En quelques minutes, Madame Raveneau avait résumé la
situation dans laquelle s’était mise Béatrice et sa collègue. Le recours à la
fessée avait été présenté comme une évidence et comme une fleur qui était faite
à Béatrice, l’alternative étant une sanction officielle qi conduirait à son
licenciement. Placée devant ce dilemme, Béatrice avait choisi la fessée, en
sachant qu’il s’agirait alors d’un régime définitivement adopté par la
direction de l’entreprise, le même que celui qui était appliqué à ses des
collègues. Madame Raveneau parlait évidemment de Magali et de moi.
« Elle en avait des exemples sous les yeux depuis
plusieurs semaines. Elle s’est donc engagée en connaissance de cause.
– Fort bien, répondit Madame Caroni, je vois que vous prenez
grand soin de vos salariés. Cela vous honore.
– Je vous remercie.
– Mais je ne vois pas ce que je viens faire dans l’histoire.
– J’y venais … »
Madame Raveneau expliqua alors le principe « une fessée
au travail, une fessée à la maison » donc le système de tutorat que Madame
Tolbois avait proposé d’instaurer et que la Maman de Magali avait confirmé.
« Je cherche donc une tutrice pour Béatrice qui
accepterait de contresigner son carnet de correspondance après l’avoir punie
d’une bonne fessée, comme il se doit.
– Je vois bien l’utilité d’une telle démarche et je suis
certaine que Béatrice en tirera profit, mais comment avez-vous pensé à
moi ?
– Béatrice vous avait désignée comme la personne proche à
qui nous pouvions faire appel en cas de problème. J’ai cru que cette situation
en faisait partie. A ma connaissance, Béatrice n’a pas de famille proche qui
pourrait lui rendre ce service. Qu’en dites-vous ?
– Faire appel à moi ? Elle ne m’en avait jamais
parlé ! Je ne suis que sa voisine ! »
Madame Caroni resta pensive un petit moment.
« Il est vrai qu’à quatre ou cinq reprises, peut-être
un peu plus, j’ai dû expliquer à Béatrice qu’elle ne pouvait pas se laisser
aller au cafard qui l’envahissait. Les dernières fois, je l’en ai carrément
grondée. J’ai eu l’impression que cela lui avait fait du bien et que ça
l’aidait à reprendre le dessus. C’est difficile d’être une femme seule avec
personne à qui se confier. »
Madame Raveneau approuva d’un hochement de tête sans
argumenter plus avant. Elle laissait le temps à Madame Caroni de prendre sa
décision.
« Vous permettez, dit cette dernière ? »
Sans attendre l’autorisation formelle de la directrice, elle
se tourna vers Béatrice.
« Viens-ici, lui dit-elle ! »
Béatrice fit demi-tour. Elle fit un pas vers sa voisine.
Elle prit alors conscience que sa culotte baissée gênait son déplacement et
qu’elle tenait toujours sa robe relevée, exposant son pubis à Madame Caroni,
maintenant qu’elle lui faisait face. Elle en laissa tomber le devant, couvrant
la toison qu’elle exhibait à tous vents.
« Béatrice, gronda Madame Colas ! »
Cela suffit à la ramener à une obéissance plus stricte. Elle
releva aussitôt sa robe, haut au-dessus de ses reins. D’un regard, elle chercha
l’approbation de Madame Colas.
« Dépêchez-vous ! On vous attend ! »
Les yeux baissés, Béatrice continua son chemin. Alors
qu’elle passait à proximité de sa cheffe de bureau, elle fut retenue par le
bras.
« C’est la dernière fois que vous me faites des
simagrées comme celle-là ! »
Madame Colas lui donna une dizaine de claques sur les fesses
qui amenèrent des larmes dans les yeux de Béatrice.
« Il vous est interdit de recouvrir vos fesses avant
d’en avoir reçu l’autorisation explicite. »
Une nouvelle dizaine de claques complétèrent le message.
« La prochaine fois que je vous y prend, je vous
montrerai ce que veut dire de recevoir une très sérieuse fessée. Nous n’avons
cure de votre pudeur outragée ! »
Quelques fortes claques permirent de s’assurer du sérieux de
Madame Colas.
