La mère de Julie me conduisit par
l’oreille auprès du canapé. Elle s’y assit et je basculais en travers de ses
genoux. Elle n’avait pas besoin de me baisser la culotte, elle l’avait fait avant
de m’envoyer au coin. Je pus entrapercevoir Julie, avant que ma vision ne soit
obstruée par les coussins sur lesquels reposait mon visage. Elle sanglotait
doucement, au coin, la culotte baissée.
La mère de Julie, Tatie Nathalie
comme elle voulait désormais que je l’appelle, avait déroulé sa stratégie
progressivement tout au long de la journée. Elle avait maintenant la haute main
sur la discipline de tous les enfants de la maison, ce m’incluait bien entendu,
mais ce qui comprenait également Julie.
Tout avait commencé dès le matin
…
Mon lever avait été d’une banale
habitude. Julie m’avait tout d’abord posé sur les toilettes avec l’ordre de
faire pipi. Puis elle était retournée à ses propres occupations, me laissant
seul. Sa mère n’avait pas tardé. Elle se planta devant moi.
« J’espère que tu ne vas pas
refaire pipi par terre ou alors gare à tes fesses ! »
Assis sur la cuvette des
toilettes, je ne pouvais pas me dissimuler à son regard. Je rougis jusqu’à la
racine des cheveux, ça non plus je ne pouvais le cacher.
« Tiens ton zizi avec ta
main, vers le bas ! Tu devrais en avoir l’habitude, à ton âge. »
J’avais envie de lui répondre que
non, je n’avais pas l’habitude ni de faire pipi assis sur des toilettes, ni de
le faire sous le regard d’une autre personne. Répliquer de la sorte était, bien
sûr, un rêve lointain que je devais laisser à cet état d’inachèvement. J’obéis
à sa consigne.
Elle finit par me laisser.
Quelques instants plus tard, dès
la fin du petit-déjeuner, Julie annonça ;
« Axel, c’est l’heure de ta
toilette »
Elle me suivit et m’installa
devant le lavabo pour me laver les dents et me raser. C’était la seule partie
de mes ablutions que je faisais moi-même. Julie me laissa seul après m’avoir
ordonné de l’appeler quand j’aurai fini.
Sa mère passa dans cet intervalle
de temps devant la porte que Julie avait laissée ouverte. Elle resta à
m’observer pendant un court instant, mais elle ne fit pas un commentaire.
Quand Julie revint, elle me
déshabilla et me fourra sous la douche. Elle avait déjà commencé à me laver les
cheveux quand elle s’arrêta brusquement.
« Ah fit-elle, j’ai oublié ! »
Elle se tourna vers la porte qui
avait été repoussée et en élevant la voix :
« Maman ; peux-tu
m’apporter une serviette, j’ai oublié d’en prendre une pour Axel. »
Quelques instants plus tard, on
toqua discrètement à la porte.
« Voici la serviette, tu
viens la prendre ?
– Entre Maman, il n’y a pas de
problème. Je fais prendre sa douche à Axel. »
La mère de Julie entra et elle
marqua distinctement un arrêt dès qu’elle aperçut la scène qui se jouait sous
ses yeux. Julie, revêtue de son pyjama, un gant de toilette à la main me lavait
les fesses. Totalement nu dans le bac à douche, j’avais légèrement écarté les
jambes pour lui faciliter la tâche.
« C’est toi qui lui fait sa
toilette !
– Oui, j’ai pris cette décision
quand je me suis rendu compte que se faire une toilette soignée, au moins une
fois par jour, n’était pas une très grande priorité pour Axel. Il passait bien
tous les jours dans la salle de bain, mais le résultat était souvent
approximatif. Sœur Gabrielle m’a expliqué que pour gagner un quart d’heure de
sommeil, il sautait souvent l’étape douche. Maintenant, que ce soit à St Marie
ou à la maison, je suis certaine qu’il est correctement lavé tous les matins.
Tu sais si on ne le surveille pas … »
Pendant cette conversation, ma
douche continuait. Julie me positionnait à sa guise en fonction de la zone
qu’elle savonnait. En me tenant par le bras, elle me tournait dans un sens,
puis dans l’autre. Je suivais ses injonctions au plus vite. Toute résistance ou
simplement mauvaise volonté serait immédiatement punie, c’était inévitable.
