lundi 30 septembre 2019

Les rebelles - chapitre 15

Depuis son arrestation et sa fessée publique pour exhibition dans les rues de notre ville, Ekaterina, naturiste pratiquante avec ses deux amies Lyana et sa sœur cadette Moana, nous a convertis à cette pratique et nous emmène à la plage réservée aux naturiste sur l’estuaire de l’Argens, dont le bout de plage de deux cent cinquante mètres de long, encadrée par des panneaux, est attribuée à une association naturiste, dont Nicole C. est la présidente.
Très fréquentée en plein été (ouverte de début Juin jusqu’à fin Septembre), mais désertée au mois de Septembre ce qui permet aux locaux d’en profiter jusqu’en fin de saison. 


Ekaterina, Olga, Iourievna et moi partons en général le Samedi ou le Dimanche matin pour une demi-journée sur cette plage. Assez souvent, Lyana et Moana nous rejoignent, pour ce moment de détente entre copines. Les activités sont bien entendu, natation, jeux dans l’eau ou sur le sable et bronzette pour effacer les traces blanches du maillot de bain que nous avons sur le corps. Ces moments sont fort agréables et en arrière-saison, la plage est tout à nous.
Le barnum de l’association est un peu plus loin, où Nicole C. et JeanCharles L. sont là pour renseigner les nouveaux venus et le cas échéant pour faire la police lorsque des non naturistes viennent perturber la séance de bronzage des adhérents. Certaines personnes ne se privent pas pour passer sur ce bout de plage réservée afin de se rincer l’œil et pour faire des photos, soulevant des protestations des naturistes, dans la mesure où ceux-ci ne savent pas ce que ces photos deviendront après. C’est toujours extrêmement vexant de voir des photos volées de soi sur Internet, car famille, voisins, amis et collègues peuvent tomber dessus par hasard.
Sur la plage, les douches et le poste de secours sont en zone « textiles », ce qui oblige les gens à être vêtus pour s’y rendre, ce qui n’est pas du gout des naturistes, qui entièrement tartinés d’huile solaire, aimeraient y aller nus et ne pas se sentir gras dans leur maillot. La cohabitation se passe bien, dans la mesure où chacun respecte la zone de l’autre, mais parfois, des heurts éclatent, car les non naturistes reprochent aux naturistes d’être trop prêt de leur plage, choquant les enfants et les personnes prudes. Dans d’autres cas, des naturistes bravent les interdits et se rendent au poste de secours ou à la douche entièrement nus.
Le permanent du poste de secours est obligé de rappeler tout le monde à l’ordre et en informe Nicole C. et Jean-Charles L. En plus de la réprimande verbale du secouriste de la plage, une lettre de la mairie viendra enfoncer le clou pour faire respecter les consignes de bonne conduite. Nicole C. et Jean-Charles L. sont souvent désolés de ces situations de conflits, car leur association est tolérée par la mairie, mais si les heurts s’avéraient trop fréquents, l’association pourrait perdre son bout de plage, tant prisée. Périodiquement, Nicol C. envoie des mails aux adhérents pour les prier de faire preuve de bon sens et de savoir vivre, vis-à-vis des personnes en zone « textile ».