Il n’y avait plus que trois pas à faire pour se tenir devant
Madame Caroni qui d’un doigt placé sous le menton de Béatrice, lui releva la
tête.
« Regardez-moi ! Nous avons à parler toutes les
deux avant que je ne prenne ma décision. »
C’est à travers un brouillard de larmes que Béatrice voyait
sa voisine.
« Sachez que donner la fessée à une dame qui n’a plus
rien d’une petite fille ne m’effraie pas du tout. J’ai déjà accepté de
surveiller mes autres voisins et cela va avec de sérieuses punitions quand ils
les ont méritées. Je peux donc bien vous châtier, vous aussi, quand ce sera
nécessaire. »
Madame Raveneau approuva d’un hochement de tête continu.
« Avant d’endosser ce rôle, je voulais vérifier avec
vous que vous n’avez personne d’autre à proximité pour vous rendre ce service.
Est-ce exact ?
– Oui, personne.
– Je sais que vous n’avez pas de famille dans les environs,
mais pas de relation qui serait plus à même de jouer ce rôle ?
– Non Margherita.
– Si je dois devenir votre tutrice, nos relations vont
changer. Nous ne serons plus des amies. Je vais rentrer dans votre intimité.
Vous n’aurez plus rien à me dissimuler, ni de vos actes, ni de votre
corps. »
Elle montrait à Béatrice son triangle pubien exposé.
« Ce sera une proximité bien plus grande qu’avant mais
qui suppose que vous me montriez le respect que vous me devez. Je suis à cheval
sur la politesse que les enfants doivent aux grandes personnes. Vous serez en
quelque sorte une grande enfant que j’ai sous ma responsabilité. Plus question
que vous m’appeliez uniquement par mon prénom. Je serai comme une tante qui a
en charge votre éducation. Vous m’appellerez donc zia. Zia Margherita. J’espère
que vous n’oublierez pas !
– Non, je vais faire attention.
– Non qui ? »
Béatrice ne s’attendait pas à la claque qui arriva sur le
haut de sa cuisse, mais elle ne protesta pas. Elle n’était pas vraiment en
position pour ce faire. Elle suffoqua de surprise pendant quelques secondes,
puis devant la main de sa voisine qui se levait de nouveau :
« Non Zia Margherita. Pardon !
– Voilà qui est mieux ! »
Puis, se tournant vers les spectatrices :
« Je tiens à ce que les choses soient claires dès le
début. Avec les enfants, même quand ils sont grands, il faut être exigeant. Les
règles sont les règles. Une fois établies, il faut les faire respecter. »
Madame Raveneau et Madame Colas acquiescèrent.
« Tu as bien compris, Béatrice, que je ne te punirai
pas seulement quand tu auras été vilaine au travail. Je te corrigerai quand je
déciderai que tu en as besoin. Si j’en juge par ce que j’ai vu de ta vie ces
derniers mois, tu en auras souvent besoin. Compris ?
–Oui Zia Margherita.
– Quand je le déciderai et où je le déciderai, tu seras
punie. Ce sera, en général, la fessée. Je baisse presque toujours la culotte
pour donner la fessée. Seras-tu ma grande Béatrice bien obéissante ?
– Oui Zia Margherita.
– Viens-ici ! »
Madame Caroni prit Béatrice dans ses bras.
« Quand je pense au nombre de fois, depuis que je te
connais, où tu aurais eu besoin d’une fessée ! »
Elle la serra contre elle et passa sa main dans le dos de la
grande fille qui s’abandonnait dans ses bras. Sa main descendit sur les fesses nues
et Béatrice se contracta dans un premier temps, puis elle se détendit en
savourant ce moment de tendresse.
« Tu verras, je vais m’occuper de toi. Ta vie va
changer. Elle sera bien plus ordonnée et structurée. Et tu vas apprendre à
obéir. »
Madame Caroni laissa passer quelques secondes pendant
lesquelles elle tapotait les fesses de sa nouvelle protégée.