Julie m’avait placé face à elle
et elle relevait mes testicules et mon pénis d’une main pour avoir accès plus
facilement à mon entre-jambe. Elle savonna abondamment cet emplacement. Elle
arrêta soudainement son geste. Sa main passa doucement sur la zone de ma peau
située à la jonction de mes testicules et du haut des jambes. Elle passait son
doigt nu sous les poils pubiens qui recouvraient cet endroit.
« Maman ; n’est-ce pas
un petit bouton que je sens, là sous la peau ? Qu’en
penses-tu ? »
La mère de Julie s’approcha pour
mieux voir. Son visage n’était pas à plus de dix centimètres de mes parties
génitales.
« Je ne vois rien, avec tous
ces poils. Attends, je vais palper. »
A son tour, la mère de Julie posa
ses doigts sur ma zone pubienne. Puis, insatisfaite de son examen, elle prit
mon appareil génital dans une main pour l’écarter.
« Rince cette partie, le
savon empêche de voir. »
Julie prit la douche et fit
couler l’eau claire entre les mains de sa mère qui entouraient la peau qui
faisait l’objet de leur examen. Un doigt fouilla dans ma toison pubienne.
« Oui, il y a une petite
protubérance, mais je pense que ce n’est rien. »
Elle prolongea un peu son examen.
« Tous ces poils sont très
gênants, on ne voit rien. Sans doute un petit bouton. Si ce n’était pas toi qui
lui faisais sa toilette, je penserais pour un petit problème d’hygiène. »
Elle se lava les mains pendant
que Julie reprenait ma douche, là où elle l’avait interrompu.
« Si j’étais toi, proposa la
mère de Julie, je me débarrasserais de tous ces poils. C’est beaucoup plus
simple question hygiène. Les petits boutons se verront tout de suite et tu
pourras juger de leur gravité. De plus, je trouve qu’il fera beaucoup plus
petit garçon, ce qui correspond mieux à ce qu’il est réellement dans cette
maison.
– Tu crois que c’est une bonne
idée ?
– Si c’était moi qui avais la
responsabilité d’Axel, ça fait longtemps que ce serait fait. »
Julie resta un petit moment
songeuse tout en me lavant le dernier pied. Elle prit le temps de me rincer
avant de revenir sur le sujet pendant qu’elle me séchait.
« Comment t’y
prendrais-tu ?
– Pour quoi faire ?
– Pour ôter tous ces poils, tu
les raserais ?
– Sans aucune hésitation :
une épilation. Si tu les rases, tu devras recommencer dans quelques jours et
ils vont devenir de plus en plus drus. Avec une épilation bien faite, tu es tranquille
pour trois à quatre semaines. »
Julie ne prit que quelques
secondes pour réfléchir.
« C’est une idée. On peut
essayer. Tu saurais le faire ?
– Je crois que ce n’est pas trop
difficile. Si tu veux, je peux le faire.
– C’est d’accord, mais après sa
fessée matinale et un bon moment passé au coin, il en a besoin. »
Sous la férule de Julie et sous
le regard de sa mère, je traversais l’appartement totalement nu, jusqu’à la
chambre qui m’avait été attribuée pour mon séjour. Julie m’habilla, mais pour me
déculotter aussitôt arrivé dans le séjour. Elle avait fait un détour pour
prendre sa brosse dans sa chambre.
Julie m’avait déjà installé en
position quand sa mère l’interpella.
« Ma Chérie, je préfèrerai
que tu utilises désormais la brosse dédiée aux fessées dans cette maison, celle
que j’utilisais pour te punir quand tu étais plus jeune. Je peux aller te la
chercher, si tu veux.
– Mais Maman, cela n’a pas
d’importance. Du moment qu’il s’agit d’une brosse.
– La tienne sert à un autre
usage. Il est préférable de donner la fessée avec une qui est réservée à cet
effet. »
J’entendis la mère de Julie
sortir de la pièce et y revenir presqu’aussitôt. Julie n’avait pas encore fait
usage de l’instrument qu’elle tenait en main. Malgré le retour de sa mère, je
la sentis prendre son élan. Je crispais les fesses dans l’attente de sa brosse.
