaine de claques complétèrent le message.
« La prochaine fois que je vous y prend, je vous montrerai ce que veut dire de recevoir une très sérieuse fessée. Nous n’avons cure de votre pudeur outragée ! »
Quelques fortes claques permirent de s’assurer du sérieux de Madame Colas.

Il n’y avait plus que trois pas à faire pour se tenir devant Madame Caroni qui d’un doigt placé sous le menton de Béatrice, lui releva la tête.
« Regardez-moi ! Nous avons à parler toutes les deux avant que je ne prenne ma décision. »
C’est à travers un brouillard de larmes que Béatrice voyait sa voisine.
« Sachez que donner la fessée à une dame qui n’a plus rien d’une petite fille ne m’effraie pas du tout. J’ai déjà accepté de surveiller mes autres voisins et cela va avec de sérieuses punitions quand ils les ont méritées. Je peux donc bien vous châtier, vous aussi, quand ce sera nécessaire. »
Madame Raveneau approuva d’un hochement de tête continu.
« Avant d’endosser ce rôle, je voulais vérifier avec vous que vous n’avez personne d’autre à proximité pour vous rendre ce service. Est-ce exact ?
– Oui, personne.
– Je sais que vous n’avez pas de famille dans les environs, mais pas de relation qui serait plus à même de jouer ce rôle ?
– Non Margherita.
– Si je dois devenir votre tutrice, nos relations vont changer. Nous ne serons plus des amies. Je vais rentrer dans votre intimité. Vous n’aurez plus rien à me dissimuler, ni de vos actes, ni de votre corps. »
Elle montrait à Béatrice son triangle pubien exposé.
« Ce sera une proximité bien plus grande qu’avant mais qui suppose que vous me montriez le respect que vous me devez. Je suis à cheval sur la politesse que les enfants doivent aux grandes personnes. Vous serez en quelque sorte une grande enfant que j’ai sous ma responsabilité. Plus question que vous m’appeliez uniquement par mon prénom. Je serai comme une tante qui a en charge votre éducation. Vous m’appellerez donc zia. Zia Margherita. J’espère que vous n’oublierez pas !
– Non, je vais faire attention.
– Non qui ? »
Béatrice ne s’attendait pas à la claque qui arriva sur le haut de sa cuisse, mais elle ne protesta pas. Elle n’était pas vraiment en position pour ce faire. Elle suffoqua de surprise pendant quelques secondes, puis devant la main de sa voisine qui se levait de nouveau :
« Non Zia Margherita. Pardon !
– Voilà qui est mieux ! »
Puis, se tournant vers les spectatrices :
« Je tiens à ce que les choses soient claires dès le début. Avec les enfants, même quand ils sont grands, il faut être exigeant. Les règles sont les règles. Une fois établies, il faut les faire respecter. »
Madame Raveneau et Madame Colas acquiescèrent.
« Tu as bien compris, Béatrice, que je ne te punirai pas seulement quand tu auras été vilaine au travail. Je te corrigerai quand je déciderai que tu en as besoin. Si j’en juge par ce que j’ai vu de ta vie ces derniers mois, tu en auras souvent besoin. Compris ?
–Oui Zia Margherita.
– Quand je le déciderai et où je le déciderai, tu seras punie. Ce sera, en général, la fessée. Je baisse presque toujours la culotte pour donner la fessée. Seras-tu ma grande Béatrice bien obéissante ?
– Oui Zia Margherita.
– Viens-ici ! »
Madame Caroni prit Béatrice dans ses bras.
« Quand je pense au nombre de fois, depuis que je te connais, où tu aurais eu besoin d’une fessée ! »
Elle la serra contre elle et passa sa main dans le dos de la grande fille qui s’abandonnait dans ses bras. Sa main descendit sur les fesses nues et Béatrice se contracta dans un premier temps, puis elle se détendit en savourant ce moment de tendresse.
« Tu verras, je vais m’occuper de toi. Ta vie va changer. Elle sera bien plus ordonnée et structurée. Et tu vas apprendre à obéir. »
Madame Caroni laissa passer quelques secondes pendant lesquelles elle tapotait les fesses de sa nouvelle protégée.
« Mais je serai très sévère ! Est-ce bien compris ? »
Béatrice se contenta d’un léger hochement de tête pour montrer son accord. Elle sentait déjà qu’elle se coulait volontiers dans le moule que façonnait Zia Margherita pour elle. Il y aurait certainement des moments difficiles. Elle fit une grimace à la pensée de la fessée qui l’attendait ce soir.
« Tes caprices, tes bouderies, tes négligences, tes laisser-aller, tout cela c’est fini. A chaque fois, cela se traduira par une bonne fessée. »
Elle se doutait que les punitions de Zia Margherita ne seraient pas une partie de plaisir, mais s’il fallait en passer par là pour bénéficier des câlins, enfermée dans des bras dans lesquels elle se sentait en sécurité.

