« On pourra demander à Teva,
je suis sûre qu’elle en trouvera un pour toi ! »
Marguerite ne savait pas encore
si c’était ce qu’elle voulait. Maeva lui lut quelques passages du sien et elles
partirent dans une discussion. Comme avant. La tenue n’y avait rien changé. Si
Maeva voulait toujours être sa plus proche amie, Marguerite se dit qu’elle le
voulait aussi.
Leurs cuisses nues se touchaient,
un bout de fesse apparaissait de temps en temps, mais cela n’avait pas vraiment
d’importance.
« Les filles, venez
m’aider !
– Viens, Teva nous appelle, il
faut y aller. »
Il y avait de l’empressement dans
la voix de Maeva, de l’empressement à obéir. Marguerite ne perçut pas de
crainte, mais plutôt du plaisir à aller passer un moment avec Teva.
« Vous allez mettre la
table ! »
Maeva se lança dans cette
activité sans plus attendre. Elle entraîna Marguerite avec elle, lui indiquant
où se rangeaient les verres, les assiettes … bref, tout ce dont ils avaient
besoin.
Marguerite n’était pas
tranquille. Elle avait conscience que le court tee-shirt laissait apercevoir
ses fesses dès qu’elle levait les bras ou qu’elle se s’accroupissait. Or elle
entendait, dans la pièce d’à côté, Fara qui jouait avec Moana. Elle sursautait
à chaque fois que la voix masculine répondait à celle de sa fille.
Elle prenait un verre sur une
étagère quand un éclat de rire de Fara lui sembla tout proche. Elle tressaillit
et le verre lui échappa des mains. Fort heureusement, elle réussit à le
rattraper. Fara était toujours dans le séjour à côté, mais à cause de sa
fébrilité, elle avait été à deux doigts de casser un verre.
« Marguerite, gronda Teva,
tu n’es pas attentive à ce que tu fais ! Si tu casses de la vaisselle, ce
sera la fessée ! »
Marguerite ne répondit pas, mais
elle n’en pensait pas moins.
« Si je n’étais pas forcée
de porter un tee-shirt aussi court, il n’y aurait pas de problème. D’ailleurs
pourquoi se mettre en vêtement de nuit aussi tôt ? Je ne suis pas prête de
me coucher ! Encore ces idées bizarres sur les petites filles. »
Elle fulminait contre Teva qui
l’avait mise dans cette tenue et elle se tenait prête à dire à Fara ce qu’elle
pensait de lui qui forçait de jeunes femmes à se montrer à demi-nues en sa
présence. Son mécontentement devait se lire sur son visage, mais elle prenait
garde à ne pas le formuler, ce serait l’occasion d’une nouvelle fessée et ça,
elle préférait l’éviter.
Ses gestes étaient maintenant un
peu trop brusques et Teva s’en apercevait.
« Marguerite, tu ferais bien
de te calmer. Tu es sur une voie dangereuse ! »
Marguerite n’en avait cure. Elle
tenait à ce qu’on voit qu’elle n’approuvait pas la situation. La table était
presque mise et le repas presque prêt. Marguerite espérait qu’on la laisserait
se couvrir un peu plus pendant le repas. Elle prit les fourchettes dans le tiroir
et se retourna.
Fara était dans la porte, Moana
dans les bras. Marguerite lâcha tout ce qu’elle tenait pour allonger le
tee-shirt.
« Marguerite ! Cesse
ces simagrées ! Si la vaisselle n’est pas cassée, ce n’est pas grâce à
toi. Je crois que tu as tout de même mérité une fessée. Viens ici !
– C’est ça, une fessée et vous
allez relever le tee-shirt, il n’est pas assez court ? Vous m’avez
habillée comme cela pour qu’il puisse reluquer mon cul ! Vous n’êtes que
des connards de voyeurs et de pervers !
– Mais qu’est-ce que c’est que
ça ? Où te crois-tu pour utiliser un tel langage ? »
La réaction de Fara avait été
immédiate. Avant que Marguerite ait pu faire un pas, il était sur elle. Sa main
entoura sa taille, elle en faisait presque le tour. Il souleva Marguerite et il
la plaqua sous son bras. Il resserra son coude sous son flanc et bien qu’il eût
dû porter tout le poids de la jeune femme, il ne s’en apercevait pas. Elle
était tellement légère au regard de son poids à lui.
Dans cette position, le tee-shirt
n’arrivait plus qu’à mi-fesses. Il le remonta cependant. Pour la fessée qu’il
envisageait, les fesses devaient être bien découvertes. La main de Marguerite
qui vint se mêler à l’action fut écartée et maintenue sous le ventre de la
jeune femme. Marguerite était prête pour recevoir sa leçon bien méritée.
