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samedi 13 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 49

Arthur se tenait debout devant sa compagne. Lorsqu’elle l’avait autorisé à sortir du coin, il avait reçu l’ordre de venir se placer face à Bernadette. Il n’avait aucune tentative pour couvrir sa nudité. Bernadette n'avait pas donné son accord. Son tee-shirt et son sweat tombaient sur sa taille, mais ils ne couvraient que l’extrémité supérieure des fesses, laissant à l’air libre la plus grosse partie du postérieur d’Arthur et surtout son sexe qui pendait entre ses jambes.

samedi 6 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 48

Un calme certain régnait chez Madame Caroni. Ludovic avait été renvoyé chez lui après avoir eu l’autorisation de se reculotter. Sa faute devait être bégnine pour être resté aussi peu longtemps au coin. Les deux filles y attendaient le bon vouloir de leur tutrice et ce n’était pas l’arrivée de Lorena qui avait changé quoi que ce soit à leur punition.
Elles espéraient que Madame Caroni en avait fini avec leurs fesses pour ce soir. A chaque jour suffisait sa peine. La fessée de demain serait sans doute aussi rigoureuse que celle d’aujourd’hui, mais elle attendrait demain, ce qui était une relative bonne nouvelle.
« On va rester au coin, sans doute jusqu’au dîner. »
Oui, c’était assez probable.

mercredi 3 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 40

Durant toute la première demi-heure, l’inflammation ne cessa de croître. A chaque fois que Marguerite faisait un mouvement, quel qu’il soit et aussi précautionneux qu’il fût, la culotte frottait sur la peau des fesses. C’était comme si du papier abrasif passait en permanence sur la peau de ses fesses. Il fallait trouver une solution.

mardi 1 septembre 2020

Rappel à la règle par la logeuse

Je crois, Mademoiselle, que vous n'avez pas tout compris à la façon dont va se dérouler votre séjour dans ma maison. Je sais que vous avez maintenant un travail et que vous êtes indépendante financièrement s'entend. Cela dit, votre salaire ne vous permettrait pas de trouver de quoi vous loger correctement si je ne vous proposais pas un loyer défiant toute concurrence.

Voyez-vous, je me suis fait un devoir d'accueillir chez moi des jeunes filles qui quittent pour la première fois leur famille, afin de leur procurer un nouveau foyer où elles seraient en sécurité, loin des dangers et des tentations de la grande ville. Vos vingt ans, votre premier travail, le départ pour la première fois du cocon familial, tout cela fait de vous une candidate idéale. C'est pour cela que je vous ai choisie.

mercredi 12 août 2020

Chroniques de confinement - chapitre 10

 Ces souvenirs remémorés par sa mère et Madame Bernadette en firent remonter d’autres à l’esprit d’Aurélie. Toujours au coin, elle avait tout le loisir de songer à ces années qui avaient suivi ses dix-huit ans. Suite à cette première journée, il fut tacitement entendu que la fessée était devenue la méthode habituelle pour remettre Aurélie à sa place. Ni sa mère, ni Madame Bernadette n’hésitèrent plus à sévir au moindre prétexte que leur donnait Aurélie.

mercredi 15 juillet 2020

Chroniques de confinement - chapitre 6

Madame Bernadette avait raison. Quelques courtes minutes après avoir été remis au coin, il ne ressentait plus les effets de la fessée. Cela n’avait été qu’une petite correction, un avertissement en quelque sorte, mais qui avait parfaitement porté son message. Avec Madame Bernadette également, il allait falloir être sage et obéissant.
Je commençais à avoir une image assez nette de ce que serait ma vie pendant ce confinement. Elle serait faite d’exigences de la part de ma belle-mère, relayée par Madame Bernadette et ponctuée de fessées, données par l’une ou par l’autre, à chaque fois que je sortirai du cadre fixé.

samedi 8 février 2020

Madame Caroni - chapitre 32

« Si je m’attendais à ça ! »
La dame du magasin n’en revenait pas. Elle regardait alternativement Madame Caroni et Camille qui, au coin, tournait le dos, et dont le bas de la robe, tenu dans son dos, montrait ses fesses dont les rougeurs les plus prononcées s’atténuaient rapidement.
« Je n’aurais jamais cru cela possible !