Cette félicité ne dura pas. Madame Caroni conservait Béatrice sur son sein.
« Dis-moi, ma grande fille, ta directrice m’a dit que tu avais fait une grosse bêtise aujourd’hui. Qu’en dis-tu ? »
Béatrice aval difficilement sa salive. Elle percevait le changement d’orientation des pensées de sa nouvelle tutrice.
« Oui Zia Margherita, c’est vrai, dit-elle d’une toute petite voix en se lovant plus étroitement contre la poitrine qui l’accueillait.
– Tu sais que maintenant que tu es ma grande fille, tu seras punie à chaque fois que ça se produira ?
– Oui Zia Margherita, je le sais.
– Je te donnerai une fessée dès que nous serons rentrés à la maison !
– Oh non, s’il vous plait Zia Margherita !
– L’as-tu méritée ? »
La voix de Madame Caroni s’était faite sévère. Enfermée dans son nouveau statut de pupille soumise aux décisions de sa tutrice, Béatrice ne pouvait qu’avouer que c’était dans l’ordre des choses.
« Tu auras donc ta fessée ce soir et elle sera magistrale. Je veux que tu comprennes que je ne tolèrerai plus ce genre d’agissement. Je compte sur la correction que tu vas recevoir pour te dissuader de recommencer. »
Béatrice émit un petit gloussement, mais elle n’alla pas plus loin dans son argumentation. Elle se doutait que continuer à protester serait pris pour de l’insolence avec les conséquences qu’elle devinait. L’intransigeance de Zia Margherita quant à son comportement faisait désormais partie de sa vie. Il fallait s’y résoudre.
« Je veux montrer à Madame Raveneau qu’elle pourra compter sur ma sévérité à ton égard. Je vais donc te donner, ici et maintenant, un échantillon de ce que tu vas recevoir ce soir. »
En un tour de main, sans hésitation ce qui montait qu’elle savait comment s’y prendre, Madame Caroni fit passer Béatrice sous son bras.
« Mets ton bras gauche derrière mon dos ! »
Docilement, Béatrice laissa Madame Caroni la mettre dans la position qu’elle souhaitait. Elle ne prit vraiment conscience qu’elle était sur le point de prendre une nouvelle fessée que lorsque qu’elle sentit le bras de sa tutrice se refermer sur sa taille et une main lui soulever l’arrière de la robe qui, dans le mouvement était retombée sur les fesses.
« Voyons si je sais te faire regretter ton outrecuidance ! »
Au bout d’une petite dizaine de claques, Béatrice sut que les fessées de Madame Caroni seraient aussi douloureuse que cette dernière le souhaiterait. La main suffisait pour enflammer son postérieur. Elle se mit à espérer que cette démonstration ne durerait pas très longtemps. Elle dura pourtant assez longtemps pour laisser une Béatrice en pleurs, promettant de ne jamais recommencer.
Béatrice, à travers les ondes de douleur qui parcouraient ses fesses vit la porte du bureau s’ouvrir et une autre personne y entrer. Elle marqua un arrêt quand elle comprit ce que se passait sous ses yeux, mais elle resta silencieuse.
Chaque fois que la main de Zia Margherita s’abattait sur ses fesses, elle laissait une sensation de brûlure qui n’avait pas le temps de s’estomper avant que la suivante n’arrive. Plus la fessée durait, plus la douleur s’intensifiait. Plus la fessée durait, plus la douleur s’étendait à une zone de plus en plus large.
Béatrice avait intégré que la fessée ferait désormais partie de sa vie. Avec trois fesseuses patentées l’ayant sous la main, elle ne doutait pas que les corrections se multiplieraient. C’était dans l’ordre normal des choses.
Si Béatrice avait cherché à comparer les fessées, il est probable que celle qu’elle avait reçue avec la règle, aurait eu la palme de la plus difficile à supporter parmi celles, peu nombreuses encore, qu’elle avait reçues dans sa toute récente condition de punie.
Celle que lui donnait Zia Margherita, avait une autre saveur. Elle avait tout autant le goût de la correction magistrale et de la punition acceptée parce que justifiée que l’avaient eu les précédentes. Elle portait, avec la cuisson qui s’amplifiait, un fort sentiment de sécurité et de stabilité. Elle se sentait redevenir une petite fille dont une grande personne prenait soin. C’est ce que lui avait promis Zia Margherita. Elle lui faisait confiance pour aller au bout de ses engagements.
Béatrice n’avait plus de questionnements métaphysiques à avoir. Elle n’avait plus qu’à se laisser emporter par ses sensations et ses émotions : la douleur de la fessée, la légitimité de Zia Margherita à la punir, la honte d’avoir eu la culotte baissée et d’être corrigée en public.
Béatrice se mit à sangloter sans pouvoir s’arrêter.