Elle n’avait cependant pas encore
accepté de recevoir ce qui lui était dû. Elle tenta de se libérer, mais elle
n’avait pas la force nécessaire pour desserrer la prise que Fara avait refermée
sur sa taille. Ses grands mouvements des jambes brassaient dans le vide. Ses
cris d’orfraies n’effrayaient personne.
La main de Fara eut vite fait de
remettre de l’ordre dans tout cela. Quatre, cinq, six fois, elle vint claquer
les fesses de Marguerite. Fara y mettait tout sa force. Cela suffit pour
transformer le postérieur de Marguerite en une fournaise et pour qu’elle ne
songe plus qu’à absorber la cuisson.
Terminée, la volonté de se
rebeller, disparues les contestations du droit à donner la fessée, Marguerite
n’avait plus que l’envie que son obéissance écourte la correction. Elle aurait
promis n’importe quoi pour ce faire. Malheureusement, la rigueur du châtiment
ne lui laissait pas la possibilité de faire savoir à Fara qu’elle reconnaissait
son erreur. Elle n’était plus en capacité de formuler un regret ou une
promesse.
Alors Fara accéléra le rythme. Il
voulait que Marguerite comprenne qu’elle ne pouvait pas recommencer ce genre
d’attitude. Que les risques pour ses fesses dépassaient la courte satisfaction
qu’elle pouvait en tirer sur le moment. Pour cela il était nécessaire que la
fessée lui semble interminable et qu’elle pense qu’elle dépasse ses
possibilités d’absorption. Fara était tout à fait en capacité d’administrer de
telles fessées. Il s’y employa.
Quand il reposa Marguerite au
sol, celle-ci ne savait plus ni où aller, ni que faire. Elle trouva Fara à
proximité. Toujours secouée de sanglots, elle cacha son visage dans la chemise
de Fara et entoura sa taille de ses deux bras. Fara caressait doucement ses
cheveux d’une main et son dos de l’autre. Ils restèrent là une bonne minute,
attendant que Marguerite se calme, qu’elle reprenne un peu ses esprits.
Fara dénoua les bras de Marguerite
qui la maintenaient serrée contre lui.
« La fessée est terminée.
Mais cela ne dépend que de toi qu’elle reprenne. A la moindre
désobéissance … As-tu entendu ? »
Marguerite avait du mal à lâcher
Fara, mais elle hocha vivement la tête.
« Ta punition n’est pas
terminée. Pour commencer, va relever les fourchettes que tu as mises par
terre ! »
Marguerite se dépêcha d’obéir.
Elle ne prenait plus aucune précaution pour dissimuler ses fesses, même quand,
en s’accroupissant, le tee-shirt se souleva légèrement.
« Viens avec moi dans la
salle de bains, il faut qu’on s’occupe de ta bouche puisqu’elle est pleine de
gros mots. »
Il lui tendit la main qu’elle
prit sans hésiter. Marguerite suivit Fara sans faire plus de difficulté.
Fara passa un savon sous le jet
d’eau qui coulait du robinet.
« La bouche des petites
filles qui disent des gros-mots, doit être récurée à fond afin de faire
disparaître toutes ces expressions interdites. Ouvre la bouche ! »
Marguerite n’obéit pas
instantanément.
« Une autre fessée, lui
proposa Fara ? »
Marguerite n’hésita plus. Elle
ouvrit la bouche en aussi grand qu’elle le pouvait. Fara y introduisit le savon
et il le frotta contre toutes les surface qu’il trouva : dents, langue
palais, intérieur des joues, … Marguerite faisait la grimace, mais elle ne
gênait pas Fara dans sa tâche.
« Non, fit Fara, tu avales
ta salive ! Je ne veux pas voir de bave sortir de ta bouche ou alors
… »
Le goût et l’odeur saturaient les
sens de Marguerite. Elle avait des haut-le-cœur à chaque fois qu’elle devait
avaler sa salive. Elle regardait Fara avec des yeux suppliants, mais il tint
bon.
« Tu vas rester comme cela
pendant quelques minutes. J’espère que le goût te fera passer définitivement
l’envie de dire des gros-mots. Si ce n’est pas le cas, je recommencerai. Va te
mettre au coin dans la cuisine et n’oublie pas de relever ta chemise de nuit ! »
Marguerite se plaça d’elle-même
en pénitence. Elle exposa ses fesses comme on le lui demandait. La fessée avait
fait passer au second plan sa pudeur. Elle ressentait toujours une gêne, mais
la nécessité d’obéir était la plus forte. Fara ne la laissa là que quelques minutes.
« Marguerite, va te rincer
la bouche et reviens me voir ! »
Marguerite se présenta devant lui
quelques instants plus tard.
