samedi 18 août 2018

Axel en famille - chapitre 57


La mère de Julie me conduisit par l’oreille auprès du canapé. Elle s’y assit et je basculais en travers de ses genoux. Elle n’avait pas besoin de me baisser la culotte, elle l’avait fait avant de m’envoyer au coin. Je pus entrapercevoir Julie, avant que ma vision ne soit obstruée par les coussins sur lesquels reposait mon visage. Elle sanglotait doucement, au coin, la culotte baissée.
La mère de Julie, Tatie Nathalie comme elle voulait désormais que je l’appelle, avait déroulé sa stratégie progressivement tout au long de la journée. Elle avait maintenant la haute main sur la discipline de tous les enfants de la maison, ce m’incluait bien entendu, mais ce qui comprenait également Julie.
Tout avait commencé dès le matin …


Mon lever avait été d’une banale habitude. Julie m’avait tout d’abord posé sur les toilettes avec l’ordre de faire pipi. Puis elle était retournée à ses propres occupations, me laissant seul. Sa mère n’avait pas tardé. Elle se planta devant moi.
« J’espère que tu ne vas pas refaire pipi par terre ou alors gare à tes fesses ! »
Assis sur la cuvette des toilettes, je ne pouvais pas me dissimuler à son regard. Je rougis jusqu’à la racine des cheveux, ça non plus je ne pouvais le cacher.
« Tiens ton zizi avec ta main, vers le bas ! Tu devrais en avoir l’habitude, à ton âge. »
J’avais envie de lui répondre que non, je n’avais pas l’habitude ni de faire pipi assis sur des toilettes, ni de le faire sous le regard d’une autre personne. Répliquer de la sorte était, bien sûr, un rêve lointain que je devais laisser à cet état d’inachèvement. J’obéis à sa consigne.
Elle finit par me laisser.