« Retourne te mettre au coin, comme tu y étais quand je suis arrivée ! »
La désobéissance n’était pas une option possible. Béatrice n’y pensa même pas. Il était urgent d’obéir pour laisser le temps à la cuisson de ses fesses de diminuer un peu. Elle était insupportable. Et puis, elle voulait montrer à Zia Margherita qu’elle serait désormais sa petite fille obéissante. Elle tenait, par-dessus tout à mériter son pardon.
« Je finis avec ta directrice et nous rentrons à la maison ! »
Tous les regards se tournèrent vers la personne qui était entrée quelques minutes auparavant.
« Excusez-moi d’être entrée sans en avoir reçu l’autorisation. J’ai frappé, j’ai appelé, mais personne n’a répondu. »
Au son de cette voix, Catherine se mit à trembler et à gémir ouvertement. Elle avait commencé à se baisser pour remonter sa culotte Une série de claques sur ces fesses que lui donna Madame Colas, mit fin à cette démonstration intempestive.
«  Je ne voulais pas être indiscrète, mais j’ai assisté à la fessée que vous avez donnée. Je vous félicite. Au comportement de votre punie, je suis certaine que sa correction était amplement méritée et qu’elle le reconnaissait. Je voudrais bien qu’il en soit de même la pimbêche arrogante que voici. »
Elle désignait Catherine qui se pressait si fort contre l’angle de la pièce qu’on aurait dit qu’elle voulait s’y enfoncer.
« Vous êtes Madame Gorevski, si je ne me trompe pas, intervint Madame Raveneau ?
– Exactement. Madame Raveneau ? C’est vous que j’ai eue au téléphone cet après-midi ? »
Les deux femmes se serrèrent la main et chacun se présenta. Béatrice et moi n’eûmes pas le droit à la parole. On le fit pour nous.
« Désolé, dit Madame Caroni, mais Béatrice ne peut pas vous dire bonjour comme je l’exigerai d’elle à présent, dès qu’elle rencontrera une grande personne. Elle doit rester silencieuse pendant qu’elle est au coin.
– Je comprends parfaitement et je vois que ma chère Catherine observe les mêmes règles. Je ferai en sorte que ça continue. »
Elle reçut l’approbation générale si on m’excepte ainsi que les deux dames dont on ne voyait que les fesses rougies. Notre avis n’était pas sollicité, il n’aurait pas été bienvenu que nous l’exposions.
« Mais je ne voudrais pas m’imposer. Catherine ne s’impatiente pas dans son coin et moi j’ai libéré ma soirée pour m’occuper d’elle. Nous avons donc notre temps. Vous étiez là en premier, finissez donc.
– Nous avions quasiment fini, si je ne me trompe pas, interrogea Madame Caroni ?
– Il nous reste à vous remettre le carnet de correspondance que nous utiliserons désormais. »
Madame Colas en expliqua le fonctionnement en quelques phrases.
« Je vois là que vous souhaitez avoir une signature des personnes habilitées à remplir ce carnet. Je vais y apposer la mienne dès maintenant, mais ma fille Lorena aura aussi cette responsabilité. »
Béatrice crut à une erreur. Lorena, ce n’était pas possible ! Elle avait tout juste dix-huit ans ! Elle ne pouvait rien avoir à voir avec la discipline qui serait désormais son quotidien. Mais ce n’était pas le moment de relever cette erreur. Béatrice aborderait cette question une fois arrivé chez elle.
« Lorena le signera ce soir. Vous aurez comme cela un exemplaire des deux signatures autorisées. »
Madame Caroni rangea le carnet dans son sac.
« Béatrice, viens ici ! »
Béatrice ne refit pas deux fois la même erreur. Faisant fi de la présence de cinq personnes, dont une qu’elle n’avait encore jamais vue, elle se présenta devant sa tutrice, ses mains tenant encore le bas de sa robe au-dessus de sa taille. Madame Caroni releva sa culotte et la remit à sa place. Puis, elle écarta les mains de Béatrice et sa robe retomba à la place habituelle à laquelle pouvait s’attendre une femme d’âge mûr. Cela faisait pourtant plus d’une heure et demie qu’elle n’y avait pas été et il était probable qu’elle n’y serait pas pendant une bonne partie de la soirée.
« En route, nous avons du travail qui nous attend à la maison ! »
Elle prit Béatrice par la main. Les salutations expédiées, elles nous quittèrent dans cet équipage : une petite fille suivant docilement sa Maman.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 45
Il y a une suite le chapitre 47.