« Non, Julie ! J’ai dit
non.
- C’est ridicule, une brosse
c’est une brosse.
– Julie, je ne le redirai pas une
autre fois. N’essaye pas de me défier. Tu sais ce qu’il t’en a coûté à chaque
fois que tu t’y es risquée. Faut-il que je te l’explique autrement ?
Donne-moi cette brosse ! »
Je ne voyais pas la scène qui se
passait derrière mon dos, mais le ton de la mère de Julie devint plus
chaleureux.
« Voilà qui est mieux. C’est
toujours aussi difficile de te faire obéir, mais tu cèdes finalement plus vite
que tu ne le faisais à l’adolescence. Je ne sais pas si c’est le souvenir de
toutes les fessées que je t’ai données ou les effets de l’âge qui t’ont fait
mûrir.
– Maman, c’est gênant que tu
parles de ça !
– Gênant ? Quelle
pudibonderie ! Tu ne changeras donc jamais. Tu trouvais toujours
embarrassant quand j’évoquais les fessées que je te donnais devant quelqu’un
d’autre. Mais maintenant c’est ridicule. Je n’en parle que devant Axel, et il
ne sembla pas en position d’en faire étalage dans d’autres endroits.
– Oui, mais …
– Il n’y a pas de
« mais » qui tienne ! J’ai décidé que dans cette maison les
fessées seraient données avec cette brosse et non avec la tienne, j’entends
être obéie. Est-ce compris ?
– Oui Maman.
– Il est temps que tu fesses
Axel, cela fait assez longtemps qu’il attend sur tes genoux. Encore une
chose : je ne laisserai pas passer la prochaine fois que tu mettras autant
de temps à m’obéir. »
La seule réponse que donna Julie,
ce fut sur mes fesses. Dès les premières secondes, je sus que cette fessée
serait magistrale. Julie passait sa frustration sur mes fesses. Elle y abattait
la brosse de toutes ses forces. Passé les premiers instants de stupeur,
j’entamais ma litanie de cris de supplications et de gesticulations
désordonnées.
La fessée se prolongeait,
toujours aussi forte. Je n’en pouvais plus et Julie ne donnait aucun signe de
vouloir s’arrêter. Je gisais sur son genou, presque sans réaction. Mes fesses
étaient devenues insensibles à de nouvelles applications de la brosse, tant
elles me brûlaient.
« Julie, ça
suffit ! »
Cette injonction de sa mère
ramena Julie à la réalité. Elle mit fin à la fessée.
« Julie, si tu n’es pas
capable de te maîtriser quand tu fesses Axel, je vais t’interdire de le faire. Une
fessée, c’est une punition. Elle ne peut être donnée que par une personne
responsable de ses actes. Ce ne peut être un exutoire à ses propres frustrations.
Je ne te le redirai pas. »
Julie me fit glisser de ses
genoux et je tombais à genoux entre ses pieds. Elle se leva.
« Je, … je … je … »
Renonçant à s’expliquer, Julie
quitta précipitamment la pièce où nous nous trouvions. Sa mère fronça les
sourcils et elle eut un geste de désapprobation de la tête qui s’acheva par un
long soupir. Puis, elle se tourna vers moi.
« Tout cela ne te dispense
pas de ton temps au coin. Va t’y mettre, je te dirai quand tu pourras en
sortir. »
Je ne songeais pas une seule seconde
à désobéir à cet ordre. J’étais, à l’évidence, englobé dans le périmètre sur
lequel la mère de Julie avait autorité.
L’atmosphère était électrique
entre Julie et sa mère. Nous étions dans un entre-deux dans lequel les rôles
n’étaient pas encore bien établis. Si le mien était limpide, les relations
entre Julie et sa mère étaient en pleine évolution. Ma présence, et mon statut
d’adulte fessé avaient déstabilisé un équilibre qui devait être fragile dans
les années passées.
La mère de Julie continua son
offensive pour clarifier la situation. Sa première étape passa par établir sans
ambiguïté son autorité sur moi. La séquence d’épilation en fut l’occasion
rêvée.
Elle vint me chercher au coin et,
me prenant par la main, elle m’emmena dans ma chambre.
« Inutile de remonter la
culotte, je vais te l’enlever dans quelques instants. »
Elle avait étalé sur mon lit une
grande serviette.
