mercredi 18 septembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 13

Le retour dans la chambre fut hésitant. Marguerite avait l’impression d’être à peu près nue. Elle ne savait pas quel accueil Maeva lui réserverait. Cela se passa le plus simplement du monde. Maeva vint la prendre dans ses bras comme elle le faisait avant, puis elle l’entraîna sur le lit où elle lui montra ce qu’elle lisait : un bouquin prêté par Teva. Depuis qu’elle ne pouvait plus passer de temps sur son téléphone, elle avait découvert la lecture.
« On pourra demander à Teva, je suis sûre qu’elle en trouvera un pour toi ! »
Marguerite ne savait pas encore si c’était ce qu’elle voulait. Maeva lui lut quelques passages du sien et elles partirent dans une discussion. Comme avant. La tenue n’y avait rien changé. Si Maeva voulait toujours être sa plus proche amie, Marguerite se dit qu’elle le voulait aussi.
Leurs cuisses nues se touchaient, un bout de fesse apparaissait de temps en temps, mais cela n’avait pas vraiment d’importance.

« Les filles, venez m’aider !
– Viens, Teva nous appelle, il faut y aller. »
Il y avait de l’empressement dans la voix de Maeva, de l’empressement à obéir. Marguerite ne perçut pas de crainte, mais plutôt du plaisir à aller passer un moment avec Teva.
« Vous allez mettre la table ! »
Maeva se lança dans cette activité sans plus attendre. Elle entraîna Marguerite avec elle, lui indiquant où se rangeaient les verres, les assiettes … bref, tout ce dont ils avaient besoin.
Marguerite n’était pas tranquille. Elle avait conscience que le court tee-shirt laissait apercevoir ses fesses dès qu’elle levait les bras ou qu’elle se s’accroupissait. Or elle entendait, dans la pièce d’à côté, Fara qui jouait avec Moana. Elle sursautait à chaque fois que la voix masculine répondait à celle de sa fille.
Elle prenait un verre sur une étagère quand un éclat de rire de Fara lui sembla tout proche. Elle tressaillit et le verre lui échappa des mains. Fort heureusement, elle réussit à le rattraper. Fara était toujours dans le séjour à côté, mais à cause de sa fébrilité, elle avait été à deux doigts de casser un verre.
« Marguerite, gronda Teva, tu n’es pas attentive à ce que tu fais ! Si tu casses de la vaisselle, ce sera la fessée ! »
Marguerite ne répondit pas, mais elle n’en pensait pas moins.
« Si je n’étais pas forcée de porter un tee-shirt aussi court, il n’y aurait pas de problème. D’ailleurs pourquoi se mettre en vêtement de nuit aussi tôt ? Je ne suis pas prête de me coucher ! Encore ces idées bizarres sur les petites filles. »
Elle fulminait contre Teva qui l’avait mise dans cette tenue et elle se tenait prête à dire à Fara ce qu’elle pensait de lui qui forçait de jeunes femmes à se montrer à demi-nues en sa présence. Son mécontentement devait se lire sur son visage, mais elle prenait garde à ne pas le formuler, ce serait l’occasion d’une nouvelle fessée et ça, elle préférait l’éviter.
Ses gestes étaient maintenant un peu trop brusques et Teva s’en apercevait.
« Marguerite, tu ferais bien de te calmer. Tu es sur une voie dangereuse ! »
Marguerite n’en avait cure. Elle tenait à ce qu’on voit qu’elle n’approuvait pas la situation. La table était presque mise et le repas presque prêt. Marguerite espérait qu’on la laisserait se couvrir un peu plus pendant le repas. Elle prit les fourchettes dans le tiroir et se retourna.
Fara était dans la porte, Moana dans les bras. Marguerite lâcha tout ce qu’elle tenait pour allonger le tee-shirt.
« Marguerite ! Cesse ces simagrées ! Si la vaisselle n’est pas cassée, ce n’est pas grâce à toi. Je crois que tu as tout de même mérité une fessée. Viens ici !
– C’est ça, une fessée et vous allez relever le tee-shirt, il n’est pas assez court ? Vous m’avez habillée comme cela pour qu’il puisse reluquer mon cul ! Vous n’êtes que des connards de voyeurs et de pervers !
– Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Où te crois-tu pour utiliser un tel langage ? »
La réaction de Fara avait été immédiate. Avant que Marguerite ait pu faire un pas, il était sur elle. Sa main entoura sa taille, elle en faisait presque le tour. Il souleva Marguerite et il la plaqua sous son bras. Il resserra son coude sous son flanc et bien qu’il eût dû porter tout le poids de la jeune femme, il ne s’en apercevait pas. Elle était tellement légère au regard de son poids à lui.