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5 commentaires:

  1. Bonjour JLG,
    Mme Caroni va être une bonne tutrice pour Béatrice , en plus devant une jeune témoin et future fesseuse et peut être d'autres témoins ? ( age de Béatrice )
    le retour chez elles ,devrait être intéressant
    Pour Catherine le suspense est encore la , mais déjà la pimbêche arrogante , va devoir changer son profil car Mme Gorevski (membre de la famille de Catherine ?) semble vouloir la rabaisser un maximum et surement devant la famille .
    PS: ages de Catherine et Mme Gorevski
    Vivement l’épisode 47
    JJP

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    1. Je partage l'avis de ce lecteur anonyme. La prétention, l'orgueil, l'arrogance dont font preuve beaucoup de jeunes adultes, un peu comme Béatrice et Catherine, peuvent nuire à la vie en communauté. une reprise en main stricte devrait les amener à plus d'humilité.
      Oliver Twist

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    2. Bonjour chers amis lecteurs,
      Je sais, tout n'est pas dit dans les récits. Il n'est pas toujours précisé l'âge des protagonistes. Cela donne du grain à moudre à l'imagination du lecteur. Certains éléments permettent de se faire une idée, le reste, il faut l'inventer.
      Pour ce qui est de la reprise en mains, je pense qu'il n'y manquera rien.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Rebjr JLG,
    Déjà bravo pour cet épisode avec cette nouvelle tutrice Mme Caroni , et l'idée de se faire appeler Zia et sa fille de 18 ans future tutrice est excelente
    Je suis sur que vous allez trouver pour Catherine d'autres idées surprenantes dans l'épisode 47
    Il est prévu des épisodes répliques pour leurs fessées chez elles ?
    JJP

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    Réponses
    1. Bonjour JJP,
      Tous ces récits sont imbriqués les uns dans les autres. Il est effectivement prévu des épisodes, ou plutôt des récits mettant en scène tous ces personnages, mais ils ne sont pas encore écrits et je suis sur l'écriture des aventures d'autres personnages.
      Il va donc falloir être patient. Sauf si vous voulez les écrire vous-même. J'ai tellement de personnages potentiels que je peux vous en céder un ou deux.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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