Par cette chaude journée de Samedi de Septembre, Ekaterina, Olga, Iourievna, Lyana, Moana et moi, nous nous rendons à la plage naturiste de l’Argens. A peine arrivées, nos vêtements sont retirés et nous fonçons à l’eau, pour nous rafraîchir et pour y jouer. Eclaboussures, natation et rigolades sont nos activités favorites, puis au bout d’un moment, lorsque nous en avons assez, nous sortons de l’eau et nous venons nous étendre sur notre serviette, un peu à l’écart de tout le monde, non sans nous être copieusement enduites d’huile solaire, faisant briller nos corps aux rayons du soleil, ce qui met nos belles formes féminines en valeur. Nous laissons l’eau, le vent et le soleil caresser notre corps. Cette douceur est exquise et seuls les naturistes peuvent savourer ce sentiment de plénitude.
Un peu plus loin, d’autres jeunes naturistes jouent sur la plage. Assez bruyants, ils sont repris par Nicole C. qui trouve qu’ils en font beaucoup pour un simple jeu. Piqués au vif, les jeunes se calment, mais reprennent leur jeu assez vite. Sans gêne, trois jeunes du groupe n’en font qu’à leur tête et ne tiennent pas compte des remarques de Nicole C. qui se fait railler par la même occasion, sous prétexte que la plage est à tous les naturistes, ils feront ce qu’ils veulent. Même en tentant de raisonner les membres du groupe, Nicole C. ne parvient pas à rétablir le calme. Elle se fâche et elle les prévient que ce vacarme ne peut pas durer, car il dérange les autres personnes.
Nous suivons de loin, les explications entre Nicole C. et le groupe de jeunes et nous trouvons qu’elle pourrait ne pas insister, car la situation risque de se dégrader, après tout, les jeunes ne faisaient rien de mal, ils jouaient en criant, tout simplement ! Le rassemblement étant près de la plage textile, même les gens vêtus commencent à trouver les comportements dérangeant. Certains partent un peu plus loin où leur lancent des remarques, ce à quoi les jeunes, excités, leurs répondent par des noms d’oiseaux. Excédés, trois pères de famille vont prévenir le permanent au poste de secours pour faire rétablir l’ordre et le calme côté naturiste.
Dix minutes plus tard, Valentin R., le permanent du poste du secours, se déplace avec deux adjointes de la mairie de la ville, venues en famille sur la plage, Coraline P. et Jocelyne M. Reconnaissant les gens de la marie, Nicole C. commence à être inquiète, car le désordre a attiré des officiels et elle pourrait avoir une remontrance. Valentin R. hausse le ton et exige le retour au calme. La majorité des jeunes se tait, mais trois jeunes turbulents, Lisendro vingt-trois ans, Gloria vingt-cinq ans et Lucia vingt ans, sont toujours aussi virulents dans leurs paroles. Provoquants vis-à-vis de Coraline P. et Jocelyne M., les trois jeunes leur disent qu’ils n’en ont rien à faire de leurs menaces, qu’ils jouent sur la plage et n’entendent pas s’arrêter. Jocelyne M. tente, elle-aussi, de les ramener à la raison, en vain, pire elle se fait copieusement insulter. Jocelyne M. se défend en disant que ces vauriens ne mériteraient que la fessée pour un tel comportement.
Cette fois, c’en est trop. Valentin R. appelle un autre collègue, pour rétablir le calme par la force. Lisendro, Gloria et Lucia toujours aussi déterminés à faire valoir leurs droits font front contre les deux femmes de la mairie, Nicol C. et Valentin R. A l’arrivée de son collègue, Valentin R. leur dit qu’il va les fesser pour leur apprendre les bonnes manières. Nicole C. tente de s’interposer en atténuant les propos tenus, car elle connait les parents des trois jeunes et ceux-ci sont des gens bien et elle craint qu’ils n’apprécient pas la fessée publique donnée à leurs enfants. De plus, les parents, assez aisés, font des dons supplémentaires à l’association pour la sauvegarde du patrimoine. Si une fessée publique était donnée à leurs enfants, Nicole C. craint également de voir s’envoler ses subsides, d’où le fait de minorer des faits.
Aidé de quelques hommes non naturistes, Lisendro, Gloria et Lucia sont maintenus et plaqués dans le sable. Vis-à-vis de cette méthode musclée, les avis sont très partagés, les uns applaudissent car le calme va vite revenir et ils vont assister à un excitant spectacle et les autres trouvent que la fessée pour des jeunes adultes est excessive, surtout du côté des naturistes.
Munis de verges fait avec des branchages trouvés près de la plage, Valentin R. demande à Jocelyne M. et à Coraline P. si elles veulent bien appliquer la fessée à ces trois contrevenants. Ravies de l’opportunité, les deux officielles prennent les verges et corrigent en premier Lisendro. Celui-ci, allongé sur le sable, le haut du corps immobilisé, est à la merci des deux femmes. Malgré les vives protestations et cris de Lisendro, Gloria et Lucia, qui passeront à la fessée après leur copain, Jocelyne M. et à Coraline P. s’en donnent à cœur joie sur les fesses du jeune homme, le marquant instantanément. Lisendro ne tarde pas à crier de douleur tout en gesticulant pour tenter de se défaire de la prise des deux hommes.
Battant des pieds dans le sable, il se livre à un piètre spectacle, car sans prendre garde à sa pudeur, son intimité est largement dévoilée, tant il écarte les cuisses en tentant de se retourner. Ses vives contorsions et l’intense douleur des cinglées qui se propagent dans tout son bassin, lui provoquent une érection, ce qui ravi la gente féminine présente. De notre côté, nous nous sommes approchées de cette scène et je dois dire que la vision de ces fessées n’est pas pour nous déplaire. Sous l’émotion, je sens mes tétons se dresser par la vue de ce jeune homme en érection, se débattant vigoureusement en hurlant sur le sable, les fesses et les cuisses bien marquées.
Les réflexions commencent à s’élever dans l’assistance, car même des non naturistes se sont approchés, intrigués par l’attroupement en zone naturiste et les hurlements. Lorsque Jocelyne M. et à Coraline P. ont jugé que Lisendro avait eu son compte, elles demandent qu’il soit relâché et que la première des deux filles soit amenée pour qu’elle passe à la fessée.
Lisendro, gémissant, les deux mains sur les fesses, ne demande pas son reste et part vers la zone où il a laissé ses vêtements et sa serviette. Il est rattrapé par une jeune femme qui le conduit vers la mer afin qu’il se mette le bas du corps dans l’eau fraîche pour apaiser la douleur et pour qu’il se rince du sable qui lui a maculé le corps. Nous le voyons à genoux dans l’eau, tel un pénitent demandant pardon.