Dans cette position, le tee-shirt n’arrivait plus qu’à mi-fesses. Il le remonta cependant. Pour la fessée qu’il envisageait, les fesses devaient être bien découvertes. La main de Marguerite qui vint se mêler à l’action fut écartée et maintenue sous le ventre de la jeune femme. Marguerite était prête pour recevoir sa leçon bien méritée.
Elle n’avait cependant pas encore accepté de recevoir ce qui lui était dû. Elle tenta de se libérer, mais elle n’avait pas la force nécessaire pour desserrer la prise que Fara avait refermée sur sa taille. Ses grands mouvements des jambes brassaient dans le vide. Ses cris d’orfraies n’effrayaient personne.
La main de Fara eut vite fait de remettre de l’ordre dans tout cela. Quatre, cinq, six fois, elle vint claquer les fesses de Marguerite. Fara y mettait tout sa force. Cela suffit pour transformer le postérieur de Marguerite en une fournaise et pour qu’elle ne songe plus qu’à absorber la cuisson.
Terminée, la volonté de se rebeller, disparues les contestations du droit à donner la fessée, Marguerite n’avait plus que l’envie que son obéissance écourte la correction. Elle aurait promis n’importe quoi pour ce faire. Malheureusement, la rigueur du châtiment ne lui laissait pas la possibilité de faire savoir à Fara qu’elle reconnaissait son erreur. Elle n’était plus en capacité de formuler un regret ou une promesse.
Alors Fara accéléra le rythme. Il voulait que Marguerite comprenne qu’elle ne pouvait pas recommencer ce genre d’attitude. Que les risques pour ses fesses dépassaient la courte satisfaction qu’elle pouvait en tirer sur le moment. Pour cela il était nécessaire que la fessée lui semble interminable et qu’elle pense qu’elle dépasse ses possibilités d’absorption. Fara était tout à fait en capacité d’administrer de telles fessées. Il s’y employa.
Quand il reposa Marguerite au sol, celle-ci ne savait plus ni où aller, ni que faire. Elle trouva Fara à proximité. Toujours secouée de sanglots, elle cacha son visage dans la chemise de Fara et entoura sa taille de ses deux bras. Fara caressait doucement ses cheveux d’une main et son dos de l’autre. Ils restèrent là une bonne minute, attendant que Marguerite se calme, qu’elle reprenne un peu ses esprits.
Fara dénoua les bras de Marguerite qui la maintenaient serrée contre lui.
« La fessée est terminée. Mais cela ne dépend que de toi qu’elle reprenne. A la moindre désobéissance … As-tu entendu ? »
Marguerite avait du mal à lâcher Fara, mais elle hocha vivement la tête.
« Ta punition n’est pas terminée. Pour commencer, va relever les fourchettes que tu as mises par terre ! »
Marguerite se dépêcha d’obéir. Elle ne prenait plus aucune précaution pour dissimuler ses fesses, même quand, en s’accroupissant, le tee-shirt se souleva légèrement.
« Viens avec moi dans la salle de bains, il faut qu’on s’occupe de ta bouche puisqu’elle est pleine de gros mots. »
Il lui tendit la main qu’elle prit sans hésiter. Marguerite suivit Fara sans faire plus de difficulté.

Fara passa un savon sous le jet d’eau qui coulait du robinet.
« La bouche des petites filles qui disent des gros-mots, doit être récurée à fond afin de faire disparaître toutes ces expressions interdites. Ouvre la bouche ! »
Marguerite n’obéit pas instantanément.
« Une autre fessée, lui proposa Fara ? »
Marguerite n’hésita plus. Elle ouvrit la bouche en aussi grand qu’elle le pouvait. Fara y introduisit le savon et il le frotta contre toutes les surface qu’il trouva : dents, langue palais, intérieur des joues, … Marguerite faisait la grimace, mais elle ne gênait pas Fara dans sa tâche.
« Non, fit Fara, tu avales ta salive ! Je ne veux pas voir de bave sortir de ta bouche ou alors … »
Le goût et l’odeur saturaient les sens de Marguerite. Elle avait des haut-le-cœur à chaque fois qu’elle devait avaler sa salive. Elle regardait Fara avec des yeux suppliants, mais il tint bon.
« Tu vas rester comme cela pendant quelques minutes. J’espère que le goût te fera passer définitivement l’envie de dire des gros-mots. Si ce n’est pas le cas, je recommencerai. Va te mettre au coin dans la cuisine et n’oublie pas de relever ta chemise de nuit ! »
Marguerite se plaça d’elle-même en pénitence. Elle exposa ses fesses comme on le lui demandait. La fessée avait fait passer au second plan sa pudeur. Elle ressentait toujours une gêne, mais la nécessité d’obéir était la plus forte. Fara ne la laissa là que quelques minutes.