« Après avoir été punie, tu
viendras demander pardon. Je t’écoute !
– Je demande pardon, dit-elle
d’une voix à peine audible.
– Redis-le plus fort. Tout le
monde doit t’entendre.
– Je demande pardon, dit-elle
d’une voix hésitante, mais audible.
– Pour avoir fait quoi ?
– Pour avoir dit des gros-mots.
– Et la comédie que tu as faite
avant ?
– Et pour la comédie que j’ai
faite.
– Viens-ici, vilaine
fille ! »
Fara attira Marguerite à lui et
il la posa sur ses genoux, torse contre torse. Elle retrouva sa position,
serrée contre son buste. Fara entoura ses épaules d’un bras, la serrant encore
un peu plus étroitement, son autre main caressait les fesses, soulevant la
chemise de nuit. Marguerite n’y trouvait plus rien à dire. Au contraire elle se
sentait en sécurité dans ces bras aussi forts et dans ses mains aussi
caressantes, … quand elles ne donnaient pas la fessée.
« Alors, ces fesses
sont-elles encore douloureuses ?
– Oui, encore un peu.
– C’est bien. C’est ce qu’il
faut. C’est ainsi qu’apprennent les petites filles coléreuses. »
Marguerite hocha doucement la
tête. C’est vrai qu’elle avait beaucoup appris en quelques heures passées chez
Teva et Fara.
Le repas terminé, le
lave-vaisselle rempli, la cuisine rangée, Teva prit Marguerite par la main.
« Viens avec moi, nous
allons nous occuper de tous ces poils qu’il faut éliminer. »
Comme toutes les portes étaient
restées ouvertes, c’était l’habitude chez Teva et Fara, chacun put entendre Marguerite
se plaindre de l’arrachage de ses poils pubiens. Il n’y eut pas plus de deux ou
trois claques sur les fesses ou le haut des cuisses pour qu’elle laissât Teva
officier. Elle revint dans le séjour, tenue par la main par Teva et elle ne
semblait pas réjouie.
« Je t’assure que c’est
mieux comme cela ! »
Seule la fin de l’argumentation
de Teva fut audible par les autres membres de la famille, mais c’était une
décision définitive. Il n’y avait pas à y revenir.
Moana et Maeva avaient pris place
chacune sur un genou de Fara. Elles avaient été impressionnées par la colère de
leur père, celui qui donnait de si formidables fessées et elles avaient besoin
de retrouver celui qui savait si bien câliner. Il était toujours présent.
Teva passa dans la cuisine. Marguerite
ne savait pas trop quoi faire. Elle resta plantée dans le milieu du séjour.
« Viens t’asseoir là, dit
Fara en tapotant le canapé à côté de lui. Teva va revenir, elle n’en a pas pour
longtemps. »
Marguerite était préoccupée par
sa situation chez Fara et Teva. Elle ne se sentait pas vraiment une de leurs
filles et pourtant elle était traitée comme si elle l’était. Elle n’avait pas
perçu de différence de traitement entre les deux filles et elle. L’épilation
intime à laquelle Teva venait de procéder en était un nouvel exemple.
Marguerite avait vu le sexe épilé
de Maeva, mais elle avait du mal à se faire une idée de ce que pouvait donner
le sien dans le même état. Elle n’avait pas pu l’examiner. Que ce soit pendant
l’épilation elle-même ou quand Teva lui avait étala une crème adoucissante sur
les parties maintenant glabres, elle était restée allongée sur le dos. Elle n’y
voyait rien.
Elle aurait bien soulevé sa
chemise de nuit pour voir ce que cela donnait, mais il était hors de question
de le faire en présence d’autres personnes. Or, Teva ne lui avait pas laissé
une seconde d’intimité. Le temps de la réflexion ne dura pas bien long,
pourtant Marguerite eut le temps de porter sa main trois fois à son entrejambe,
ce que Fara, attentif à ce qu’elle faisait même s’il n’en montrait rien,
remarque ce geste machinal.
« Teva, lui dit-il quand
elle revint, es-tu certaine d’avoir bien enduit l’abricot de Marguerite de
crème adoucissante ? Elle a l’air gênée.
– Voyons voir cela. »
Teva prit la place de Marguerite
sur le canapé et elle plaça la jeune femme entre ses jambes. Elle souleva la
chemise de nuit, découvrant la vulve épilée. Au grand désespoir de Marguerite,
Teva l’avait tournée vers Fara et les deux filles. Chacun contemplait
maintenant son sexe découvert.