Gloria est amenée pour qu’elle reçoivent sa fessée. Protestant énergiquement contre cette fessée, se débattant furieusement et poussant des cris stridents de peur, c’est avec du mal que les deux hommes finissent par la mettre au sol et à la maintenir à plat ventre. En réponse à ses protestations, Jocelyne M. lui dit qu’elle avait tout le temps de se calmer et surtout il fallait qu’elle évite d’insulter les gens. Ce fait est intolérable et que la fessée qu’elle va recevoir est un moindre mal compte tenu qu’une plainte aurait pu être déposée contre eux et la peine encourue aurait été de six mois de prison et sept mille cinq cent euros d’amende pour outrage sur une personne détentrice de l’autorité. Tardivement consciente de son exagération, Gloria tente de demander pardon, mais Jocelyne M. lui dit que c’est trop tard et qu’à présent, il faut payer pour son attitude.
Jocelyne M. et Coraline P. ne prennent pas de gants pour corriger Gloria. Elles la cinglent de la même façon que Lisendro. A chaque cinglée, Gloria donne des ruades en hurlant de douleur, mais solidement agrippée, elle n’a d’autres solutions que de subir la correction jusqu’à la fin. Faisant fi de sa pudeur, ses contorsions et ruades ne font d’exhiber davantage son intimité. De ce fait, le fait qu’elle soit soigneusement épilée laisse la vue libre aux spectateurs qui se gaussent d’une telle vision. Le bas du corps aussi marqué que celui de Lisendro, Gloria est en sanglots lorsque Jocelyne M. et Coraline P. cessent.
Ressemblant plus à une petite fille que l’on vient de gronder qu’à une femme, Gloria peine à se relever tant elle est secouée par ses sanglots. Une de ses amies la soutient par les épaules et l’accompagne jusqu’à l’eau pour se rincer.

La dernière et la plus jeune à passer à la correction est Lucia. Contre toute attente, elle est la plus courageuse, car voyant qu’elle n’arrivera pas à échapper à la fessée, elle ne cherche pas à résister lorsqu’on la relève et qu’on l’amène devant les deux flagellatrices. Devant Jocelyne M. et Coraline P., Lucia les regarde droit dans les yeux et leur lance un regard noir de défiance. Mises mal à l’aise par ce regard plein d’aplomb, Jocelyne M. et Coraline P. disent aux deux hommes qui la tiennent de l’allonger sur le ventre pour la soumettre. 
Jocelyne M. et Coraline P. mettent toute leur énergie pour lui cingler les fesses et les cuisses. Sans un cri, Lucia encaisse les fouettées, se contentant de contracter ses muscles et de se raidir en serrant les dents ou de gémir lorsque la cinglée s’abat sur les parties les plus sensibles du bas de son corps. Jocelyne M. et Coraline P. commencent à penser qu’elles n’arriveront pas à lui arracher des cris ni à la faire plier.
Ayant le bas du corps déjà très rouge, Jocelyne M. et Coraline P. décident de lui fouetter le dos, car la leçon doit porter ses fruits et elles ne veulent pas laisser cette sale gosse avoir le sentiment d’avoir gagné. A tour de rôle, Jocelyne M. et Coraline P. la cingle sur le dos, des épaules jusqu’aux reins. Les trois premières cinglées lui arrachent des plaintes vite ravalées, puis, n’en pouvant plus, Lucia abandonne sa résistance et hurle sans se retenir, ce qui ravi Jocelyne M. et Coraline P. qui termine de lui rougir le dos.
Lorsque les deux hommes la libèrent, Lucia, en pleurs se relève en se frayant un chemin à travers les badauds rassemblés autour d’elle et va se rincer dans l’eau où elle s’effondre en pleurs ininterrompus.