Quelques instants plus tard, dès la fin du petit-déjeuner, Julie annonça ;
« Axel, c’est l’heure de ta toilette »
Elle me suivit et m’installa devant le lavabo pour me laver les dents et me raser. C’était la seule partie de mes ablutions que je faisais moi-même. Julie me laissa seul après m’avoir ordonné de l’appeler quand j’aurai fini.
Sa mère passa dans cet intervalle de temps devant la porte que Julie avait laissée ouverte. Elle resta à m’observer pendant un court instant, mais elle ne fit pas un commentaire.
Quand Julie revint, elle me déshabilla et me fourra sous la douche. Elle avait déjà commencé à me laver les cheveux quand elle s’arrêta brusquement.
 « Ah fit-elle, j’ai oublié ! »
Elle se tourna vers la porte qui avait été repoussée et en élevant la voix :
« Maman ; peux-tu m’apporter une serviette, j’ai oublié d’en prendre une pour Axel. »
Quelques instants plus tard, on toqua discrètement à la porte.
« Voici la serviette, tu viens la prendre ?
– Entre Maman, il n’y a pas de problème. Je fais prendre sa douche à Axel. »
La mère de Julie entra et elle marqua distinctement un arrêt dès qu’elle aperçut la scène qui se jouait sous ses yeux. Julie, revêtue de son pyjama, un gant de toilette à la main me lavait les fesses. Totalement nu dans le bac à douche, j’avais légèrement écarté les jambes pour lui faciliter la tâche.
« C’est toi qui lui fait sa toilette !
– Oui, j’ai pris cette décision quand je me suis rendu compte que se faire une toilette soignée, au moins une fois par jour, n’était pas une très grande priorité pour Axel. Il passait bien tous les jours dans la salle de bain, mais le résultat était souvent approximatif. Sœur Gabrielle m’a expliqué que pour gagner un quart d’heure de sommeil, il sautait souvent l’étape douche. Maintenant, que ce soit à St Marie ou à la maison, je suis certaine qu’il est correctement lavé tous les matins. Tu sais si on ne le surveille pas … »
Pendant cette conversation, ma douche continuait. Julie me positionnait à sa guise en fonction de la zone qu’elle savonnait. En me tenant par le bras, elle me tournait dans un sens, puis dans l’autre. Je suivais ses injonctions au plus vite. Toute résistance ou simplement mauvaise volonté serait immédiatement punie, c’était inévitable.
Julie m’avait placé face à elle et elle relevait mes testicules et mon pénis d’une main pour avoir accès plus facilement à mon entre-jambe. Elle savonna abondamment cet emplacement. Elle arrêta soudainement son geste. Sa main passa doucement sur la zone de ma peau située à la jonction de mes testicules et du haut des jambes. Elle passait son doigt nu sous les poils pubiens qui recouvraient cet endroit.
« Maman ; n’est-ce pas un petit bouton que je sens, là sous la peau ? Qu’en penses-tu ? »
La mère de Julie s’approcha pour mieux voir. Son visage n’était pas à plus de dix centimètres de mes parties génitales.
« Je ne vois rien, avec tous ces poils. Attends, je vais palper. »
A son tour, la mère de Julie posa ses doigts sur ma zone pubienne. Puis, insatisfaite de son examen, elle prit mon appareil génital dans une main pour l’écarter.
« Rince cette partie, le savon empêche de voir. »
Julie prit la douche et fit couler l’eau claire entre les mains de sa mère qui entouraient la peau qui faisait l’objet de leur examen. Un doigt fouilla dans ma toison pubienne.
« Oui, il y a une petite protubérance, mais je pense que ce n’est rien. »
Elle prolongea un peu son examen.
« Tous ces poils sont très gênants, on ne voit rien. Sans doute un petit bouton. Si ce n’était pas toi qui lui faisais sa toilette, je penserais pour un petit problème d’hygiène. »
Elle se lava les mains pendant que Julie reprenait ma douche, là où elle l’avait interrompu.
« Si j’étais toi, proposa la mère de Julie, je me débarrasserais de tous ces poils. C’est beaucoup plus simple question hygiène. Les petits boutons se verront tout de suite et tu pourras juger de leur gravité. De plus, je trouve qu’il fera beaucoup plus petit garçon, ce qui correspond mieux à ce qu’il est réellement dans cette maison.
– Tu crois que c’est une bonne idée ?
– Si c’était moi qui avais la responsabilité d’Axel, ça fait longtemps que ce serait fait. »
Julie resta un petit moment songeuse tout en me lavant le dernier pied. Elle prit le temps de me rincer avant de revenir sur le sujet pendant qu’elle me séchait.
« Comment t’y prendrais-tu ?
– Pour quoi faire ?
– Pour ôter tous ces poils, tu les raserais ?
– Sans aucune hésitation : une épilation. Si tu les rases, tu devras recommencer dans quelques jours et ils vont devenir de plus en plus drus. Avec une épilation bien faite, tu es tranquille pour trois à quatre semaines. »
Julie ne prit que quelques secondes pour réfléchir.
«  C’est une idée. On peut essayer. Tu saurais le faire ?
– Je crois que ce n’est pas trop difficile. Si tu veux, je peux le faire.
– C’est d’accord, mais après sa fessée matinale et un bon moment passé au coin, il en a besoin. »