« Mais je serai très sévère ! Est-ce bien
compris ? »
Béatrice se contenta d’un léger hochement de tête pour
montrer son accord. Elle sentait déjà qu’elle se coulait volontiers dans le
moule que façonnait Zia Margherita pour elle. Il y aurait certainement des
moments difficiles. Elle fit une grimace à la pensée de la fessée qui
l’attendait ce soir.
« Tes caprices, tes bouderies, tes négligences, tes
laisser-aller, tout cela c’est fini. A chaque fois, cela se traduira par une
bonne fessée. »
Elle se doutait que les punitions de Zia Margherita ne
seraient pas une partie de plaisir, mais s’il fallait en passer par là pour
bénéficier des câlins, enfermée dans des bras dans lesquels elle se sentait en
sécurité.
Cette félicité ne dura pas. Madame Caroni conservait
Béatrice sur son sein.
« Dis-moi, ma grande fille, ta directrice m’a dit que
tu avais fait une grosse bêtise aujourd’hui. Qu’en dis-tu ? »
Béatrice aval difficilement sa salive. Elle percevait le
changement d’orientation des pensées de sa nouvelle tutrice.
« Oui Zia Margherita, c’est vrai, dit-elle d’une toute
petite voix en se lovant plus étroitement contre la poitrine qui l’accueillait.
– Tu sais que maintenant que tu es ma grande fille, tu seras
punie à chaque fois que ça se produira ?
– Oui Zia Margherita, je le sais.
– Je te donnerai une fessée dès que nous serons rentrés à la
maison !
– Oh non, s’il vous plait Zia Margherita !
– L’as-tu méritée ? »
La voix de Madame Caroni s’était faite sévère. Enfermée dans
son nouveau statut de pupille soumise aux décisions de sa tutrice, Béatrice ne
pouvait qu’avouer que c’était dans l’ordre des choses.
« Tu auras donc ta fessée ce soir et elle sera
magistrale. Je veux que tu comprennes que je ne tolèrerai plus ce genre
d’agissement. Je compte sur la correction que tu vas recevoir pour te dissuader
de recommencer. »
Béatrice émit un petit gloussement, mais elle n’alla pas
plus loin dans son argumentation. Elle se doutait que continuer à protester
serait pris pour de l’insolence avec les conséquences qu’elle devinait. L’intransigeance
de Zia Margherita quant à son comportement faisait désormais partie de sa vie.
Il fallait s’y résoudre.
« Je veux montrer à Madame Raveneau qu’elle pourra
compter sur ma sévérité à ton égard. Je vais donc te donner, ici et maintenant,
un échantillon de ce que tu vas recevoir ce soir. »
En un tour de main, sans hésitation ce qui montait qu’elle
savait comment s’y prendre, Madame Caroni fit passer Béatrice sous son bras.
« Mets ton bras gauche derrière mon dos ! »
Docilement, Béatrice laissa Madame Caroni la mettre dans la
position qu’elle souhaitait. Elle ne prit vraiment conscience qu’elle était sur
le point de prendre une nouvelle fessée que lorsque qu’elle sentit le bras de
sa tutrice se refermer sur sa taille et une main lui soulever l’arrière de la
robe qui, dans le mouvement était retombée sur les fesses.
« Voyons si je sais te faire regretter ton outrecuidance ! »
Au bout d’une petite dizaine de claques, Béatrice sut que
les fessées de Madame Caroni seraient aussi douloureuse que cette dernière le
souhaiterait. La main suffisait pour enflammer son postérieur. Elle se mit à
espérer que cette démonstration ne durerait pas très longtemps. Elle dura
pourtant assez longtemps pour laisser une Béatrice en pleurs, promettant de ne
jamais recommencer.
Béatrice, à travers les ondes de douleur qui parcouraient
ses fesses vit la porte du bureau s’ouvrir et une autre personne y entrer. Elle
marqua un arrêt quand elle comprit ce que se passait sous ses yeux, mais elle
resta silencieuse.
Chaque fois que la main de Zia Margherita s’abattait sur ses
fesses, elle laissait une sensation de brûlure qui n’avait pas le temps de
s’estomper avant que la suivante n’arrive. Plus la fessée durait, plus la
douleur s’intensifiait. Plus la fessée durait, plus la douleur s’étendait à une
zone de plus en plus large.