Jocelyne M. et Coraline P. disent aux trois jeunes que la prochaine fois, elles ne seront plus aussi tolérantes et qu’ils seront convoqués au tribunal pour outrage. Lisendro, Gloria et Lucia encore tous trempés s’en retournent vers l’endroit où ils ont laissé leurs vêtements, sous les huées des personnes présentes. Nicole C. les accompagne et leur dit qu’elle est sincèrement désolée pour eux, en ayant en tête l’idée que leurs parents ne viennent pas faire d’esclandres.
Le groupe de jeunes quitte la plage de façon très silencieuse, pour une fois. Les mines défaites et enfermés dans le mutisme par la fessée reçue devant leurs copains et copines, Lisendro uniquement en short et Gloria et Lucia enveloppées dans un simple paréo sans rien en dessous ne sont pas prêts d’oublier cette sévère correction. Durant le trajet de retour chez, ils ruminent les événements qui les ont poussés à ce résultat. Ils hésitent à cacher cet épisode ou à en parler à leurs parents.

Après la séance de bronzage, toutes guillerettes et très excitées, Ekaterina, Olga, Iourievna, Lyana et Moana et moi revenons sur ce que nous venons de voir. Je suis partagée par le fait que la fessée n’était pas plus justifiée que ça, car les trois jeunes faisaient du bruit, certes, mais ils ne s’étaient pas montrés violents envers les autres personnes, mais l’intervention mal à propos des gens de la marie a fait déraper la situation. Si Nicole C. n’avait pas insisté, peut-être que la situation n’aurait pas empiré. En revanche, je suis tout de même ravie d’avoir assisté à cette fessée publique, rien que pour l’excitation et le plaisir que ça m’a procuré et tant pis pour ces trois jeunes. Après tout il n’y a pas eu mort d’homme et ils s’en remettront, avec du temps.
Le soir même, juste avant la fermeture du stand tenu par la responsable de l’association naturistes, les parents des trois jeunes débarquent pour lui demander des explications car leurs enfants sont revenus avec des marques de flagellation. Leurs enfants leur ont dit qu’ils avaient été fouettés en public par deux folles, sans que personne ne leur vienne en aide. Nicole C., gênée par la tournure des évènements de l’après-midi, tente de faire face aux parents en colère.
Tout d’abord, Nicole C. enfile son tee-shirt, car le fait d’être entièrement nue devant six personnes vociférant augmente son mal être. Nicole C. rétablit la vérité et relate le comportement odieux des jeunes qui importunaient les autres naturistes et lorsque le responsable du poste de secours est intervenu, les heurs ont commencé. Pour ce qui est des deux femmes, Nicole C. explique que c’était deux adjointes au maire qui se trouvaient là par hasard. Elles ont voulu rétablir la situation, mais leurs enfants leur ont tenu tête et les ont assez vite insultées, d’où la fessée qui s’en est suivie. Elles ont été assez clémentes avec eux, car des poursuites auraient pu être faites et finalement, leurs enfants s’en sortent bien.
En entendant les arguments de Nicole C., les parents des trois jeunes se calment, car ce n’était pas du tout la version exprimée par les jeunes. Avec cette nouvelle vision des événements, les parents s’excusent auprès de Nicole C. de l’avoir offensé et ils lui promettent que leurs enfants vont en prendre une seconde pour leur avoir caché une partie de la vérité et ensuite, ils leur ordonneront de venir s’excuser pour le dérangement occasionné.