« Je vais t’enlever tous ces
poils disgracieux. Tu vas avoir des fesses toutes douces et surtout toutes
nettes. Ce sera beaucoup plus facile quand nous te ferons ta toilette. »
Intérieurement, je me disais que
ma pilosité pubienne n’avait pas encore été un obstacle bien grand à ma
toilette et que cela pouvait bien continuer ainsi quelques temps. Je me gardais
bien d’exprimer cette opinion à haute voix. Mes fesses nues à portée de la main
de la mère de Julie, m’incitaient à la prudence.
« Allonge-toi sur la
serviette ! »
Dès que je fus dans la position
qu’elle m’avait indiquée, elle m’ôta mon pantalon, pus ma culotte.
« Ecarte tes
jambes ! »
Elle se plaça entre mes cuisses
et elle me saisit des deux côtés de hanches pour me faire glisser sur le lit
afin de me rapprocher d’elle.
« Pose tes pieds sur le
lit ! »
Elle prit une petite touffe de
poils pubiens entre ses doigts, comme pour en éprouver la texture. Enfin, elle
me donna quelques petites claques sur le haut de la cuisse qui se terminèrent
en une caresse.
« Tu es sage. Tu ne bouges
pas. Tu me laisses faire. »
Elle me laissa seul un bref
instant et elle revint avec les accessoires dont elle avait besoin. Je vis une
paire de ciseaux et plusieurs flacons.
« Julie, s’il te plait,
cria-t-elle, viens m’aider. J’ai besoin de toi ! »
Julie entra dans la chambre. Il se
voyait qu’elle ne savait pas quelle contenance prendre. Sa mère prit la
direction des opérations.
« Ma fille, tu as accepté la
responsabilité de l’éducation d’Axel quand il est sous ton toit. Il faut aller
au bout. Je vais t’y aider, mais j’attends de toi que tu y mettes de la bonne
volonté. »
Julie hocha brièvement la tête.
Cela pouvait passer pour un accord.
« Prend la serviette et
glisse-là sous les fesses de notre grand garçon. »
Elle me souleva le bassin pour
laisser la place à Julie de passer une petite serviette de toilette dans
l’interstice que sa mère avait ménagé.
« Reste-là, j’aurai encore besoin de ton
aide. »
Elle tirait délicatement sur mes
poils d’une main pour les étendre, puis elle les raccourcissait avec des petits
coups de ciseaux précis. Ma position allongée m’empêchait de voir ce qu’elle
faisait, mais c’était une sensation étrange que de percevoir mon entre-jambe,
privé d’une partie de ses poils. Toute ma toison y passa.
Sa main arrangeait mon sexe et
mes testicules à sa guise, soulevant ou abaissant mon appareil génital, le
plaçant à droite ou à gauche le long de ma jambe ou de mon bas-ventre, en
fonction de ce dont elle avait besoin. Enfin, elle passa sa main sur toute la
surface qu’elle venait de dégager, chassant les poils pour les faire tomber sur
la serviette placée sous moi.
« Voilà qui est
parfait ! »
Elle souleva de nouveau mon
bassin en glissant ses mains sous mes fesses.
« Enlève la serviette et
jette tous ces poils à la poubelle. »
Elle s’empara de l’un des flacons
qu’elle avait apporté et elle saupoudra généreusement mes fesses d’une poudre
blanche, du talc. Elle l’étala régulièrement sur mon pubis et mon entre-jambe,
puis, sur mon sexe et mes testicules, en les prenant à deux mains.
Le contact avec la main massant mes
parties génitales fit son effet. Je sentis ma verge durcir. La mère de Julie
également. Elle souleva l’une de mes jambes et, sur la cuisse ainsi dégagée,
elle appliqua une dizaine de très fortes claques, faisant voler un petit nuage
de poudre.
« Sois sage, Axel, sinon,
c’est la fessée ! »
A la cuisson qui embrasait
maintenant ma cuisse, je trouvais que son action préventive ressemblait déjà
largement à une fessée. L’efficacité de son traitement était indéniable. Ma
verge retomba, redevenue toute molle. Elle acheva son travail en s’assurant que
le dessous de mes bourses avait reçues leur part de talc.