Béatrice avait intégré que la fessée ferait désormais partie
de sa vie. Avec trois fesseuses patentées l’ayant sous la main, elle ne doutait
pas que les corrections se multiplieraient. C’était dans l’ordre normal des
choses.
Si Béatrice avait cherché à comparer les fessées, il est
probable que celle qu’elle avait reçue avec la règle, aurait eu la palme de la
plus difficile à supporter parmi celles, peu nombreuses encore, qu’elle avait
reçues dans sa toute récente condition de punie.
Celle que lui donnait Zia Margherita, avait une autre
saveur. Elle avait tout autant le goût de la correction magistrale et de la
punition acceptée parce que justifiée que l’avaient eu les précédentes. Elle
portait, avec la cuisson qui s’amplifiait, un fort sentiment de sécurité et de
stabilité. Elle se sentait redevenir une petite fille dont une grande personne
prenait soin. C’est ce que lui avait promis Zia Margherita. Elle lui faisait
confiance pour aller au bout de ses engagements.
Béatrice n’avait plus de questionnements métaphysiques à avoir.
Elle n’avait plus qu’à se laisser emporter par ses sensations et ses
émotions : la douleur de la fessée, la légitimité de Zia Margherita à la
punir, la honte d’avoir eu la culotte baissée et d’être corrigée en public.
Béatrice se mit à sangloter sans pouvoir s’arrêter.
« Retourne te mettre au coin, comme tu y étais quand je
suis arrivée ! »
La désobéissance n’était pas une option possible. Béatrice
n’y pensa même pas. Il était urgent d’obéir pour laisser le temps à la cuisson
de ses fesses de diminuer un peu. Elle était insupportable. Et puis, elle
voulait montrer à Zia Margherita qu’elle serait désormais sa petite fille
obéissante. Elle tenait, par-dessus tout à mériter son pardon.
« Je finis avec ta directrice et nous rentrons à la
maison ! »
Tous les regards se tournèrent vers la personne qui était
entrée quelques minutes auparavant.
« Excusez-moi d’être entrée sans en avoir reçu
l’autorisation. J’ai frappé, j’ai appelé, mais personne n’a répondu. »
Au son de cette voix, Catherine se mit à trembler et à gémir
ouvertement. Elle avait commencé à se baisser pour remonter sa culotte Une
série de claques sur ces fesses que lui donna Madame Colas, mit fin à cette
démonstration intempestive.
« Je ne voulais pas être indiscrète, mais j’ai assisté
à la fessée que vous avez donnée. Je vous félicite. Au comportement de votre
punie, je suis certaine que sa correction était amplement méritée et qu’elle le
reconnaissait. Je voudrais bien qu’il en soit de même la pimbêche arrogante que
voici. »
Elle désignait Catherine qui se pressait si fort contre
l’angle de la pièce qu’on aurait dit qu’elle voulait s’y enfoncer.
« Vous êtes Madame Gorevski, si je ne me trompe pas,
intervint Madame Raveneau ?
– Exactement. Madame Raveneau ? C’est vous que j’ai eue
au téléphone cet après-midi ? »
Les deux femmes se serrèrent la main et chacun se présenta. Béatrice
et moi n’eûmes pas le droit à la parole. On le fit pour nous.
« Désolé, dit Madame Caroni, mais Béatrice ne peut pas
vous dire bonjour comme je l’exigerai d’elle à présent, dès qu’elle rencontrera
une grande personne. Elle doit rester silencieuse pendant qu’elle est au coin.
– Je comprends parfaitement et je vois que ma chère
Catherine observe les mêmes règles. Je ferai en sorte que ça continue. »
Elle reçut l’approbation générale si on m’excepte ainsi que
les deux dames dont on ne voyait que les fesses rougies. Notre avis n’était pas
sollicité, il n’aurait pas été bienvenu que nous l’exposions.
« Mais je ne voudrais pas m’imposer. Catherine ne
s’impatiente pas dans son coin et moi j’ai libéré ma soirée pour m’occuper
d’elle. Nous avons donc notre temps. Vous étiez là en premier, finissez donc.