Dès le lendemain matin, à l’ouverture du stand naturiste, les parents des trois jeunes accompagnés de leurs enfants sont présents pour la présentation des excuses publiques. Ekaterina, Olga, Iourievna et moi, nous sommes revenues pour la matinée et nous assistons à la scène qui ne manque pas d’être cocasse. Les parents vêtus et les enfants entièrement nus, dont les fesses sont davantage maquées que la veille, prouvant qu’ils s’en sont effectivement pris une seconde, très sévère. Les parents de Lisendro, Gloria et Lucia leur ordonnent de se tourner pour faire voir leurs fesses cramoisies et ensuite ils devront présenter leurs excuses sous peine de se faire fesser une troisième fois, ici même.
Les trois jeunes se tournent et exhibent leurs fesses et leurs cuisses marquées. En regardant le bas du corps des jeunes, je m’imagine très bien l’intensité des fouettées pour avoir laissé de telles boursouflures. A la vue de la forme des traces, la ceinture a très certainement dû être utilisée. J’en suis même à les plaindre, car deux sévères fessées la même journée, ça a dû être très douloureux pour eux. D’un autre côté, leur côté arrogant et défiant a cessé. Ils sont à présent tout penaud, limite soumis, la tête basse.
En se retournant face aux gens présents, ils présentent d’une petite voix un humble pardon pour le chahut de la veille. Leurs parents exigent qu’ils le redisent d’une voix plus forte, car ça manque de conviction. En cœur, ils représentent un vrai pardon à Nicole C. et aux naturistes présents, dont la majorité n’étaient pas présents la veille et se font expliquer les faits. En guise d’ultime punition, les parents les laissent sur la plage, nus, et viendront les rechercher vers midi, ce qui fait que les trois jeunes resteront exposés à la vue de tous, car ne pouvant plus s’asseoir, les seules positions confortables seront soit allongés sur le dos soit à genoux soit debout.
Contrits, la tête basse, le regard fuyant et humiliés d’être la cible de tous les regards, les trois jeunes demandent la permission à Nicole C. d’aller se baigner, car l’eau fraîche apaisera un peu leurs brûlures. Complaisante, Nicole C. leur permet la baignade, en sachant bien que dans l’eau, ils échapperont ainsi aux regards amusés et moqueurs des autres naturistes, qui pour une fois se sont rassemblés près du barnum de l’association, justement là où se trouvent les trois jeunes. La vue de ces trois jeunes gens qui se sont fait corriger est assez excitante, d’autant plus que Lucia porte encore des traces rouges sur le dos. Après leur bain pris dans le plus grand calme, c’est au soleil que les trois jeunes se font sécher puis au bout de quelques heures c’est avec joie qu’ils voient leurs parents venir les récupérer vers midi, avec un short ample pour Lisendro et des longs tee-shirt pour Gloria et Lucia. 


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 14
Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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2 commentaires:

  1. Bonjour Elena et bonjour à tous,

    On se représente bien la scène. La plage naturiste avec les textiles partagés entre la réprobation et le désir de lorgner. Et puis ces trois jeunes qui s'amusent bruyamment, qui sont en décalage avec le reste de la plage (et, pour avoir moi aussi fréquenté ces plages, je sais qu'on y est généralement très respectueux des autres et de leur tranquillité), qui, lorsqu'on leur demande de se calmer, n'en tiennent aucun compte et s'offusquent de ce qu'on les menace de leur flanquer une bonne fessée. Les deux premiers ne se montrent guère courageux et, lorsqu'ils y repenseront par la suite, sans doute se sentiront-ils très mortifiés de n'avoir pas su se tenir et d'avoir offert aux personnes présentes, en plus du "reste", le spectacle de leur incapacité à rester dignes. Seule Lucia fait preuve d'une force de caractère qui devra pourtant céder devant la volonté de la faire plier. Au moins aura-t-elle eu le mérite d'avoir voulu faire front, même si elle a échoué.
    Voilà en tout cas, pour nos quatre jeunes filles, de quoi épiloguer longuement sur ce qu'elles viennent de voir et d'en tirer toutes sortes de satisfactions.
    Amicalement.
    François

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    Réponses
    1. Bonjour François,
      Tout à fait exact. Nos quatre jeunes femmes ont eu tout le loisir de reluquer ces trois rebelles, qui s'en sont mordus les doigts d'avoir dérangé le calme des adhérents de cette plage. Ca aura été un beau spectacle pour les naturistes présents. Les parents de ces trois jeunes ont su faire preuve de discernement en ce qui concerne leurs enfants. Reconnaître les tors de ses proches est une qualité même si elle n'est guère aisée.
      Amitiés.
      Elena

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