samedi 30 novembre 2019

Madame Caroni - chapitre 22

« Mais… mais… je ne peux pas. Je ne suis pas… habillée. »
Camille désignait la porte ouverte sur la cage d’escalier, puis ses fesses et ses jambes nues.
« Ne fais pas tant d’histoire. Ce n’est pas parce qu’on risque d’apercevoir un coin de tes fesses, le temps que tu montes au quatrième étage, qu’il faut en faire tout un plat. Les personnes qui les verront n’en seront pas aveuglées. Crois-tu que ce soit aussi surprenant et inhabituel qu’une de mes pupilles se déplace les fesses nues dans la cage d’escalier ?
– Mais non, je ne peux pas.

mercredi 2 octobre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 15

Teva avait bouclé elle-même la ceinture de sécurité autour de Marguerite qu’elle avait assise sur la banquette arrière. Les enfants ne devaient pas s’asseoir devant.
« Rentrons à la maison, il y a à faire. »
Cette simple phrase avait rappelé à Marguerite ce qui l’attendait. Jusqu’alors elle avait surtout été préoccupée par la fessée en public qu’elle venait de recevoir. C’était une confusion de sentiments dont Marguerite n’arrivait pas à se dépêtrer. Entre la honte d’être déculottée et fessée devant des personnes qui passaient par là et la sérénité qu’amenait son statut de petite fille mais qui l’amenait à être punie quand elle l’avait mérité ; entre la volonté de quitter au plus vite ce lieu de son humiliation et son souhait de rester dans les bras de Teva ; entre le sentiment d’avoir été légitimement punie et la certitude que recevoir la fessée n’était plus de son âge, Marguerite ne savait plus quoi penser.

mercredi 25 septembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 14

« Allons coucher nos filles, elles dorment ou c’est tout comme. »
Marguerite songea à protester, bien sûr qu’elle ne dormait pas. Tout juste si elle somnolait. Mais elle se retint à temps. Elle n’avait pas envie d’une fessée maintenant.
« J’en ai une qui dort vraiment et l’autre … »
Il déposa un bisou sur la joue de Maeva.
« … elle y est presque. »

vendredi 20 septembre 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 9

Le lendemain matin, après le train-train habituel du petit déjeuner et de la toilette, madame Lafitte endimanche ses enfants. Culotte courte grise, chemise blanche, chaussette haute noire et cravate pour Julien et jupe plissé bleu marine chemisier blanc et socquettes blanches pour Léa. Au moment de partir les habituelles sandalettes en cuir sont remplacées par des bottines en cuirs noirs parfaitement cirés pour Julien et par des souliers vernis pour Léa. Madame Lafitte a quant à elle enfilé un tailleur beige sexy mais très convenable et coquet. Avant de partir elle donne encore quelques recommandations à ses enfants.
- Je vous préviens, j'exige que votre comportement soit impeccable pendant votre inscription à Sainte Marie. Je veux des enfants polis et bien élevés. C'est bien compris ?

mercredi 14 août 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 8

La vendeuse nous fournit chacun des vêtements achetés en nombre suffisant selon les critères de Teva. Maeva se retrouvait donc avec deux tenues différentes, mais en plusieurs exemplaires, ce qui permettait d’en assurer la propreté sans changer de style. Il y avait la jupe bleu marine avec un gilet assorti de la même couleur et la jupe écossaise et son pull beige avec un col en V. Chacune était en double exemplaire. Les chemisiers, collants et culottes étaient tous blancs. Quand Maeva se regardait dans un miroir, elle avait l’impression de contempler l’image d’Epinal d’une écolière comme on les habillait il y a cinquante ans.

mercredi 7 août 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 7

« Assieds-toi sur la chaise à l’extérieur du bureau. Tu vas y attendre ta sœur. Elle m’a prévenu qu’elle aurait un peu de retard. Etant donné que vous devez effectuer des achats, je vous dispense de votre retenue pour ce soir. »
Maeva prit place là où Madame André le lui avait ordonné. Les ordres de la cheffe de magasin ne se discutaient pas, sauf si vous vouliez prendre le risque de se retrouver en travers de ses genoux, la culotte baissée.