« Mais, fit Marguerite …
– Sois sage et laisse-moi faire,
l’interrompit Teva. »
Teva passa son pouce sur toute la
région pubienne de Marguerite. Elle insistait en appuyant de plus en plus
fermement sur la peau. Marguerite aurait volontiers disparu dans un trou de
souris si cela lui avait été permis. Mais les jambes de Teva entourant les
siennes et la main posée sur ses fesses lui délimitaient un espace dans lequel
il fallait rester. Rabattre sa chemise de nuit sur son sexe serait, à coup sûr,
motif à une punition. Il fallait attendre la fin de cet examen.
« Rien de flagrant, conclut
Teva. Je vais lui remettre de la crème. »
Quand Marguerite voulut la
suivre, Teva l’arrêta.
« Attends-moi ici, je
reviens. »
Munie du tube de crème, Teva fit
reprendre la même position à Marguerite.
« Relève ta chemise. »
Marguerite hésita suffisamment
longtemps pour que Teva finisse par le faire elle-même. Quatre claques sur les
fesses vinrent ponctuer cette désobéissance.
« Dans cette maison, ma
chérie, tu vas apprendre à obéir bien plus rapidement ! »
Les doigts de Teva, enduits de
crème, s’approchèrent de son entrejambe.
« Ecarte tes
jambes ! »
Une nouvelle hésitation et ce
serait une vraie fessée. Marguerite obéit aussitôt. Teva massa longuement sa
vulve et son pubis, partout où il y a encore peu de temps, il y avait des
poils. Bien que les doigts, en passant, aient touché plusieurs fois les lèvres
de son vagin, Marguerite ne sentait monter aucune excitation sexuelle. Le geste
de Teva était pourtant proche de celui que Marguerite utilisait quand elle se
masturbait. Malgré cette similarité, il n’y avait aucune ambiguïté. Marguerite
aurait trouvé déplacé d’être stimulée sexuellement par Teva qui l’en aurait
certainement punie. Celle-ci lui prodiguait un soin, comme une Maman le fait
pour sa petite fille. C’est bien ce qu’elle était. Marguerite se sentit
rassurée par cette conclusion à laquelle elle était arrivée. Le regard de Fara
lui semblait moins intrusif. Cela lui convenait. Elle se laissa faire plus
volontiers.
Debout dans le milieu du séjour, Marguerite
n’avait pas encore trouvé sa place. Elle enviait l’intimité qui régnait entre
les deux filles et Fara. Elle y aurait bien pris part, mais, bien qu’il ait une
stature imposante, Fara n’avait que deux genoux et ils étaient tous deux
occupés. Marguerite se sentait un peu mise de côté.
Teva reprit sa place sur le
canapé.
« Viens-ici, ma
chérie. »
Marguerite se sentit soulevée par
des bras que son poids ne faisait pas vaciller. Elle se retrouva à califourchon
sur les genoux de Teva. La chemise de nuit l’empêchait d’écarter complètement
les jambes.
« Attend, je vais arranger
cela. »
Teva remonta la chemise de nuit
au-dessus des fesses de Marguerite, ce qui les découvrait une nouvelle fois. Le
premier réflexe de Marguerite fut de les recouvrir en cherchant à remettre la
chemise à sa place. Une petite claque sur le haut de la cuisse l’en dissuada.
« Sage, gronda Teva ! »
Elle prit les deux mains de Marguerite
et elle les amena dans son dos, puis elle plaqua la jeune femme contre sa
poitrine et enfin elle posa la tête de Marguerite sur son épaule. Puis la main
de Teva remonta le long des deux cuisses et elles caressèrent les fesses. Marguerite
se sentit immédiatement à sa place. Elle ferma les yeux.
« Ce serait bien de
s’endormir ici, pensa-t-elle. »
Teva déposa un bisou sur sa joue.
« Là, ma toute petite fille,
là. Tu vas voir comme on est bien sur mes genoux. »
Et après une petite pause.
« Surtout quand on a pris
plusieurs grosses fessées dans la soirée. »
La main de Teva tapotait les
fesses, puis elle reprit la caresse.
« Tu sais, quand elles sont
sur les genoux, Moana et Maeva mettent leur pouce dans la bouche. Tu peux le
faire aussi si tu le veux. »
Marguerite ouvrit les yeux. Face
à elle, Maeva, sur les genoux de Fara suçait son pouce. Elle hésita un peu,
puis elle mit son pouce dans sa bouche et elle ferma de nouveau les yeux. Sa
main reposait sur le cou de Teva. De son petit doigt, elle caressa doucement la
peau nue là où naissait la poitrine de Teva.
« Je pourrais rester là
toute la nuit, pensa-t-elle. »
Fara et Teva discutaient
tranquillement. Il fut question du bain du lendemain, mais Marguerite ne
prêtait pas attention à ce qui était dit.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.
Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 12
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 14
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
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