vendredi 20 septembre 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 9

Le lendemain matin, après le train-train habituel du petit déjeuner et de la toilette, madame Lafitte endimanche ses enfants. Culotte courte grise, chemise blanche, chaussette haute noire et cravate pour Julien et jupe plissé bleu marine chemisier blanc et socquettes blanches pour Léa. Au moment de partir les habituelles sandalettes en cuir sont remplacées par des bottines en cuirs noirs parfaitement cirés pour Julien et par des souliers vernis pour Léa. Madame Lafitte a quant à elle enfilé un tailleur beige sexy mais très convenable et coquet. Avant de partir elle donne encore quelques recommandations à ses enfants.
- Je vous préviens, j'exige que votre comportement soit impeccable pendant votre inscription à Sainte Marie. Je veux des enfants polis et bien élevés. C'est bien compris ?
Les deux jeunes gens répondent en chœur " oui maman" et " oui ma tante".
Tout le monde embarque dans la voiture de Valérie. Arrivée sur le parking de l'institution, une jeune sœur vêtue d'une grande robe blanche avec une ceinture de cuire et une coiffe noire vient à leur rencontre.
- Bonjour ma sœur, je suis Madame Lafitte. Nous avons rendez - vous pour l'inscription de mes enfants
- Bonjour ma sœur articule les enfants
- Bonjour madame, suivez-moi je vous prie.
Elle les conduit au 1er étage du bâtiment principal, et les invites à s'asseoir devant la grande porte où il est inscrit Directrice.
Quelques instants plus tard, une femme plus âgée, d'une bonne cinquantaine d’années, vêtue de la même façon leur ouvrit la porte
- Entrée Madame Lafitte et prenez place je vous prie
- Bonjour ma mère, je vous remercie
 - Bonjour ma sœur, répondent les enfants
- Ma mère, intervient la mère supérieure en donnant une claque retentissante sur les cuisses des deux futurs élèves.
Puis elle prend place derrière l'imposant bureau. Assise dans son fauteuil elle prend le dossier que lui tend Valerie Lafitte. Elle chausse ses lunettes, le consulte et le repose ensuite avant de prendre la parole.
- Madame, lorsque vous nous avez envoyé la demande d'inscription pour votre fils puis pour votre filleule, j'ai évoqué et étudié la demande avec notre équipe éducative. Nous sommes au regret de vous informer que nous ne pourrons pas accéder à votre demande. En effet, le fait que ces deux jeunes gens n'ont pas suivis une scolarité normale l'an dernier nous fait supposer qu'ils ne pourront réussir chez nous. Comme vous le savez notre niveau d'exigence est tel que nous ne prendrons aucun risque en les incorporant à nos classes supérieures. Je comprends très bien votre désarroi madame, c'est pourquoi nous vous proposons de les inscrire en classe de seconde. Ils pourront ainsi repasser leur baccalauréat et l'avoir avec une mention très bien comme l'exige notre règlement.
Dans un premier temps Julien et Léa restent sans voix, et encore plus quand madame Lafitte accepte cette solution. Dans la voiture il règne un silence absolu, mais 15 minutes après le retour à la maison ils osent manifester leurs mécontentement.
La réponse de Valérie est glaciale.
- Léa, j'ai eu ta mère au téléphone. Sa réponse a été des plus claires. Soit tu te plies à ses nouvelles exigences soit tu reprends tes petits boulots mais tu quittes cette maison immédiatement et tu débrouilles pour survivre. Idem pour toi Julien. Tu sais très bien que tant que tu vis sous ce toit tu fais et tu feras ce que je décide. Alors quel est votre choix ?
- Je n'ai pas le choix répond Julien tête basse,
- Pareil répond Léa