Sous la férule de Julie et sous le regard de sa mère, je traversais l’appartement totalement nu, jusqu’à la chambre qui m’avait été attribuée pour mon séjour. Julie m’habilla, mais pour me déculotter aussitôt arrivé dans le séjour. Elle avait fait un détour pour prendre sa brosse dans sa chambre.
Julie m’avait déjà installé en position quand sa mère l’interpella.
« Ma Chérie, je préfèrerai que tu utilises désormais la brosse dédiée aux fessées dans cette maison, celle que j’utilisais pour te punir quand tu étais plus jeune. Je peux aller te la chercher, si tu veux.
– Mais Maman, cela n’a pas d’importance. Du moment qu’il s’agit d’une brosse.
– La tienne sert à un autre usage. Il est préférable de donner la fessée avec une qui est réservée à cet effet. »
J’entendis la mère de Julie sortir de la pièce et y revenir presqu’aussitôt. Julie n’avait pas encore fait usage de l’instrument qu’elle tenait en main. Malgré le retour de sa mère, je la sentis prendre son élan. Je crispais les fesses dans l’attente de sa brosse.
« Non, Julie ! J’ai dit non.
- C’est ridicule, une brosse c’est une brosse.
– Julie, je ne le redirai pas une autre fois. N’essaye pas de me défier. Tu sais ce qu’il t’en a coûté à chaque fois que tu t’y es risquée. Faut-il que je te l’explique autrement ? Donne-moi cette brosse ! »
Je ne voyais pas la scène qui se passait derrière mon dos, mais le ton de la mère de Julie devint plus chaleureux.
« Voilà qui est mieux. C’est toujours aussi difficile de te faire obéir, mais tu cèdes finalement plus vite que tu ne le faisais à l’adolescence. Je ne sais pas si c’est le souvenir de toutes les fessées que je t’ai données ou les effets de l’âge qui t’ont fait mûrir.
– Maman, c’est gênant que tu parles de ça !
– Gênant ? Quelle pudibonderie ! Tu ne changeras donc jamais. Tu trouvais toujours embarrassant quand j’évoquais les fessées que je te donnais devant quelqu’un d’autre. Mais maintenant c’est ridicule. Je n’en parle que devant Axel, et il ne sembla pas en position d’en faire étalage dans d’autres endroits.
– Oui, mais …
– Il n’y a pas de « mais » qui tienne ! J’ai décidé que dans cette maison les fessées seraient données avec cette brosse et non avec la tienne, j’entends être obéie. Est-ce compris ?
– Oui Maman.
– Il est temps que tu fesses Axel, cela fait assez longtemps qu’il attend sur tes genoux. Encore une chose : je ne laisserai pas passer la prochaine fois que tu mettras autant de temps à m’obéir. »
La seule réponse que donna Julie, ce fut sur mes fesses. Dès les premières secondes, je sus que cette fessée serait magistrale. Julie passait sa frustration sur mes fesses. Elle y abattait la brosse de toutes ses forces. Passé les premiers instants de stupeur, j’entamais ma litanie de cris de supplications et de gesticulations désordonnées.
La fessée se prolongeait, toujours aussi forte. Je n’en pouvais plus et Julie ne donnait aucun signe de vouloir s’arrêter. Je gisais sur son genou, presque sans réaction. Mes fesses étaient devenues insensibles à de nouvelles applications de la brosse, tant elles me brûlaient.
« Julie, ça suffit ! »
Cette injonction de sa mère ramena Julie à la réalité. Elle mit fin à la fessée.
« Julie, si tu n’es pas capable de te maîtriser quand tu fesses Axel, je vais t’interdire de le faire. Une fessée, c’est une punition. Elle ne peut être donnée que par une personne responsable de ses actes. Ce ne peut être un exutoire à ses propres frustrations. Je ne te le redirai pas. »
Julie me fit glisser de ses genoux et je tombais à genoux entre ses pieds. Elle se leva.
« Je, … je … je … »
Renonçant à s’expliquer, Julie quitta précipitamment la pièce où nous nous trouvions. Sa mère fronça les sourcils et elle eut un geste de désapprobation de la tête qui s’acheva par un long soupir. Puis, elle se tourna vers moi.
« Tout cela ne te dispense pas de ton temps au coin. Va t’y mettre, je te dirai quand tu pourras en sortir. »
Je ne songeais pas une seule seconde à désobéir à cet ordre. J’étais, à l’évidence, englobé dans le périmètre sur lequel la mère de Julie avait autorité.