« Marguerite, va te rincer la bouche et reviens me voir ! »
Marguerite se présenta devant lui quelques instants plus tard.
« Après avoir été punie, tu viendras demander pardon. Je t’écoute !
– Je demande pardon, dit-elle d’une voix à peine audible.
– Redis-le plus fort. Tout le monde doit t’entendre.
– Je demande pardon, dit-elle d’une voix hésitante, mais audible.
– Pour avoir fait quoi ?
– Pour avoir dit des gros-mots.
– Et la comédie que tu as faite avant ?
– Et pour la comédie que j’ai faite.
– Viens-ici, vilaine fille ! »
Fara attira Marguerite à lui et il la posa sur ses genoux, torse contre torse. Elle retrouva sa position, serrée contre son buste. Fara entoura ses épaules d’un bras, la serrant encore un peu plus étroitement, son autre main caressait les fesses, soulevant la chemise de nuit. Marguerite n’y trouvait plus rien à dire. Au contraire elle se sentait en sécurité dans ces bras aussi forts et dans ses mains aussi caressantes, … quand elles ne donnaient pas la fessée.
« Alors, ces fesses sont-elles encore douloureuses ?
– Oui, encore un peu.
– C’est bien. C’est ce qu’il faut. C’est ainsi qu’apprennent les petites filles coléreuses. »
Marguerite hocha doucement la tête. C’est vrai qu’elle avait beaucoup appris en quelques heures passées chez Teva et Fara.

Le repas terminé, le lave-vaisselle rempli, la cuisine rangée, Teva prit Marguerite par la main.
« Viens avec moi, nous allons nous occuper de tous ces poils qu’il faut éliminer. »
Comme toutes les portes étaient restées ouvertes, c’était l’habitude chez Teva et Fara, chacun put entendre Marguerite se plaindre de l’arrachage de ses poils pubiens. Il n’y eut pas plus de deux ou trois claques sur les fesses ou le haut des cuisses pour qu’elle laissât Teva officier. Elle revint dans le séjour, tenue par la main par Teva et elle ne semblait pas réjouie.
« Je t’assure que c’est mieux comme cela ! »
Seule la fin de l’argumentation de Teva fut audible par les autres membres de la famille, mais c’était une décision définitive. Il n’y avait pas à y revenir.
Moana et Maeva avaient pris place chacune sur un genou de Fara. Elles avaient été impressionnées par la colère de leur père, celui qui donnait de si formidables fessées et elles avaient besoin de retrouver celui qui savait si bien câliner. Il était toujours présent.
Teva passa dans la cuisine. Marguerite ne savait pas trop quoi faire. Elle resta plantée dans le milieu du séjour.
« Viens t’asseoir là, dit Fara en tapotant le canapé à côté de lui. Teva va revenir, elle n’en a pas pour longtemps. »
Marguerite était préoccupée par sa situation chez Fara et Teva. Elle ne se sentait pas vraiment une de leurs filles et pourtant elle était traitée comme si elle l’était. Elle n’avait pas perçu de différence de traitement entre les deux filles et elle. L’épilation intime à laquelle Teva venait de procéder en était un nouvel exemple.
Marguerite avait vu le sexe épilé de Maeva, mais elle avait du mal à se faire une idée de ce que pouvait donner le sien dans le même état. Elle n’avait pas pu l’examiner. Que ce soit pendant l’épilation elle-même ou quand Teva lui avait étala une crème adoucissante sur les parties maintenant glabres, elle était restée allongée sur le dos. Elle n’y voyait rien.
Elle aurait bien soulevé sa chemise de nuit pour voir ce que cela donnait, mais il était hors de question de le faire en présence d’autres personnes. Or, Teva ne lui avait pas laissé une seconde d’intimité. Le temps de la réflexion ne dura pas bien long, pourtant Marguerite eut le temps de porter sa main trois fois à son entrejambe, ce que Fara, attentif à ce qu’elle faisait même s’il n’en montrait rien, remarque ce geste machinal.
« Teva, lui dit-il quand elle revint, es-tu certaine d’avoir bien enduit l’abricot de Marguerite de crème adoucissante ? Elle a l’air gênée.
– Voyons voir cela. »
Teva prit la place de Marguerite sur le canapé et elle plaça la jeune femme entre ses jambes. Elle souleva la chemise de nuit, découvrant la vulve épilée. Au grand désespoir de Marguerite, Teva l’avait tournée vers Fara et les deux filles. Chacun contemplait maintenant son sexe découvert.