- Voilà qui est parfait. Donc vous cessez de bouder et vous m'épargnez votre mauvaise humeur. Vous êtes dans cette situation à cause de vos décisions précédentes. Personne d'autre n'en est la cause. Je n'ai donc pas à subir votre frustration.  Si vous ne continuez à manifester votre colère, ce sera la fessée immédiate.
Les deux grands "ados" se le tiennent pour dit, mais ils continuent de montrer un certain mécontentement ce qui agace l'adulte qui s'occupe d'eux.
- Bon ça suffit tous les deux. J'en ai assez de votre mauvaise humeur ! Vous ne cessez de soupirer et de trainer des pieds ! Je vous avais prévenu je crois. C'est donc une bonne fessée qui vous attend. Au moins vous aurez une bonne raison de chouiner.
Elle va chercher la fameuse règle en plastique dur sans son tiroir et prend place sur une chaise qu'elle tire au milieu de la pièce.
- Venez ici tous les deux. Elle désigne l'endroit où elle veut qu'ils se placent de son index.
Les deux jeunes gens se placent devant elle. Ils savent très bien ce qui les attend. Ils savent aussi qu'étant prévenu avant ils ont mérités la sanction que va leur infliger Valérie.
- Mettez-vous à genoux ! Baissez les yeux ! Vous devriez avoir honte de réagir ainsi. Vous avez la chance de pouvoir reprendre de vraies études sûr de bonnes bases avec une chance énorme de réussir. Je vais vous passer l'envie d'exposer rancœur comme vous le faites. Julien approche
Son fils approche, penaud devant sa mère. Il place comme le veut la ligne directrice imposée par sa mère, ses mains sur sa tête afin qu'elle puisse le déculotter facilement. Elle lui dégrafe la culotte courte qui tombe à ses pieds et l'invite à se coucher sur ses genoux. Elle le fait se soulever légèrement pour lui faire descendre son slip jusqu'aux genoux.
Une brulante fessée commence alors. Julien a l'impression que la fessée ne s'arrêtera jamais. Madame Lafitte applique de sérieux coups sur les fesses, les cuisses et entre les cuisses de son fils. Il crie et transpire. Il dit qu'il n’en peut plus. Mais elle lui répond que qu'il la bien cherché et qu’elle ira jusqu’au bout de sa punition. Il implore mais sans succès et maintenant il a mal, très mal. Il sent les larmes monter. Ses fesses et ses cuisses font horriblement mal et sont brulantes. Elles sont écarlates quand après cinq minutes d'une grêle de claques sa mère le conduit par l'oreille au piquet.
Les fesses bien chaude Julien médite au piquet tandis que sa mère s'occupe maintenant de Léa qui s'avance toute tremblante. Après la terrible magistrale fessée à laquelle elle vient d'assister elle sait que c'est maintenant son tour.
Sa tutrice la tire sur ses genoux. Lui relève la jupe et lui baisse sa petite culotte. Comme pour Julien, les coups sont donnés fermement. Elle serre fortement ses fesses. Ça fait très mal.  Madame Lafitte insiste par série au même endroit avant de changer et de revenir. Elle varie d'une fesse à l'autre ou d'une cuisse à l'autre. Sur le derrière ou l'intérieur. Quand elle revient à un endroit la douleur est encore plus persistante. Cinq minutes pour elle aussi et direction le piquet.
Madame Lafitte pendant ce temps regarde la télévision.  Ses deux enfants ont les fesses en feux. A la fin de son émission, elle les appelle. Visiblement la fessée et le temps de méditation ont fait leurs effets. Ils présentent humblement leurs excuses et la remercie pour la fessée. 
- Voilà vous êtes pardonnés. Venez m'aider à préparer le repas dit-elle en les reculottant correctement et en leur posant un bisou à chacun sur le front.
Cela se confirme. La fessée a fait un effet très positif. Dans la bonne humeur tout le monde prépare le déjeuner et tout le monde mange dans une très bonne ambiance.