L’atmosphère était électrique entre Julie et sa mère. Nous étions dans un entre-deux dans lequel les rôles n’étaient pas encore bien établis. Si le mien était limpide, les relations entre Julie et sa mère étaient en pleine évolution. Ma présence, et mon statut d’adulte fessé avaient déstabilisé un équilibre qui devait être fragile dans les années passées.
La mère de Julie continua son offensive pour clarifier la situation. Sa première étape passa par établir sans ambiguïté son autorité sur moi. La séquence d’épilation en fut l’occasion rêvée.
Elle vint me chercher au coin et, me prenant par la main, elle m’emmena dans ma chambre.
« Inutile de remonter la culotte, je vais te l’enlever dans quelques instants. »
Elle avait étalé sur mon lit une grande serviette.
« Je vais t’enlever tous ces poils disgracieux. Tu vas avoir des fesses toutes douces et surtout toutes nettes. Ce sera beaucoup plus facile quand nous te ferons ta toilette. »
Intérieurement, je me disais que ma pilosité pubienne n’avait pas encore été un obstacle bien grand à ma toilette et que cela pouvait bien continuer ainsi quelques temps. Je me gardais bien d’exprimer cette opinion à haute voix. Mes fesses nues à portée de la main de la mère de Julie, m’incitaient à la prudence.
« Allonge-toi sur la serviette ! »
Dès que je fus dans la position qu’elle m’avait indiquée, elle m’ôta mon pantalon, pus ma culotte.
« Ecarte tes jambes ! »
Elle se plaça entre mes cuisses et elle me saisit des deux côtés de hanches pour me faire glisser sur le lit afin de me rapprocher d’elle.
« Pose tes pieds sur le lit ! »
Elle prit une petite touffe de poils pubiens entre ses doigts, comme pour en éprouver la texture. Enfin, elle me donna quelques petites claques sur le haut de la cuisse qui se terminèrent en une caresse.
« Tu es sage. Tu ne bouges pas. Tu me laisses faire. »
Elle me laissa seul un bref instant et elle revint avec les accessoires dont elle avait besoin. Je vis une paire de ciseaux et plusieurs flacons.
« Julie, s’il te plait, cria-t-elle, viens m’aider. J’ai besoin de toi ! »
Julie entra dans la chambre. Il se voyait qu’elle ne savait pas quelle contenance prendre. Sa mère prit la direction des opérations.
« Ma fille, tu as accepté la responsabilité de l’éducation d’Axel quand il est sous ton toit. Il faut aller au bout. Je vais t’y aider, mais j’attends de toi que tu y mettes de la bonne volonté. »
Julie hocha brièvement la tête. Cela pouvait passer pour un accord.
« Prend la serviette et glisse-là sous les fesses de notre grand garçon. »
Elle me souleva le bassin pour laisser la place à Julie de passer une petite serviette de toilette dans l’interstice que sa mère avait ménagé.
 « Reste-là, j’aurai encore besoin de ton aide. »
Elle tirait délicatement sur mes poils d’une main pour les étendre, puis elle les raccourcissait avec des petits coups de ciseaux précis. Ma position allongée m’empêchait de voir ce qu’elle faisait, mais c’était une sensation étrange que de percevoir mon entre-jambe, privé d’une partie de ses poils. Toute ma toison y passa.
Sa main arrangeait mon sexe et mes testicules à sa guise, soulevant ou abaissant mon appareil génital, le plaçant à droite ou à gauche le long de ma jambe ou de mon bas-ventre, en fonction de ce dont elle avait besoin. Enfin, elle passa sa main sur toute la surface qu’elle venait de dégager, chassant les poils pour les faire tomber sur la serviette placée sous moi.
« Voilà qui est parfait ! »
Elle souleva de nouveau mon bassin en glissant ses mains sous mes fesses.
« Enlève la serviette et jette tous ces poils à la poubelle. »
Elle s’empara de l’un des flacons qu’elle avait apporté et elle saupoudra généreusement mes fesses d’une poudre blanche, du talc. Elle l’étala régulièrement sur mon pubis et mon entre-jambe, puis, sur mon sexe et mes testicules, en les prenant à deux mains.
Le contact avec la main massant mes parties génitales fit son effet. Je sentis ma verge durcir. La mère de Julie également. Elle souleva l’une de mes jambes et, sur la cuisse ainsi dégagée, elle appliqua une dizaine de très fortes claques, faisant voler un petit nuage de poudre.
« Sois sage, Axel, sinon, c’est la fessée ! »
A la cuisson qui embrasait maintenant ma cuisse, je trouvais que son action préventive ressemblait déjà largement à une fessée. L’efficacité de son traitement était indéniable. Ma verge retomba, redevenue toute molle. Elle acheva son travail en s’assurant que le dessous de mes bourses avait reçues leur part de talc.
« Tu le surveilles, Julie, je vais faire chauffer la cire. »