« Tu le surveilles, Julie,
je vais faire chauffer la cire. »
La mère de Julie revint peu de
temps après. Elle tenait dans ses mains un pot dont elle mélangeait le contenu
avec une spatule. Sans transition, elle en étala une bande sur les poils de mon
pubis. C’était chaud, mais tout à fait supportable. Elle la laissa sécher,
puis, elle posa une main sur mon bas-ventre. Elle tendit la peau. D’un coup
sec, elle tira. C’était loin d’être indolore. J’interposais mes mains pour
protéger la zone d’où me provenait ce message de souffrance. Aussitôt, je reçus
une claque sur mes doigts.
« Enlève tes mains, je ne
veux pas les voir de toute l’épilation. »
Lors de l’arrachage de la
deuxième bande de cire, j’esquissais un geste de protection ce qui ne valut des
gros yeux, mais je réussis à l’arrêter avant que mes mains n’empiètent sur le
territoire de la mère de Julie.
J’allais au bout de mon geste et
je couvris de ma main la zone que la mère de Julie venait d’épiler à la
première bande déposée à la jonction de l’intérieur de la cuisse et de mon
testicule. Elle ne perdit pas de temps à ôter mes mains qui l’empêchaient de
poursuivre. De nouveau elle souleva l’une de mes jambes et elle y appliqua sa
main aussi longtemps et aussi fortement que la première fois.
« C’est la dernière fois que
je te le dis. La prochaine, c’est la fessée ! »
Si ce que je venais de recevoir
n’était pas vraiment une fessée, cela donnait un aperçu de ce que pourrait être
une réelle correction. Je n’avais pas envie d’y goûter. Je glissais mes mains
sous mon dos. La position était plutôt inconfortable, mais j’espérais que cela
me donnerait le temps de contrôler mon prochain geste impulsif. L’épilation
continuait. Je serrais les dents à chaque fois qu’une bande de cire emportait
avec elle les poils qui y étaient collés.
« Julie, aide-moi. Tu vas
tendre la peau pendant que j’applique la cire. »
C’étaient maintenant quatre mains
qui palpaient la peau de mes bourses. Je sentis le chaud de la cire. Puis elle
refroidit lentement. Je ne peux pas dire que la douleur fut intolérable, non.
Pas vraiment. C’était plutôt la surprise, amplifiée par l’appréhension de ce
que je ne maîtrisais pas et la peur d’avoir mal.
J’interposais mes mains, enlevant
celles de Julie qui tendait encore la peau de mes testicules.
« Je t’avais prévenu, gronda
la mère de Julie ! »
Elle passa sur le côté du lit.
Elle prit mes deux jambes et les bascula au-dessus de ma tête. Elle entoura mes
deux cuisses de son bras gauche et elle souleva le bas de mon dos. Seules mes
épaules reposaient encore sur les couvertures.
Sa main s’abattit sur mes fesses
idéalement placées pour être l’objet de l’attention de la mère de Julie. Elle
laissait derrière elle une cuisson qui se diffusait lentement aux alentours de
l’endroit qu’elle avait claqué. Aussitôt elle provoquait une nouvelle cuisson
sur l’autre fesse. Puis, sa main relançait la brûlure, légèrement décalée par
rapport à la première, là où elle avait donné la première fessée.
Je ne cherchais pas à résister,
ni même à protester. Son assurance ne laissait aucun doute quant à sa
légitimité à me fesser. Le contester, c’était se préparer une deuxième fessée
en punition d’une comédie. De plus, elle m’avait prévenu et elle ne faisait que
tenir sa promesse, ce qui était nécessaire puisqu’elle avait autorité sur moi.
Je ne cherchais pas plus à
retenir mes cris. Je ne sais pas si j’y serais arrivé si j’avais essayé.
J’avais pourtant le sentiment que d’extérioriser bruyamment ma honte et ma
douleur me transformait encore plus en un petit garçon justement puni par une
grande personne. Je pressentais qu’être fessé par la mère de Julie allait
devenir monnaie courante. J’étais dans un cadre domestique qui permettait
d’exposer plus ouvertement ses sentiments.