« Mais, fit Marguerite …
– Sois sage et laisse-moi faire, l’interrompit Teva. »
Teva passa son pouce sur toute la région pubienne de Marguerite. Elle insistait en appuyant de plus en plus fermement sur la peau. Marguerite aurait volontiers disparu dans un trou de souris si cela lui avait été permis. Mais les jambes de Teva entourant les siennes et la main posée sur ses fesses lui délimitaient un espace dans lequel il fallait rester. Rabattre sa chemise de nuit sur son sexe serait, à coup sûr, motif à une punition. Il fallait attendre la fin de cet examen.
« Rien de flagrant, conclut Teva. Je vais lui remettre de la crème. »
Quand Marguerite voulut la suivre, Teva l’arrêta.
« Attends-moi ici, je reviens. »
Munie du tube de crème, Teva fit reprendre la même position à Marguerite.
« Relève ta chemise. »
Marguerite hésita suffisamment longtemps pour que Teva finisse par le faire elle-même. Quatre claques sur les fesses vinrent ponctuer cette désobéissance.
« Dans cette maison, ma chérie, tu vas apprendre à obéir bien plus rapidement ! »
Les doigts de Teva, enduits de crème, s’approchèrent de son entrejambe.
« Ecarte tes jambes ! »
Une nouvelle hésitation et ce serait une vraie fessée. Marguerite obéit aussitôt. Teva massa longuement sa vulve et son pubis, partout où il y a encore peu de temps, il y avait des poils. Bien que les doigts, en passant, aient touché plusieurs fois les lèvres de son vagin, Marguerite ne sentait monter aucune excitation sexuelle. Le geste de Teva était pourtant proche de celui que Marguerite utilisait quand elle se masturbait. Malgré cette similarité, il n’y avait aucune ambiguïté. Marguerite aurait trouvé déplacé d’être stimulée sexuellement par Teva qui l’en aurait certainement punie. Celle-ci lui prodiguait un soin, comme une Maman le fait pour sa petite fille. C’est bien ce qu’elle était. Marguerite se sentit rassurée par cette conclusion à laquelle elle était arrivée. Le regard de Fara lui semblait moins intrusif. Cela lui convenait. Elle se laissa faire plus volontiers.

Debout dans le milieu du séjour, Marguerite n’avait pas encore trouvé sa place. Elle enviait l’intimité qui régnait entre les deux filles et Fara. Elle y aurait bien pris part, mais, bien qu’il ait une stature imposante, Fara n’avait que deux genoux et ils étaient tous deux occupés. Marguerite se sentait un peu mise de côté.
Teva reprit sa place sur le canapé.
« Viens-ici, ma chérie. »
Marguerite se sentit soulevée par des bras que son poids ne faisait pas vaciller. Elle se retrouva à califourchon sur les genoux de Teva. La chemise de nuit l’empêchait d’écarter complètement les jambes.
« Attend, je vais arranger cela. »
Teva remonta la chemise de nuit au-dessus des fesses de Marguerite, ce qui les découvrait une nouvelle fois. Le premier réflexe de Marguerite fut de les recouvrir en cherchant à remettre la chemise à sa place. Une petite claque sur le haut de la cuisse l’en dissuada.
« Sage, gronda Teva ! »
Elle prit les deux mains de Marguerite et elle les amena dans son dos, puis elle plaqua la jeune femme contre sa poitrine et enfin elle posa la tête de Marguerite sur son épaule. Puis la main de Teva remonta le long des deux cuisses et elles caressèrent les fesses. Marguerite se sentit immédiatement à sa place. Elle ferma les yeux.
« Ce serait bien de s’endormir ici, pensa-t-elle. »
Teva déposa un bisou sur sa joue.
« Là, ma toute petite fille, là. Tu vas voir comme on est bien sur mes genoux. »
Et après une petite pause.
« Surtout quand on a pris plusieurs grosses fessées dans la soirée. »
La main de Teva tapotait les fesses, puis elle reprit la caresse.
« Tu sais, quand elles sont sur les genoux, Moana et Maeva mettent leur pouce dans la bouche. Tu peux le faire aussi si tu le veux. »
Marguerite ouvrit les yeux. Face à elle, Maeva, sur les genoux de Fara suçait son pouce. Elle hésita un peu, puis elle mit son pouce dans sa bouche et elle ferma de nouveau les yeux. Sa main reposait sur le cou de Teva. De son petit doigt, elle caressa doucement la peau nue là où naissait la poitrine de Teva.
« Je pourrais rester là toute la nuit, pensa-t-elle. »
Fara et Teva discutaient tranquillement. Il fut question du bain du lendemain, mais Marguerite ne prêtait pas attention à ce qui était dit.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 12
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 14

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.