La mère de Julie revint peu de temps après. Elle tenait dans ses mains un pot dont elle mélangeait le contenu avec une spatule. Sans transition, elle en étala une bande sur les poils de mon pubis. C’était chaud, mais tout à fait supportable. Elle la laissa sécher, puis, elle posa une main sur mon bas-ventre. Elle tendit la peau. D’un coup sec, elle tira. C’était loin d’être indolore. J’interposais mes mains pour protéger la zone d’où me provenait ce message de souffrance. Aussitôt, je reçus une claque sur mes doigts.
« Enlève tes mains, je ne veux pas les voir de toute l’épilation. »
Lors de l’arrachage de la deuxième bande de cire, j’esquissais un geste de protection ce qui ne valut des gros yeux, mais je réussis à l’arrêter avant que mes mains n’empiètent sur le territoire de la mère de Julie.
J’allais au bout de mon geste et je couvris de ma main la zone que la mère de Julie venait d’épiler à la première bande déposée à la jonction de l’intérieur de la cuisse et de mon testicule. Elle ne perdit pas de temps à ôter mes mains qui l’empêchaient de poursuivre. De nouveau elle souleva l’une de mes jambes et elle y appliqua sa main aussi longtemps et aussi fortement que la première fois.
« C’est la dernière fois que je te le dis. La prochaine, c’est la fessée ! »
Si ce que je venais de recevoir n’était pas vraiment une fessée, cela donnait un aperçu de ce que pourrait être une réelle correction. Je n’avais pas envie d’y goûter. Je glissais mes mains sous mon dos. La position était plutôt inconfortable, mais j’espérais que cela me donnerait le temps de contrôler mon prochain geste impulsif. L’épilation continuait. Je serrais les dents à chaque fois qu’une bande de cire emportait avec elle les poils qui y étaient collés.
« Julie, aide-moi. Tu vas tendre la peau pendant que j’applique la cire. »
C’étaient maintenant quatre mains qui palpaient la peau de mes bourses. Je sentis le chaud de la cire. Puis elle refroidit lentement. Je ne peux pas dire que la douleur fut intolérable, non. Pas vraiment. C’était plutôt la surprise, amplifiée par l’appréhension de ce que je ne maîtrisais pas et la peur d’avoir mal.
J’interposais mes mains, enlevant celles de Julie qui tendait encore la peau de mes testicules.
« Je t’avais prévenu, gronda la mère de Julie ! »
Elle passa sur le côté du lit. Elle prit mes deux jambes et les bascula au-dessus de ma tête. Elle entoura mes deux cuisses de son bras gauche et elle souleva le bas de mon dos. Seules mes épaules reposaient encore sur les couvertures.
Sa main s’abattit sur mes fesses idéalement placées pour être l’objet de l’attention de la mère de Julie. Elle laissait derrière elle une cuisson qui se diffusait lentement aux alentours de l’endroit qu’elle avait claqué. Aussitôt elle provoquait une nouvelle cuisson sur l’autre fesse. Puis, sa main relançait la brûlure, légèrement décalée par rapport à la première, là où elle avait donné la première fessée.
Je ne cherchais pas à résister, ni même à protester. Son assurance ne laissait aucun doute quant à sa légitimité à me fesser. Le contester, c’était se préparer une deuxième fessée en punition d’une comédie. De plus, elle m’avait prévenu et elle ne faisait que tenir sa promesse, ce qui était nécessaire puisqu’elle avait autorité sur moi.
Je ne cherchais pas plus à retenir mes cris. Je ne sais pas si j’y serais arrivé si j’avais essayé. J’avais pourtant le sentiment que d’extérioriser bruyamment ma honte et ma douleur me transformait encore plus en un petit garçon justement puni par une grande personne. Je pressentais qu’être fessé par la mère de Julie allait devenir monnaie courante. J’étais dans un cadre domestique qui permettait d’exposer plus ouvertement ses sentiments.
Dans cette position, son contrôle sur mes mouvements était presque total. Il n’y avait plus que mes deux mains qui pouvaient bouger sans être entravées. J’aurais pu les placer en protection de mes fesses, mais je savais que dans ce cas, sa réaction serait terrible. Je me contentais de marteler le matelas sous moi en harmonie avec le rythme que sa main battait sur mes fesses.
« Julie, va me chercher la brosse à fesser ! »
Elle venait de reposer mon dos et mes pieds sur le matelas, me réinstallant dans la position qui lui permettrait d’achever mon épilation. Quand Julie revint, elle tenait dans sa main la brosse qui avait été consacrée comme l’instrument officiel des punitions dans cette maison.
« Recommence encore une fois et tu vas voir comment la brosse à fesser sait punir les garçons qui persistent dans leur désobéissance. Julie, retend-lui la peau de ses bourses. »