Dans cette position, son contrôle
sur mes mouvements était presque total. Il n’y avait plus que mes deux mains
qui pouvaient bouger sans être entravées. J’aurais pu les placer en protection
de mes fesses, mais je savais que dans ce cas, sa réaction serait terrible. Je
me contentais de marteler le matelas sous moi en harmonie avec le rythme que sa
main battait sur mes fesses.
« Julie, va me chercher la
brosse à fesser ! »
Elle venait de reposer mon dos et
mes pieds sur le matelas, me réinstallant dans la position qui lui permettrait
d’achever mon épilation. Quand Julie revint, elle tenait dans sa main la brosse
qui avait été consacrée comme l’instrument officiel des punitions dans cette
maison.
« Recommence encore une fois
et tu vas voir comment la brosse à fesser sait punir les garçons qui persistent
dans leur désobéissance. Julie, retend-lui la peau de ses bourses. »
L’épilation reprit. Je me
contractais à chaque arrachage, mais je dus convenir que la mère de Julie
savait s’y prendre. Il y avait, à chaque fois, un petit pic de douleur, comme
si plusieurs aiguilles me picotaient la peau en même temps, au même endroit.
Elle y posait alors la main et la douleur disparaissait rapidement. Cela ne
valait pas de prendre le risque d’une nouvelle fessée.
« Bon, voilà qui est fait
pour le devant. »
Elle inspectait son travail, d’au
air consciencieux.
« Une seconde. Passe-moi la
pince à épiler ! »
Elle tira sur quelques poils
récalcitrants qui avaient échappé au premier passage.
« Passons à la raie des
fesses. »
Elle releva une nouvelle fois mes
jambes au-dessus de ma tête. Cette position m’alerta : une nouvelle
fessée ? Il n’en était rien. Tenant mes deux pieds croisés d’une main,
elle glissa l’oreiller sous mes reins en l’enfonçant le plus loin possible dans
mon dos. Quand elle me lâcha les chevilles, je tenais cette position qui
mettait mes fesses en position prééminente.
La manœuvre recommença :
couper les poils de mon sillon inter fessier, étaler de la cire, arracher la
bande, calmer l’inflammation en apposant sa main. L’assistance de Julie n’était
même pas requise. La surface n’était pas bien grande. Cela alla assez vite.
« Et bien voilà ! Nous
sommes tranquilles pour plusieurs semaines. Julie, il faudra recommencer dès
que les poils auront repoussé d’un bon centimètre. Sauras-tu t’y prendre
correctement ?
– Je crois, Maman. Cela ne semble
pas très difficile.
– Je te fais confiance pour
empêcher Axel d’interférer. Après, le secret, c’est de tirer d’un coup sec. Si
tu l’entretiens régulièrement, ça deviendra de plus en plus facile. Il y aura
de moins en moins de poils.
– Il reste une dernière chose à
faire : une lotion pour apaiser l’irritation provoquée par la cire. »
Elle versa, dans le creux de sa
main, un liquide huileux qu’elle répandit sur toute la peau qu’elle venait
d’épiler. Quand elle prit mon sexe et mes testicules entre ses deux mains,
j’eus peur qu’un nouveau début d’érection involontaire l’oblige à me fesser une
nouvelle fois. La peur préventive que je ressentais me permit de contrôler la
turgescence de mon membre, mais elle m’empêcha également de goûter pleinement
ce moment de douceur.
Une petite claque sur le haut de
la cuisse :
« Debout, c’est
fini ! »
Elle m’aida à me relever. Elle passa
alors sa main sur mon entre-jambe.
« Regarde Julie, comme c’est
doux maintenant. »
Julie à son tour passa sa main
dans le pli de l’aine. Elle me fit pivoter pour tester la douceur de la peau de
la raie de mes fesses.
« Tu as eu raison, Maman.
C’est bien mieux comme cela.
– Et toi, Axel, qu’en
penses-tu ? »
Je ne savais pas quoi répondre.
« Viens ici ! »
La mère de Julie me prit dans ses
bras. En pesant sur ma nuque, elle posa mon visage sur son épaule. Puis sa main
caressa mes fesses. Elle me laissa ainsi quelques instants.
« Dis-moi, tu ne vas pas te
mettre à bouder. Je serai obligée de t’en dissuader … avec une bonne
fessée. »
Elle claquait mes fesses mais
avec une force limitée. Je ne pouvais pas vraiment considérer qu’il s’agissait
d’une fessée.