mercredi 10 juillet 2019

Deux grandes filles à éduquer - Chapitre 3

Maeva sentait la cuisson sur ses fesses diminuer progressivement. Elle savait maintenant à quoi s’attendre quand elle prenait une fessée. La brûlure intense que provoquait la correction pendant son application ne durait pas. Elle diminuait rapidement pour laisser une démangeaison persistante qui lui donnait envie de frotter ses fesses pour la soulager. Malheureusement, elle n’avait jamais pu se livrer à ce massage, étant donné qu’elle avait été, presqu’à chaque fois, mise au coin avec des consignes strictes d’immobilité.

lundi 8 juillet 2019

Un coucher bien difficile

Vois-tu, ma chérie, quand ta Maman m'a demandé de te garder, elle a été très ferme sur ce point. Tu dois être au lit à vingt-et-une heures. Elle m'a aussi prévenu que tu prétends qu'à vingt-six ans, c'est une heure trop précoce pour qu'une jeune fille de ton âge aille se coucher.
Ce n'est que la première fois que ta Maman m'engage comme baby-sitter. C'est l'annonce qu'elle a mise dans le hall qui m'a donné l'idée de proposer mes services. Comme j'habite deux étages au-dessus, je me suis dit que ce serait pratique, pour elle comme pour moi. L'annonce précisait qu'il s'agissait d'une jeune fille, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit une aussi grande demoiselle dont je doive m'occuper.

lundi 6 mai 2019

Au tour de la copine d'université !

Je sais bien que je ne suis pas ta mère, mais pendant ces deux semaines de vacances que tu vas passer chez moi, je suis ce qui s'en rapproche le plus. Vous avez cru, toutes les trois, ma fille et vous deux, ses copines d'université, que vous étiez assez âgées pour faire tout ce que vous vouliez et trop grande pour devoir m'obéir.
Malheureusement ce n'est pas mon avis. A vingt-trois ans, tous les enfants ne sont pas encore capables de se comporter comme des grandes personnes et certains d'entre eux ont encore besoin d'une personne exerçant l'autorité. Tu en fais partie.

mercredi 1 mai 2019

Axel au supermarché - chapitre 99


Maeva glissa lentement aux pieds de Teva. Elle tomba à genoux à son côté. Elle porta ses mains à ses fesses. C’était le seul moyen qui lui était accessible pour faire diminuer le feu qui occupait tout son fessier.
« Maeva ! Depuis quand a-t-on le droit de se masser les fesses après une fessée ? Faut-il que je vienne t’aider ? Je pense que ma main sur tes fesses serait bien plus efficace. »
Maeva cessa son geste. Une nouvelle fessée de Madame André ? Il n’est était pas question. Il fallait absolument éviter qu’elle décidât d’en venir à cette extrémité.

samedi 27 avril 2019

Axel au supermarché - chapitre 98



« Il va être temps qu’on y aille, dit Madame Rochat à la fillette d’une cinquantaine d’années qu’elle tenait dans ses bras. Le temps que nous rentrions, que nous mangions, que je te donne tes trois fessées et que je te fasse un brin de toilette, il sera l’heure que je te mette au lit. Il faudra tout de même garder un peu de temps que tu passeras au coin. Tu vois, ton programme de la soirée est chargé. »
Dorothée hocha la tête en signe d’assentiment. Puisque sa Tatie en avait décidé ainsi, c’est donc de cette façon que devait se dérouler la soirée. Les trois fessées l’inquiétaient beaucoup, mais elle ne voulait pas, en faisant preuve de mauvaise volonté, devoir quitter la douceur qui l’entourait. Elle était bien dans les bras de sa Tatie.

vendredi 19 avril 2019

Consultation es fessée - Noémie - Des nouvelles fraîches

Noémie fait une troisième appel au Docteur Legendre. La fessée est maintenant bien installé dans le cadre domestique, mais pour combien de temps ?
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.

À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 3 avril 2019 21:21:47
Objet: Des nouvelles récentes

Docteur Legendre,
Je profite de ce moment de calme pour vous donner des nouvelles. Je viens de mettre mes deux garnements au lit. Ils dorment comme des anges qu’ils ne sont pas vraiment, mais cela ne m’empêche pas de les adorer.