L’épilation reprit. Je me contractais à chaque arrachage, mais je dus convenir que la mère de Julie savait s’y prendre. Il y avait, à chaque fois, un petit pic de douleur, comme si plusieurs aiguilles me picotaient la peau en même temps, au même endroit. Elle y posait alors la main et la douleur disparaissait rapidement. Cela ne valait pas de prendre le risque d’une nouvelle fessée.
« Bon, voilà qui est fait pour le devant. »
Elle inspectait son travail, d’au air consciencieux.
« Une seconde. Passe-moi la pince à épiler ! »
Elle tira sur quelques poils récalcitrants qui avaient échappé au premier passage.
« Passons à la raie des fesses. »
Elle releva une nouvelle fois mes jambes au-dessus de ma tête. Cette position m’alerta : une nouvelle fessée ? Il n’en était rien. Tenant mes deux pieds croisés d’une main, elle glissa l’oreiller sous mes reins en l’enfonçant le plus loin possible dans mon dos. Quand elle me lâcha les chevilles, je tenais cette position qui mettait mes fesses en position prééminente.
La manœuvre recommença : couper les poils de mon sillon inter fessier, étaler de la cire, arracher la bande, calmer l’inflammation en apposant sa main. L’assistance de Julie n’était même pas requise. La surface n’était pas bien grande. Cela alla assez vite.
« Et bien voilà ! Nous sommes tranquilles pour plusieurs semaines. Julie, il faudra recommencer dès que les poils auront repoussé d’un bon centimètre. Sauras-tu t’y prendre correctement ?
– Je crois, Maman. Cela ne semble pas très difficile.
– Je te fais confiance pour empêcher Axel d’interférer. Après, le secret, c’est de tirer d’un coup sec. Si tu l’entretiens régulièrement, ça deviendra de plus en plus facile. Il y aura de moins en moins de poils.
– Il reste une dernière chose à faire : une lotion pour apaiser l’irritation provoquée par la cire. »
Elle versa, dans le creux de sa main, un liquide huileux qu’elle répandit sur toute la peau qu’elle venait d’épiler. Quand elle prit mon sexe et mes testicules entre ses deux mains, j’eus peur qu’un nouveau début d’érection involontaire l’oblige à me fesser une nouvelle fois. La peur préventive que je ressentais me permit de contrôler la turgescence de mon membre, mais elle m’empêcha également de goûter pleinement ce moment de douceur.
Une petite claque sur le haut de la cuisse :
« Debout, c’est fini ! »
Elle m’aida à me relever. Elle passa alors sa main sur mon entre-jambe.
« Regarde Julie, comme c’est doux maintenant. »
Julie à son tour passa sa main dans le pli de l’aine. Elle me fit pivoter pour tester la douceur de la peau de la raie de mes fesses.
« Tu as eu raison, Maman. C’est bien mieux comme cela.
– Et toi, Axel, qu’en penses-tu ? »
Je ne savais pas quoi répondre.
«  Viens ici ! »
La mère de Julie me prit dans ses bras. En pesant sur ma nuque, elle posa mon visage sur son épaule. Puis sa main caressa mes fesses. Elle me laissa ainsi quelques instants.
« Dis-moi, tu ne vas pas te mettre à bouder. Je serai obligée de t’en dissuader … avec une bonne fessée. »
Elle claquait mes fesses mais avec une force limitée. Je ne pouvais pas vraiment considérer qu’il s’agissait d’une fessée.
«  Oh non, Madame !
– Madame, madame. Je trouve bizarre que tu m’appelles comme cela. Je ne trouve pas cela naturel alors que je m’occupe de toi si … intimement. Quand je te donne la fessée, il faut que tu saches que c’est parce que ce que tu fais m’importe beaucoup. Je ne peux pas non plus te laisser m’appeler par mon prénom, ce serait trop familier, pas assez respectueux pour un enfant vis-à-vis d’une grande personne. Ici, tu seras considéré comme un enfant. C’est ce que tu es au fond de toi. »
Elle sembla réfléchir un petit moment, tout en me serrant dans ses bras. Ses petites claques sur mes fesses s’étaient transformées en caresses.
« Je ne suis pas assez âgée pour être ta mère. Il s’en faut de peu, mais tout de même. Par contre, je pourrais être ta tante. Notre différence d’âge le permettrait. Quel âge as-tu ?
– Trente-deux ans, Madame.
– Trente-deux ans, alors j’avais … »
Elle mit quelques secondes à compter.
« Dix-huit ans, quand tu es né. J’aurais, sans problème, pu être ta tante et t’avoir gardé quand tu étais petit. J’aurais certainement dû te donner la fessée pour de punir de quelques caprices ou désobéissances. Il n’est donc pas anormal que je te fesse encore, même si tu as grandi. »
Elle avait repris son simulacre de fessée.
« A partir de maintenant, tu m’appelleras Tatie Nathalie. Est-ce compris ?
– Oui Madame ! »
Cette fois-ci, c’est une sérieuse claque que j’avais reçue sur mes fesses.
« Oui qui ?
– Oui Tatie Nathalie. 
– C’est bien mon grand ! »
Elle me garda encore quelques instants dans ses bras, puis elle me reculotta.
« Va faire tes devoirs ! J’attends de toi que tu t’y appliques ! »