– Nous avions quasiment fini, si je ne me trompe pas,
interrogea Madame Caroni ?
– Il nous reste à vous remettre le carnet de correspondance
que nous utiliserons désormais. »
Madame Colas en expliqua le fonctionnement en quelques
phrases.
« Je vois là que vous souhaitez avoir une signature des
personnes habilitées à remplir ce carnet. Je vais y apposer la mienne dès
maintenant, mais ma fille Lorena aura aussi cette responsabilité. »
Béatrice crut à une erreur. Lorena, ce n’était pas
possible ! Elle avait tout juste dix-huit ans ! Elle ne pouvait rien
avoir à voir avec la discipline qui serait désormais son quotidien. Mais ce
n’était pas le moment de relever cette erreur. Béatrice aborderait cette
question une fois arrivé chez elle.
« Lorena le signera ce soir. Vous aurez comme cela un
exemplaire des deux signatures autorisées. »
Madame Caroni rangea le carnet dans son sac.
« Béatrice, viens ici ! »
Béatrice ne refit pas deux fois la même erreur. Faisant fi
de la présence de cinq personnes, dont une qu’elle n’avait encore jamais vue,
elle se présenta devant sa tutrice, ses mains tenant encore le bas de sa robe
au-dessus de sa taille. Madame Caroni releva sa culotte et la remit à sa place.
Puis, elle écarta les mains de Béatrice et sa robe retomba à la place
habituelle à laquelle pouvait s’attendre une femme d’âge mûr. Cela faisait
pourtant plus d’une heure et demie qu’elle n’y avait pas été et il était
probable qu’elle n’y serait pas pendant une bonne partie de la soirée.
« En route, nous avons du travail qui nous attend à la
maison ! »
Elle prit Béatrice par la main. Les salutations expédiées,
elles nous quittèrent dans cet équipage : une petite fille suivant
docilement sa Maman.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 45
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 45
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas...
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Bonjour JLG,
RépondreSupprimerMme Caroni va être une bonne tutrice pour Béatrice , en plus devant une jeune témoin et future fesseuse et peut être d'autres témoins ? ( age de Béatrice )
le retour chez elles ,devrait être intéressant
Pour Catherine le suspense est encore la , mais déjà la pimbêche arrogante , va devoir changer son profil car Mme Gorevski (membre de la famille de Catherine ?) semble vouloir la rabaisser un maximum et surement devant la famille .
PS: ages de Catherine et Mme Gorevski
Vivement l’épisode 47
JJP
Je partage l'avis de ce lecteur anonyme. La prétention, l'orgueil, l'arrogance dont font preuve beaucoup de jeunes adultes, un peu comme Béatrice et Catherine, peuvent nuire à la vie en communauté. une reprise en main stricte devrait les amener à plus d'humilité.
SupprimerOliver Twist
Bonjour chers amis lecteurs,
SupprimerJe sais, tout n'est pas dit dans les récits. Il n'est pas toujours précisé l'âge des protagonistes. Cela donne du grain à moudre à l'imagination du lecteur. Certains éléments permettent de se faire une idée, le reste, il faut l'inventer.
Pour ce qui est de la reprise en mains, je pense qu'il n'y manquera rien.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Rebjr JLG,
RépondreSupprimerDéjà bravo pour cet épisode avec cette nouvelle tutrice Mme Caroni , et l'idée de se faire appeler Zia et sa fille de 18 ans future tutrice est excelente
Je suis sur que vous allez trouver pour Catherine d'autres idées surprenantes dans l'épisode 47
Il est prévu des épisodes répliques pour leurs fessées chez elles ?
JJP
Bonjour JJP,
SupprimerTous ces récits sont imbriqués les uns dans les autres. Il est effectivement prévu des épisodes, ou plutôt des récits mettant en scène tous ces personnages, mais ils ne sont pas encore écrits et je suis sur l'écriture des aventures d'autres personnages.
Il va donc falloir être patient. Sauf si vous voulez les écrire vous-même. J'ai tellement de personnages potentiels que je peux vous en céder un ou deux.
Au plaisir de vous lire,
JLG.