« Oh non, Madame !
– Madame, madame. Je trouve
bizarre que tu m’appelles comme cela. Je ne trouve pas cela naturel alors que
je m’occupe de toi si … intimement. Quand je te donne la fessée, il faut que tu
saches que c’est parce que ce que tu fais m’importe beaucoup. Je ne peux pas
non plus te laisser m’appeler par mon prénom, ce serait trop familier, pas
assez respectueux pour un enfant vis-à-vis d’une grande personne. Ici, tu seras
considéré comme un enfant. C’est ce que tu es au fond de toi. »
Elle sembla réfléchir un petit
moment, tout en me serrant dans ses bras. Ses petites claques sur mes fesses
s’étaient transformées en caresses.
« Je ne suis pas assez âgée
pour être ta mère. Il s’en faut de peu, mais tout de même. Par contre, je
pourrais être ta tante. Notre différence d’âge le permettrait. Quel âge
as-tu ?
– Trente-deux ans, Madame.
– Trente-deux ans, alors j’avais
… »
Elle mit quelques secondes à
compter.
« Dix-huit ans, quand tu es
né. J’aurais, sans problème, pu être ta tante et t’avoir gardé quand tu étais
petit. J’aurais certainement dû te donner la fessée pour de punir de quelques
caprices ou désobéissances. Il n’est donc pas anormal que je te fesse encore,
même si tu as grandi. »
Elle avait repris son simulacre
de fessée.
« A partir de maintenant, tu
m’appelleras Tatie Nathalie. Est-ce compris ?
– Oui Madame ! »
Cette fois-ci, c’est une sérieuse
claque que j’avais reçue sur mes fesses.
« Oui qui ?
– Oui Tatie Nathalie.
– C’est bien mon
grand ! »
Elle me garda encore quelques
instants dans ses bras, puis elle me reculotta.
« Va faire tes
devoirs ! J’attends de toi que tu t’y appliques ! »
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure.
quand aurons-nous la joie de voir enfin Julie, jupe retroussée et culotte baissée, au coin, fesses rouges et chaudes mises en valeur par ses larges jarretelles de dentelle et après avoir été bien fessée par sa mère ???
RépondreSupprimerBonjour Juves Fandor,
SupprimerLongtemps que je n'avais pas eu de vos nouvelles.
Gageons que vous n'aurez pas trop de temps à attendre pour que Julie renoue avec les corrections maternelles.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerDe plus en plus délirant, et inattendu! La séance de fessées / épilation vaut le détour. La maman de Julie a vraiment pris les choses en main et se révèle encore plus redoutable que les autres femmes du récit pourtant peu clémentes.
Implacable Tatie Nathalie. On la sent capable de tout, et, pour le coup,le suspens reste entier. Quand le champ des possibilités est aussi largement ouvert, il est difficile d'en supposer une seule. Voilà le jeu de supputations sur les suites du récit annihilées. Bravo, bien joué !
Cordialement
Ramina.
Aïe, aïe, aïe,
SupprimerDe la difficulté de proposer des scénarios qui ménagent des surprises. Un défi de plus en plus difficile à relever.
J'espère que la suite ne vous décevra pas.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Non, pas aïe aîe aïe ! Au contraire !
RépondreSupprimerLe scénario est habile et ménage des surprises puisque le personnage de "Tatie Nathalie" semble si imprévisible et donc capable de tout, que, pour cette fois, il est difficile pour le lecteur d'imaginer ce qui pourrait se passer par la suite.
On ne risque donc pas d'être déçu!
Cordialement
Ramina.
Bonjour Juves.
RépondreSupprimerEt bien voilà un amateur de fessées, bas nylon et porte jarretelles.
Vous avez dû trouver plaisant de découvrir "Ces dames aux main fermes" parées de ces petites frivolités apparentes. Mais ce sont elles qui fessent !
Cordialement.
Ramina
bonjour Ramina
RépondreSupprimerbien sûr que ce sont ces dames aux bas nylon et jarretelles qui fessent tout comme certaines croisées durant mon adolescence : voisine, professeure (Geneviève) et surveillante dont pour chacune j'ai gardé de claquants et cuisants souvenirs