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 56
L'épisode suivant : chapitre 58.


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7 commentaires:

  1. quand aurons-nous la joie de voir enfin Julie, jupe retroussée et culotte baissée, au coin, fesses rouges et chaudes mises en valeur par ses larges jarretelles de dentelle et après avoir été bien fessée par sa mère ???

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    1. Bonjour Juves Fandor,
      Longtemps que je n'avais pas eu de vos nouvelles.
      Gageons que vous n'aurez pas trop de temps à attendre pour que Julie renoue avec les corrections maternelles.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour,
    De plus en plus délirant, et inattendu! La séance de fessées / épilation vaut le détour. La maman de Julie a vraiment pris les choses en main et se révèle encore plus redoutable que les autres femmes du récit pourtant peu clémentes.
    Implacable Tatie Nathalie. On la sent capable de tout, et, pour le coup,le suspens reste entier. Quand le champ des possibilités est aussi largement ouvert, il est difficile d'en supposer une seule. Voilà le jeu de supputations sur les suites du récit annihilées. Bravo, bien joué !
    Cordialement
    Ramina.

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    Réponses
    1. Aïe, aïe, aïe,
      De la difficulté de proposer des scénarios qui ménagent des surprises. Un défi de plus en plus difficile à relever.
      J'espère que la suite ne vous décevra pas.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. Non, pas aïe aîe aïe ! Au contraire !
    Le scénario est habile et ménage des surprises puisque le personnage de "Tatie Nathalie" semble si imprévisible et donc capable de tout, que, pour cette fois, il est difficile pour le lecteur d'imaginer ce qui pourrait se passer par la suite.
    On ne risque donc pas d'être déçu!
    Cordialement
    Ramina.

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  4. Bonjour Juves.
    Et bien voilà un amateur de fessées, bas nylon et porte jarretelles.
    Vous avez dû trouver plaisant de découvrir "Ces dames aux main fermes" parées de ces petites frivolités apparentes. Mais ce sont elles qui fessent !
    Cordialement.
    Ramina

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  5. bonjour Ramina

    bien sûr que ce sont ces dames aux bas nylon et jarretelles qui fessent tout comme certaines croisées durant mon adolescence : voisine, professeure (Geneviève) et surveillante dont pour chacune j'ai gardé de claquants et cuisants souvenirs

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