La pluie qui fait son apparition ne gâche en rien cette joie de vivre. Toute la famille se retrouve devant un film. Malgré leurs âges, les deux enfants profitent de ce moment de détente blotti contre Valerie. Léa se surprend même à sucer son pouce. En la voyant faire, Julien n'hésite pas à le faire lui aussi.
Madame Lafitte est contente de voir ses deux chenapans réagir ainsi. Cela montre les biens faits de son éducation et démontre aussi qu'ils ne sont encore que deux enfants. A la fin du film, Madame Lafitte prend la parole :
- Les enfants j'ai à vous parler, mettez-vous en position pour m'écouter.
Nos deux gamins se mettent aussitôt debout, se tiennent droit et les mains dans le dos. Ils sont prêts à être attentif aux informations que va leur donner Madame Lafitte.
- Les enfants malgré vos frasques nombreuses j'ai décidé que nous allions partir en vacances. J'ai réservé dans un camping au bord de la mer. Nous logerons dans une caravane de location. J'espère que vous êtes content.
- Oh oui maman s'exclame Julien. Cela va nous rappeler de très bons souvenirs
- Merci ma tante ajoute Léa
- Parfait, poursuit la tutrice. Notre voisine madame Vernon va s'occuper des plantes et de la maison pendant notre absence. Elle va bientôt arriver pour récupérer les clés et prendre le thé. Soyez poli et respectueux. Je sais que je peux compter sur vous. Vous savez être des anges quand vous le voulez.
- Oui maman
- Oui ma tante.
Quelques instants plus tard, Madame Vernon sonne à la porte. Valerie Lafitte l'invite à entrer.
- Entrez Suzanne, merci de me rendre service.
- Je vous en prie Valérie, c'est bien normal entre voisine.
- Voulez-vous prendre un thé ?
- Volontiers
- Les enfants venaient saluer Madame Vernon avant d'aller vous détendre dans vos chambres.
- Bonjour Madame répondent en chœur les deux jeunes gens
- Félicitations encore Valérie. Je vous l'avais déjà dit par le passé pour votre fils, mais je vois qu'il est toujours aussi bien élevé et élégant. Je constate aussi qu'il est en de même pour votre nièce. Je pense que tout le mérite vous revient. Il est si rare de nos jours de voir des jeunes polis et respectueux.
- Vous me gênez Suzanne. Bon Julien apporte nous le gâteau que j'ai préparé et qui est attend dans la cuisine. Avant de monter vous en prendrez une part avec nous et vous pouvez aussi prendre un verre d'orangeade. Léa apporte nous l'orangeade qui est dans le frigo.
Tout le monde prend place sur le canapé d'angle autour de la table basse et Valérie sert le thé tandis que Léa sert l'orangeade.
- Julien va nous chercher un couteau tu as oublié
Le jeune homme se précipite dans la cuisine, pressé de goûter au gâteau, il revient en trombe et bouscule madame Vernon qui renverse un peu de thé par terre.
- Et voilà gronde sa mère. Tu ne peux pas faire attention ! Tu sais ce que tu as gagné je suppose ? Suzanne c'est vous qui avait été touché par la bêtise de Julien. Acceptez-vous de le corriger vous-même ?
Julien est confus et se confond en excuses
- Bien sûr Valérie. J'espère ne pas avoir perdu la main.
- Julien nettoie tes cochonneries et viens recevoir la fessée que tu as méritée.
Le garçon obéit. Après avoir nettoyé il se présente devant la voisine. Il sait qu'elle donne de cuisante fessée. Il en a déjà reçu dans son enfance et il l'a déjà vu corriger ses propres enfants qui sont plus âgés que lui.
Suzanne déculotte son jeune voisin.
- Mais il est parfaitement épilé. s'exclame madame Vernon. Vous avez raison Valerie c'est beaucoup plus hygiénique.
 Il se couche docilement sur ses genoux. Elle repousse rapidement la chemise au - dessus de ses reins et ceinture fermement. Une première claque s'abat sur la fesse droite suivit d'une seconde sur la fesse gauche. D'autres suivent en alternance sur les fesses et les cuisses. Très vite la peau encore colorée de la dernière correction reçut retrouve une couleur bien rouge. Le postérieur de Julien retrouve également une chaleur qu'il connaît bien.
Sur un rythme ferme et soutenu, elle continue de le fesser visiblement sans l'intention de s'arrêter avant qu'elle ne soit certaine qu'il est bien compris la leçon.
- J'espère que tu feras attention dit-elle en relâchant son emprise.
- Oui madame. Je vous demande pardon et vous remercie de m'avoir corrigé.
Sa mère l'envoie au coin. Il se passe de gâteau et ce n'est qu'au départ de la voisine qu'elle le reculotte.


Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 8

Et bien, attendons la suite.

C'est le chapitre 10


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre

1 commentaire:

  1. Bonjour Pierre,

    Ca démarre bien,
    Madame Lafitte est une vraie maitresse-femme qui règne sans partage sur son petit monde. Même chose pour madame Suzanne la voisine, que je suppose être une robuste mère de famille, très à cheval sur les principes d'éducation qu'elle inculque à ses progénitures , qui acquiescent d'un "Mer-ci-Ma-Maaaan !. Excellent. Continuez.
    Amicalement. Peter Pan.

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